Clamecy (Nièvre)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Clamecy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont appelés les Clamecycois. Clamecy est le lieu de naissance de plusieurs personnalités : un prix Nobel de littérature, Romain Rolland ; un grand navigateur, Alain Colas, un ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg.

Géographie

Localisation

Située au nord de la Nièvre, la ville de Clamecy, sous-préfecture de la Nièvre, domine la vallée de l'Yonne, et est située à son confluent avec le Beuvron. La ville est au bord d'un bief important du canal du Nivernais.

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Climat

Modèle:Climat

Villages, hameaux, lieux-dits et écarts

Modèle:Colonnes

Communes limitrophes

Urbanisme

Typologie

Clamecy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Clamecy, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clamecy, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,6 %), forêts (32,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,6 %), zones urbanisées (7,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), prairies (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné pour la première fois en 634 sous la forme Clamiciacus (cartulaire général de l´Yonne, tome 1, no. 004).

Histoire

Le site de Clamecy était habité probablement dès la période gallo-romaine, comme l'attestent quelques découvertes archéologiques. Au {{#switch: e

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}}, les comtes de Nevers font élever à Clamecy un château fort, qui se trouvait près de l’église paroissiale, devant l’actuel hôtel de ville. En 1213, le comte de Nevers Hervé IV accorde aux Clamecycois leurs premières franchises. Peu après, un rempart est construit pour protéger la ville. Le comte de Nevers Guillaume II fonde l’hôpital de Panténor sur la rive droite de l'Yonne, face au vieux Clamecy. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, son petit-fils le comte de Nevers Guillaume IV lègue l’hôpital de Panténor et son église à l’évêché de Bethléem en Palestine. En 1223, l’évêque de Bethléem, chassé de Palestine, vient s’installer à Panténor où il établit son siège épiscopal. Panténor prend le nom de Bethléem, qu'il porte toujours : on parle à Clamecy du quartier de Bethléem<ref>Géraud Lavergne, « Les noms de lieux d'origine ecclésiastique » [sic], Revue d'histoire de l'Église de France, Tome 15, Modèle:N°68, 1929, Modèle:P.329.</ref>. L’évêché de Bethléem demeure à Clamecy jusqu’en 1801, et une cinquantaine d’évêques s’y succèdent<ref>Louis Chevalier Lagenissière, Histoire de l'évêché de Bethléem, Paris, Dumoulin, Nevers, Michot, 1872, 347 p.</ref>.

Fichier:Tympan Eglise Saint-Martin Clamecy France.JPG
Tympan de l'église Saint-Martin.

La collégiale Saint-Martin est bâtie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle s’élève en face du château ducal, au milieu d’une ville protégée par des remparts. Les comtes de Nevers établissent dans la commune un atelier monétaire. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Clamecy est plusieurs fois rançonnée ou ravagée : en 1323 ; en 1360. La ville est occupée par des soldats en 1401 et en 1442. Après ces troubles, Clamecy retrouve le calme. À partir de 1497, la collégiale Saint-Martin est dotée d’une tour monumentale, en gothique flamboyant.

À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Clamecy connaît une certaine prospérité grâce à l’activité du flottage du bois, qui consiste à ravitailler Paris en bois de chauffage, en utilisant les cours d’eau reliant Clamecy à la capitale. Jean Rouvet, considéré comme l’inventeur de cette technique au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est en réalité celui qui l’organise sur une grande échelle. Le bois coupé dans les forêts du Morvan permet de constituer des radeaux, dits trains de bois, que des flotteurs conduisent à Paris. Dans les années 1630 et 1640, Roger de Saint-Lary, duc de Bellegarde (1563-1646), un des grands personnages de la cour, est disgracié ; il vit alors à Entrains et à Clamecy, où un hôtel particulier lui est construit. En 1659, Mazarin achète le Nivernais au duc de Gonzague. Il devient ainsi duc de Nivernais, titre qu’il transmet à ses successeurs. Ceux-ci le portent jusqu’à Louis-Philippe-Jules Barbon Mancini Mazarini, et viennent occasionnellement visiter Clamecy.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, de nouvelles communautés religieuses s’installent à Clamecy : les récollets, dont l’église est consacrée en 1636, puis les sœurs de la Providence.

La Révolution est bien accueillie à Clamecy. La ville est cependant agitée par une émeute de flotteurs au printemps de 1792. Fouché vient à Clamecy du 15 au 17 août 1793 ; il y poursuit notamment l’entreprise de déchristianisation. Clamecy connaît la Terreur, avec son lot d’arrestations arbitraires et plusieurs exécutions<ref>Nicole Bossut, Terreur à Clamecy. Quelques réflexions, Annales historiques de la Révolution française, Année 1998, 311, p. 49-77</ref>. En 1800, la ville devient siège d’une sous-préfecture, d’un tribunal de première instance et d’une justice de paix. En 1815, la ville subit l’occupation étrangère.

Au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l’activité du flottage du bois diminue progressivement, concurrencée par l’usage du charbon. Aussi les flotteurs de Clamecy provoquent-ils régulièrement des grèves. On suppose que les flotteurs, qui conduisaient leurs trains de bois à Paris, ramenaient à Clamecy les idées politiques de la capitale. Lorsque Louis-Napoléon Bonaparte fait le coup d’État du 2 décembre 1851, une partie des Clamecycois assistés par de nombreux habitants des communes environnantes, provoque du 5 au 7 décembre une insurrection, qui fait des morts tant du côté des insurgés que des forces de l'ordre<ref>Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy L'insurrection de 1851, 1997, Clamecy, Nouvelle Imprimerie Laballery, 1997, 215 p.</ref>. La révolte est durement réprimée par le pouvoir ; un peu plus d'un millier d'émeutiers sont emprisonnés et, pour certains, déportés<ref>"Liste des insurgés de Clamecy et des communes voisines", Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy L'insurrection de 1851, 1997, Clamecy, Nouvelle Imprimerie Laballery, 1997, p. 71-136.</ref>.

Fichier:Plan de la ville de Clamecy - 1878.jpg
Plan de Clamecy en 1878.

Sous le Second Empire est menée une politique de travaux, avec la construction de plusieurs bâtiments dont un tribunal et un nouvel hôtel de ville, comportant une halle, de 1859 à 1861. La ligne de chemin de fer de Clamecy à Auxerre est inaugurée en 1870. Au début de la Troisième République, en 1876, est fondée une société savante, la Société Scientifique et Artistique. La même année est créé un musée. L’activité du flottage s’achève, avec le départ du dernier demi-train de bois pour Paris en 1877. Le dernier flot de bûches est lancé en 1923. Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les travaux d’embellissement se poursuivent, avec le comblement d’un bras du canal, source d’insalubrité, à l’emplacement duquel est tracée l’avenue de la République. L’immeuble de la caisse d’épargne est bâti à partir de 1907. Plus de deux cents Clamecycois meurent pendant la Première Guerre mondiale, ce qui creuse un déclin démographique déjà amorcé depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La ville regagne cependant des habitants dans les années 1920 et 1930. Une nouvelle faïencerie est créée. La Société des Produits Chimiques de Clamecy, qui a succédé en 1922 à l’usine de carbonisation du bois, est alors un employeur important. L’église Notre-Dame de Bethléem est construite en ciment armé de 1926 à 1927.

Le 16 juin 1940, Clamecy est occupée par l’armée allemande. Le 18 juin 1940, la commune est le théâtre d’un massacre de prisonniers de guerre<ref>Jean Vigreux, « Le 11 novembre 1943 et la mémoire du massacre de Clamecy », Des soldats noirs face au Reich Les massacres racistes de 1940, Paris, PUF, 2015, p. 153-[171].</ref> : quarante-trois prisonniers de guerre, appartenant aux régiments de tirailleurs africains, sont exécutés après que l’un d’eux a attaqué un officier allemand. Un quarante-quatrième, blessé, s’échappe mais est repris et exécuté plusieurs jours après. Deux autres tirailleurs sont fusillés par les Allemands à Clamecy, à La Rochette, en juillet<ref>Pierre Pannetier, « Le quarante-quatrième tirailleur », Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, 2000, Modèle:P..</ref>.

Modèle:Article détaillé

Dans les environs, les résistants sont actifs au sein du maquis du Loup. L’occupant quitte Clamecy le 19 août 1944<ref>Jeanette Colas, « Il y a 60 ans : la libération de Clamecy Récit d’après ses archives personnelles », Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, 2004, Modèle:P..</ref>.

Après la Seconde Guerre mondiale, l’administration municipale connaît une certaine stabilité, avec notamment le mandat du docteur Pierre Barbier (1959-1977). Dans les années 1950 et jusqu’à la fin des années 1960, la Société des Produits Chimiques de Clamecy emploie six cents ouvriers et constitue une sorte de ville dans la ville<ref>Société des Produits Chimiques de Clamecy de 1893 à 1953, Paris, André Clérin, 1953, n.p.</ref>. Clamecy connaît une certaine reprise démographique dans les années 1970. L’un de ses enfants, Alain Colas, se fait connaître mondialement grâce à ses navigations. Durant ses mandats, qui durent trente et un ans, de 1977 à 2008, le maire Bernard Bardin dote la ville d’une salle polyvalente, d’équipements culturels et sportifs. Un secteur sauvegardé, reconnaissant la valeur du centre ancien, est créé en 1985. La bibliothèque est transformée en une médiathèque que François Mitterrand vient inaugurer en 1987. Le musée est agrandi et rénové de 1996 à 2005. Cependant, l’absence de grande industrie contribue à une érosion démographique. Celle-ci s'est accélérée dans la décennie 2010.

Héraldique

Modèle:Article détaillé Modèle:Blason-ville-fr

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Sous-préfecture

Clamecy est le siège d’une sous-préfecture depuis l’instauration de cette administration en 1800. Supprimée pendant douze ans, la sous-préfecture a été rétablie en 2023.

Parmi les sous-préfets notables, on peut citer Delamare, qui a publié en 1832 une Statistique de l’arrondissement de Clamecy ; Auguste Marlière, sous le Second Empire, qui a écrit à son tour une Statistique de l’arrondissement de Clamecy, et Maurice Le Blond, époux de Denise Aubert, fille naturelle d’Émile Zola, qui a été sous-préfet de Clamecy de 1908 à 1913.

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie et industrie

Alors que des moyens de transport de bois plus traditionnels (péniches sur le canal du Nivernais, rail), ainsi que l'usage du charbon faisaient péricliter le flottage, l'industrie de transformation du bois est apparue à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le Modèle:Date. La Société des Produits Chimiques de Clamecy (S.P.C.C.) a eu une activité importante de carbonisation du bois et d'exploitation des produits chimiques dérivés. Elle employait près de mille personnes dans les années 1950. À partir des années 1960, la concurrence du pétrole condamna rapidement le procédé. Dans l'ancienne usine de Clamecy reste actuellement un établissement de chimie de spécialité, nettement plus modeste et intégré au groupe international Solvay<ref>Michaël Boudard, « L’usine de produits chimiques de Clamecy : histoire sociale et industrielle (1894-1919) », Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, 2006, Modèle:P.. Michaël Boudard, « Maurice Brulfer et l’usine de produits chimiques de Clamecy : une nouvelle ère (décennies 1920 à 1940) », Bulletin de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, 2007, Modèle:P.. Les Traîne-Bûches du Morvan, La Société Forestière de Clamecy et du Centre (Filiale de SPCC), Clamecy, Nouvelle Imprimerie Laballery, 2000, 174 p.</ref>.

L'agroalimentaire, avec l'usine Jacquet, qui produit des pains emballés, constitue aujourd'hui l'essentiel de l'activité industrielle locale.

Une faïencerie a été fondée à Clamecy en 1791 et a fonctionné jusqu'aux années 1880. Une nouvelle faïencerie a été créée en 1918 par André Duquénelle. Elle a été dirigée successivement par Roger Colas, père du navigateur Alain Colas, puis par Jean-François Colas, et maintenant par Alexandre Colas. Elle est spécialisée dans la production de fèves de galettes des rois.

Clamecy est aussi le siège de la Nouvelle Imprimerie Laballery, fondée en 1924 sous le nom d'imprimerie Laballery. Depuis 1993, elle est une Société Coopérative de Production, sous le nom de Nouvelle Imprimerie Laballery.

Santé

Clamecy dispose d'un hôpital local fonctionnant en réseau avec le Centre hospitalier d'Auxerre.

Personnalités liées à la commune

Auteurs locaux

Monuments et édifices notables

Fichier:Saint Martin church in Clamecy (5).jpg
L'ancienne collégiale Saint-Martin.
Fichier:Clamecy - Notre-Dame-de-Bethleem -1.JPG
L'église Notre-Dame de Bethléem.

Clamecy a été labellisée Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté en 2018.

Événements annuels

  • Les joutes. Héritage des divertissements des flotteurs, elles se déroulent sur l'Yonne le 14 juillet.
  • La fête de l'andouillette et du vin blanc est une manifestation festive traditionnelle qui se tient chaque été à Clamecy<ref name="Wells">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="rge_2006">Modèle:Article.</ref>,<ref>La Montagne, 7 juillet 2012.</ref>,<ref>La République du Centre, 7 juillet 2012.</ref>,<ref name="jdc_4/7/2013">Modèle:Lien web.</ref>.
    Depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune de Clamecy s'est fait connaître par sa production d'andouillette<ref name="Milandre">Charles Milandre, « Les andouillettes de Clamecy », extrait du bulletin de la Société scientifique et artistique de Clamecy, 1937.</ref> et de vin blanc qui profite de l'appellation de la commune voisine de Tannay<ref name="rge_2006"/>.
    La Fête de l'andouillette et du vin blanc a été créée par la ville de Clamecy en 1977. Elle est devenue une des manifestations locales, avec concours de « Miss andouillette », concours de la meilleure andouillette et du plus gros mangeur d'andouillette<ref>Kilien Stengel, L'Aide alimentaire : colis de vivres et repas philanthropiques - Histoire de la Gigouillette 1934-2009, Paris, Éditions L'Harmattan, Modèle:Coll., 2012, 140Modèle:Nb p. Modèle:ISBN Modèle:Présentation en ligne.</ref>.
    De 1977 à 1995, cette fête se tenait dans le parc floral de la ville, réunissant des stars humoristes et des groupes de variété française. Aujourd'hui, cette manifestation se déroule dans les rues de la vieille ville<ref name="jdc_4/7/2013"/>,<ref name="lejdc.fr_7/7/2014">Modèle:Lien web.</ref>, accompagnée de concerts<ref name="lejdc.fr_7/7/2014"/> de rue de groupes de musiciens<ref name="lejdc.fr/nievre_8/7/2013">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Le Berry républicain, 7 juillet 2012.</ref>.
    Cette manifestation a été parrainée par Marc Meneau et le président de l'Association amicale des amateurs d'andouillette authentique.
  • La descente bidon, qui, depuis 1982, consiste en une navigation sur l'Yonne, un jour d'août, à bord d'embarcations fabriquées par les participants.

Jumelages

Institutions et associations

Notes et références

Modèle:Crédit d'auteurs

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Bulletins de la Société Scientifique et Artistique de Clamecy, depuis 1876.
  • Louis Chevalier Lagenissière, Histoire de l'évêché de Bethléem, Paris, Dumoulin, Nevers, Michot, 1872, 347Modèle:Nb p.
  • Edme Courot, Annales de Clamecy jusqu'en 1852, Auxerre, Typographie et lithographie de l'Indépendant auxerrois, 1901, 222Modèle:Nb p.
  • René Surugue, Le Nivernais et la Nièvre Modèle:2e – Notice II. Clamecy et l'évêché de Bethléem, Besançon, Imprimerie de l'Est, 1925, 397Modèle:Nb p. ; rééditions : Les éditions du Bastion, 1983 ; Paris, Le Livre d'histoire, 2010.
  • Léon Mirot, Maurice Mignon et Ivan Lachat dit Alerte du Tessier, Le Vieux Clamecy, Clamecy, Impr. de Laballery et Brunet, 1926, 32Modèle:Nb p.
  • Jean-Claude Martinet, Clamecy et ses flotteurs de la monarchie de Juillet à l'insurrection des « Marianne » 1830-1851, La Charité-sur-Loire, Delayance, 1975, 141Modèle:Nb p. - 8Modèle:Nb p. de pl. ; deuxième édition, La Charité-sur-Loire, Delayance, 1980, 151Modèle:Nb p. ; autre édition, éd. de l'Armançon, 1995, 151Modèle:Nb p.
  • Gérard Guillot-Chêne, Le Flottage en Morvan du bois pour Paris, Éditions Garnier, 1979, 95Modèle:Nb p.
  • Jacques Dupont, La Vie quotidienne des flotteurs, Clamecy, Société Scientifique et Artistique de Clamecy, 2005, 163Modèle:Nb p. Plusieurs rééditions.
  • Les Nostalgiques du temps passé, Clamecy, tome I, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, 2004, 128Modèle:Nb p.
  • Bernard et Kilien Stengel, Clamecy, tome II : Événements, fêtes et vie quotidienne, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, 2010, 159Modèle:Nb p.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

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