Garéoult
Modèle:Infobox Commune de France
Garéoult (prononcer "Garéou", en provençal "Garèu" (prononcer "Garew")) est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de l'intercommunalité de la communauté d'agglomération de la Provence Verte. Les premiers habitants (gallo-romains) baptisèrent ce village « Gardia Altissima » ce qui signifie « la sentinelle la plus haute »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Géographie
Situation
Garéoult est un gros village de la communauté d'agglomération de la Provence Verte<ref group="Note">La Provence verte est une dénomination de l'Office du Tourisme</ref>, dans le centre Var entre mer et collines, placé au centre d'une plaine préservée, dont l'altitude moyenne est de Modèle:Unité, qui est traversée par l'Issole affluent du Caramy. Il n'est pas situé au bord même de la rivière, mais un peu à l'écart comme beaucoup de villages provençaux.
- Communes limitrophes
Géologie et relief
Garéoult se situe au sud-est de la montagne de la Loube, dans le prolongement de la chaîne de la Sainte-Baume. Le sol présente des couches sédimentaires calcaires orientées vers le sud, façonnant le paysage actuel des collines sud-provençales.
Le nord de la commune est une zone collinaire, ceinturée à l'ouest par la barre des Chaberts avec son culmen (Modèle:Unité), et au nord par le vallon de Cavaillon. Au milieu de ces collines, se trouve le vallon Mourreut. Le sud du territoire communal est représenté par une plaine qui se caractérise par un petit parcellaire fortement planté de vignes.
Entre les deux, se situe la zone urbanisée de Garéoult.
Hydrographie
L'Issole est le principal cours d'eau. Long de Modèle:Unité, il traverse d'ouest en est, sur près de Modèle:Unité, le sud de la commune où il reçoit les eaux de deux affluents : le ruisseau du Cendrier<ref>Modèle:Sandre.</ref>, le ruisseau de la Source de Trian<ref>Modèle:Sandre.</ref> et le ruisseau de la Pességuière<ref>L'eau dans la commune</ref>.
La commune bénéficie aussi de la présence de plusieurs sources au nord du village. Ce sont les sources de Saint-Martin, de Saint-Médard et de la Clastre.
Climat et végétation
Le climat est de type mésoméditerranéen. Les pluies et vents (mistral) sont parfois violents. Modèle:Article détaillé Dans le secteur septentrional, flanqué sous la barre des Chaberts, se trouve le bois communal de Garéoult, un massif boisé d'environ Modèle:Unité, composé essentiellement de chênes blancs et de pins sylvestres. La zone urbanisée occupe le centre communal. Le secteur méridional est occupé par des vignes sur environ Modèle:Unité, dont la majorité est classée AOP Coteaux-varois-en-provence.
Voies de communication et transports
Accès routiers
Plusieurs routes donnent l'accès au village de Garéoult :
- de l'ouest, la route D 64 venant de La Roquebrussanne ;
- de l'est, la route D 554 reliée à la D 43 à Forcalqueiret ;
- du sud-est la route D 81 arrivant de Rocbaron ;
- du sud la route D 268 faisant jonction avec la D 68 ;
- du sud-ouest la D 554 depuis sa jonction avec la D 5
Transports
- Routiers
le réseau régional "Zou" relie Garéoult à Toulon via une antenne de la LR 4802. La LR 4802 (tracé principal) peut être empruntée à La Roquebrussanne ou Meounes. La LR 4801 reliant Brignoles a Toulon peut être empruntée à Forcalqueiret ou Rocbaron.
La communauté d'agglomération Provence Verte, a laquelle appartient la commune, possède son propre réseau de transports en commun,"Mouv'en bus", reliant Garéoult aux communes alentours, ainsi qu'à Brignoles et Saint-Maximin<ref>Réseau Varlib sur le net</ref>.
- Ferroviaires
Garéoult est distant de Modèle:Unité de la gare de Toulon desservie par des TGV, et de Modèle:Unité de la gare TGV d'Aix-en-Provence.
- Aériens
L'aéroport le plus proche est celui de Toulon-Hyères, situé à Modèle:Unité. L'aéroport de Marseille Provence est distant de Modèle:Unité et celui de Nice-Côte d'Azur de Modèle:Unité.
Urbanisme
Typologie
Garéoult est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Garéoult, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La zone urbanisée occupe le secteur central de la commune. Au sud de la zone, se situe le centre-ville avec la mairie, l'église paroissiale, les établissements d'enseignement (école maternelle Chabaud, école élémentaire Pierre-Brossolette, collège Guy-de-Maupassant), la crèche, le siège de la police municipale, le bureau de la Poste, etc. Le nord du centre-ville s'est fortement développé ces dernières décennies, avec la création de très nombreux lots de maisons individuelles.
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme, approuvé le 26 août 2019<ref>Plan local d'urbanisme</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (35,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (41,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,1 %), zones urbanisées (31,5 %), cultures permanentes (22,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Garéoult s'écrit en provençal Gareut selon la norme classique et Garéut selon la norme mistralienne (prononcé {{#ifeq:1|0|[gaˈɾew]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} ou {{#ifeq:1|0|[gaˈʀew]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}).
Histoire
Antiquité
[[#La nécropole Louis Cauvin|Modèle:Nombre sépultures]] ont été découvertes lors de campagnes de fouilles en 1988. Certaines d'entre elles dateraient de l'époque gallo-romaine. D'autres, plus récentes, dateraient du Moyen Âge.
Moyen Âge
Le site était occupé à la fin du Moyen Âge comme l'atteste son four banal daté antérieur à 1500 ou encore les vestiges découverts lors des fouilles de 1988<ref>Four banal</ref>.
Temps modernes
- 1789, la municipalité appartenait au royaume de France.
- le nom porté sur la carte de Cassini de 1781 est Gareoult ou Gar*eoult (la lettre centrale, si elle existe, est peu visible)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- 1793 (an II), la municipalité de Gareoud se trouvait dans le canton de Gareoud, dans le district de Brignoles, dans le département du Var.
- 1801, au bulletin des Lois, la commune se nomme Garcoult. Elle se trouve dans le canton de La Roque-Brassane (La Roquebrussanne), dans l'arrondissement de Brignolles (Brignoles), département du Var.
- 1854 - En août, une épidémie de choléra fait Modèle:Nombre victimes en Modèle:Nombre jours<ref>Panneau d'information sur la chapelle Saint-Félix</ref>.
Époque contemporaine
- 1926, Garéoult bascule dans l'arrondissement de Toulon.
- 1974, Garéoult retourne dans l'arrondissement de Brignolles (Brignoles)<ref>Modèle:Cassini-Ehess</ref>
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Budget et fiscalité 2019
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 12,21 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 22,52 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 95,90 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 24,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 40,2 % la même année, alors qu'il est de 32,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,71 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,95 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Établissements d'enseignement situés dans l'Académie de Nice :
- école maternelle et primaire à Garéoult<ref>École élémentaire.</ref> ;
- collège à Garéoult<ref>[1].</ref> ;
- lycées à Brignoles et Cuers.
Santé
Centres hospitaliers à Brignoles, Draguignan, Toulon<ref>Hôpitaux et cliniques</ref>.
Cultes
Culte catholique, diocèse de Fréjus-Toulon<ref>Garéoult (Paroisses du Plateau de l'Issole)</ref>.
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
- Le sylvopastoralisme, la viticulture, l'oléiculture, la culture du pois chiche<ref>Le terroir</ref>.
- Viticulture : coopérative vinicole (Les vignerons de la Provence Verte) et domaines de Cambaret, de Garbelle, de la Bastide des Oliviers, Château des Chaberts et Harmonie des arpents.
- Artisanat : producteurs locaux (fromage de chèvre, huiles d'olive AOP, pois chiche...), marché provençal le mardi matin et marché des producteurs le samedi matin, tourisme.
Commerces
- Commerces de proximité<ref>Commerces de proximité</ref>.
Tourisme
Le Pays de la Provence Verte, dont la commune est membre, a obtenu le label « Pays d’art et d’histoire ». Sur ce territoire, les richesses à découvrir sont liées à la nature, à la culture et aux traditions.
- Gîtes ruraux et chambres d'hôtes<ref>Hébergements</ref>.
- Restauration<ref>Rstauration</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église paroissiale Saint-Étienne
L'église Saint-Étienne, de style roman, a été construite entre 1045 et 1048. Cette église est surmontée d'un campanile en fer forgé provençal de type ornemental construit en 1842<ref>Le campanile de l'église Saint Étienne</ref>. L'église a été détruite en partie puis reconstruite avec les pierres d'origine en 1848.
- L'édifice religieux renferme quinze œuvres classées : six statues et bustes, quatre tableaux, deux cloches<ref>Modèle:Base Palissy cloche de 1511</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy cloche de 1606</ref>, la chaire à prêcher, un plat à quêter, et l'ensemble autel, retable, tableau : saint Pons, saint Éloi et saint Antoine<ref>Liste des œuvres classées dans la base Palissy</ref>.
Chapelle Saint-Félix
L'édifice religieux a été construit en 1885 sur le coteau de Saint-Médard, proche du cimetière. Érigée par les habitants, elle est dédiée à saint Félix, protecteur de Garéoult, qui en Modèle:Date- par un miracle sauva la population du choléra. La chapelle a été restaurée en 2011<ref>L'histoire de la Chapelle Saint Félix</ref>.
Tous les Modèle:1ers dimanches de septembre une procession a lieu vers cette chapelle.
Le monument aux morts
Le monument aux morts de 1921<ref>Le monument aux morts de la commune</ref>,<ref>Conflits commémorés : 1914-18 ; 1939-45 ; Indochine (46-54)</ref>,<ref>Historique, selon l'historien Jean Gavot</ref>,<ref>Monuments aux morts du Var : Garéoult</ref>.
Patrimoine culturel
Coopérative vinicole La Garéoultaise, actuellement Le Cellier Provençal
La coopérative vinicole construite au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est en bon état de conservation. Elle est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée Enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)</ref>.
La nécropole Louis Cauvin
C'est en creusant leur piscine, en 1988 que des Garéoultais résidant dans la rue Louis-Cauvin, ont mis au jour des vestiges anciens. Ils ont fait appel à des archéologues<ref>La nécropole gallo romaine et médiévale de la rue Louis Cauvin à Gareoult</ref>. Grâce aux fouilles qui ont été organisées, Modèle:Nombre sépultures ont été découvertes. Après les avoir étudiées, il s'avérait que les plus anciennes dataient de l'époque gallo-romaine et les plus récentes du Moyen Âge. On peut donc être sûr qu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle il y avait déjà des habitants à l'emplacement actuel du village.
La nécropole « Louis Cauvin »<ref>Nécropole Louis Cauvin</ref> est un musée où l'on peut voir :
- une sépulture du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de notre ère ;
- des objets de la vie quotidienne gallo-romaine en terre cuite ;
- neuf panneaux illustrés qui donnent des explications sur les fouilles et les rites funéraires à travers le temps.
Le moulin à huile
Vers 1500, un moulin à huile actionné par des animaux a été construit au centre du village. Le fonctionnement de ce moulin s'est arrêté en 1956 à la suite du gel des oliviers situés sur la commune. Le moulin est resté exactement dans l'état où il était<ref>Le moulin</ref>.
Les fontaines
On trouve neuf fontaines<ref>les 9 fontaines datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à l’exception de celle des quatre saisons</ref> dans le village alimentées par la source Saint Médard. La plus ancienne de ces fontaines, la fontaine des 4-Saisons<ref>La fontaine des Quatre-saisons</ref>, fut construite avant 1745. Elle a été restaurée en l'an 2000 par le tailleur de pierre du village. Elle possède une forme de poignard pour montrer la puissance du seigneur. Ses quatre visages sculptés en marbre blanc représentent les quatre saisons. Elle donne un vrai style provençal à la place de la mairie, ombragée par des platanes plusieurs fois centenaires.
Le four banal
Son nom vient de la taxe, « le ban », que les habitants du village devaient payer au seigneur pour aller faire cuire leurs pains. Le four banal du village a plus de Modèle:Unité<ref>Fête du pain, journée du four banal</ref>.
À l'heure actuelle deux fournées par an sont réalisées, à la Noël et à la Saint-Jean.
La fresque
La fresque, au centre du village, réalisée par deux associations d'artistes peintres : Les Craies d'art et l'Association des Arts plastiques de Garéoult<ref>Les fresques dans le village</ref>.
Patrimoine naturel
ZNIEFF
Garéoult est concernée par trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de Modèle:2e :
- Montagne de la Loube
La zone, un espace forestier ayant conservé un aspect sauvage, couvre une superficie de Modèle:Unité de six communes. La montagne de la Loube présente Modèle:Unité de sites dolomitiques ruiniformes très pittoresques entrecoupés de larges vallons, de ravins (ravin des Orris), de défilés (défilé de l'Amaron)<ref>Modèle:ZNIEFF.</ref>.
- Plaine de la Roquebrussanne
La zone couvre une superficie de Modèle:Unité concernant cinq communes : Garéoult, Méounes-lès-Montrieux, Néoules, Rocbaron et La Roquebrussanne. Elle s'étend sur toute une dépression séparée par le plateau d'Agnis, la Loube, les barres de Cuers, entre les villages de La Roquebrussanne, de Garéoult et de Néoules. Issue d'une déchirure au Trias, elle a été colmatée par des alluvions quaternaires. Il s'agit d'une plaine agricole culminant autour de Modèle:Unité, soit dans l'étage climatique du mésoméditerranéen<ref>Modèle:ZNIEFF.</ref>.
- Ripisylves et annexes de la vallée de l'Issole et du Caramy
La zone couvre une superficie de Modèle:Unité concernant quinze communes. L’issole et le Caramy prennent tous deux leur source sur les contreforts du Moure d’Agnis. Après avoir contourné la Montagne de la Loube, l’un par le nord , l’autre par le sud, les deux cours d’eau se rejoignent à la retenue de Carcès. Durant leurs trajets respectifs, les deux rivières traversent des territoires essentiellement agricoles<ref>Modèle:ZNIEFF.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Louis Ecial, écrivain<ref>Louis Ecial : pseudonyme individuel</ref>. Il a écrit plusieurs ouvrages, notamment, pour ce qui est de Garéoult : Garigoule : étude géophysique des environs de Garéoult aux éditions « Les Presses Littéraires », 2002<ref>Garigoule étude géophysique des environs de Garéoult Var</ref>.
- Claude Muras, artiste peintre<ref>Claude Muras, artiste peintre</ref>.
Héraldique
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Lien web
- La nécropole gallo-romaine et médiévale de la rue Louis Cauvin à Garéoult (Var), par Ada Acovitsioti-Hameau et alii
- Sépultures et cimetières ruraux en Provence orientale à l'époque gallo-romaine, par Chérine Gébara et Michel Pasqualini, 1993 : Garéoult], Modèle:P.
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- Modèle:Autorité
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Bases
- Garéoult sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Office de Tourisme de La Provence Verte
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Garéoult