Dirac (Charente)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Dirac est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
C'est une commune résidentielle à proximité d'Angoulême. Ses habitants sont les Diracois et les Diracoises<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Géographie
Localisation et accès
Située au sud-est de l'agglomération d'Angoulême, le bourg de Dirac est à Modèle:Unité du centre d'Angoulême<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.
La commune est traversée par les routes D 104 (route de Sers à Puymoyen) et D 101 (route de Garat à Torsac) qui passent dans le bourg, mais aussi la D 939, route d'Angoulême à Périgueux, qui passe à l'est de la commune et contourne la vallée de l'Anguienne. L'ouest de la commune est traversé par la D 81, route d'Angoulême à Villebois-Lavalette, ainsi que par la D 1000, rocade est d'Angoulême qui franchit la vallée de l'Anguienne par un viaduc<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.
Hameaux et lieux-dits
Depuis les années 1980, la commune a une forte occupation résidentielle de par la proximité d'Angoulême, et les lotissements sont souvent disséminés dans les chênes en lisière de la forêt de Dirac (hameaux des Ribondaines, du Got, de Puyrajoux, de Sauvignac, du Boisseau...).
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune occupe la partie calcaire crétacée du Bassin aquitain, qui elle-même se partage avec le Jurassique les trois quarts ouest du département de la Charente (Jurassique au nord, Crétacé au sud).
On trouve le Turonien (appelé aussi Angoumien), calcaire à rudistes, qui occupe la moitié de la commune en dessous d'une altitude d'environ Modèle:Unité, et le Coniacien, calcaire plus graveleux, au-dessus.
L'Angoumien a été exploité par des carrières de pierre de taille, souterraines ou à ciel ouvert, souvent reconverties en champignonnières ou abandonnées. Dans la commune, on en trouve chez Marty, ou dans les vallées de l'Anguienne et des Eaux-Claires, mais moins que plus en aval.
Ce plateau est toutefois recouvert par endroits de dépôts du Tertiaire, sous forme de sable argileux, galets quartzeux, silex. Ces zones pauvres, situées en hauteur et souvent boisées (pin maritime et châtaignier), sont appelées localement landes ou brandes. Sur la commune, cela concerne une petite zone au centre et une grande au sud-est, couvertes par la forêt de Dirac (à plus de Modèle:Unité d'altitude)<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe
Le relief de la commune est celui d'un plateau légèrement incliné vers l'ouest, d'une altitude moyenne de Modèle:Unité, bordé par les vallées de l'Anguienne au nord et des Eaux-Claires au sud. Le point culminant est à une altitude de Modèle:Unité, situé dans la forêt de Dirac près de la commune de Dignac. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé sur l'Anguienne en limite avec Angoulême au Lyon. Le bourg est à environ Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Anguienne, les Eaux Claires, et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Dirac est au bord de la vallée de l'Anguienne et aux sources de ce même ruisseau qui se jette dans la Charente à Angoulême et découpe son plateau<ref>Modèle:Sandre</ref>
Les Eaux-Claires, autre petit affluent de la Charente qui traverse la commune de Puymoyen et se jette dans la Charente à Saint-Michel-d'Entraigues, prend sa source en limite sud de la commune. D'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Torsac et se jette dans la Charente à Fléac, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Modèle:Climat Modèle:Article connexe
Végétation
Le bourg de Dirac forme une vaste clairière dans la forêt de Dirac qui occupe le plateau entre les vallées de l'Anguienne et des Eaux-Claires ainsi que tout le sud de la commune.
Urbanisme
Typologie
Dirac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,5 %), terres arables (14,9 %), prairies (14,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), zones urbanisées (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Dirac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 80,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 630 sont en aléa moyen ou fort, soit 95 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1999 et 2000. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Les formes anciennes sont Adiraco en 1110<ref>Modèle:Ref-Ang-Cartulaire</ref>, Adiriaco en 1120<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 2</ref>, Diraco en 1233, Dyracum au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>.
L'origine du nom de Dirac remonterait à un personnage gallo-romain Atirius (dériv de Atilius)<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>, ou germanique Adarus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine d'Atirius »<ref>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928</ref>.
Dialectes
La commune est en grande partie dans la langue d'oïl, et marque la limite avec le domaine occitan, dialecte limousin (à l'est et au sud)<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>. Modèle:Article connexe
Histoire
Préhistoire
Atelier de taille de plein air
Au Chêne Vert, un atelier moustérien de plein air de taille de silex a été révélé par un sondage en 2008 et des fouilles préventives en 2010 au centre d'instruction militaire du Modèle:1er Régiment d'Infanterie de Marine d'Angoulême (RIMA)<ref name="2012dawson">Modèle:Article.</ref>, à Modèle:Unité au sud-est de Dirac<ref name="geoportl">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).</ref>. Une datation, à prendre avec précaution, donne environ Modèle:Nb ansModèle:Sfn, soit le début du dernier cycle glaciaire ; mais il y a probablement eu une occupation antérieure dans les environsModèle:Sfn.
Dolmen la Pierre levade
Un acte de 1572 des terres de l'évêque mentionne un dolmen, la Pierre levade, aujourd'hui disparu<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB.</ref>.
Époque gallo-romaine
Des vestiges d'objets gallo-romains ainsi que des thermes rudimentaires datant du Haut Empire ({{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: ou|-| – | ou }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleIII
}}) ont été trouvés sur la commune<ref>Modèle:Ref-Charente-Vernou</ref>.
Une voie romaine secondaire allant d'Angoulême à Périgueux traversait l'ouest et le sud de la commune par le Lyon, Hurtebise, les Maisons Blanches<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Moyen-Âge
Au lieu-dit nommé Terre sarrasine<ref group=Note>Actuellement les Sarrazines, d'après la carte IGN, surplombant la vallée des Eaux Claires.</ref>, on a retrouvé vers le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de nombreux cercueils en pierre ; ce terrain était dans la tradition populaire un champ de sépultures des Sarrasins établis dans le pays, descendants des bandes d'Arabes repoussés en 732 par Charles Martel.
Vers le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la vallée de l'Anguienne presque tout entière appartenait aux moines de l'abbaye de Saint-Cybard d'Angoulême. La paroisse de Dirac a par la suite relevé de l'évêque d'Angoulême<ref name=gauguie/>.
Au Moyen Âge, principalement aux {{#switch: XIII
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}}, Dirac se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Villebois-Lavalette, Gurat et Aubeterre<ref>Modèle:Ref-Charente-Saint-Jacques</ref>.
Le château féodal de Dirac, dont il reste des oubliettes creusées dans le roc et deux tours, appartenait à l'une des plus vieilles et illustres familles de l'Angoumois, les Tison d'Argence. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, les Tison reconnaissaient à l'évêque le droit d'y séjourner lorsqu'il le requérait, Modèle:Citation.
L'évêque était aussi suzerain d'autres fiefs dans la paroisse, comme Puydonant<ref group=Note>Le toponyme semble disparu. Il serait à situer au sud de Frégeneuil vers Hurtebise et le Maine d'après le texte de 1318.</ref>. Lorsque l'évêque donnait sa première messe à la cathédrale Saint-Pierre d'Angoulême, lors du festin qui s'ensuivait, le seigneur de Puydonant devait fournir trois cuves, deux pour le vin qu'il prenait dans les caves de l'évêché, une pour l'eau, et devait surveiller que les invités ne manquent ni de vin ni d'eau pendant la durée du repas. À la fin, le restant lui appartenait. De plus, les Tison d'Argence devaient offrir le repas, découper le premier plat et le présenter à l'évêque lors de cette installation<ref name=mb/>,<ref>Modèle:Chapitre.</ref>.
L'évêque partageait aussi avec les seigneurs d'Argence le revenu sur les foires et la halle de Dirac<ref name=gauguie>Modèle:Ref-Charente-Gauguié</ref>.
Époque moderne
L'état des paroisses de 1686 précise que l'évêque d'Angoulême est le seigneur de cette paroisse de 139 feux dont la terre ne produit que peu de grain<ref>Histoire passion</ref>.
Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l'industrie dans la commune était encore représentée par quelques tuileries et moulins à eau (moulin Barré, Combe-Loup)<ref name=mb/>.
Administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 26,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 35,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,43 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Économie
Agriculture
La forêt occupe une grande partie du territoire communal.
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Dirac possède une école élémentaire comprenant quatre classes. Le secteur du collège est Soyaux<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sports et activités
- Stade des Ribondaines
Lieux et monuments
Église Saint-Martial
L'église Saint-Martial, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle a été remaniée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle est classée monument historique depuis 1913<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Château de Dirac
Le château de Dirac n'a conservé que ses deux tours médiévales des {{#switch: e
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}}. Elles encadrent le logis carré construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la place du logis primitif<ref name="Charente 1993">Modèle:Ref-Charente-Patri1993</ref>. Ce fief a appartenu pendant plusieurs siècles (dès 1180) à la famille Tizon d'Argence, famille importante de l'Angoumois, qui y ont établi une forteresse<ref>Modèle:Ref-Charente-Châteaux</ref>. Ses nouveaux propriétaires ont restauré l'ensemble dans les années 2010 et aménagé des chambres d'hôtes, et deux émissions de La Maison France 5 leur ont été consacrées en partie<ref>Modèle:Article</ref>.
Logis d'Hurtebise
Le logis d'Hurtebise actuel a été construit à partir de 1723 en respectant l'ancien logis et sa porte en plein cintre surmontée d'une bretèche<ref name="Charente 1993"/>.
Patrimoine environnemental
La forêt de Dirac occupe l'ouest et le sud de la commune.
Le GR 4 de Royan à Grasse et le GR 36 de la Manche aux Pyrénées sont confondus en un sentier commun qui contourne Angoulême par le sud et qui traverse la commune.
Personnalités liées à la commune
- Georges Ancel (1870-1960), homme politique sous la Troisième République, s'est retiré au château d'Hurtebise.
- Paul Dirac (1902-1984), physicien et mathématicien britannique, colauréat (avec Erwin Schrödinger) du prix Nobel de physique de 1933, dont la famille paternelle est issue de Dirac<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Gabriel Andrew Dirac (1925-1984), mathématicien, beau-fils de Paul, un spécialiste de la théorie des graphes.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Charente
- Sentier de grande randonnée GR 4
- Sentier de grande randonnée GR 36