Cruseilles

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Modèle:Infobox Commune de France

Cruseilles est une commune française située dans le Genevois, administrativement dans le département de la Haute-Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes. Modèle:Sommaire

Géographie

De fait de sa configuration géographique, Cruseilles est à la fois village de montagne et bourg de vallée. Au point de jonction des Bornes, de Genève et d'Annecy, ses chemins sillonnent les vastes collines dont la base est baignée par les Usses (Modèle:Unité) et le sommet couronné par le mont Salève (1 352 mètres). Cruseilles est une cité de Modèle:Nombre perchée à Modèle:Unité d'altitude. Le village se situe au pied du Salève, à 18 kilomètres d'Annecy et 25 kilomètres de Genève.

Il possède un quartier ancien, le Corbet, avec de vieilles maisons dont la plus typique, dite De Fésigny, possède une très belle façade en vieilles pierres. Où se trouve l'église.

Fichier:Cruseilles-Abergement.JPG
L'Abergement.

L'Abergement est un hameau de Cruseilles, situé sur le versant du Salève. Il y a aussi Chosal, Féchy, les Goths, Ronzier, le Noiret, et Deyrier.

Communes limitrophes

Urbanisme

Typologie

Cruseilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Cruseilles, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,7 %), prairies (25,4 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), zones urbanisées (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3 %), terres arables (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Crusilla au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Crusilli en 1179, Crusilia en 1188, Crusillia en 1282, Crusillia vers 1344, Crusilly et Crusillie jusqu'à la Révolution Française<ref name="Suter">Modèle:Lien web.</ref>.

Ernest Nègre considère que le nom est constitué de crui (« croix »), latin crucem, et du suffixe diminutif -eille, au pluriel (ancien français : crusille), et désignant une « petite croix »<ref name="Suter"/>,<ref name="TFG3">Modèle:TGF3.</ref>.

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Korzlyè (graphie de Conflans) ou Croueselyes (ORB)<ref name="Toponyme">Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio</ref>.

Histoire

Modèle:Section à sourcer La présence de l'homme, dans la région, est attestée avec la découverte d'outils dans les grottes du Salève.

L'actuel territoire de Cruseilles connut par la suite les différentes invasions qui sévirent dans toutes les Alpes : les Allobroges vers le Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle, les Romains au Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle, les Burgondes en 443, les Goths en 534, les Francs en 536 et de nouveau les Burgondes en 888. Quelques traces de la présence successive de ces différents peuples ont été retrouvées dans la commune : des sites religieux élevés par les Allobroges, des pièces de monnaie romaines, des tombes burgondes recelant des ceinturons et des bijoux, ainsi que des noms de lieux, tels que les Goths qui rappelle la présence de ce peuple près de l’actuel pont de la Caille.

L'histoire de la seigneurie de Cruseilles est liée à l'histoire du comté de Genève.

Les premières franchises de Cruseilles sont signées le Modèle:Date par Gui de Genève, évêque de Langres, seigneur de Cruseilles, et aux côtés de son frère Robert, évêque de Genève, et de leur petit-neveu, le comte Modèle:Noble<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Acte du Modèle:Date- (REG 0/0/1/1181).</ref>. Elles ont pour principe « tout homme qui vient, qui est ou qui demeure dans la ville de Cruseilles et qui y a fait une libre résidence, est franc. En conséquence, il peut donner et vendre à qui bon lui semble tout ce qu’il a acquis et pourra acquérir ».

En 1801, Cruseilles est attaché au canton de Saint-Julien.

Par le traité de Turin signé le Modèle:Date-, la Savoie est cédée à la France. La population est appelée aux urnes, les Cruseilliens plébiscitent leur « rattachement » à la France (465 inscrits, votants 455, 1 bulletin non et 454 bulletins oui). Le Modèle:Date- le canton de Cruseilles est formé.

Politique et administration

Fichier:Mairie de Cruseilles au printemps (mars 2022).jpg
Mairie de Cruseilles.

Situation administrative

La commune de Cruseilles appartient, depuis 2015, au canton de La Roche-sur-Foron, qui compte selon le redécoupage cantonal de 2014 Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle était auparavant le chef-lieu du canton de Cruseilles, créé en 1860 et qui reprenait en partie le canton créé en 1793 lorsque le duché de Savoie avait été annexé par la France révolutionnaire<ref name="sabaudia"/>.

La commune est membre, avec douze autres, de la communauté de communes du Pays de Cruseilles.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

La commune de Cruseilles a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Cruseilles, consultée le 26 octobre 2017</ref>. L'agenda 21 local de Cruseilles a été reconnu au titre de la stratégie nationale de développement durable par le ministre Jean-Louis Borloo.

Population et société

Démographie

Les habitants de la commune sont appelés les Cruseilliens ou Cruseilloises<ref name="sabaudia">Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Population de France/section

Sports

Une rumeur affirme que le saut à l'élastique aurait été créé à Cruseilles dans les années 1970, bien que cela n'ait pas été vérifié<ref>Histoire du saut à l'élastique (en espagnol), paru dans le journal El Tiempo, le 6 novembre 2010.</ref>.

Économie

Fichier:Lac des Dronières à Cruseilles en fin d'hiver (mars 2022).JPG
Le lac des Dronières au printemps.

Cruseilles possède un parc de loisirs, « les Dronières » avec parc à biches, divers parcours sportifs dont un accrobranche, un lac artificiel et un centre nautique avec plusieurs bassins.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Vue d'ensemble de Cruseilles.jpg
Vue d'ensemble de Cruseilles.

Créé en 2004, ce jardin paysager privé de Modèle:Unité est dédié aux rosiers. Il invite à une promenade romantique : une profusion de roses anciennes, en harmonie avec les clématites, borde les allées serpentines agrémentées de pergolas et portiques, jusqu’à la petite mare cachée parmi les vivaces, arbustes à fleurs et rosiers. La chouette de pierre, qui donne son nom au jardin, et ses amis métalliques jalonnent le parcours en apportant une note minérale à l’ensemble.

Le pont de la Caille

Modèle:Article détaillé

Fichier:Pont de la Caille côté Cruseilles en fin d'après-midi (mars 2022) 2.JPG
Pont suspendu de la Caille.

Depuis l’antiquité, plusieurs ponts de pierre furent construits. Ils assuraient le passage de la voie romaine reliant Genève et l’Italie par le col du Petit Saint Bernard. La route traversait Allonzier, obliquait au hameau « chez Poraz », descendait vers les Usses et remontait au hameau du Noiret.

Le premier pont daterait de –25 avant Jésus Christ et aurait été situé au confluent du Nant de Bougy. Sur la rive droite, avait été installée une léproserie avec une chapelle dédiée à sainte Marguerite, léproserie qui fut détruite en 1665.

Le deuxième pont, situé à Modèle:Unité du pont romain fut construit en 1780 par ordre du roi de Sardaigne, Victor Amédée III. C’était un bel édifice constitué de deux murs parallèles remplis de cailloux, très élevés pour diminuer la pente en direction de Cruseilles. Mais, peu solide, il s’écroula en 1818.

Le troisième pont remplaça le précédent. C’était un simple pont de bois construit provisoirement à Modèle:Unité en amont. Le pont Charles-Albert fut édifié avec une rapidité étonnante : les travaux commencés le 10 mars 1838 par les entreprises Blanc d’Annecy, Bonnardet de Lyon et Bertin de Paris furent terminés en 1839 (soit en 1 an et 4 mois). Selon la coutume, diverses pièces d’or et d’argent furent noyées dans la maçonnerie lors de la pose de la première pierre. Avant l’arrivée de l’hiver, les quatre tours étaient terminées et les câbles porteurs mis en place. Au total, 24 câbles, réunis en 3 groupes de 4 sur chaque côté du pont. Chacun de ces câbles était constitué de 154 fils de fer parallèles, ligaturés ensemble tous les Modèle:Unité.

Au sommet des tours, ils reposaient sur des rouleaux. Sur les deux rives, ils s’accrochaient à d’autres câbles qui descendaient s’amarrer sous terre dans des chambres d’ancrage. Puis on fixa aux câbles porteurs 266 câbles de suspente, 133 de chaque côté, pour supporter des poutrelles en bois de mélèze, sur lesquelles reposait la chaussée, faite d’un platelage en bois de peuplier.

L’inauguration officielle eut lieu le 11 juillet 1839 devant Modèle:Nombre. Le 7 octobre, le roi Charles Albert venait en personne inaugurer l’ouvrage qui devait pérenniser son nom.

La seule note discordante fut le péage, qui était perçu dans deux petits pavillons d’architecture néo-classique, bâtis sur les ancrages des câbles, côté Cruseilles, et dans une maisonnette perpendiculaire au pont côté Allonzier. Très vite, la société concessionnaire se plaignit au gouvernement que la population locale déployait toutes sortes de ruses pour échapper au péage. Le manque à gagner était d’autant plus sensible pour la société du Pont de la Caille que tous les services de l’État étaient exemptés de péage…

En 1861, des réparations sont nécessaires à la suite d’un violent orage et 8 ans plus tard, on cesse de percevoir un péage pour l’utilisation du pont. Après le rattachement de la Savoie à la France, l’État racheta ce péage qui fut supprimé en 1869. Ce même rattachement fit des Usses la frontière de la grande zone franche avec Genève.

Le pont de la Caille devint alors un poste de douane et les habitants de Cruseilles et d’Allonzier s’adonnèrent à une active contrebande. La douane resta au pont jusqu’en 1923 quand l’étendue de la zone fut réduite à ses dimensions actuelles.

Salève

Château des Avenières

Modèle:Coord

Fichier:Chateau des Avenieres.jpg
Château des Avenières.

C'est à une Américaine, Mary Wallace Schillito, que l'on doit le château des Avenières<ref name="B158">Buord, p. 158</ref>. Alors qu'elle se trouve en vacances à Genève, en 1904, elle part en excursion avec une amie, Marcelle Sénard, sur le Salève. Elle découvre l'actuel emplacement du château, où s'offre à son regard le panorama des Alpes, du Mont Blanc et du lac d'Annecy. Elle projette dès lors d'y faire construire une demeure<ref name="B158"/>. En 1905, la mort de son père, magnat des chemins de fer américains<ref name="D52">Dufour-Kowalski, p. 52</ref>, la laisse unique héritière d'une grande fortune. Les travaux du château débutent alors pour s'achever en 1907. Les trente-cinq pièces du château accueillent de grandes réceptions, où Mary va d'ailleurs rencontrer un ingénieur indien Assan Farid Dina, qui devient son mari en 1914<ref name="B158"/>. Il est né en 1871 à l'île Maurice, d'un père pakistanais et d'une mère française, morte prématurément à Ceylan<ref name="D52"/>.

Fichier:Château des Avenières à Cruseilles la chapelle mosaïque 2.jpg
Mosaïque de la chapelle du château, représentant la carte du « Chariot » des Tarots divinatoires.

Dina, en 1917, complète la construction du château par la réalisation d'une centrale électrique et la captation d'une source, dont les châtelains font également profiter les habitants des environs. Passionné d'ésotérisme et d'astronomie<ref name="B158" />, il envisage la construction d'un observatoire sur le Salève et fait construire une route menant au sommet. Il adjoint une chapelle au château, dont les murs portent l'inscription « L'Univers est un œuf, l'œuf est un Univers » et sont couverts de mosaïques représentant les cartes du Tarot d'après Oswald Wirth. Le château devient le lieu de rencontre de la bonne société parisienne, qui vient y débattre de philosophie, égyptologie et ésotérisme<ref name="B158"/>. En 1928, Assan Farid Dina fait un malaise et meurt en traversant le canal de Suez sur une goélette anglaise qui l'emmenait à Ceylan, où il avait le projet de se recueillir sur la tombe de sa mère<ref name="D52"/>. Mary Dina, devenue veuve, épouse en 1930 un pianiste belge : Ernest Britt. Le couple mène grand train et Britt dilapide la presque totalité de la fortune de Mary qui divorce en 1936 et vend le château avant de s'installer en Suisse<ref name="B159">Buord, p. 159</ref>.

Une société devient alors propriétaire du château qui abrite tour à tour plusieurs locataires, une congrégation religieuse polonaise de 1938 à 1939<ref name="R65"/>, puis, pendant la Seconde Guerre mondiale, dès 1942, le Secours Suisse aux Enfants de la Guerre y accueille de jeunes malades<ref>Limor Yagil, Chrétiens et Juifs sous Vichy, 1940-1944: sauvetage et désobéissance civile, éditions du CERF, 2005 Modèle:ISBN, p. 175</ref>. C'est ensuite le fameux collège de Juilly qui l'achète et s'y installe de 1948 à 1970<ref name="R65">Modèle:Ouvrage.</ref>. Parmi les élèves du collège, alors, on peut citer Claude Brasseur, Jean-Jacques Debout ou encore Philippe Noiret.

En 1970, c'est un négociant en vins d'Annemasse qui devient propriétaire du château, qui, à sa mort en 1978, est acheté par un architecte suisse Pascal Häusermann. Depuis 1994, c'est une société qui est propriétaire du château et l'exploite sous forme d'un hôtel-restaurant renommé<ref name="B159"/>. En 1996, Phil Collins s'y installe pendant quelques mois pour enregistrer Dance into the Light. La même année, José Giovanni y tourne Crime à l'altimètre. Puis en 2004, c'est Pascal Thomas qui y réalise les premières images de Mon petit doigt m'a dit...<ref>Mon petit doigt m'a dit …, Cinéma en Rhône-Alpes</ref>.

Le château des Avenières est maintenant recensé par le guide Condé Nast Johansens.

Fichier:Panorama depuis le château des Avenières.JPG
Panorama sur les Alpes, le lac d'Annecy et Cruseilles depuis le château des Avenières.

Bains de la Caille

Modèle:Article détaillé Les bains de la Caille sont un ancien établissement thermal établi en fond de vallée des Usses, alimenté par deux sources sulfureuses situées sur l'autre rive.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les armes du mandement de Cruseilles se blasonnaient ainsi : Une coquille d’argent sur gueules<ref>Modèle:Article.</ref>.

Voir aussi

Bibliographie

  • Modèle:Ouvrage.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Georges Humbert, Château des Avenieres - 100 ans d'histoire, éditions Unberger
  • Jo Verney et Modèle:Mlle Caela, Anciennes traditions et coutumes à Cruseilles, Echos saléviens, no 2, 1991.
Ouvrages mentionnant la commune
  • Emmanuel Dufour-Kowalski, Schwaller de Lubicz : L'œuvre au rouge, L'Âge d'Homme, 2007 Modèle:ISBN, Modèle:P. (lire en ligne).
  • Assan Farid Dina, La Destinée, la mort et ses hypothèses : Introduction par Emmanuel Dufour-Kowalski : Assan Farid Dina ou les Invariants de la Destinée, suivi d'un essai de décryptage des 22 Arcanes du Tarot en mosaïques du château des Avenières. Éditions Slatkine, Genève, 2012.Collection Nouvelle Bibliothèque Initiatique n°4. 422 pp.Modèle:ISBN.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Modèle:Références

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