Faïencerie de Gien
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La faïencerie de Gien ou les faïenceries de Gien (selon son appellation officielle en 2021)<ref>Modèle:Lien web.</ref> sont une entreprise de fabrication de faïence fine située dans la ville française de Gien dans le département du Loiret et la région Centre-Val de Loire.
Parmi les nombreuses faïenceries nées au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, celle de Gien est l'une des plus renommées et la plus importante d'Europe.
La manufacture de Gien a excellé dans l'art de l'imitation, et fabriqua des copies de pièces du passé à un prix accessible. Des pièces uniques furent également créées avec le concours d'artistes de talent qui les illustrèrent de nouveaux décors ou s'inspirèrent de ceux des siècles passés ({{#switch: et
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Histoire
C'est en 1821Modèle:Sfnque l'industriel anglais Thomas Edme Hulm, dit « Hall » comme son père, après avoir cédé la manufacture de Montereau gérée par sa famille depuis 1774, acquiert les terrains et immeubles de l'ancien couvent des Minimes de Gien pour y installer une nouvelle manufacture de faïence, façon anglaise, appelée par la suite à une renommée mondiale.
La société connaît des difficultés financières très rapidement et change de fait plusieurs fois de mains dans la période 1826-1862. Cependant, en 1842, la société alors appelée « Guyon, Boulen & Cie », reprend son concurrent local, la faïencerie de Briare, en déconfiture, avant d'en perdre le contrôle un an plus tardModèle:Sfn. Elle devient « Geoffroy, Guérin & Cie », est dirigée par Gustave Charles Gondouin, et emploie alors cinq cents ouvriers. Entre 1864 et 1866, le besoin d'argent frais se fait sentir — notamment du fait des dégâts causés par la grande crue de la Loire de 1866 — et provoque l'arrivée d'un nouvel apporteur de capitaux, Jean-Félix Bapterosses, récent repreneur de l'ancienne faïencerie de Briare devenue depuis lors les émaux de BriareModèle:Sfn. La société prend finalement le nom de « Faïencerie de Gien » en 1875 à l'occasion de sa transformation en société anonyme, dont le premier président du conseil d'administration fut Jean-Félix BapterossesModèle:Sfn. Ses descendants gardèrent le contrôle de la fabrique jusqu'en 1983 ; Xavier Chodron de Courcel fut le dernier descendant à en être président-directeur général.
La production s'est d'abord intéressée à la vaisselle utilitaire puis elle s’est orientée vers la fabrication de services de table, de pièces décoratives et de services aux armes des grandes familles. L'importante production de lampes à pétrole ou à huile est une spécificité de Gien. En 1882, la société se lance parallèlement dans la fabrication de carreaux de revêtement en céramique. Elle obtient notamment le marché du métropolitain parisien en 1906 (les fameux carreaux biseautés métro Modèle:Dunité)Modèle:Sfn. La production de carreaux de revêtement est arrêtée vers 1980Modèle:Sfn.
Les faïenciers de Gien ont développé la technique des émaux cernés , née à Longwy en Lorraine, vers 1870.
L'apogée de la production des faïenciers de Gien se situa entre 1855 et 1900 et de nombreuses récompenses leur furent décernées lors des grandes expositions internationales, comme en 1855, 1867, 1878, 1889 et 1900.
En Modèle:Date-, l'entreprise dépose le bilan. C'est Pierre Jeufroy qui reprend l'activité en 1984 avec Modèle:Unité, aidé par son épouse, nommée directrice artistique. Des mesures drastiques sont alors prises. La surface de production est divisée par deux et les produits non rentables retirés du catalogue. La production se recentre sur le haut de gamme. Des décors de vaisselle font leur apparition. La faïencerie fait appel à des artistes afin d'élaborer une nouvelle gamme<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 2002, la faïencerie de Gien est cédée à Louis Grandchamp des Raux qui dirige l'entreprise jusqu'en Modèle:Date-. Gien Finance, holding propriétaire de la faïencerie est placé en redressement judiciaire en Modèle:Date-. Celle-ci est reprise en Modèle:Date- par Yves de Talhouët et quelques associés<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>, en préservant Modèle:Nobr<ref name=":0" />.
- Exemples de « marques » figurant sur les produits de la faïencerie
-
Une des anciennes marques des faïences de Gien, utilisée à partir de 1984<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
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Marque jusqu’en 2014.
Décors
Parmi les plus fameuses inspirations, on compte de nombreux décors :
- ceux dits « de Gien » à fond brun noir ou bleu, majoliques à décor « Renaissance italienne » avec ses rinceaux, ses amours et ses chimères, etc. s'inspirant notamment des productions de Faenza, Urbino ou encore Savone ;
- ceux dits « à façon », s'inspirant des porcelaines de Saxe, sous forme de décors floraux, d'attributs musicaux, d'amours ou d'angelots finement dessinés évoluant dans des médaillons feuillagés, dans un camaïeu de rose ou de pourpre mais aussi de bleu lavande rehaussé de parme ;
- ceux dits « à la corne », « de lambrequins » et « de ferronneries », s'inspirant des productions des faïenceries de Rouen au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ;
- les paysages champêtres ou maritimes, s'inspirant des faïenceries de Marseille ;
- La porcelaine dite « anglaise » s'inspirant des faïences de Wedgwood, sous forme de modèles au ton de blanc bleuté et de bleu mauve ;
- les camaïeux bleus et blancs, s'inspirant des faïenceries de sur le thème des grosses fleurs épanouies, paons, branchages, ou scènes chinoises ;
- les fastueuses polychromies venues d'Extrême-Orient ;
- Jean Bertholle dans les années 1950 renouvela les décors proposés.
Les pièces recherchées par les collectionneurs
Les pièces recherchées par les collectionneurs sont :
- les pièces aux décors italianisants ;
- les barbotines colorées impressionnistes de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle signées Dominique Grenet, Clair Guyot, Eugène Petit, Félix Lafond, Jean Cachier, Paul Jusselin, ou Ulysse Bertrand ;
- les barbotines colorées contemporaines de Claire Basler<ref>Modèle:Lien web</ref>, Florence Lemichez<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les barbotines en trompe-l'œil de Christine Viennet<ref>Modèle:Lien web.</ref> (à la façon de Bernard Palissy) ;
- les grandes pièces décoratives, comme les lampes, les pendules, les luminaires ;
- les pièces des décorateurs les plus célèbres, tels : Benoist, Blay, Ulysse Bertrand, Brim, Gondoin, Paul Jusselin, Manuel Cargaleiro, Pierre Maitre.
Musée de la faïencerie
L'entreprise possède un musée situé dans l'enceinte même de la faïencerie. On peut y admirer une collection de pièces de faïence fine réalisées par la manufacture entre 1820 et 1920, ainsi que la reconstitution d'une salle à manger datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Le musée, composé de trois salles, est le Modèle:12e le plus visité du Loiret, avec Modèle:Unité en 2007<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
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Articles connexes
Liens externes
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Officiel
- Faïencerie de Gien (vidéo de 8 minutes)
- Modèle:Coord : plans et vues satellites de la faïencerie de Gien