Meaux

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Semi-protection longue Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Meaux (prononcé Modèle:MSAPI) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Avec Modèle:Nombre au dernier recensement, Meaux est la commune la plus peuplée du département de Seine-et-Marne.

Ancienne capitale de la Brie et du Multien, Meaux est au centre d'une agglomération de Modèle:Nombre en 2020, et de la communauté d'agglomération du pays de Meaux, peuplée de Modèle:Nombre en 2020. Meaux est, avec Provins, Torcy et Fontainebleau, l'une des quatre sous-préfectures du département de Seine-et-Marne, Melun étant la préfecture. Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Carte communes limitrophes

Localisation

Meaux se situe à Modèle:Unité à l'est de la cathédrale Notre-Dame de Paris (point zéro des routes de France)<ref>Modèle:Lien web.</ref> et à Modèle:Unité au nord de Melun<ref>Modèle:Lien web.</ref> (préfecture de Seine-et-Marne).

Communes limitrophes

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Géologie et relief

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'altitude varie de Modèle:Unité à Modèle:Unité pour le point le plus haut , le centre de la ville se situant à environ Modèle:Unité d'altitude (hôtel de ville)<ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>.

La commune est installée dans une cuvette, creusée dans le plateau de la Brie par la Marne. La rivière qui traverse la ville forme une courte boucle (partiellement non navigable pour les péniches au vrai centre de Meaux, mais des écluses permettent le passage quotidien de ces péniches à hauteur du jardin Ceccaldi) qui entoure le quartier du Marché, et identifie le centre-ville. Le canal de l'Ourcq (qui suit en partie l’ancien lit de la Marne, à Meaux : le Brasset) imprime également son tracé sur la ville depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Hydrographie

Le système hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">77284 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 11 mars 2019</ref>.

Le niveau d'eau de la Marne est contrôlé par le Barrage de Meaux, un barrage à hausses, enjambant la Marne à la hauteur de Villenoy. Modèle:Article détaillé

Climat

Le climat de Meaux est un climat océanique comme une grande partie de la France.

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Fichier:77284-Meaux-Natura 2000.png
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web.</ref>.

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoNatura2000>Modèle:Géoportail.</ref> :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Fichier:77284-Meaux-ZNIEFF1.png
Carte des ZNIEFF de Modèle:Nobr localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Meaux comprend une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoZNIEFF>Modèle:Géoportail.</ref>, la « Boucle de Meaux-Beauval » (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Meaux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Meaux, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name ="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pôle secondaire<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols simplifiée

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 30,22 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 16,02  % d'espaces ouverts artificialisés et 53,76 % d'espaces construits artificialisés<ref name="iau-idf">Modèle:PdfFiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr</ref>.

Par ailleurs, 4,3 % de la superficie de Meaux, est couverte par des eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref>.

Morphologie urbaine

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La ville est divisée en plusieurs quartiers (liste non exhaustive) :

- Les Hauts de Chantereine : situé près du Musée de la Grande Guerre et du Mémorial américain sur la route de Varreddes à l'entrée de la ville. Le quartier se compose entièrement de pavillons.

- La Corniche : qui surplombe une partie de la ville. Le quartier se situe à proximité de la zone d'activités de l'Arpent Videron et celui de la Bauve.

- La Grosse Pierre

- Cité Administrative : comme son nom l'indique, celui-ci se compose majoritairement de bâtiments administratifs comme le palais de Justice, la sous-préfecture ou encore le commissariat de police. Le quartier est centré autour de la place de l'Europe.

- Dunant (anciennement La Pierre Collinet) : situé non loin du quartier de Beauval, le quartier se compose d'appartements, de commerces à proximité mais aussi par le parc du Pâtis, poumon vert de la ville. Le collège Dunant est le principal établissement scolaire du quartier.

- Beauval : le plus peuplé de la ville avec le centre commercial de la Verrière très fréquenté par les habitants du quartier. Composé majoritairement d'appartements et de HLM, le quartier connaît de profondes transformations notamment avec la destruction de grandes tours d'immeubles.

- Centre-ville : cœur de ville, le centre-ville est structuré autour du centre historique de la ville avec la mairie de Meaux, la cathédrale et son palais épiscopal. S'y trouvent également de nombreux commerces avec des promenades piétonnes. Le quartier est bien desservi grâce à la gare de Meaux qui s'y trouve, véritable pôle important de la ville dans lequel se concentrent la gare ferroviaire pour rejoindre Paris (via la ligne P) mais aussi la gare routière de la ville avec de nombreuses lignes de bus qui relient la plupart des quartiers de la ville mais aussi les communes voisines.

- Marché : comme son nom l'indique, ce quartier abrite un marché couvert. Celui-ci connaît également de nombreuses transformations à commencer par les travaux autour du square Georges Brassens.

- Grande-île-Luxembourg : dans lequel se situe la Médiathèque du Luxembourg, un des pôles culturels de la ville (théâtre, bibliothèque...), l'IUT de Marne-la-Vallée reliée par l'Université Gustave Eiffel.

- Hôpital-Frot : dans lequel se situe l'hôpital de Meaux, le collège Frot, la piscine Frot...

- Le Clos Godet : le quartier est situé à proximité de la commune voisine de Mareuil-lès-Meaux

- Le Val Fleuri / Les Platanes

- Foch-Guynemer

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 24 849, alors qu'il était de 23 263 en 2013 et de 20 907 en 2008<ref name="LogCom" group="I"/>.

Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 20,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 78,9 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Meaux en 2018 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (2,9 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 37,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (34,3 % en 2013), contre 61,8 % pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement à Meaux en 2018.
Typologie Meaux<ref name="LogCom" group="I">Modèle:Lien web.</ref> Seine-et-Marne<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 91,4 90,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 2,9 9,7
Logements vacants (en %) 7,9 6,8 8,2

La ville de Meaux est marquée par un grand pourcentage de logements sociaux, dû à la construction dans les années 1960 de deux quartiers de grands ensembles : Beauval et la Pierre Collinet. Ce pourcentage a pu représenter jusque 60 % de logement social pour la ville, et même 80 % sur le seul quartier de Beauval.

Les politiques successives de rénovation urbaine engagées depuis les années 1990 sur la ville ont toutes tendu à réduire ce pourcentage : notamment en démolissant une partie du bâtiment construit dans les années 1960 (tours et barres HLM), l'ensemble converge vers une reconstruction de « logements à taille humaine »<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. De plus, les logements reconstruits ne sont pas systématiquement sociaux, la promotion immobilière privée et la construction de zones pavillonnaires sont favorisées. En 2010, le pourcentage de logement social se situe autour de 40 % pour l'ensemble de la villeModèle:Référence nécessaire.

Le Modèle:Date- marque une nouvelle phase dans ce projet, par la démolition d'immeubles HLM à Beauval, les tours Auvergne et Artois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 24 473 dont 20 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 79,1 % d'appartements<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 7,9 % des logements vacants.

En 2017 également, la part des foyers fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 37,9 % contre 60,6 % de locataires<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 10 septembre 2020</ref> dont, 33,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et, 1,6 % logés gratuitement.

Projets d'aménagements

Parmi les projets d'aménagements futurs de la Ville, un projet d'éco-quartier qui doit se formaliser autour de grands axes routiers de la ville : l'avenue Salvador-Allende, l'avenue Foch, l'avenue Roosevelt, l'avenue Joffre et la réhabilitation des quartiers Beauval-Collinet. Le coeur historique (cathédrale et Saint-Nicolas) bénéficie, par ailleurs, du programme national de revitalisation des quartiers anciens dégradés (PNRQAD)<ref>[1]</ref>.

Voies de communication et transports

Fichier:Meaux Ourcq canal dockside.JPG
Ancienne gare d'eau du canal de l'Ourcq.

Voies de communication

Meaux est traversée par la RN 3, ancienne route royale, dite route d'Allemagne. Elle est également reliée à l'autoroute A4, passant au sud de la ville et desservant l'Est de la France, par la bretelle A140. Cette dernière a été prolongée en 2006 et sert de déviation par l'ouest de Meaux (s'inscrivant dans la logique d'une liaison nord-sud du département, reliant la région de Melun à l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle)<ref>Modèle:Lien web </ref>. L'A140 comporte notamment un viaduc en courbe qui surplombe la vallée, situé au sud-est de l'agglomération et allant vers le nord.

La ville de Meaux possède un réseau de pistes cyclables en expansion. Des pistes cyclables sont présentes à divers endroits (ex : dans le marché, en centre-ville, près du parc du Pâtis, et dans les quartiers Beauval et Collinet-Dunant), sans toutefois pour le moment créer de vraie boucle.

Le sentier de grande randonnée GR1 passe sur le territoire de la commune et se prolonge vers Crégy-lès-Meaux au nord-ouest et Nanteuil-lès-Meaux au sud-ouest.

Transports en commun

Fichier:Meaux (77), gare SNCF de 1890 03.jpg
Gare (construite en 1890).
Fichier:TransilienEst Pan Meaux.jpg
Panneau à la gare de Meaux.

Modèle:Article détaillé

La ville de Meaux est desservie par :

La gare de Meaux est desservie à hauteur d'un train toutes les 30 minutes en heures creuses et d'un train toutes les 15 minutes en heures de pointes. Le temps de trajet entre Paris et Meaux est de 25 minutes via le direct et de 39 minutes via l'omnibus. Elle sert également de correspondance pour les trains à destination de la Ferté Milon et de Château-Thierry.

D'autres lignes desservent la commune en dehors de la gare : J M O Js Ms Os P (Transport à la demande)

Plusieurs gares ferroviaires sont desservies par ce réseau de bus :

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Meldi (Pline) et Meldorum civitas au Modèle:1er siècle (Notitia prov. Galliae) ; Meldensis urbs, Meldensis civitas et Meledus au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Grégoire de Tours)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ; Civitas que dicitur Meldis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Vita S. Faronis, ap. Histor. France, III, p. 502.</ref> ; Apud Meldim en 1155<ref>Du Plessis, II, p. 45.</ref> ; Apud Meldis vers 1240<ref>Longnon, I, p. 105.</ref> ; Miaux en 1275<ref>Longnon, I, p. 339.</ref> ; Meiaus en 1328<ref>Archives nationales, S 88, Modèle:N°.</ref> ; Meaux en Brie vers 1561<ref>d'Aubigné, édit. Ruble, I, p. 204.</ref>.

Le toponyme Meaux (Iatinum ou Iantinum à l'origine)<ref>Robert Bedon - 1999 - Les Villes des trois Gaules: de César à Néron dans leur contexte historique, territorial et politique - Page 148 - Modèle:ISBN.</ref>,<ref name="Meaux">J.-P. Laporte, Meaux, antique Iantinum, Caesarodunum, t. 30, 1996, Modèle:P. à 224</ref> est issu du nom du peuple gaulois des Meldes (Meldi).

Histoire

Antiquité

Modèle:Article détaillé

Les Meldes (Lat. Meldi), peuple celte, avait fait de Iantinum<ref>Quelquefois orthographié Iatinum ou Jatinum (usage récent, car le J n'existait pas en Latin). Du gaulois iantinon ou iatinon.</ref> leur capitale<ref>Universal geography: or A description of all parts of the world..., Volume 6 Par Conrad Malte-Brun</ref>. Après la conquête romaine, de « Iantinum civitas Meldorum » seul le nom des Meldes subsiste et la ville prend le nom de Meldis.

La cité gallo-romaine de Iantinum fut établie sous le Haut Empire suivant un quadrillage orthogonal s'étendant de la Marne au sud jusqu'au quartier Saint-Faron au nord, c'est-à-dire dans l'ancien méandre de la rivière (actuellement le Brasset).
Un nombre important d'édifices publics de grande taille sont attestés, tels que forum, théâtre, amphithéâtre, thermes, ainsi qu'un complexe cultuel suburbain au lieu-dit de la Bauve (fanum et amphithéâtre)<ref name="Meaux"/>.

Sous le Bas Empire, en raison d'une instabilité politique croissante et de la menace d'invasions, une enceinte fortifiée fut construite dans la partie sud de la ville (vestiges boulevard Jean-Rose)<ref name="Meaux"/> et la partie extra-muros de la ville fut progressivement délaissée.

Le christianisme est prêché chez les Meldes dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par saint Denis. Son successeur, saint Saintin, serait le premier évêque de Meaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Moyen Âge

En 861, les Normands pillent Meaux, Melun et toute la région. En 887 (aux mois de mai ou juin), Meaux, qui était commandée par l'évêque Segemond (Segemond ou Segemundus) et le comte Thibert (frère d'Anschéric), était attaquée sans cesse, nuit et jour, par les Vikings. La ville résista longtemps, causant de lourdes pertes aux assiégeants. Toutefois la ville fut prise, Thibert tué, et l'évêque Segemond emmené en captivité<ref>Abbon:Le siège de Paris par les Normands</ref>.

La richesse de la cité et le défaut de paiement par Charles II le Chauve d'une indemnité aux Vikings à la forteresse d'Oissel les fait occuper la cité notamment en 852 et en 886. Deux conciles se tiennent à Meaux à propos de l'attitude à adopter face à ces taxes. Meaux fut dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle la possession des comtes de Champagne (et, au départ, de leurs ancêtres maternels les Vermandois), qui s'appelaient aussi comtes de Meaux et qui étaient assistés par les vicomtes de Meaux (cf. La Ferté-Ancoul/sous-Jouarre) (ces familles féodales se sont toutes éteintes sous l'Ancien Régime). Le petit fils d'Eudes, Guillaume le Gros fonda l'Abbaye de Meaux en 1150 en compensation d'un pèlerinage qu'il s'était engagé à faire mais qui se révélait irréalisable. La ville revint à la couronne sous Louis XModèle:Référence nécessaire (roi de Navarre en 1305, roi de France de 1314 à 1316, fils de Philippe le Bel et de Jeanne de Champagne-Navarre). En 1235, le capitulaire de Thibaut IV de Champagne (conservé à la médiathèque de Meaux) mentionne l'existence du canal Cornillon, qui sert à la fois de défense du marché de Meaux qui se tient sur la presqu'île formée par la boucle de la Marne, et aussi de passage pour les bateaux, leur évitant de passer sous le pont encombré par des moulins. Ces moulins brûleront le Modèle:Date et ne seront jamais reconstruits. Meaux se signale en 1239 en générant un groupe d'hérétiques cathares, bien loin de sa zone d'origine. Le Modèle:Date, 83 hérétiques sont brûlésModèle:Référence nécessaire.

La guerre de Cent Ans est particulièrement pesante avec son cortège de pillages, de peste et de famines. Cette instabilité conduit les paysans au soulèvement en 1358 sous la conduite de Guillaume Callet : c'est la Grande Jacquerie. Les habitants de Meaux sont favorables à leurs revendications. Par surprise, les troupes royales s'emparent de la forteresse. Les bourgeois de Meaux décident d'assièger le château appelé aussi Marché de Meaux, situé sur une île et où se trouvaient quelques princesses et seigneurs importants. Les bourgeois appellent à l'aide les habitants de Paris et ceux des campagnes. Une troupe de paysans et Parisiens arrive en secours<ref name="luce"/>. Le Modèle:Date-, Gaston Fébus, comte de Foix et le captal de Buch arrivent avec une troupe de chevaliers et massacrent une partie des Jacques et Parisiens qui s'enfuient<ref name="luce"/>,<ref name="leguay39"/>. En punition, la ville de Meaux est d'abord mise à sac, maisons privées comme églises. La population est elle aussi massacrée<ref name="luce"/>. La ville fut livrée aux flammes pendant quinze jours<ref name="luce"/>,<ref name="leguay39">Modèle:Leguay-catastrophes, Modèle:P.39.</ref>, son maire pendu, la commune abolie. Enfin, les nobles propagèrent le massacre dans les campagnes<ref name="luce">Luce, Siméon (1894). « Histoire de la jacquerie d'après des documents inédits ». Honoré Champion, Paris. Nouvelle édition, 1895, xxiv + 368 pp. (Modèle:P. & 129-146).</ref>. En octobre 1421, Henry V d’Angleterre et ses troupes se composant de Modèle:Nombre mirent le siège devant Meaux. La ville tint pendant cinq mois, mais préfère se rendre le Modèle:Date-. Les Anglais sont sans pitié : les défenseurs de la ville sont pendus ou ont la tête tranchée. Curieusement, Sire John de Shepham et Norreis (en) est crédité comme 'gouverneur de Meaux' en 1420<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Pourtant, elle fut possédée par les Anglais de 1421 à 1436, puis réunie par la suite définitivement à la couronne de France.

Avec cette restitution, le roi Louis XI confirma, par ses lettres patentes, les anciens privilèges de la cathédrale, octroyées par ses prédécesseurs, en Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Renaissance - guerres de religion

Meaux est l'une des villes françaises les plus actives en matière de protestantisme au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Ainsi, le cénacle de Meaux fut fondé en 1521 à la demande de l'évêque Guillaume Briçonnet par son ami et humaniste Jacques Lefèvre d'Étaples alors que Jean Leclerc y prêche dès 1523. En 1546, 14 protestants sont brûlés sur la place publique tandis que nombre d'autres sont bannis. En 1562, la liberté de culte est accordée aux protestants, mais ces derniers tentent de prendre le contrôle de la ville<ref>Antoine-Étienne Carro, Histoire de Meaux et du pays meldois, 1868, chap. XVIII</ref>. En 1567, lors de la surprise de Meaux, la famille royale ne doit qu'aux Cent-Suisses d'échapper à la capture par les troupes protestantes du prince de Condé.

La nouvelle du massacre de la Saint-Barthélemy (Modèle:Date-) atteint Meaux le Modèle:Date-. C’est le procureur du roi qui organise le massacre. Sur les 8 000 protestants du bailliage, 600 sont massacrés en deux jours<ref>Pierre Miquel, Les Guerres de religion, 1980, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>. Meaux prit le parti de la Ligue avant de se rendre à Henri IV en 1593Modèle:Référence nécessaire.

Du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la Révolution

Fichier:Grand monument de Bossuet Meaux 40808 01.jpg
Monument de Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704)
Ernest Henri Dubois (1863-1930)
Cathédrale de Meaux

En 1681, Bossuet fut nommé évêque de Meaux et le resta jusqu'à sa mort en 1704.

La famille royale, lors du dramatique retour de la fuite de Varennes, passe une nuit à Meaux. Le Modèle:Date, les sans-culottes de la ville et des gendarmes en route vers Châlons-sur-Marne massacrent quatorze personnes. C’est un épisode des massacres de Septembre, qui ont débuté le 2 à Paris<ref>Frédéric Bluche, septembre 1792. Logiques d'un massacre, Paris, Robert Laffont, 1986, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:AD 1 - MEAUX - La Gare.JPG
La ville est reliée à Paris par le chemin de fer dès 1849.
La gare actuelle, dont on voit ici un ancien cliché, est construite en 1890.
Fichier:Orphéon de Meaux - 1906.jpg
L'Orphéon de Meaux en 1906.

Modèle:... Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Lafayette est député de l'arrondissement de Meaux, notamment en 1827.

Le Modèle:Date-, le Prince-Président, Louis Napoléon Bonaparte inaugure la section Gare de Paris-Est-Gare de Meaux de la Ligne de Paris-Est à Strasbourg-Ville . Cette ligne, exploitée par la compagnie du chemin de fer de Paris à Strasbourg puis la compagnie des chemins de fer de l'Est, facilite le déplacement des habitants et contribue au développement économique de la ville.

En 1850 est fondé à Meaux un orphéon : la Société Chorale française « l'Orphéon de Meaux<ref>Modèle:Ouvrage, sur Internet Archive.</ref> ». Il est toujours actif en 1913<ref group="Note">Eberlé est mentionné comme directeur de l'Orphéon de Meaux dans l'article : Modèle:Article; sur Gallica.</ref>.

Durant la Première Guerre mondiale (1914-1918), Meaux est le théâtre de la Première bataille de la Marne, qui secoue la région de Seine-et-Marne<ref group="Note">Le projet Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux s'inscrit dans ces faits</ref>. Elle est alors notamment un point très stratégique qu'il ne faut pas laisser à l'empire allemand. Le plus vieux pont de la ville (pont du marché) est détruit pour empêcher la progression des forces allemandes. L'opération est un succès.

Le 16 juin 1920, les moulins du Pont du Vieux Marché disparaissent dans un gigantesque brasier<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Époque contemporaine

Du fait du passé gallo-romain, certains quartiers de Meaux et de ses environs subissent systématiquement des fouilles archéologiques préventives lors de travaux laissant accéder au sol, comme la voirie ou à l'occasion d'une démolition/construction. Cela permet la découverte de nombreux vestiges (voir Patrimoine disparu).

En 2007, découverte d'un quartier artisanal du Haut Empire dans le quartier Saint-Faron<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2009, sur le plateau de Villenoy, l'INRAP, lors de fouilles, découvrit une importante section d'un aqueduc souterrain qui alimentait la ville<ref>Article de presse</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> avant d'être maintenant recouvert par le Parc d'Activités du Pays de Meaux.

Batailles et sièges

Au long de son histoire, la ville a été le théâtre de plusieurs conflits, sièges et batailles. Voir Modèle:Page h et Modèle:Page h.

Politique et administration

Fichier:0864ayuntamiento.JPG
L'hôtel de ville.

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La ville est le chef-lieu de l'arrondissement de Meaux du département de la Seine-et-Marne.

Elle était de 1793 à 1975 le chef-lieu du canton de Meaux année où celui-ci est scindé et la ville répartie entre les cantons de Meaux-Nord et de Meaux-Sud<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du nouveau canton de Meaux, dont elle est l'unique commune<ref>Modèle:Légifrance sur Légifrance.</ref>. Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de Seine-et-Marne. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Meaux était le siège d'une première communauté d'agglomération du pays de Meaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité (et Modèle:Unité en zone de montagnes), cette intercommunalité a fusionné la petite communauté de communes des Monts de la Goële pour former le Modèle:Date- une nouvelle structure intercommunale qui a conservé la dénomination de communauté d'agglomération du pays de Meaux.

Tendances politiques et résultats

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 en Seine-et-Marne, la liste UMP menée par le député-maire Jean-François Copé remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (64,30 %, 38 conseillers municipaux élus dont 19 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par<ref>Résultats officiels pour la commune Meaux</ref>,<ref name="LP23032014"/> :
- Bastien Marguerite (PS-PCF-EELV, Modèle:Unité, 12,77 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Béatrice Roullaud (FN, Modèle:Unité, 12,13 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Christèle Roussel (FG, 952 voix, 6,87 %, 1 conseiller municipal élu) ;
- Victor Manuel Niubo Andreu (DVD, 542 voix, 3,91 %, pas d'élus).
Lors de ce scrutin, 47,62 % des électeurs se sont abstenus. Modèle:Article connexe

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne, la liste LR menée par le maire sortant Jean-François Copé obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (76,35 %, 41 conseillers municipaux élus dont 30 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="LP25052020"/> :
- André Moukhine-Fortier (DIV, Modèle:Unité, 12,25 %, 3 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
- Gilles Saveret (DVG, 608 voix, 6,76 %, 1 conseiller municipal et communautaire élu) ;
- Jean-François Dirringer (UG [G.s, PCF, PS], 415 voix, 4,61 %), pas d'élus).
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 66,56 % des électeurs se sont abstenus. Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin

Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Distinctions et labels

Meaux est classée ville d'art et d'histoire<ref> Modèle:Lien web </ref>.

Meaux bénéficie en 2009 du label « ville fleurie » avec quatre fleurs attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris<ref name="ville fleurie"> Modèle:Lien web </ref>.

En 2022, la ville est distinguée par le label « Ville à Vélo du Tour de France », au niveau 3 sur 4 possibles, en raison de la qualité de sa politique de promotion du vélo, avec notamment son service de prêts gratuits de vélos, ses initiatives pour l'apprentissage du vélo et surtout son plan vélo élaboré avec des associations locales et lancé en 2016<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Jumelages

Modèle:Jumelages

Équipements et services publics

Enseignement

Écoles, collèges et lycées

Modèle:Section à sourcer Meaux fait partie de la Zone C pour les congés scolaires et dépend de l'académie de Créteil.

Modèle:Quand.

Meaux compte 6 collèges dont 5 publics gérés par le département et un géré par une organisation catholique. En 2013<ref>http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?college=2&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Meaux%20(77)&public=1&prive=2</ref>, la ville accueillait Modèle:Nombre collégiens dans ses collèges.

Collèges publics

  • C.E.S Beaumarchais (555 élèves)
  • Camus (544 élèves)
  • Henri-Dunant (441 élèves})
  • Frot (Modèle:Quand
  • Henri-IV (640 élèves)

Collège privé

Concernant les lycées, la ville en compte 7 dont 5 publics gérés par la région Île-de-France et 2 gérés par une organisation catholique. Quatre de ces lycées sont tournés vers l'enseignement général et technologique et 3 autres vers l'enseignement professionnel. En 2013<ref>http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?lycee=3&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Meaux%20(77)&public=1&prive=2</ref>, la ville comptait Modèle:Nombre lycéens dans ses lycées. Cependant, dans les lycées de la ville, seuls 60 % des lycéens venaient de Meaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La cité scolaire Pierre-de-Coubertin (qui regroupe 3 lycées : général, technologique et professionnel) est l'une des plus importantes de France en termes d'effectif avec quelque Modèle:Nombre élèves selon les années, 200 enseignants chercheurs et 150 personnes membres du personnel.

Lycées généraux

Lycées professionnels

  • LP Pierre-de-Coubertin (503 élèves)
  • Charles-Baudelaire (433 élèves)
  • Jean-Rose [Privé] (640 élèves)

Réseau d'éducation prioritaire Plus (REP+)

De nombreux établissements sont classés Réseau d'éducation prioritaire Plus (REP+) :

Ecoles<ref>Modèle:Lien web</ref>
  • Guynemer (Mater & Elem)
  • Compayre 1 & 2 (Mater & Elem)
  • Saint Exupéry (Mater & Elem)
  • Alain (Mater)
  • Alain 1 & 2 (Elem)
  • Jeanne d'Albret (Mater)
  • Alembert (Mater)
  • Condorcet (Mater)
  • Condorcet 1 & 2 (Elem)
Collèges<ref>Modèle:Lien web</ref>
  • Henri Dunant
  • Albert Camus
  • Beaumarchais (REP seulement)

Les collèges Camus et Beaumarchais proposent tous deux une section SEGPA.

Enseignement supérieur

Du côté universitaire, la ville possède un IUT (annexe de l'Université Paris-Est) qui propose de nombreuses licences professionnelles et DUT. De même la grande majorité des lycées propose des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) dans les domaines scientifiques et littéraires dont une classe littéraire supérieure Hypokhâgne. De nombreux BTS y sont également enseignés. L'université de secteur de la ville est celle de Paris-Est Marne-la-Vallée.

Enseignement supérieur public

  • Université Paris-Est Marne-la-Vallée (I.U.T de Meaux) : 21 Licences professionnelles et 8 DUT.
  • Université inter-âge (Bâtiment du Luxembourg)
  • Lycée Pierre-de-Coubertin : 2 Classes préparatoires scientifiques et 4 BTS.
  • Jean-Vilar : 1 Classe préparatoire littéraire et 2 BTS.
  • Lycée Henri-Moissan : 3 Classes préparatoires scientifiques et 1 BTS.

Enseignement supérieur privé

  • Lycée Bossuet : Classes Littéraires Supérieures (Hypokhâgne-Khâgne)

Santé

Modèle:Référence nécessaire.

Justice, sécurité, secours et défense

Le présidial (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) a précédé le tribunal, tous deux hébergés à l'étage de l'ancien château des comtes de Brie et de Champagne.

Dans les parties basses, des cellules collectives y étaient aménagées alors qu'une tour abritait des cachots. La prison des femmes était dans un bâtiment séparé. Le transfert de la prison, place Henri-IV, eut lieu au début des années 1850 ; celui du palais de justice (actuellement Conseil départemental) dans la première moitié des années 1880. Un siècle plus tard, la Cité administrative l'accueillait (1987).

La commune accueille :

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Meldois. Ils peuvent également être nommés les Meldusiens ou, par dérision, les Miauleux<ref>Vieilli, mot de patois briard (d'après René Charles Plancke, Meaux et ses environs, Le Mée-sur-Seine, Amatteis, 1988, Modèle:P.18).</ref>.

Modèle:Population de France/section

Manifestations culturelles et festivités

  • Le Spectacle Historique de Meaux, annuel depuis 1982 (en juin : les Modèle:2e, Modèle:3e et Modèle:4e vendredi et samedi soir ; en juillet : les trois premiers samedis ; en août : le dernier vendredi et samedi ; en septembre : les 3 premiers samedis).
  • Les MUZIK'ELLES : festival musical au féminin (dernier week-end de septembre).
  • La Foire d'Automne de Meaux, transformée en Foire gourmande de Noël (début décembre) depuis 2011.
  • Éclats d’Arts : festival consacré aux pratiques artistiques dans toute la ville (expositions, théâtre, musique, cinéma...). Il a lieu tous les ans de début mai à début juin.
  • La Braderie (premier dimanche de juillet).

Sports

Des activités sportives très diverses sont présentes à Meaux.

La gymnaste Marine Boyer (JO de Rio 2016) commence le sport-étude avec l'équipe de MeauxModèle:Refnec.

Médias

Cultes

Le diocèse de Meaux catholique est l'un des diocèses de la Province ecclésiastique de Paris. Il correspond au département de Seine-et-Marne.

Meaux possède une Modèle:C'est-à-dire, une salle du royaume des témoins de jehovah, avenue Gallieni, une église protestante baptiste, avenue Henri Dunant et une chapelle de la foi, rue Pascal.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nombre (dont 49 % imposés), représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 18 470 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages», consulté le 18 décembre 2020</ref>.

Emploi

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants.

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 62 % contre un taux de chômage de 11,6 %.

Les 26,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,1 % de retraités ou préretraités et 11,4 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consulté le 18 décembre 2020</ref>.

Entreprises et commerces

En 2017, le nombre d'établissements actifs était de Modèle:Nombre dont Modèle:Nobr dans l'agriculture-sylviculture-pêche, Modèle:Nobr dans l’industrie, Modèle:Nobr dans la construction, 1 008 dans le commerce-transports-services divers et Modèle:Nobr étaient relatifs au secteur administratif<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Caractéristiques des établissements fin 2017», consulté le 18 décembre 2020</ref>.

Ces établissements ont pourvu 20 279 postes salariés.

En 2019, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.

Meaux possède deux zones industrielles qui, sur Modèle:Unité, au nord et au sud de la ville, regroupent 250 entreprises et plus de 2500 emplois. Une zone artisanale (la ZA des platanes) est également implantée à l'Est de la ville et regroupe 143 entreprises et 1046 emplois sur Modèle:Unité. La ville accueille également six marchés chaque semaine. Une Zone d'activité Intercommunale d'importance, le Parc d'Activités du Pays de Meaux (PAPM), est le dernier projet visant à étendre les activités économiques de la ville. En effet il rassemble des commerces, grande-distribution, plateformes logistiques ainsi qu'un CFA. Le PAPM est situé sur le tracé de la déviation de l'axe nord-sud de la ville, réparti entre les communes de Villenoy, Meaux et Chauconin-Neufmontiers<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Meaux remparts 9.jpg
Remparts gallo-romains.

La ville expose notamment :

Monuments religieux

La ville a été largement marquée par l'histoire religieuse et conserve encore d'autres édifices religieux :

 | e | er | = 
   {{#switch: XV
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}) et le palais épiscopal avec chapelle ({{#switch: XVI

 | e | er | = 
   {{#switch: XVI
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}) ;

  • L'église Notre-Dame-du-Marché, rue Madame Dassy ;
  • L'église Saint-Damien, rue Beaumarchais (Beauval) ;
  • L'église Saint-Jean-de-Bosco, avenue Henri Dunant ;
  • L'église Saint-Nicolas, rue du Faubourg Saint-Nicolas ;
  • La chapelle des sœurs Augustines, rue du Faubourg Saint-Nicolas ;
  • La chapelle du couvent de la Visitation, rue du Tivoli (collège Sainte-Marie) ;
  • La chapelle de l'ancien hôpital Jean Rose, puis ancien séminaire, rue Saint-Rémy ;
  • La chapelle des sœurs Saint-Joseph de Cluny, rue Saint-Rémy ;
  • La chapelle du Sacré-Cœur, rue de la Visitations (Lycée Bossuet) ;
  • la chapelle de l'ancien Séminaire de Chaage (dite Chapelle Art déco, datant des années 1930) ;
  • La chapelle de l'hospice, rue de Chaage ;
  • Le temple protestant, place du Temple et rue du Faubourg Saint-Nicolas.

Hôtels particuliers

La ville possède également de nombreux hôtels particuliers du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dont :

  • l'hôtel Macé de Montoury,
  • l'hôtel Passelaigue,
  • l'hôtel de la Sirène,
  • l'hôtel Prévost de Longpérier,
  • l'hôtel Marquelet de la Noue,
  • l'ancien hôtel Dassy (centre Saint-Étienne, actuels appartements).
  • Le château Frot, actuel conservatoire de musique, de style Mansart, cours Pinteville.

==== Monuments des {{#switch: XX

 | e | er | = 
   {{#switch: XX
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XX|-| – | XX }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XX|-| – | XX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}} ==== Divers bâtiments datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle :

  • L'hôtel de ville,
  • la caisse d'épargne,
  • l'ancien palais de justice (place Henri-IV),
  • l'ancienne prison qui lui fait face,
  • l'ancien théâtre (actuel cinéma du Majestic), plusieurs maisons bourgeoises de style « Île-de-France »...

Autres monuments du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

  • La Pierre Collinet, grand ensemble réalisé par Jean Ginsberg entre 1959 et 1965, était constituée de 6 barres de 15 étages chacune (environ 300 logements) et de trois tours de 22 étages. Ce projet est venu se substituer au projet de ville radieuse prévu non loin de là, à Beauval, par l'architecte Le Corbusier. Les barres, d'abord baptisées A, B, C, D, E, F, puis renommées de noms floraux (Acacia, Bleuet, Capucine, Dahlia, Eglantine et Fougère), avaient été édifiées par l'architecte Jean Ginsberg en collaboration avec Max Tournier entre 1959 et 1965, dans le cadre du programme d'aménagement de la Région parisienne dit des « 3M » (Meaux, Melun, Montereau). Le grand ensemble, après quelques réhabilitations survenues dans les années 1970-80, a été démoli, sous l'impulsion notamment du maire actuel, Jean-François Copé. La dernière barre, Fougère, a été détruite en Modèle:Date-, nécessitant Modèle:Unité d'explosifs et Modèle:Nb détonateurs. La Pierre Collinet a été définitivement détruite le Modèle:Date-, à 15 heures de l'après-midi avec la destruction programmée de ses trois dernières tours (Iris, Hortensia et Genêt).

Les barres sont remplacées par des résidences et des petites maisons<ref>Source (3 dernières barres démolies)</ref>.

Lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale

Fichier:Meaux (77), monument de la Liberté éploré (mémorial américain) 2.jpg
La Liberté éplorée (dite « Le Monument américain »), sur la route allant à Varreddes.

Curiosités et autres points d'intérêt

Fichier:Le pont du Marché.JPG
Le pont du Marché et la Marne.
Fichier:La maison au boulet russe.JPG
La maison au boulet russe.
  • Le barrage : structure métallique sur la Marne, à la limite entre Meaux et Villenoy (proche du centre-ville).
  • Le jardin des Trinitaires : promenade plantée de peupliers d'Italie centenaires, le long de la Marne, face à la gare.
  • Le canal Cornillon : canal ancien (attesté en 1235 dans le capitulaire de Thibaut de Champagne), coupant la boucle de la Marne, et conservant en partie les traces des anciennes fortifications du quartier du Marché. Son écluse datant de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et restaurée vers 1995, s'est écroulée en octobre 2006.
  • Halle métallique, dite halle aux fromages, place du Marché (1879).
  • Le pont du Marché.
  • Le boulet russe : boulet datant de la guerre de 1814 resté fiché dans la façade sud de l'immeuble qui abrite actuellement les locaux de la MAAF, dans le quartier du Marché, face à la halle métallique.
  • Le vieux cimetière : quelques tombes anciennes intéressantes, dont le tombeau du général Noël Raoult, enfant du pays s'étant illustré sous le règne de Napoléon III, mort au tout début de la guerre de 1870.
  • Puits artésiens (bouche à eau en ville).
Patrimoine disparu
Fichier:Meaux - Moulin sur la Marne.jpg
Moulin sur la Marne (photo du 10 septembre 1916), disparu aujourd'hui.
  • Édifice de spectacle gallo-romain (rue Camille-Guérin) : fouillé dans les années 1990 et réenseveli depuis.
  • Forum et thermes gallo-romains. Situés dans le quartier Saint-Faron. Attestés lors de travaux de voirie.
  • Le château des comtes de Brie et de Champagne.
  • Les moulins du pont du Marché.
  • Les moulins de l'échelle.
  • L'église Saint-Christophe. Il ne reste qu'un portail en mauvais état (rue du Grand Cerf)
  • L'église Saint-Faron (détruite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ?), abritant le tombeau du saint, ainsi que le tombeau monumental dit d'Ogier le Danois
  • L'abbaye Sainte-Céline (faubourg Saint-Nicolas).
  • L'abbaye Saint-Faron.
  • Notre-Dame de Chaage (Modèle:S mini-?), était située au sud de l'édifice de spectacle<ref name="wilmart1">Modèle:Article, p. 1.</ref>. Elle a peut-être d'abord été simple chapelle ? Puis établissement religieux, cité comme abbaye. Lors des invasions Vikings, a abrité les reliques de saint Mélor<ref name="wilmart2">Modèle:Harvsp.</ref> et saint Josse<ref name="wilmart4">Modèle:Harvsp.</ref>. En 1005, devient une possession du chapitre<ref name="wilmart7">Modèle:Harvsp.</ref>. Réformée au plus tard en 1135<ref name="wilmart4"/> (archives prédatant disparues), date à laquelle des chanoines réguliers de Saint-Victor s'y installent<ref name="wilmart5">Modèle:Harvsp.</ref>.

Meaux dans les arts et la culture

Meaux a inspiré quelques peintres, tels Albert Lepreux (1868-1959), peintre post-impressionniste, et le peintre polonais Zygmunt Waliszewski (1897–1936), également post-impressionniste.

Spécialités gastronomiques

Fichier:Brie 01.jpg
Brie de Meaux.

Meaux a fait sa spécialité d'un fromage à pâte molle célèbre, le brie de Meaux, ainsi que d'une moutarde à l'ancienne (c'est-à-dire à gros grains) : la moutarde de Meaux. Meaux donne encore son nom à une variété de carottes, à une pomme, à une variété de fraises (plus cultivée), à une rose, à des cornichons verts fins et une salade. Il y a quelques années les pâtissiers de la ville ont créé un gâteau, et un chocolat, tous deux connus sous la dénomination « pavés de Meaux ».

La ville reste tout de même réputée essentiellement pour deux spécialités gastronomiques, situées bien devant toutes les autres : son brie et sa moutarde, bien qu'en 2015, les fromageries meusiennes de Cousances-lès-Triconville, Raival et Biencourt-sur-Orge, situées dans l'aire géographique de la production du lait et de la fabrication du fromage de Brie de Meaux (AOC et AOP)<ref>Modèle:Lien web.</ref> fabriquent 70 % de la production française de ce fromage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux

Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux
Le musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux.

Fort d'une collection unique en Europe, le musée de la Grande Guerre du pays de Meaux propose une vision nouvelle du premier conflit mondial (1914-1918), à travers une scénographie innovante illustrant les grandes mutations et bouleversements de la société qui en ont découlé.

Musée Bossuet

Fichier:Meaux (77), musée Bossuet, antichambre.jpg
Musée Bossuet de Meaux.

Situé dans un palais épiscopal occupé du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècle, le musée Bossuet offre une collection municipale de peintures anciennes et de sculptures.

Personnalités liées à la commune

Religieux

Politique

  • Guillaume-Benoît Houdet (° 1744 - † 1812) - Député-maire de Meaux en 1789. Juriste
  • La Fayette (° 1757 - † 1834) - Député-maire de Meaux. Général et homme politique français et américain
  • Dr François Dufraigne (° 1822 - † 1901) - Médecin et homme politique français : maire de Meaux en 1884, sénateur de Seine-et-Marne en 1885
  • Lionel Jospin (° 1937) - A été lycéen à Meaux. Homme politique français
  • Jean-François Copé (° 1964) - Maire de Meaux. Homme politique français

Arts

Sciences

Sports

Autres

 | e | er | = 
   {{#switch: XIX
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}, y est décédé.

Héraldique, logotype et devise

Fichier:LogoMeaux.png
Logo de Meaux.

Modèle:Blason commune

La ville de Meaux est dotée d'un slogan, visible sur le logo de la commune (voir à droite) : « Meaux : Fiers de notre histoire ».

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Modèle:Ouvrage
  • Mickaël Wilmart, Meaux au Moyen Âge. Une ville et ses hommes du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Montceaux-lès-Meaux, Éditions Fiacre, 2013.
  • Antoine-Étienne Carro, Histoire de Meaux et du pays meldois, 1868. Réimpressions : Laffitte Reprints, Marseille 1976 & Librairie Honoré Champion, Paris 1989.
  • Georges Gassies, Le Pont et les Moulins de Meaux, Meaux, 1927 - réimprimé en 1985 aux Presses du Village (facsimilé).
  • Jacques Hérissay, Les Massacres de Meaux, Librairie Académique Perrin, Paris, 1935.
  • Modèle:Mgr Romain, Meaux cité de Bossuet, imprimé à Lyon, 1952.
  • Robert Perreau, Bibliographie de Meaux et de Coulommiers, éditions Perreau, Meaux, 1969.
  • Claude Mettra, Meaux, vingt siècles d'histoire, éditions Actica, Paris, 1977.
  • Georges Gassies, Histoire de Meaux, des origines à la fin du Moyen Âge, posthume, éd. Société littéraire et historique de la Brie.
  1. Des origines à la fin du Moyen Âge, 1982.
  2. De la Renaissance au Second Empire, 1983.
  • Société littéraire et historique de la Brie, Dictionnaire topographique et historique des rues de Meaux (3 tomes) :
  1. La vieille ville rive droite, éditions SLHB, Meaux, 1988
  2. Le Quartier du Marché, éditions SLHB, Meaux, 1992
  3. Faubourgs et nouveaux quartiers, éditions SLHB, Meaux, 1999
  • Damien Blanchard, Meaux, Modèle:Coll., éditions Alan Sutton, Saint-Cyr-sur-Loire, 1998.
  • Patrice Croisy, Bibliographie de Meaux, Meaux, 2006-2010.
  • Judith Förstel et alii, Meaux patrimoine urbain, Somogy Éditions d'art, Paris, 2013

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail