Château-Verdun (Ariège)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Château-Verdun est une commune française située dans le sud-est du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aston et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Château-Verdun est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1831. Ses habitants sont appelés les Castelverdunois ou Castelverdunoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : les châteaux de Château-Verdun et de Gudanes, classé en 1994.
Géographie
Localisation
Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Ariège
La commune de Château-Verdun se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Foix<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité d'Ax-les-Thermes<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de Haute-Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarascon-sur-Ariège<ref name=meta group=I/>.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Pech (Modèle:Unité), Les Cabannes (Modèle:Unité), Aston (Modèle:Unité), Aulos (Modèle:Unité), Verdun (Modèle:Unité), Larcat (Modèle:Unité), Albiès (Modèle:Unité), Sinsat (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Château-Verdun fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Modèle:Carte communes limitrophes
Modèle:Communes limitrophes Le site de Château-Verdun correspond à un verrou glaciaire surplombant la rivière Aston et sa confluence avec la vallée de l'Ariège. Ce choix stratégique en confluence permet un accès direct à la route marchande de la vallée supérieure de l'Ariège. C'est la commune la moins étendue du département avec 0,79 km².
Géologie et relief
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a Modèle:Nobr d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de Modèle:Unité (millions d'années). La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1087 - Vicdessos » de la carte géologique harmonisée au Modèle:Nobr du département de l'Ariège<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint Modèle:Unité. L'altitude du territoire varie entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>Source : Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.</ref>.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Aston, un bras de l'Aston, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Géoportail</ref>.
L'Aston, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Aston et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Verdun<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune est du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tarascon-sur-Ariège », sur la commune de Tarascon-sur-Ariège, mise en service en 1959<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :
- le « cours de l'Ariège » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 86 dans l'Ariège et 26 dans la Haute-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « parois calcaires et quiès du bassin de Tarascon » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>,
- la « vallée de l'Aston » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
et trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :
- « L'Ariège et ripisylves » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- le « massif de l'Aston et haute vallée de l'Ariège » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 22 dans l'Ariège et 2 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « parois calcaires et quiès de la haute vallée de l'Ariège » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Château-Verdun.
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Château-Verdun est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,2 %), zones agricoles hétérogènes (26,4 %), zones urbanisées (6,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 84, alors qu'il était de 74 en 2013 et de 82 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.
Parmi ces logements, 35,9 % étaient des résidences principales, 60,5 % des résidences secondaires et 3,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 85,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,8 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Château-Verdun en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (60,5 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
Typologie | Château-Verdun<ref name="LogT2" group="I"/> | Ariège<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> | France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref> |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 35,9 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 60,5 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 3,6 | 9,7 | 8,2 |
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Château-Verdun est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et un risque particulier, le risque radon<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, l'Aston, ou ruissellement d'un versant<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Château-Verdun<ref name=DDRM-Ind>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 5 décembre 2005<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
Sur le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des Modèle:Unité susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages. Elle est en effet dans la zone de proximité immédiate d'un barrage classé PPI<ref name=DDRM-Barrage>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Château-Verdun est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref name=DDRM-Radon>Modèle:Lien web, chapitre Risque radon.</ref>.
Toponymie
Le toponyme Château-Verdun (castrum = château et Verdun ou Verodunum, toponyme celte voulant dire également château-forteresse associé à un nom d'individu Vero) apparaît dès 1166. La communauté villageoise (castrum verduni), et le castrum qui le domine sont cités dans les archives à partir de 1213.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Liberté-Verdun<ref name=Cassini/>.
Ses habitants sont appelés les Castelverdunois.
Histoire
La première mention d'une seigneurie date de 1244.
Seigneurie complexe, la seigneurie de Château-Verdun est partagée en 1401 en 12 copropriétaires représentant vraisemblablement l'ensemble lignager. Au Moyen Âge la châtellenie de Château-Verdun regroupait également les communautés (villages) de Verdun, Albiès, les Cabannes, Aston, Larcat.
Le castrum traversera le temps jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ; ou mal entretenu, peut-être écrêté sous les ordres de Richelieu, il fera figure de ruines dans divers documents à partir de 1671. Il sera relayé par le château de Gudanes construit antérieurement (maison noble) sur une éminence proche. C'est en 1750 que le dernier châtelain de Gudanes va construire sur l'emplacement du castrum précédent celui que l'on peut encore admirer aujourd'hui.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Château-Verdun est membre de la communauté de communes de la Haute Ariège<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Luzenac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Haute-Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2" group=I/>, et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section |
Économie
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 65 % d'actifs (55 % ayant un emploi et 10 % de chômeurs) et 35 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 4 en 2013 et 4 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 11, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 31 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 11 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 2 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 90,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
3 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Château-Verdun au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (1 sur les 3 entreprises implantées à Château-Verdun), contre 14,4 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
Modèle:Tableau La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricoleModèle:Note de 2010 (un en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture et festivités
Lieux et monuments
- Châteaux de Château-Verdun et de Gudanes.
- Château féodal (ruines du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle).
- Château du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Chapelle Notre-Dame-des-Sept-Douleurs de Château-Verdun du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
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Vue générale du château de Gudanes, Château-Verdun, près les Cabannes. Photo prise entre 1859 et 1910. Photographe Eugène Trutat (1840–1910)
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Chapelle Notre-Dame-des-Sept-Douleurs de Château-Verdun
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes