Edgar de Wahl

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Modèle:Méta bandeau d'avertissement{{#ifeq:||{{#if:||{{#if:février 2023||}}}}}} Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Edgar de Wahl (de son nom originel Edgar von Wahl), né à Olviopol le Modèle:Date et mort le Modèle:Date à Talinn, est un linguiste germano-balte connu pour avoir créé l'occidental, une langue auxiliaire internationale aussi connue sous le nom d'interlingue.

Biographie

Jeunesse

Il a raconté lui-même<ref>Modèle:Article</ref> comment, dans son enfance, il parlait allemand en famille, russe à l'école et estonien dans la rue ; il profitait aussi de la présence d'une domestique française pour s'exercer en français. Au lycée, naturellement, on lui enseigna le latin et le grec. Il se sentait passionné par l'étude des langues et aurait bien souhaité s'y consacrer mais, quand il voulut suivre des cours de linguistique à l'université, il constata qu'ils étaient si ennuyeux qu'il préféra suivre son goût pour la mer et étudier les mathématiques, l'astronomie et la physique pour devenir officier de marine. Par la suite il fut professeur de physique jusqu'à sa retraite, tout en enseignant en même temps le dessin, car il semble avoir été curieux de tout, mais son goût persistant pour l'étude des langues l'amena à se pencher sur la question des langues artificielles.

Carrière

Fin 1887 ou début 1888 il suivit une conférence donnée par un collègue de son père, l'ingénieur Rosenberger (le futur créateur de l'idiom neutral), sur le volapük qui était alors en vogue. Il constata qu'il était possible de le lire et de l'écrire assez facilement mais qu'il était beaucoup plus difficile de le parler en raison de la trop grande similitude entre les mots et les affixes<ref>Il est intéressant de voir que de Wahl ne fait pas allusion à la difficulté du vocabulaire, qui se voulait tellement neutre que personne n'arrivait à le retenir et que son auteur même devait sans cesse recourir au dictionnaire ; mais le fondateur de l'occidental semble avoir disposé d'une mémoire exceptionnelle dans ce domaine. N'avait-il pas dans son enfance élaboré une langue « indienne » qui devait servir à lui et à ses camarades pour leurs jeux ? Il fut en fait le seul à l'apprendre.</ref>. Il n'en commença pas moins à composer un dictionnaire de marine mais, ayant appris l'existence de l'espéranto, il passa bien vite à cette nouvelle langue. Pendant quelques années il pratiqua la nouvelle langue, essayant de convaincre Zamenhof de la nécessité de réformer sa langue et échangea à ce sujet une correspondance perdue : aucun des deux n'imaginait que ces lettres pussent avoir un jour de l'intérêt. Lors du vote sur la proposition de réforme, en 1894, il se prononça pour des changements profonds et il aurait voulu aller encore plus loin. Quand la réforme fut repoussée, à la majorité, il perdit tout intérêt pour l'espéranto et commença son propre travail de recherche.

Edgar de Wahl (à droite) avec Hans Hörbiger, Johann Robert Hörbiger et Engelbert Pigal lors d'une réunion occidentaliste en 1927.
Edgar de Wahl (à droite) avec Hans Hörbiger, Johann Robert Hörbiger et Engelbert Pigal lors d'une réunion occidentaliste en 1927.

C'est en 1922 qu'il publia les principes de sa nouvelle langue et fit paraître le premier numéro d'une revue intitulée Kosmoglott (puis Cosmoglotta), rédigée en occidental. Les années suivantes, de Wahl prit part aux discussions autour de l'occidental, permettant à la langue d'évoluer selon les remarques de ses utilisateurs.

Une triste fin de vie

Quand commença la Seconde Guerre mondiale il n'eut plus que des relations intermittentes avec le mouvement occidentaliste, alors centralisé en Suisse. Après la première invasion de l'Estonie par les Soviétiques, sa femme fut arrêtée et disparut ; quand les Allemands leur succédèrent en 1941, il put renouer quelques contacts et c'est avec quelques amis venus de Suisse qu'il put célébrer, sinon fêter, son Modèle:75e. Après le bombardement de sa maison, il dut se réfugier dans un sanatorium où il partageait la chambre d'un individu inculte et brutal. Il n'en continua pas moins à travailler, mais tous les papiers qu'il écrivit alors ont été perdus.

Le retour définitif des Soviétiques brisa tout contact entre lui et ses disciples. Ses amis essayaient de le joindre en lui écrivant en français pour ne pas éveiller la suspicion et en n'employant jamais le mot « occidental », qui pouvait être mal pris ; seule une lettre leur parvint un jour, leur demandant pourquoi ils ne lui répondaient jamais. Finalement la dernière lettre envoyée revint avec la mention que le destinataire était décédé<ref>Tous ces renseignements sont tirés de Ric Berger, Historia de Occidental </ref>. Ce qui est étrange, c'est que ses conceptions interlinguistiques se rapprochaient d'une certaine manière de celles de Staline. Selon Staline, en effet<ref>Cité par Pierre Burney dans Les langues internationales, P.U.F</ref>, il y aura d'abord des Modèle:Lien qui se seront dégagées des centaines de langues nationales en contact. Modèle:Citation… Et l'occidental aurait fort bien pu être une de ces langues zonales provisoires, Pierre Burney le dit expressément au sujet de l'interlingua). On sait que le « chef génial » s'occupait de tout, mais le linguiste et le dictateur se sont ignorés jusqu'à la fin.

Occidental

Modèle:Article détaillé

Contexte

Les efforts de De Wahl pour créer une nouvelle langue idéale pour la communication internationale ont commencé par un intérêt général pour les langues artificielles dans l'Empire russe à la fin du Modèle:S mini- et au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. De Wahl s'est d'abord intéressé au Volapük récemment créé en 1887 en étant initié à la langue par le collègue de son père, Waldemar Rosenberger, à Saint-Pétersbourg. Il est devenu un défenseur actif de Volapük, recevant le titre de "chacun de Volapük" et a commencé à compiler un lexique maritime à Volapük (bien que ce projet n'ait jamais été achevé). Au début de 1888, il a été initié à l'espéranto et y est passé<ref name="IR">Modèle:Article</ref>.

Le linguiste estonien Paul Ariste a écrit que de Wahl s'est rapidement fait l'avocat du créateur de l'espéranto, l'ophtalmologiste L. L. Zamenhof, et son travail après avoir pris connaissance de le premier manuel d'espéranto, publié en 1887.Modèle:Sfn Il a rapidement influencé la grammaire de l'espéranto et son vocabulaire<ref>Modèle:Lien web</ref>. De Wahl a également été l'un des fondateurs de Espero, la première société d'espéranto de Russie fondée à Saint-Pétersbourg en 1891, et est devenu correspondant du magazine La Esperantisto. Il a traduit le russe fiction en espéranto et compilé un dictionnaire espéranto-espagnol.Modèle:Sfn,Modèle:Sfn

Cependant, de Wahl ne s'aligne pas définitivement sur l'espéranto, commençant la recherche d'une nouvelle langue artificielle :

Modèle:Citation bloc

De Wahl s'est éloigné de l'espéranto après que les propositions de réforme de la langue (dont de Wahl était fortement en faveur, en ayant proposé lui-même)<ref name="IR" /> ont été rejetées par la plupart Les espérantistes en 1894.Modèle:Sfn Selon Ojalo, de Wahl considérait également l'espéranto comme une langue "a priori" (originale, contrairement à une langue plus naturaliste langages, tels que Euroclones). Il a conclu que la langue internationale idéale devrait être plus naturaliste et compréhensible même pour ceux qui ne l'avaient pas apprise. De Wahl considérait également l'espéranto comme trop démocratique, ce qui menaçait la culture occidentale.Modèle:Sfn

Création et présentation

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Le symbole d'interlingue

De Wahl a fait les premiers pas pour créer une nouvelle langue dans les dernières années du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1896 et 1897, il publie deux articles dans le magazine hanovrien Linguist, dans lesquels il présente ses idées. À peu près à la même époque, Waldemar Rosenberger, qui était à l'époque président de l'Académie Volapük, a présenté aux membres de l'académie une nouvelle langue de sa propre création, Idiom Neutral. À partir de 1906, Rosenberger publie également le magazine Progress , dans lequel de Wahl fait ses propres propositions de réformes de la langue, que Rosenberger adopte un an plus tard en 1907. Malgré la réforme, l'Idiom Neutral ne gagne pas en popularité. Parallèlement, de Wahl a développé une nouvelle langue auxiliaire internationale, basée sur les langues romanes, appelée Auli, un acronyme pour Auxiliari Lingue International dans cette langue (français: langue auxiliaire internationale), qui deviendra plus tard l'étape intermédiaire de l'occidental. de Wahl a introduit Auli en 1909 dans la revue Academia pro Interlingua – Discussiones. En 1911, de Wahl a formulé la règle de formation des mots (connue sous le nom de règle de De Wahl) qui formerait la base d'Occidental.Modèle:SfnModèle:Sfn

Le symbole d'Occidental, représentant un tilde encerclé, a été introduit avant 1934 et a été sélectionné parmi plusieurs variantes pour sa simplicité et son symbolisme<ref name="pigal">Engelbert Pigal (1934). Li question del insigne de occidentalCosmoglotta (92), p. 7. (in Interlingue)</ref>.

Fichier:First issue of Cosmoglotta, 1922.jpg
Premier numéro du magazine Kosmoglott publié en février 1922.

En 1916, des passionnés du langage artificiel russe fondent l'association Kosmoglot à Saint-Pétersbourg. De Wahl n'était pas l'un de ses fondateurs, mais l'a rejoint plus tard, tout comme le linguiste estonien Jakob Linzbach. De Wahl est devenu un porte-parole de «l'école naturaliste» de l'association; ouvrant ainsi la voie à la création d'Occidental. Avec les événements révolutionnaires de 1917 et le départ de ses membres de Saint-Pétersbourg, les activités de l'association s'estompent, se terminent entièrement en 1921, mais reprennent à Tallinn la même année. Les activités de l'association ont été relancées par de Wahl avec Linzbach, et le nom de l'association a été changé en Kosmoglott. Des liens ont été maintenus avec les anciens membres de l'association, qui opéraient dans plusieurs pays européens. De Wahl est également rédacteur en chef du magazine Kosmoglott publié par l'association de 1922 à 1926. Dans son premier numéro, de Wahl présente le langage artificiel qu'il a créé, Occidental. De 1923 à 1928, il promeut également la langue dans la série Occidental, unic natural, vermen neutral e max facil e comprensibil lingue por International relationes. Wahl a publié un livre en 1925 intitulé Radicarium directiv del lingue International (Occidental) en 8 lingues.Modèle:SfnModèle:SfnModèle:Sfn

Diffusion

Fichier:OCCIDENTAL-Runde Mauer bei Wien 1927.jpg
De Wahl avec les Occidentalistes à Vienne en 1927 : de gauche à droite Hanns et Johann Robert Hörbiger, Engelbert Pigal et de Wahl

Le premier numéro de la revue Kosmoglott contenait une lettre envoyée à la Société des Nations le 5 septembre 1921, recommandant l'introduction d'une langue parfaite qui serait facilement acquise, pas nécessairement la langue planifiée la plus courante, pour la communication entre les peuples. Afin de trouver une langue appropriée, il a été recommandé qu'un concours soit organisé et que les candidats soient évalués par un comité d'experts convoqué par la Société des Nations. La proposition n'a pas été examinée par la Société des Nations.Modèle:Sfn<ref name="kosmoglott">Kosmoglott e li Liga de Nationes (in Interlingue, French)– Kosmoglott 1922 (1), pp. 3–5.</ref>

Malgré cet échec, la langue occidentale attire les interlinguistes ; en particulier les passionnés d'Ido (les espérantistes sont restés fidèles à leur langue). Selon Ariste, des conflits internes parmi les Idistes et un appel personnel de de Wahl ont conduit beaucoup à promouvoir la langue.Modèle:Sfn Parallèlement à la croissance de la popularité de la langue, l'activité de l'association Kosmoglott a diminué et en décembre 1928, un événement en commémoration de Waldemar Rosenberger, décédé 10 ans plus tôt, a eu lieu étant le dernier événement plus important de la société.Modèle:Sfn

Fichier:E. de Wahl e. O. Jespersen.jpg
Edgar de Wahl (à gauche) et Otto Jespersen

Cependant, au cours des années 1920, de nouvelles sociétés occidentales émergent. En 1927, l'International Cosmoglotta Association est fondée, rebaptisée un an plus tard Occidental-Union. À partir de 1927, Kosmoglott commença à être publié à Vienne (au lieu de Tallinn) sous le nouveau nom de Cosmoglotta. Dans le dernier numéro publié à Tallinn, de Wahl a publié, entre autres, le poème de Lydia Koidula sous le titre "Max car donation" (Dearest Gift). Le succès de la nouvelle langue a apporté une renommée internationale à de Wahl. Il s'exprima publiquement dans divers pays européens et communiqua étroitement avec des linguistes. En 1939, il était probablement le seul Estonien à être invité à la Modèle:5e Conférence linguistique à BruxellesModèle:Sfn. Pendant ces périodes, il était en discussions actives avec le linguiste danois et auteur d'une autre langue planifiée Novial Otto Jespersen qui a abouti à leur rencontre et à la publication de ses résultats dans un livre séparé<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Cependant, contrairement à Jespersen, de Wahl était un linguiste amateur. Ses activités linguistiques n'ont jamais atteint des problèmes linguistiques théoriques plus larges, mais se sont limitées à la construction de sa propre langue artificielle et à la résolution de problèmes connexes.Modèle:Sfn

Bien qu'Occidental ait connu un succès significatif à la fin des années 1920 et dans les années 1930, il n'a jamais atteint la popularité de l'espéranto. Contrairement à l'espéranto, qui est devenu une langue populaire parmi les mouvements ouvriers, les locuteurs occidentaux de l'entre-deux-guerres étaient principalement des intellectuels d'Europe occidentale.Modèle:Sfn Plus tard, près et après la mort de de Wahl, des discussions ont commencé parmi les Occidentalistes sur l'opportunité de changer le nom de la langue. Ric Berger, un Occidentaliste de premier plan de Suisse, a cité des rapports du bloc de l'Est selon lesquels le nom Occidental était un obstacle à la promotion de la langue. Berger s'était également pris d'affection pour la langue Interlingua qui était sur le point d'être publiée<ref>Modèle:Lien web</ref> et il a commencé à envisager une possible fusion entre les deux langues<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ces deux facteurs ont convaincu Berger de commencer à préconiser le nouveau nom Interlingue en février 1948<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le changement de nom prit effet en octobre de l'année suivante<ref>Modèle:Lien web</ref> et l'Occidental-Union devint l'Interlingue-Union, telle qu'elle est aujourd'hui. L'association a sa propre académie et le magazine Cosmoglotta continue d'être publié par l'association.Modèle:Sfn

Vie privée

Famille

De Wahl épousa Maria von Hübbenet (la fille du médecin personnel de la grande-duchesse Maria Pavlovna), à Saint-Pétersbourg en 1894. Ils eurent cinq enfants : Johann ou Hans, Guido, Ellen, Anatol et Lydia Maria. Le mariage a été dissous en 1913, après quoi Johann, Guido et Lydia sont restés avec Edgar tandis qu'Anatol est resté avec sa mère, qui a déménagé en Finlande, et quelque temps plus tard, Lydia Maria s'y est également rendue. Les deux fils aînés de De Wahl ont déménagé en Allemagne au début de la Première Guerre mondiale, où ils ont servi dans l'armée. Guido a passé de courtes vacances à Tallinn pendant l'occupation allemande, mais à la fin de 1918, il a disparu.Modèle:Sfn Selon une source, il est mort dans une bataille contre les bolcheviks près de Tukums, en Lettonie, en 1919.Modèle:Sfn

En 1914, de Wahl épousa Agnes Riesenkampff. Comme son mari, Agnès était enseignante, enseignant la gymnastique à Tallinn.Modèle:Sfn En 1917, leur fille Veronika est née.Modèle:Sfn Le sort d'Agnès est longtemps resté flou. En 1946, il a été suggéré qu'elle avait disparu lors des migrations forcées de juin 1941<ref>Modèle:Article</ref>, mais on sait maintenant qu'elle a été arrêtée et abattue par le NKVD en 1941.Modèle:Sfn

Voile

En plus de la linguistique, Edgar de Wahl était un marin amateur. En 1895, il devint membre de l'Estonian Imperial Maritime Yacht Club [et], et dans les années suivantes en fut un membre actif, rejoignant son comité technique et étant le secrétaire du club. Il a produit un annuaire dédié au Modèle:25e anniversaire du club en 1913. En 1922, de Wahl est devenu membre honoraire du club. Il a possédé plusieurs yachts au fil des ans, dont l'un, un ketch appelé Auli, qu'il aurait conçu lui-même.Modèle:Sfn

Publications

  • Edgar von Wahl. Flexion und Begriffsspaltung. – Linguist 1896, nr 10.
  • Edgar von Wahl. Ausnahmen. – Linguist 1897, nr 3.
  • Edgar von Wahl. [Idiom neutral reformed]. – Progres 1906, nr 6.
  • Julian Prorók. Ketzereien: Keimzellen einer Philosophie. Tartu, Leipzig 1906.
  • Edgar von Wahl. AULI = Auxiliari lingue International. – Discussiones 1909, nr 1-2.
  • Edgar von Wahl. Li leges de derivation en verbes. - Lingua Internationale 1911, nr 1.
  • Edgar von Wahl. Kaiserlicher Estländischer See-Yacht-Club: historische Übersicht 1888-1913. Tallinn 1913.
  • Edgar von Wahl. Qual instructiones da nos li historie de lingue universal. – Kosmoglott 1922, nr 1, lk 6–8.
  • Edgar von Wahl. Radicarium directiv del lingue international (occidental): in 8 lingues. Tallinn 1925.
  • Edgar von Wahl. Interlinguistic reminiscenties. – Cosmoglotta 1927, nr 41, lk 54–64.
  • Edgar von Wahl. Occidental: gemeinverständliche europäische Kultursprache für internationalen Verkehr: Begründung, Grammatik, Wortbildung, vergleichende textproben. Tallinn, Viin 1928.
  • Edgar von Wahl, Otto Jespersen. Discussiones inter E. de Wahl e O. Jespersen. Chapelle 1935.
  • Edgar von Wahl. Spiritu de interlingue. Cheseaux/Lausanne, 1953.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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