Ensisheim
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Ensisheim prononcé Modèle:API-fr, en alsacien Ansa, est une commune du bassin potassique, située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la Collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est (France).
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
Ensisheim est située entre Mulhouse et Colmar, la ville borde l'autoroute A35. Ensisheim est située dans un bassin potassique, la potasse ayant été exploitée dans la région jusqu'en 2002. Ensisheim fait partie de la Communauté de communes du Centre Haut-Rhin et du pays Rhin-Vignoble-Grand Ballon. Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Urbanisme
Typologie
Ensisheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ensisheim, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,2 %), forêts (33,5 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), mines, décharges et chantiers (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Un tumulus de l'époque de Hallstatt, typique de la culture tumulaire de l'Europe médiane, est mis au jour en 1881, s'il ne comporte apparemment aucun vestige de char de parade, il a livré de l'or ouvragé, notamment un beau torque, un bracelet, un annelet et surtout du ruban fin, qui servaient probablement de placage d'or sur diverses surfaces métallique, textile, céramique ou bois<ref>S. Plouin, « Le tumulus princier d'Ensisheim (Haut-Rhin) », in Revue archéologique de l'Est et du Centre-est, 1988, vol. 39, no 1-2, Modèle:P..</ref>.
Ces objets sont aujourd'hui exposés au musée Unterlinden de Colmar<ref>« Les bijoux en or d’une sépulture princière », Musée Unterlinden.</ref>.
Le nom Ensisheim apparaît en 765 sous Enghisehaim, puis en 768 sous Engehisehaim, pour ensuite devenir Ensigesheim en 823, ces noms figuraient dans des donations de terrains. Quant à l'origine du nom, « heim » signifie foyer fiscal, demeure ou chez-soi en langue alémanique, et est associé à une racine plus ancienne Enghise ou Engehise, où certains toponymistes entrevoient un anthroponyme « Enghise »<ref>R. Oberlé & Sittler L., 1980. Dictionnaire du Haut-Rhin, tome 1, Ed. Alsatia</ref> ; toutefois, d'autres explications ont été proposées, par exemple une expression gauloise désignant une simple levée de terre ou hauteur étroite ou anguleuse, où se situe l'habitat construit. Quant à l'étymologie faisant dériver le nom du latin « Ensis » signifiant glaive, c'est un jeu de mots des Humanistes du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, qui n'explique pas les formes anciennes du nom.
Ensisheim n'était qu'une petite agglomération composée de quelques cours colongères propriétés des seigneurs laïcs ou ecclésiastiques dont les tenanciers formaient un « ding », un tribunal, et géraient leurs affaires selon leurs coutumes.
Rodolphe de Habsbourg, le plus connu, construit un château fort : le Koenigsbourg. On peut encore apercevoir des restes de fondation dans le parc de la maison de retraite actuelle. Le rabbin Meïr de Rothenburg y était incarcéré vers la fin du 13ème siècle.
La ville d'Ensisheim devient en 1431 la capitale de l'Autriche antérieure<ref>Ensisheim, capitale de l'Autriche antérieure. Citée comme Ville en 1277…</ref>, entité constituée des dépendances des Habsbourg à l'ouest de l'Arlberg. La paix d'Ensisheim y est signée le Modèle:Date-.
Le Modèle:Date-, une météorite tomba dans un champ de blé près du village, dans l'actuel Quartier des Octrois. Elle s'enfonça à plus d'un mètre sous terre. Une fois ramassée, la météorite d'Ensisheim présentait un poids d'environ Modèle:Unité. Elle fut divisée en morceaux, dont un de Modèle:Unité qui resta à la commune ; elle est exposée actuellement au Musée de la Régence<ref>Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio.</ref>.
Le Modèle:Date-, ouverture d'un collège jésuite à Ensisheim.
En 1658, Ensisheim, devenue française à la suite des traités de Westphalie, fut choisie comme siège du Conseil souverain d'Alsace. En 1674, Ensisheim perdit ce siège au profit de Vieux-Brisach (Breisach-am-Rhein). À la suite du traité de Nimègue (1679), le Conseil souverain d'Alsace fut transféré à Colmar.
Le Modèle:Date-, Ferdinand Jean Altmeyer, condamné à mort par la Cour d'Assises du Haut-Rhin pour avoir égorgé un codétenu de la maison centrale d'Ensisheim, est guillotiné sur une place publique d’Ensisheim.
Après la prise de Mulhouse, le Modèle:Date-, Ensisheim fut exposée au feu de l'artillerie et aux bombardements jusqu'au Modèle:Date-, date de sa libération par le [[21e régiment d'infanterie colonial|Modèle:21e d'infanterie colonial]]. Il en est résulté de graves dommages à deux beaux édifices, l'hôtel de la Couronne et l'Hôtel de ville, qui ont été restaurés depuis.
La commune a été décorée, le Modèle:Date-, de la croix de guerre 1939-1945<ref>Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 .</ref> avec étoile de bronze.
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason-ville-fr
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Source : Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Finances locales
En 2015, les finances communales était constituées ainsi<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 11,66 % ;
- taxe foncière sur le bâti : 13,79 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,61 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,19 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,89 %.
Démographie
Ensisheim s'agrandit d'année en année, grâce à de nouvelles constructions (lotissements, résidences, logements locatifs…).
Selon le dernier recensement en 2017, la population compte Modèle:Nombre.
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Un collège public d'enseignement secondaire (le collège Victor-Schœlcher), deux écoles élémentaires (Jean-Rasser et Mines les prés fleuris) ainsi que trois écoles maternelles (Oréades, Saint-Martin et Mines les pâquerettes) sont installés à Ensisheim.
Économie
Exploitation minière
Logistique
Lieux et monuments
-
Le Palais de la Régence, construit à la Renaissance, abrite aujourd'hui un musée. -
L'église néo-gothique. -
Les vitraux de l’église Saint-Martin. -
Auberge de la Couronne. -
Maison, 4 rue de l'Église. -
La chapelle Saint-Jean.
- Bijoux en or de la sépulture princière (Musée Unterlinden)
-
Torque en fine tôle d'or. -
Détail des motifs estampés du torque. -
Bracelet lisse à extrémités emboîtées. -
Rubans en tôle d'or servant d'éléments décoratifs.
- Ensisheim dispose du musée de la Régence qui rassemble au sein du Palais de la Régence, qui fut un temps l'hôtel de ville d'Ensisheim<ref>Modèle:Base Mérimée Hôtel de Ville classé par arrêté du 6 décembre 1898</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée Établissement Administratif dit Hôtel de la Régence, classé MH en 1898</ref> (édifice datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) un espace archéologique, un espace néolithique et un espace consacré à l'histoire minière.
- l'espace archéologique présente une collection archéologique qui évoque l’arrivée en Alsace des premières communautés rurales de la civilisation dite de la Céramique rubanée. Originaires d’Europe centrale, elles se sont sédentarisées au sud d’Ensisheim au cours du Modèle:M mini- millénaire Modèle:Av JC ;
- l'espace du Néolithique abrite aujourd'hui de nombreux trésors, mais l'un d'eux ne doit rien aux hommes : la formidable météorite, tombée sur le ban de la ville en 1492. Cet astéroïde est le plus ancien dont la chute a été observée, qui est conservé dans le monde occidental. On y trouve également de nombreux objets retraçant l'histoire riche de la ville. Ainsi, du {{#switch: au
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
}}, Ensisheim a vu son destin lié à celui des Habsbourg qui en firent la capitale de leurs possessions rhénanes ;
- l'espace du mineur présente, dans une vaste salle, des documents, des outils et des objets variés qui permettent de découvrir la grande page d’histoire minière qu’Ensisheim a vécue au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les trois puits, creusés à partir de 1912, permirent la difficile exploitation des couches profondes du gisement de potasse d’Alsace par plus de Modèle:Unité de fond et Modèle:Unité. Les collections présentées, telle que celle des lampes de mineurs, aident à comprendre l’évolution des techniques d’exploitation et illustrent la vie courageuse des hommes qui les mirent en œuvre. Un buste de mineur animé (par mapping) relate son expérience de l'exploitation de la potasse.
- des tablettes mise à disposition des visiteurs ainsi que des carnets de découverte pour les enfants permettent de compléter et de mieux appréhender la découverte des collections. Des visites guidées sont organisées ponctuellement (et également sur demande).
- La nécropole néolithique d’Ensisheim est l’une des plus importantes de France<ref>Illustration des pratiques funéraires au Bronze final en Alsace - Volume 1</ref>,<ref>La nécropole d’Ensisheim/Reguisheimerfeld (Haut-Rhin) : illustration des pratiques funéraires au Bronze final en Alsace - Volume 2</ref> : 45 sépultures mises au jour, dont une reconstituée au musée, ont livré leurs secrets et permis de mieux connaître la vie quotidienne et les rites funéraires de cette surprenante civilisation. Les plus anciennes céramiques connues en Alsace ont été retrouvées à Ensisheim, ainsi que le crâne d’un homme ayant survécu, il y a Modèle:Unité, à une double trépanation. Une prouesse technique à l’époque du silex.
- Le Palais de la Régence<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> accueille tout au long de l'année des manifestations variées et est notamment le lieu d'une bourse mondiale de vente et de rencontre des chasseurs et collectionneurs de météorites.
- L'ancien hôtel de l'Intendant d'Alsace, dit ancienne École des Filles construite au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et résidence du bailli impérial de l'Autriche antérieure. Les façades, toitures et tour d'escalier avec ses portes palières ont été inscrites sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 19 novembre 1990<ref>Modèle:Base Mérimée Ancien hôtel de l'Intendant d'Alsace, dit ancienne École des Filles. Façades, toitures et tour d'escalier avec ses portes palières inscrites sur l’inventaire supplémentaire par arrêté du 19 novembre 1990</ref>. Le bâtiment abrite aujourd'hui l'hôtel de ville.
- L'église paroissiale Saint-Martin<ref>L'église Saint-Martin</ref>,<ref>Les vitraux de l'église Saint-Martin</ref>. Construite de 1857 à 1869, sur l'emplacement de l'ancienne<ref>Modèle:Base Mérimée Église Paroissiale Saint-Martin</ref>,
- et son orgue de Martin Rinckenbach de 1897<ref>Inventaire de l'orgue</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy orgue, style néo-gothique</ref>.
- La chapelle Saint-Jean-Baptiste<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La chapelle Saint-Erhard, actuel temple protestant<ref>La chapelle Saint-Erhard, actuel temple protestant</ref>,
- et son orgue<ref>Modèle:Base Palissy Orgue du collège de jésuites, puis prison</ref>.
- Monuments commémoratifs et cimetière Saint-Martin<ref>Monument aux Morts, Stèle commémorative A.F.N.</ref>,<ref>Le monument aux morts</ref>,<ref>Stèle commémorative : Sergent Maurice Vincent</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- L'auberge de la Couronne<ref>L'Auberge de la Couronne</ref>, construite en 1609-1610 pour loger les officiers de la Maison d'Autriche en poste à Ensisheim<ref>Auberge de la Couronne</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée Auberge dite « Auberge de la couronne », Édifice inscrit partiellement à l’inventaire supplémentaire des MH en 1935</ref>.
- La Maison Peschery, 4 rue de l'Église, datée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée Façade sur rue avec oriel : inscription par arrêté du 15 février 1935</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée Maison Peschery. La date 1618 était inscrite sur la tourelle d'escalier</ref>,<ref>La Maison Peschery</ref>.
- Au centre-ville, une promenade balisée (avec contenus multimédias) permet de découvrir de nombreuses bâtisses et restes de fortifications<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et ainsi de plonger dans l'histoire de la ville<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Le cheval de trait</ref>.
- En pleine ville se trouve la maison centrale d'Ensisheim<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>La Maison Centrale</ref>, l'une des six maisons centrales de France (205 places).
Personnalités liées à la commune
- Meïr de Rothenburg (c. 1215 - 1293), surnommé le Maharam (Morenou HaRav Meïr) de Rothenburg, rabbin et talmudiste, mort dans la prison d'Ensisheim le 2 mai 1293 après une longue captivité.
- Jacques Balde (1603-1668), jésuite et poète latin.
- Auguste Baldensperger (1891-1986), biologiste, océanographe, écologue et apiculteur<ref>[1]</ref> y est né.
- Léon Boëllmann (1862-1897), organiste et compositeur.
- Charles François de Virot de Sombreuil (1725-1794), gouverneur des Invalides.
- Jean Rasser (1535-1594), prédicateur renommé, fondateur d'un collège jésuite à Ensisheim (l'actuelle Maison Centrale de détention).
- Frédéric Johansen (1972-1992), jeune joueur de football, y est décédé lors d'un accident de voiture.
- Famille de Cointet.
- Katia (1942-1991) et Maurice Krafft (1946-1991), volcanologues.
Jumelages
- Modèle:Jumelage ;
- Modèle:Jumelage depuis 2009 ;
- Modèle:Jumelage depuis 2011.
Honneurs
L'astéroïde Modèle:Lien a été nommé en son honneur<ref>https://saf-astronomie.fr/chassigny-ensisheim-rochechouart/</ref>.
Voir aussi
Bibliographie
- François-Joseph Merklen Ensisheim, jadis ville libre-impériale et ancien siège de la régence archiducale des Pays antérieurs d'Autriche, ou Histoire de la ville d'Ensisheim, avec un précis des événements les plus mémorables qui se sont passés en Alsace, 1840; Colmar, C.-H. Hoffmann, 2 tomes, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t54173195q%7C{{ #if: bd6t54173195q |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Modèle:Ouvrage
- Louis Schlaefli, « Les Tiercelines du couvent de la Sainte-Trinité d'Ensisheim », in Archives de l'Église d'Alsace, 1997, no 52, Modèle:P.
- Ensisheim, Franciscaines (Tiercelines)
- L'orgue de l’église protestante d’Ensisheim, par Heinrich Koulen
- Orgue et vitraux de l’église Saint-Martin
- Ensisheim, chapelle catholique de la maison d'arrêt
- Modèle:Lien web.
- Modèle:Lien web.
Articles connexes
- Ensisheim, paroisse luthérienne<ref>Ensisheim, paroisse luthérienne</ref>
- Liste des communes du Haut-Rhin
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Liens
- Ensisheim sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)