Catillon-sur-Sambre

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Catillon-sur-Sambre est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Catillonnais<ref>Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.</ref>. Le nom jeté des habitants est les Gueux Glorieux.

Géographie

Situation

Catillon-sur-Sambre est une commune française, située dans le sud du département du Nord en Région Nord-Pas-de-Calais.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Le village de Catillon est situé à la jonction de deux régions naturelles : le Cambrésis, terre d'openfield et de culture intensive, auquel il appartient administrativement, et l'Avesnois, pays de bocage, de forêts et d'élevage. Le sous-sol est fait de couches de calcaire du crétacé. Le village s'est construit à une altitude de Modèle:Unité environ, dans la vallée de la Selle<ref name="IGN128000">Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Fichier:Catillon-sur-Sambre 001.JPG
Le canal de la Sambre à l'Oise

La commune est traversée à la fois par la Sambre et par le Canal de la Sambre à l'Oise. La Sambre prend sa source à Modèle:Unité d'altitude, au bois de Cartignies, entre Fontenelle et Le Nouvion, au lieu-dit La Fontaine des Pauvres.

Le canal côtoie latéralement la Sambre jusqu'à Landrecies. Son altitude au pont de Catillon est de Modèle:Unité. Le point culminant du canal, à Modèle:Unité, se situe à Catillon, au lieu-dit Le Bois de l'Abbaye c'est la ligne de partage des eaux :

Voie de communication et transports

Chemin de fer du Cambrésis

Fichier:Catillon sur sambre gare.jpg
La gare du Cambrésis à Catillon

En 1881, une ligne de chemin de fer à voie métrique, d'une longueur de Modèle:Unité, exploitée par la Société des Chemins de fer du Cambrésis, reliait Cambrai à Catillon via Caudry et Le Cateau-Cambrésis. Caudry était la gare principale du réseau. Le tronçon Le Cateau-Catillon fut créé en 1886 et le train arrivait à la gare de Catillon. Entre 1935 et 1955, cette ligne transporta principalement le charbon venant de Belgique par bateaux et qui, étant déchargé sur le port de Catillon, servait à alimenter les besoins en énergie des débuts de l'industrialisation du Catésis. La ligne fut démantelée fin 1955. Le tracé de cette ligne a pratiquement disparu du paysage. Le bâtiment voyageurs de la gare existe toujours, rue de la Gare, à proximité du canal.

Une locomotive Corpet-Louvet utilisée à cette époque est toujours visible au musée Irchester des chemins de fer<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Musée des chemins de fer d'Irchester</ref> en Angleterre.

Réseau ferré militaire allemand

En 1943, afin d'approvisionner leur future base de missiles V2 située dans le Bois-l'Évêque, commune d'Ors, les Allemands construisirent un embranchement de ligne Decauville qui partait du port de Catillon vers leur base. Les wagonnets, chargés de matériel militaire, étaient tirés par un puissant loco-tracteur diesel. Les différents sabotages sur les loco-tracteurs et sur d'autres matériels ont permis que les V2 ne soient jamais assemblés dans le Bois-l'Evêque.

Transport routier

La commune est traversée par l'ex-route nationale 43.

Transport fluvial

La commune est traversée par le canal de la Sambre à l'Oise.

Le canal est long de Modèle:Unité et comporte 38 écluses dont trois versant Sambre et 35 versant Oise. De La Fère jusqu'au bief des Etoquies à Landrecies le canal est creusé de 1823 à 1833. De Landrecies à Hautmont, la Sambre est canalisée de 1825 à 1835.

Le canal n'est plus désormais utilisé que pour le transit de plaisance.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 4,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 2,1 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étreux », sur la commune d'Étreux, mise en service en 1956<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Catillon-sur-Sambre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Cateau-Cambrésis, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,6 %), terres arables (42,3 %), zones urbanisées (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), forêts (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le village pourrait devoir son nom au petit château-fort édifié en 1235 au bord de la Sambre, au lieu-dit « Gourgouge », appelé en 1314 Chastillon ou petit châteauModèle:Référence nécessaire : château dont les archives ne font cependant pas mention<ref name="TourismeCambrésis"/>. On trouve aussi les noms Castellio (1221), Casteloin (1313), Chastillon (1320, 1476), Castillon (1349)<ref>Modèle:Harvsp.</ref> ou de Villam Castellionis ou encore de Nove terre de Castellione ultra Sambram en 1186.

Histoire

Le village est une fondation épiscopale, due à Roger de Wavrin, évêque de Cambrai de 1180 à 1186<ref name="TourismeCambrésis"/>. Son nom pourrait aussi être un diminutif de « Le Cateau », ville proche et qui possédait un château<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Durant la Révolution, la commune, alors nommée Catillon, est renommée Égalité-sur-Sambre<ref name=Cassini/>.

En 1933, Catillon devient Catillon-sur-Sambre<ref name=Cassini/>.

À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la forêt fut traversée entre Guise et Landrecies et pour rejoindre ce chemin, l'évêque de Cambrai Oger ou Roger de Wavrin (1179 à 1191) fit prolonger la route de Cambrai au Cateau, « Castellum Sanctae Mariae », en la continuant jusqu'à La Groise.

Cette route traversait la Sambre et, sur la rive ouest de la rivière, l'évêque de Cambrai fit établir, entre 1180 et 1186, un lotissement qu'il appela, en 1186, Castellio, qui fut démembré de la paroisse d'Ors. La particularité du village est son plan en damier semblable à celui des bastides du sud-ouest de la France. Sept rues orientées de l'est à l'ouest sont rigoureusement parallèles à la Grand’rue (l'ancienne Route nationale), espacées d'environ Modèle:Unité l'une de l'autre et coupées à angle droit par trois autres rues<ref>Henri Grosset (┼): «Catillon une ville neuve inconnue», édité en 1980 par un no spécial de « Jadis en Cambrésis »</ref>. Jusqu'en 1900 la désignation des rues se faisait par leur numérotation « première », « deuxième », etc.<ref name="TourismeCambrésis">Modèle:Lien web.</ref>.

[[François Ier de France|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] campa à Catillon en 1543 en se rendant à Landrecies.

Jusqu’à la Révolution, les évêques de Cambrai possédèrent la seigneurie, la dîme et le patronage du village<ref name="TourismeCambrésis" />.

La contrebande prospérait à Castillon avant la Révolution française du fait d'une plus grande proximité de la frontière à l'époque<ref>Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 63, lire en ligne.</ref>.

L'Empereur d'Autriche [[François Ier d'Autriche|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] logea à Catillon en 1793.

Le 13 juin 1841, La Groise est séparée de Catillon et devient une commune à part entière. François Denise est nommé maire de la nouvelle commune. Puis en 1896, Rejet-de-Beaulieu est séparée de Catillon et devient une commune à part entière. Jusqu’en 1806, Catillon était la Modèle:4e de l’arrondissement de Cambrai par sa population, derrière Cambrai, Le Cateau et Solesmes<ref name="Paroisse"/>.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:Article détaillé Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,88 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Enseignement

Catillon est rattachée à la circonscription de Cambrai / Le Cateau de l'inspection académique du Nord dans l'académie de Lille.

La commune gère l'école Albert-Goris<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Les établissements d'enseignement secondaire les plus proches sont au Cateau-Cambrésis.

Santé

Un médecin et une pharmacie sont installés à Catillon. L' hôpital le plus proche est le centre hospitalier du Cateau-Cambrésis.

Cultes

Fichier:Catillon-sur-Sambre 006.JPG
L'église

Les Catillonais disposent d'un lieu de culte catholique : l'église de la Nativité de la Sainte Vierge. Cette église dépend de la paroisse « Notre Dame de la Fraternité en Cambrésis », rattachée à l'archidiocèse de Cambrai<ref name="Paroisse"> Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Catillon sur sambre mairie.jpg
La mairie

La mairie

La grande maison neuve est construite par Jacques Crétinet, laboureur aisé entre 1724 et 1725 après l'incendie de mai 1725 qui ravage la place du village, puis est revendue à la communauté villageoise. La mairie possède un sol carrelé de carreaux rouges au grenier et une charpente d'origine en chêne. En 1731 un clocheton est installé sur la toiture de style qualifié de « toiture Renaissance espagnole ». Le clocheton possède une petite cloche qui porte l'inscription « Je suis à Castillon sur Sambre. 1725 ». Durant la Première Guerre mondiale, la cloche échappe à l'attention des Allemands et à la destruction. Dans les années 1970, il existait une vieille balance à bascule pour peser les matériaux qui en sortaient.

L'église

Dite « Église de la Nativité de la Sainte Vierge », elle fut reconstruite entre 1841 et 1843 en remplacement de l'ancienne église du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, trop exigüe. Les bases du clocher datent de 1671. Sur l'une des faces du clocher, une pierre porte l'inscription « 1671 IHS.MARIA ». et la partie supérieure date de 1725 - 1730. L'église a été consacrée par Modèle:Mgr, archevêque de Cambrai, le 6 juillet 1843. En 1918, l'église est entièrement détruite par les Allemands et est reconstruite en 1925.

La chapelle

Située sur la RD 643 (ex RN 43), à la sortie du village, direction Le Cateau, la chapelle contient un calvaire du Christ en croix, en bois taillé du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Propriété de la commune, le calvaire est classé Monument Historique au titre d'objet.

La chapelle Saint-Roch et Notre-Dame-de-Lies

En pierre bleue, située rue Faidherbe, présente une inscription altérée « Cette chapelle fut bâtie par Nicolas …illisible.. et sa femme à l'honneur de St Roch et Nd de Lies 1807 » Jusqu'à la Première Guerre mondiale, elle accueille les gens ou la « diseuse de neuvaines ».

Catillon possède également six oratoires de ce type, tous en pierre bleue, de forme carrée, ronde ou octogonale. La plus ancienne date de 1732, les autres du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, deux oratoires en briques, deux chapelles en briques et deux calvaires. Le patrimoine religieux de Catillon est le plus important du Cambrésis.

L'école de garçons

Fichier:Catillon sur sambre south shields school.jpg
South Shields School

Modèle:Langue située au 17, route Nationale, reconstruite dès 1923 avec les dons de la ville de South Shields, sur les ruines de l'ancienne école détruite durant la Première Guerre mondiale. Le maire de South Shields, Edward Smith, posa la première pierre en 1923. En 1925, la pose sur le fronton d'un médaillon sculpté aux armes de South Shields « Courage, Humanité, Commerce » et la devise « Always ready 1850 » termine la construction de l'école au caractère anglais très marqué. Maintenant, l'école abrite l'harmonie municipale de Catillon.

Le complexe sportif

Le terrain fut offert à la Commune par Modèle:M. Henri Lefebvre, par legs à son décès. En 1982, on procéda à la construction du plateau sportif et, en 1990, le stade porta le nom de « Complexe sportif Henri-Lefebvre ». Le complexe et le stade furent inaugurés le 2 mars 1997, en présence des autorités locales et régionales et avec la participation du Variétés Club de France. Avant le coup d'envoi du match de gala, Modèle:Mme Adams et Michel Platini ont dévoilé la plaque portant le nom de Jean-Pierre Adams (ancien stoppeur de l'équipe de France et des Aiglons de l'OGC Nice) dont le stade porte désormais le nom. Plus d'un millier de personnes participèrent à cette grande journée communale.

Patrimoine naturel

La commune est incluse dans le périmètre du parc naturel régional de l'Avesnois.

Manifestations culturelles et festivités

Fichier:Catillon sur sambre salle des fetes.jpg
La salle des Fêtes
  • Une halte nautique.
  • Un camping: une aire de service, uniquement pour camping-car.
  • Une salle des fêtes d'une capacité de 180 personnes.
  • Une salle paroissiale d'une capacité de 80 à 100 personnes.

Personnalités liées à la commune

Fichier:Armoiries Gabriel Joseph Clément.svg
Armes de Gabriel-Joseph Clément
  • Charles Lefebvre, (1752 à Catillon - 1818 à Valenciennes), député du Nord de 1791 à 1792.
  • Jérôme Joseph Goris né à Catillon le 6 mai 1761, commandant en 1813, général de brigade, officier de la Légion d'honneur, décédé le 9 novembre 1828.
  • Gabriel-Joseph Clément né à Catillon le 30 août 1779, général de brigade sous le Premier Empire, commandant de la Légion d'honneur, décédé en activité de service en Espagne, en août 1812, à l'âge de 44 ans.
  • Paul Deltombe, peintre, né à Catillon en 1878, mort à Nantes en 1971.

Cinéma

La salle des fêtes du village a servi de décor au tournage du film Les Lulus de Régis Hautière (2021), adaptation des trois premiers tomes de la bande dessinée La guerre des Lulus de Hardoc<ref>Modèle:Article</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Pour approfondir

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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