Congis-sur-Thérouanne

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Commune de France

Congis-sur-Thérouanne est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Au dernier recensement de Modèle:Population de France/dernière année, la commune comptait Modèle:Nombre. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune est située à environ Modèle:Unité au nord-ouest de La Ferté-sous-Jouarre<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>, sur le cours de la Thérouanne.

Fichier:77126-Congis-sur-Thérouanne - Localisation.png
Localisation de la commune de Congis-sur-Thérouanne dans le département de Seine-et-Marne.

Modèle:Carte communes limitrophes

Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 77126.png
Carte des communes limitrophes de Congis-sur-Thérouanne.

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Géologie et relief

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'altitude varie de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ Modèle:Nobr d'altitude (mairie)<ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Congis-sur-Thérouanne.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de onze cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 28 novembre 2018</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref name="EspProtégés">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Un espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle régionale du « Grand-Voyeux », une ancienne sablière s’étendant sur Modèle:Unité dans une boucle de la Marne. Sa richesse est liée à son avifaune particulièrement riche, plus de Modèle:Nobr d’oiseaux y ont été observées au cours des années 2010<ref name="ResNat-Voy">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Réseau Natura 2000

Fichier:77126-Congis-sur-Thérouanne-Natura 2000.png
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web.</ref>.

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Fichier:77126-Congis-sur-Thérouanne-ZNIEFF1.png
Carte des ZNIEFF de Modèle:Nobr localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Congis-sur-Thérouanne comprend deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>, la « Boucle de la Marne à Germigny l'Éveque » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; et l'« Espace naturel du Grand-Voyeux et Île l'Ancre » (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Congis-sur-Thérouanne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), forêts (29,1 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (13,6 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Nobr et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne Ourcq, approuvé le Modèle:Date- et porté par le syndicat Mixte Marne-Ourcq regroupant Modèle:Nobr du Pays de l'Ourcq et du Pays Fertois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Logement

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nobr dont 94,1% de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 5,2 % d'appartements<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

Parmi ces logements, 90,4 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 83,7 % contre 13,1 % de locataires<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Logement » consulté le 3 octobre 2020</ref> dont, 1,3 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et, 3,3 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

Transports

La commune est desservie par les lignes d’autocars :

du réseau Trandev Pays de l’Ourcq<ref>Site Transdev-Pays de l’Ourcq</ref>.

Elle est desservie également par la gare de Isles - Armentières - Congis de la ligne Paris - La Ferté-Milon (Modèle:Transilien/correspondances avec intitulé).

Toponymie

Modèle:... Le nom de la localité est mentionné sous les formes Altare de Congiaco en 1135<ref>Du Plessis, II, p. 30.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ; Cungi en 1179<ref>Layettes Trésor, I, n° 126</ref> ; Congyacum en 1219<ref>Layettes Trésor, I, n° 477</ref> ; Cungiacum en 1252<ref>Longnon, I, p. 193</ref> ; Congy en 1276<ref>Longnon, II, p. 97</ref> ; Congeacum en 1332<ref>Archives nationales, X1a 6, fol. 263</ref> ; Congy lez Meaulx en 1462<ref>Archives nationales, Z1h 15, fol. 102 v°</ref>.


La Thérouanne est une petite rivière qui conflue avec la Marne sur le territoire de la localité. Le nom de la rivière<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> est issu du gaulois *tarwana ou d'un type tarv-enna, de tarvos « taureau » (autrement écrit taruos)<ref name="Dauzat">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, Paris, 2003, p. 290 - 291</ref> avec le suffixe gaulois -enna<ref name="Dauzat"/>.

Histoire

Époque gallo-romaine

Congis-sur-Thérouanne est d'origine gallo-romaineModèle:Refnec.

Moyen Âge

Le village est mentionné pour la première fois dans un acte de 1135, par lequel Manassès {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, évêque de Meaux, donne au chapitre de sa cathédrale l’église Saint-Rémi<ref name=histoff>Modèle:Lien web.</ref>. En 1200, Anseau, évêque de Meaux, offre l’église paroissiale Saint-Rémi de Congis aux religieux de Chambre-Fontaine. Le village, situé dans les états du comte de Brie et de Champagne, a l’avantage de rester sous sa suzeraineté immédiate. À cette époque, les habitants jouissent momentanément de plusieurs privilèges considérables comme la pêche dans la Thérouanne, le droit de franc-aleu, c’est-à-dire d’exemption des droits féodaux, et divers autres immunités, grâce à une charte du comte de Champagne<ref name=histoff/>.

Villers-lès-Rigault

La seigneurie de Villers-lès-Rigault est donnée, au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, par Jeanne, reine de France et femme de Charles IV, à l’église de Neuilly-Saint-Front, dépendante de l’abbaye d'Essômes. Le hameau de Villers-lès-Rigault, réuni au village en 1807, est la patrie de Jehan de Brie, surnommé le bon berger pour avoir composé, à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur ordre de Charles VI, le Traité de l’État, science et pratique de l’art de la bergerie et de garder ouilles et bêtes à laine.

Gué-à-Tresmes

Le Gué-à-Tresmes, hameau autrefois traversé par la voie romaine de Paris à Reims, est situé sur la rive gauche de la Thérouanne. Son château est appelé Gué-Thérouanne ou Trouanne, Gué-Mory, et enfin Gué-à-Tresmes, du nom du duc de Tresmes, qui en était le seigneur<ref name=histoff/>.

En 1773, une chapelle dédiée à sainte Geneviève, actuellement disparue, est construite afin que le comte de Mory puisse y faire célébrer la messe tous les jours de l’année.

Du Modèle:Date au Modèle:Date, pendant la campagne de France, à lieu la Modèle:Lien qui oppose les troupes françaises de Auguste de Marmont et d'Édouard Mortier aux armées russes et prussiennes de Modèle:Lien et de Friedrich von Kleist.

En 1830, la commune comprend plusieurs moulins, dont cinq au Gué-à-Tresmes, au bord de la Thérouanne. L’un d'eux est plus tard transformé en caoutchouterie.

En 1876, la subdivision des pompiers de la commune est réorganisée. Équipée d’une pompe à bras, elle regroupe pour la plupart des artisans et des ouvriers du bâtiment. Quelques exploitations agricoles, qui pratiquent également l’élevage de moutons et de bovins, sont réparties dans le village et les hameaux<ref name=histoff/>.

Époque contemporaine

Le 28 février 1814 eut lieu la Modèle:Lien entre les troupes napoléoniennes du général Joseph Christiani, victorieuses, et les troupes prussiennes du maréchal Blücher menées par Friedrich Kleist von Nollendorf, feld-maréchal prussien.

En août 1944, pendant les combats de la libération de Paris, un groupe de supplétifs du NSKK, unité de transport de l'armée allemande, emmena comme otages 13 résistants de Choisy-le-Roi capturés au sud de Paris ; arrivés au bois de Congis et n'ayant plus besoin d'eux pour se protéger, les hommes du NSKK les fusillèrent<ref>Jean-Denis G.G. Lepage, Hitler's Armed Forces Auxiliaries: An Illustrated History of the Wehrmachts Gefolge, 1933-1945, McFarland & Cy, 2015, p. 123 [1]</ref>. Les fusillés furent enterrés le 6 septembre 1944 au cimetière de Choisy-le-Roi où une stèle rappelle leur mémoire.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Congis-sur-Thérouanne est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le Modèle:Date-, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur CCPO<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Congissois, ils étaient, naguère, surnommés les guernouilleux.

Modèle:Population de France/section

Enseignement

  • Lycée technologique et professionnel du Gué à Tresmes (centre de formation d’apprentis, formation continue pour adultes).

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nobr, représentant 1 687 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 690 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 3 octobre 2020</ref>.

Emploi

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nobr, occupant Modèle:Nobr résidants.

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 66 % contre un taux de chômage de 7,9 %.

Les 26,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 16,4 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,8 % de retraités ou préretraités et 3,9 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017 », consulté le 17 novembre 2020</ref>.

Entreprises et commerces

En 2015, le nombre d'établissements actifs était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l'agriculture-sylviculture-pêche, Modèle:Nobr dans l’industrie, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce-transports-services divers et Modèle:Nobr étaient relatifs au secteur administratif<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 17 novembre 2020</ref>.

Ces établissements ont pourvu Modèle:Nobr postes salariés.

Secteurs d'activité

Agriculture

Congis-sur-Thérouanne est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)<ref name="AgriGéné"/>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Congis-sur-Thérouanne, observées sur une période de Modèle:Nobr :

Évolution de l’agriculture à Congis-sur-Thérouanne entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 5 5 5
Travail (UTA) 10 12 8
Surface agricole utilisée (ha) 713 792 755
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 713 791 755
Céréales (ha) 528 520 442
dont blé tendre (ha) 328 397 323
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 180 74 58
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s 67 113
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 1 0 16

Culture locale et patrimoine

Fichier:Congis-sur-Thérouanne église.jpg
L'église Saint-Rémi.
Fichier:Congis-sur-Thérouanne château du Gué à Tresmes.jpg
Le château du Gué à Tresmes.

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Modèle:Ouvrage
  • Louis Benoist, Notice historique et statistique sur Congis et les hameaux Villiers-les-Rigault et le Gué-à-Tresmes, Impr. administrative et commerciale A. Radenez, Montdidier, 1887.
  • Robert Vavasseur-Desperriers et Pierre Mimmas, Chronique de Congis-sur-Thérouanne et ses Hameaux ; réédition 2006.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail