Giverny
Modèle:Infobox Commune de France
Giverny est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Elle est surtout connue pour la maison et les jardins du peintre impressionniste Claude Monet (1840-1926).
Ses habitants sont appelés les Givernois.
Géographie
Localisation
Giverny est une commune de l'extrême est du département de l'Eure, limitrophe de celui des Yvelines et proche de celui du Val-d'Oise. Elle appartient à la région naturelle du Vexin bossu qui se caractérise par les multiples sillons qui ont creusé le plateau et offre un paysage très ondulé entre les vallons secs affluents de l’Epte<ref>Modèle:Lien web.</ref>. À vol d'oiseau, la commune est à Modèle:Unité à l'est de Vernon<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité au nord-ouest de Mantes-la-Jolie<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité à l'est d'Évreux<ref>Modèle:Lien web.</ref> et à Modèle:Unité au sud-est de Rouen<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Hydrographie
La commune est située au confluent de la Seine et de l'Epte.
Voies de communication et transports
Le sentier de grande randonnée 2 (GR2) passe par la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Magnanville », sur la commune de Magnanville, mise en service en 1995<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Giverny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,7 %), forêts (29,6 %), prairies (26,9 %), zones urbanisées (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Giverniacum vers 1025<ref name="Beaurepaire">Modèle:Ouvrage.</ref> ou Givernacus vers 1026 (charte de Richard II)<ref name="de Blosseville">Modèle:Ouvrage.</ref>, Givernei en 1055 - 1066 (Fauroux 210)<ref name="Beaurepaire"/>, Gyverni en 1271 (livre des jurés de Saint-Ouen), Giverneium en 1225<ref name="de Blosseville"/>, Giverne en 1227, Juverneium en 1251<ref name="de Blosseville"/>, S. Radegunde de Giverniaco en 1274, Gyverny en 1276 (archives de la Seine-Inférieure, fonds de Saint-Ouen)<ref name="de Blosseville"/>.
Il s'agit d'un nom de domaine gaulois ou gallo-roman *GABRINIACU, composé avec le suffixe *-(I)ACU « lieu de, propriété de », autrement -acon en gaulois, qui remonte au proto-celtique *-āko(n)<ref>Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, errance 1994.</ref>. Pour expliquer le premier élément GABRIN(I)- François de Beaurepaire et à sa suite, René Lepelley suggèrent le nom de personne bas latin *Gabrinius (non attesté) pour le premier et Gabrinus pour le second, et que l'on retrouverait dans Givraines (Loiret)<ref name="Beaurepaire"/>,<ref name="Lepelley">Modèle:Ouvrage</ref>. Le [ʒ] initial au lieu du [g] normanno-picard, s'explique par la situation de Giverny au sud de la ligne Joret. Xavier Delamarre mentionne effectivement le nom de personne gaulois ou gallo-roman Gabrinus, dérivé du gaulois gabros, gabra « chevreuil », « chèvre » (cf. vieil irlandais gabor « bouc » ; gallois gafr « chèvre » ; vieux breton gabr → breton gaor « chèvre »)<ref>Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, 2003, p. 172-173.</ref>. On peut considérer alors qu'il s'agit de l’anthroponyme Gabrinus, suivi du suffixe -i-acum, forme allongée d’-acum, d'où le sens global de « propriété de Gabrinus »<ref name="Lepelley"/>.
Le thème gabro- se retrouve dans Gevry, Modèle:Page h', Gièvres, Modèle:Page h', etc.
Par contre, l'équivalent basé sur le nom latin de la chèvre, caper, d'où Caprinus, Caprinius se retrouve dans les Cheverny, Chevregny (Aisne, Capriniacum 893)<ref>François de Beaurepaire, Modèle:Op. cit..</ref>.
Remarque : les formes anciennes Warnacus en 671, Wariniacus en 863 ont été attribuées à Giverny par Ernest Poret de Blosseville dans son Dictionnaire Topographique de l'Eure, alors qu'elles se rapportent vraisemblablement à Guerny, situé à 25 km de là, c'est la raison pour laquelle elles sont rejetées par François de Beaurepaire et René Lepelley. Malgré leur peu de compatibilité phonétique avec l'évolution en Giverny, elles ont été reprises par Albert Dauzat dans son ouvrage Dictionnaire étymologique des Noms de lieux en France et à sa suite par Ernest Nègre dans sa Toponymie générale de la France. Le premier conscient du problème, ajoute prudemment après avoir proposé l'anthroponyme germanique Warin (+ -iacum) « qui a dû se croiser au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec un autre nom »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, le second lui emboite le pas en supposant une hypothétique attraction d'un nom comme Gibertus<ref>Modèle:Ouvrage [1]</ref>.
Histoire
Des origines à la révolution française
La paroisse a été fondée sous les Mérovingiens et l'église placée sous le vocable de sainte Radegonde.
En 863, le roi Charles II le Chauve reconnaissait aux moines de l'abbaye de Saint-Denis-le-Ferment la possession de Giverny.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le fief et l'église de Giverny revinrent à l'abbaye de Saint-Ouen à Rouen. Au Moyen Âge, plusieurs seigneurs se succédèrent mais ils restaient toujours les vassaux du prieur de Saint-Ouen. Il existait alors plusieurs monastères, dont l'un qui était situé à l'emplacement de la maison dite le Moûtier. On relèvera que la propriété dite La Dîme doit, elle, son nom à une grange dîmière qui servait de lieu de perception de l'impôt à l'abbaye jusqu'à la Révolution. Il s'y trouvait aussi une léproserie.
À la Révolution, c'est la famille Le Lorier<ref>Un Lelorier fut maire de Vernon en 1831.</ref> qui possédait les terres de Giverny. Monsieur Le Lorier fut d'ailleurs le premier maire du village en 1791.
L'impressionnisme
En 1883, Claude Monet s'installe dans le village, dans une maison qu'il loue puis achète en 1890. Il en modifie la forme et réaménage complètement le verger en jardin fleuri. Il fera creuser en 1893, sur un bras de l'Epte, le bassin aux nénuphars au bord duquel il peindra les « Nymphéas ». Mort le Modèle:Date, il est enterré dans le cimetière qui jouxte l'église. À la même époque, plusieurs peintres, notamment américains (par exemple Mary Fairchild), s'installent au village. Certains deviennent amis avec Claude Monet<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2001, meurt Gérald van der Kemp qui a rénové la maison et les jardins de Monet. Il est enterré non loin de ces derniers.
Le postimpressionnisme
Beaucoup d'artistes américains au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle apparentés au courant postimpressionniste comme Berck ont peint à Giverny à partir de 1890<ref>https://www.ouest-france.fr/culture/arts/expositions/normandie-impressionniste/normandie-impressionniste-a-giverny-l-influence-de-l-impressionnisme-sur-les-peintres-americains-7030700</ref>. Amorcée dès la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'époque connaît l'implantation d'une colonie américaine de Giverny<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Evolution récente
En 2020, le restaurateur gastronomique de renommée internationale David Gallienne ouvre son restaurant de cuisine normande à Giverny<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En 2021, l'échec du véhicule automatique fonctionnant par intelligence artificielle entre Vernon et Giverny coûte près de Modèle:Unité aux deux communes.
En 2022, plantation sur les hauteurs de Giverny de six mille pieds de vigne près de l'église Sainte Radegonde<ref>Modèle:Lien web</ref> Parallèlement, à but écologique et touristique un retour à l'agriculture ante révolution industrielle à Giverny avec traction animale et sans utilisation de pesticide à Giverny<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'exposition Rothko à Giverny et sa comparaison avec Claude Monet au musée des Impressionismes de Giverny rencontre un important succès<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En 2023, l'association culturelle de Giverny et de Vernon "Le Bateau-atelier" va organiser les premières balades écocitoyennesModèle:Quoi<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Représentations de Giverny par Claude Monet
En 1992, la Terra Foundation for American Art inaugure le musée d'art américain qui devient le musée des impressionnismes Giverny en 2009.
En 1996, Giverny reçoit la visite de Hillary Clinton, épouse du président des États-Unis et en 2007 celle de l'empereur du Japon Akihito.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Événements
- Salon international du pastel (art du pastel en France) chaque année fin mai-début juin
- Musique de chambre à Giverny (festival international de musique de chambre fin août-début septembre)
- Festival de Giverny, festival de musiques actuelles, présente des auteurs compositeurs interprètes. Courant septembre.
- La Normandie et le Monde de l'Art, festival international de cinéma de Vernon (début juillet, au musée des impressionnismes).
- Rock in the Barn, festival Modèle:Quand de musiques actuelles.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La maison et les jardins de Claude Monet. Les jardins ont reçu le label « jardin remarquable ».
- La propriété fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Le musée des impressionnismes Giverny expose les œuvres originales des plus grands noms du courant impressionniste, notamment la colonie de peintres de Giverny et de la vallée de la Seine.
- Le muséum de mécanique naturelle abrite une collection de 130 moteurs anciens<ref>https://www.giverny.fr/informations/touristiques/le-musee-de-mecanique-naturelle/giverny-musee-de-mecanique-naturelle/</ref>.
- L'ancien hôtel Baudy et sa roseraie, où se réunissaient les peintres.
- L'église Sainte-Radegonde fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Auparavant, l'abside et le pignon sud étaient inscrits partiellement en date Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La Pierre de Sainte-Radegonde, à proximité ouest de l'église du même nom.
- La stèle des Aviateurs Britanniques se situant également à proximité de l'église<ref>https://www.giverny.fr/informations/touristiques/stele-des-aviateurs-britaniques/giverny-stele-des-aviateurs-britanniques/</ref>.
- un buste de Claude Monet<ref>https://www.giverny.fr/informations/touristiques/bronze-de-claude-monet/buste-de-claude-monet/</ref>
Patrimoine naturel
Site classé
- Giverny – Claude Monet – Confluent de la Seine et de l’Epte Modèle:Site naturel classé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Leni Escudero (ou Leny Escudero) (né le Modèle:Date, mort le Modèle:Date-), chanteur, résident du village.
- Gabrielle Bonaventure (1890-1964), peintre, belle-fille de Claude Monet.
- Albert Collignon (1839-1922), avocat et homme de lettres, fut maire de Giverny.
- René Mayer (1895-1972), ancien président du Conseil, ancien ministre, écrivain, maire du village, qui a vécu au hameau de Falaise.
- Claude Monet, peintre impressionniste, y a vécu de 1883 à sa mort, le Modèle:Date.
- Jean-Marie Toulgouat (né à Giverny le Modèle:Date - mort à Giverny le Modèle:Date), peintre.
- Germain Delavigne (1790-1868), auteur dramatique, né le Modèle:Date- à Giverny.
- Sébastien Lecornu, président du Musée des Impressionnismes.
- David Gallienne, né le Modèle:Date de naissance au Mans (Sarthe)<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>, le chef étoilé du restaurant le Jardin des Plumes, à Giverny, est le vainqueur de la saison 11 de Top Chef, diffusée sur M6 en 2020.
- Patrick et Isabelle Balkany, anciens maire et premier adjoint de Levallois-Perret, y possèdent une résidence, à cheval entre le 27 et le 78.
Périphrase désignant Giverny
- Le village des peintresModèle:Refnec, acte de candidature pour un classement avec la commune voisine de Vernon sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco (octobre 2018).
Dans les arts
Musique
- Chris Rea consacre un titre de son album On the Beach (1986) à Giverny
Littérature
Michel Bussi, deuxième écrivain français en nombre de livres vendus, derrière Guillaume Musso (classement GFK-Le Figaro, 2017) développe l'intrigue de Nymphéas noirs dans le village de Giverny. Ce roman a été le roman policier français le plus primé en 2011<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Galerie
-
Late Afternoon, Giverny ; Guy Rose, 1910. Musée d'art de San Diego
-
The House in Giverny, Frederick Carl Frieseke, 1912. Collection Carmen Thyssen-Bornemisza, en dépôt au Musée Thyssen-Bornemisza, Madrid
-
L'entrée du Musée des Impressionnismes
-
L'hôtel Baudy
-
L'église Sainte-Radegonde
-
Maison de Claude Monet à Giverny
-
Nymphéas dans les jardins de Claude Monet
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Hameau de Falaise, hameau de Giverny
- Musée des impressionnismes Giverny.
- Liste de périphrases désignant des villes.
- Jardins labellisés remarquables de Normandie.