Embres-et-Castelmaure
Modèle:Infobox Commune de France Embres-et-Castelmaure <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française, située dans le Sud-Est du département de l'Aude en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Barrou, le Rivière Tarrasac, le ruisseau de Nouvelle et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « Corbières orientales » et les « basses Corbières ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Embres-et-Castelmaure est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1886. Ses habitants sont appelés les Embrémaurais ou Embrémauraises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la chapelle Saint-Félix de Castelmaure, inscrite en 1948.
Géographie
Localisation
Embres-et-Castelmaure est une commune située dans les Corbières, sur le terroir Corbières (AOC). Elle est limitrophe du département des Pyrénées-Orientales.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Modèle:... Embres-et-Castelmaure se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)<ref>Plan séisme</ref>.
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »<ref>Modèle:Lien web</ref>, au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Barrou, la rivière Tarrasac, le ruisseau de Nouvelle, le ruisseau de Bidaula, le ruisseau de Madaychou, le ruisseau de Roujou, le ruisseau des Agasses, le ruisseau de Saint-Bernard, le ruisseau des Arbres Blancs et le ruisseau des Pézès, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le Barrou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune et s'écoule vers l'est puis se réoriente au nord. Il traverse la commune et se jette dans la Berre à Durban-Corbières, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La rivière Tarrasac, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest puis vers le sud. Elle traverse la commune et se jette dans le Verdouble à Paziols, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Durban-Corbières », sur la commune de Durban-Corbières, mise en service en 1989<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive oiseaux<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> : :
- les « basses Corbières », d'une superficie de Modèle:Unité, un site important pour la conservation des rapaces : l'Aigle de Bonelli, l'Aigle royal, le Grand-duc d’Europe, le Circaète Jean-le-Blanc, le Faucon pèlerin, le Busard cendré, l'Aigle botté<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « corbières orientales », d'une superficie de Modèle:Unité, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :
- les « garrigues de Vingrau » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 2 dans l'Aude et 1 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- le « massif du Montoulié de Périllou » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 5 dans l'Aude et 1 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- la « rivière du Barrou et ruisseau de la Grave » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
et deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :
- les « Corbières centrales » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « Corbières orientales » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 12 dans l'Aude et 7 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Embres-et-Castelmaure.
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Embres-et-Castelmaure est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (76,1 %), cultures permanentes (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,4 %), forêts (3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Embres-et-Castelmaure est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 34,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 161 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Embres-et-Castelmaure est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Histoire
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Embres-et-Castelmaure est membre de la communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée<ref name="meta2"/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Claira. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Narbonne, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Corbières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2"/>, et de la première circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 2010<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 70,1 % d'actifs (61 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 29,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 48 en 2013 et 44 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 51, soit un indicateur de concentration d'emploi de 115,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 51 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 39 travaillent dans la commune, soit 77 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 74,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 21,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
10 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Embres-et-Castelmaure au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 10 entreprises implantées à Embres-et-Castelmaure), contre 32,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région viticole »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la viticulture (appellation et autre)<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricoleModèle:Note de 1988 à 27 en 2000 puis à 22 en 2010<ref name=Agreste/>, soit une baisse de 44 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 52 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Chapelle Saint-Félix de Castelmaure. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1948<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Chapelle Notre-Dame-de-l'Olive d'Embres-et-Castelmaure.
- Église Saint-Étienne d'Embres-et-Castelmaure.
- Serre de Castelmaure, vaste ensemble calcaire qui marque l'ancienne frontière avec le royaume d'Aragon et l'actuelle Catalogne.
- Château de Castemaure.
-
Chapelle Saint-Félix.
-
Chapelle Saint-Félix.
-
La cave coopérative.
-
Ruines du château de Castelmaure.
Personnalités liées à la commune
- Paul Courrent<ref>Joseph Poux, « Panégyrique du docteur Courrent », dans Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude, 1928, Modèle:38e année, tome 32, Modèle:P. (lire en ligne)</ref>,<ref>Marie Debosque, « Un humaniste embresien.. », dans Lurio des quatre saisons, décembre 2005, Modèle:N°, Modèle:P.</ref>, né le Modèle:Date- à Lavelanet (Ariège) et décédé le Modèle:Date- à Embres-et-Castelmaure. Il a été médecin, historien, viticulteur, maire d'Embres-et-Castelmaure de 1919 à 1941, chevalier de la Légion d'honneur en 1932<ref>Modèle:Base Léonore</ref>, président fondateur de la cave coopérative et de la Société des vignerons d'Embres-et-Castelmaure, président de la Société d'études scientifiques de l'Aude en 1926.
- Georges Marius Taba, né le Modèle:Date- à Embres-et-Castelmaure et décédé le Modèle:Date- à Bordeaux. Chef d'escadron d'artillerie. Chevalier puis officier de la Légion d'honneur.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Paul Courrent, « Embres-et-Castelmaure. Les vicomtes de Narbonne, seigneurs de Castelmaure et de Saint-Jean-de-Barrou. Titres et privilèges des communautés de Saint-Jean et de Castelmaure. Les d'Arsse et les Caussat, seigneurs de Castelmaure en 1651 et 1746. Branche de Pompadour habitant Castelmaure. Les de Volontat », dans Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude, 1928, Modèle:38e année, tome 32, Modèle:P. (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Embres-Castelmaure.fr le site officiel de la Mairie
- Embres-et-Castelmaure sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes