Grégoire XI

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Titre mis en forme Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Prélat catholique Pierre Roger de Beaufort (né en 1329 ou 1331 sur l'actuelle commune de Rosiers-d'Égletons en Corrèze – mort le Modèle:Date de décès à Rome) fut le 201e pape du Modèle:Date à sa mort sous le nom de Modèle:Souverain-<ref>Le nom de Modèle:Souverain- aurait été porté avant lui en 1276 par un pape éphémère mort le lendemain de son élection, mais son nom n’a jamais été retenu par les listes officielles. Voir l’article Modèle:Souverain3.</ref>. Il fut le dernier pape français.

Sa vie

Naissance et jeunesse

Pierre Roger, fils de Marie de Chambon et de Guillaume Roger, comte de Beaufort, neveu du pape Modèle:Souverain2, naît en 1329, dans une famille de neuf frères et sœurs dont :

Fichier:Beaufort turenne.jpg

Il parcourt rapidement la hiérarchie ecclésiastique : à dix-neuf ans, son oncle Modèle:Souverain- le nomme cardinal le Modèle:Date-. Le jeune homme se rend à Pérouse pour suivre les cours de droit de Pietro Baldo degli Ubaldi. Il devient docteur en droit canonique et théologien, fort habile d’après ses pairs. Modèle:Citation<ref name="CE">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Souverain- sur le site Catholic Encyclopedy.</ref>.

De 1357 à 1364, il est prieur du prieuré Saint-Martin de Mesvres, poste qu'avait occupé son oncle Hugues Roger en 1344.

Le Modèle:Date, grâce à ses nombreuses relations, il réussit à réunir la rançon pour faire libérer Brioude<ref>Pierre Cubizolles, Auzon : ville royale fortifiée : une des treize « bonnes villes » d'Auvergne, publié par Éd. Créer, 2000 Modèle:ISBN, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

Fichier:07 Grégoire XI (couronné par Guy de Boulogne).jpg
Le cardinal Guy de Boulogne couronnant Modèle:Souverain-.

Cet homme habile et de grandes qualités morales est de faible constitution physique. À la mort d'Modèle:Souverain2, les cardinaux se réunissent en conclave à Avignon le Modèle:Date- et, dès le lendemain matin l'élisent pape à l'unanimité des voix. Il faut l'ordonner prêtre le Modèle:Date- pour l'ordonner évêque, et le couronner comme pape, le jour suivant. Il choisit le nom de Modèle:Souverain-<ref name="CE"/>.

Le pape

Modèle:Article détaillé La méditation l’a habitué à la compagnie des livres, dont il est un amateur éclairé, ce qui le porte à la recherche de manuscrits précieux. C'est aussi un amateur de toutes les manifestations de la culture. Il a un grand talent de diplomate, ce qui lui est d'un grand secours pour les difficiles négociations qu’il doit entreprendre. Enfin, il poursuit la réforme de l'Église entreprise par ses prédécesseurs. Il apporte tous ses soins à ramener les Hospitaliers dans la discipline et l’observation de leurs règles. Il entreprend la réforme intérieure de l'ordre des Dominicains. Devant la recrudescence des hérésies, il relance l'Inquisition et fait poursuivre les pauvres de Lyon (Vaudois), les béguins et les flagellants en Allemagne.

Dès son accession, il tente de réconcilier les rois de France et d’Angleterre, mais cette mission est vouée à l’échec. Il réussit cependant à pacifier la Castille, l’Aragon, la Navarre, la Sicile et Naples. Il déploie également beaucoup d’efforts pour réunir les églises grecque et romaine, pour entreprendre une nouvelle croisade, et pour réformer le clergé<ref name="CE"/>.

Lutte contre les Visconti

Modèle:Article détaillé

Fichier:Grégoire XI Museum Britanicum.jpg
Miniature d'origine italienne et gibeline caricaturant Modèle:Souverain-.

Il doit néanmoins accorder rapidement toute son attention aux affaires turbulentes de l’Italie. À la mort du marquis de Montferrat, Modèle:Souverain2, à la mi-Modèle:Date-, les Milanais tentent de s’emparer de cette région. Ayant mesuré l’ambition de Bernabo Visconti, ennemi de la papauté, qui s’est emparé, en 1371, de Reggio et d’autres places que détenaient les vassaux du Saint-Siège en Italie du Nord, Modèle:Souverain- entreprend la formation d’une ligue<ref name="CE"/>.

Elle comprenait plusieurs participants : Othon de Brunswick, Modèle:Souverain3, son légat Philippe de Cabassolle, John Hawkwood Modèle:Incise et Nicola Spinelli.

Quand Modèle:Souverain- s’aperçoit que tous les moyens diplomatiques ont échoué, il frappe Bernarbo d’interdit. Mais Bernabo contraint les légats qui lui ont apporté la bulle d’excommunication à manger le parchemin sur lequel son excommunication est écrite, et les abreuve d’injures et d’insultes.

Modèle:Souverain- lui déclare alors la guerre en 1372. Au début, Bernabo remporte quelques succès, mais quand Modèle:Souverain- obtient l’appui de l’empereur, de la reine de Naples et du roi de Hongrie, puis prend à son service (contre Modèle:Unité sonnants et trébuchants) le condottiere anglais John Hawkwood, les armées de la Ligue remportent divers succès avec notamment la prise de Verceil. Bernabo penche pour la paix. En subornant certains des conseillers papaux, il obtient même une trêve favorable le Modèle:Date. Ces victoires dans le Piémont incitent le pape à annoncer en Modèle:Date- son départ prochain pour Rome<ref name="CE"/>.

Lutte contre Florence

Fichier:Catherine de Sienne à Avignon pour que Grégoire XI accorde la paix à Florence.jpg
Catherine de Sienne et Raymond de Capoue implorent, à Avignon, Modèle:Souverain- de faire la paix avec Florence.

Les choses auraient pu s’arrêter là mais, comme ses prédécesseurs d’Avignon, Modèle:Souverain- commet l’erreur fatale de nommer des Français comme légats et gouverneurs des provinces ecclésiastiques d’Italie. Or les Français ne sont pas familiers des affaires italiennes et les Italiens les détestent<ref name="CE"/>.

La trêve signée le Modèle:Date- avec Bernabo Visconti pousse Florence à l’action, car elle craint le retour du Saint-Siège à Rome et le relèvement de cette ville à son détriment. Florence exploite avec habileté le mécontentement suscité par l'administration des officiers pontificaux (français ou non), et entraîne le soulèvement des États de l’Église. Les villes et bourgades des États pontificaux rejoignent peu à peu le parti des Florentins. D'Modèle:Date- au mois de Modèle:Date-, l'Église perd ses domaines<ref name="CE"/>.

Les Florentins voient ainsi échapper des charges ecclésiastiques qui sont traditionnellement leurs (et de plus fort lucratives). Craignant qu’un renforcement de la puissance papale dans la péninsule n’altère leur propre influence en Italie centrale, ils s’allient avec Bernabo, en Modèle:Date. Bernabo et les Florentins tentent de faire éclater des insurrections dans le territoire pontifical, spécialement chez ceux (et ils sont nombreux) qui sont exaspérés par l’attitude des légats du Pape en Italie. Ils réussissent si bien qu’en peu de temps le Pape est dépossédé de la totalité de son patrimoine.

Ce mécontentement général est accentué, pour ce qui concerne les États pontificaux, par l’arrêt des préparatifs du retour du pape à Rome. En effet, après la trêve de Bruges du Modèle:Date-, Modèle:Souverain- demande à Venise et à la reine Jeanne d’envoyer, pour son voyage de retour à Rome, des galères dans le port de Marseille pour la période du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Sous la pression du roi de France Modèle:Souverain3 et dans l’espoir de la signature d'un traité de paix entre la France et l'Angleterre conduit par Modèle:Souverain2 dont il peut mieux suivre l'élaboration à partir d’Avignon, Modèle:Souverain- reporte sa décision.

Florence entre donc en rébellion ouverte, d’où la guerre dite des Huit Saints ainsi dénommée par allusion aux huit chefs que Florence s’était donnés à cette occasion. Le pape réagit avec une vigueur extrême en mettant la ville de Florence au ban de la chrétienté (Modèle:Date-), et place Florence sous interdit, excommuniant tous ses habitants. Cette implacable condamnation s’explique par le risque de voir le retour du pape impossible. Outre l’interdit prononcé contre la ville, Modèle:Souverain- invite les monarques européens à expulser de leurs terres les marchands florentins et à confisquer leurs biens<ref name="CE"/>.

Retour à Rome

Fichier:Giovanni di Paolo 012.jpg
Modèle:Souverain- reçoit Catherine de Sienne à Avignon
Fresque de Giovanni di Paolo.

Pétrarque, décédé le Modèle:Date-, était intervenu à plusieurs reprises pour plaider le retour du pape à Rome. De même, Catherine de Sienne est dite être venue à Avignon pour pousser Modèle:Souverain- à ce retour. Le pape reçut d’abord son confesseur, Raymond de Capoue, puis la dominicaine qui arriva le Modèle:Date. Elle venait tout simplement demander au pape d’organiser une croisade contre les infidèles et de faire la paix avec Florence. Ce qui n'était pas du tout dans les intentions de son interlocuteur<ref name="RdB7172">Jean-Pierre Saltarelli, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

De plus, Modèle:Souverain-, dès le Modèle:Date, avait déjà annoncé son intention de rejoindre Rome, volonté qu’il avait à nouveau confirmée lors du consistoire de Modèle:Date. Il demanda simplement à la Siennoise de lui confirmer que son intention était la bonne, ce qu’elle fit et, pour la remercier de son aval, il lui accorda, par privilège pontifical, l’octroi d'un autel portatif sur lequel la messe pouvait être célébrée là où elle se trouvait<ref name="RdB7172"/>.

Comme le constate l’historien Jacques Chiffoleau, l’influence de Catherine de Sienne a été exagérée, la décision d'abandonner Avignon étant déjà prise depuis longtemps. L’intervention de Catherine de Sienne vient seulement raffermir le pape dans son choix<ref>Jacques Chiffoleau, « La rencontre Catherine et l'institution », dans Catherine de Sienne, Catalogue d'exposition, Modèle:P..</ref>.

Le voyage de retour est bien connu grâce à un fidèle compte rendu établi par Pierre Amiel de Brénac, évêque de Sinigaglia, qui accompagne Modèle:Souverain- durant tout le voyage<ref>Ce récit publié en 1952, par P. Ronzy, de l'Institut français de Florence, est intitulé Itenerarium Modèle:Souverain- ou Voyage de Modèle:Souverain- ramenant la papauté d'Avignon à Rome.</ref>. Le départ d’Avignon, via le palais des papes de Sorgues, a lieu le Modèle:Date à destination de Marseille pour s’y embarquer le Modèle:Date-. La flotte pontificale fit de nombreuses escales (Port-Miou, Sanary, Saint-Tropez, Antibes, Nice, Villefranche) pour arriver à Gênes le Modèle:Date-. Après des arrêts à Porto Fino, Livourne, Piombino, l’arrivée à Corneto a lieu le Modèle:Date. Le Modèle:Date, il quitta Corneto, débarqua à Ostie le jour suivant, et remonta le Tibre vers le monastère San Paolo. Le Modèle:Date, Modèle:Souverain- descend de sa galère amarrée sur les berges du Tibre et pénètre dans Rome entourée des soldats de son neveu Raymond de Turenne et des grands seigneurs provençaux et napolitains<ref>Jean-Pierre Saltarelli, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

Séjour italien

Fichier:Bolognino Gregorio XI.jpg
Monnaie de Modèle:Souverain- frappée à Bologne.
Fichier:Villa di agnano, lapide gregorio XI.JPG
Anathème de Modèle:Souverain- gravé dans sa villa d'Agnani.

Dès son arrivée, il travaille à la soumission définitive de Florence et des États pontificaux. Il doit faire face à la résistance des uns, ainsi qu’à l'indiscipline et les excès des troupes pontificales, comme le massacre de la population de Césène, près de Rimini, où environ Modèle:Unité furent tuées le Modèle:Date- par les compagnies bretonnes commandées par le cardinal Robert de Genève, qui va devenir l’antipape Modèle:Souverain2, avec l’appui de celles de Hawkwood<ref name="CE"/>. Les émeutes romaines quasi continues conduisent le pape à se retirer à Anagni vers la fin du mois de Modèle:Date-. Cependant la Romagne se soumet, Bologne signe un traité, et Florence accepte la médiation de Bernabo Visconti pour aboutir à la paix. Progressivement remis de ses émotions, il revient à Rome le Modèle:Date-. Mais, se sentant menacé, il envisage de rentrer à Avignon.

Fichier:Parchemin orné aux armes de Grégoire XI.jpg
Manuscrit orné aux armes de Modèle:Souverain-.

Décès

Un véritable congrès européen se réunit à Sarzana, en présence des mandataires de Rome et de Florence, des représentants de l'empereur, des rois de France, de Hongrie, d’Espagne et de Naples. Au cours de ce congrès, on apprend que le pape vient de mourir dans la nuit du Modèle:Date- au Modèle:Date-<ref name="CE"/>.

Comme son oncle Modèle:Souverain2, Modèle:Souverain- avait souhaité une sépulture dans l'église de l'abbaye de La Chaise-Dieu, mais les Romains n’acceptèrent pas de laisser emporter le corps, et il fut enterré à Rome. On peut voir son monument funéraire dans le transept droit de la basilique Santa Francesca Romana, connue aussi sous le nom de basilique Santa Maria Nova.

Les clefs de voûte de l'abbaye de La Chaise-Dieu portent les armes de Modèle:Souverain- aux premières travées et de Modèle:Souverain- aux dernières<ref>Dictionnaires des églises de France, Robert Laffont, 1966, Modèle:Nobr, Modèle:T., B 30.</ref>.

Modèle:Souverain- est le dernier pape français. Instruit et pieux, il a cependant eu une certaine tendance au népotisme.

Après sa mort, s'ouvre le grand schisme d'Occident (1378-1417).

Œuvre apostolique

Fichier:Bull Gregorius XI San Giovanni in Laterano 2006-09-07.jpg
Bulle de Modèle:Souverain- à Saint-Jean de Latran.

Portrait de Modèle:Souverain-

Le peintre Henri Serrur imagine, entre 1839 et 1840, neuf portraits des papes d'Avignon dont les tableaux se trouvent actuellement exposés dans une salle du palais des papes d'Avignon<ref>Jean-Pierre Saltarelli, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

Si celui de Modèle:Souverain- retient l'attention par le port élégant du pape, ce n'en est pas moins un faux historique tout comme son gisant dans le transept droit de la basilique Sainte-Françoise Romaine, à Rome, dont le tombeau a été gravement endommagé lors du sac de la ville, en 1527, par les troupes de Charles Quint. La réfection du visage du pontife avignonnais par Olivieri, en 1585, ne respecte en rien ses traits originels<ref name="RdB70">Jean-Pierre Saltarelli, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

Fichier:Benvenuto di Giovanni (1436-1518) Grégoire XI fresque de l’Ospedale Santa Maria della Scala à Sienne.jpg
Départ d'Avignon et arrivée à Rome de Modèle:Souverain-, fresque de Girolamo di Benvenuto à l’Ospedale Santa Maria della Scala à Sienne.

Il existe pourtant, en Italie, parmi les fresques et tableaux représentant le retour de la papauté à Rome, une œuvre sans doute très proche de la réalité historique. C'est la fresque de Girolamo di Benvenuto, peinte sur l'arc triomphant de l'Ospedale Santa Maria della Scala à Sienne<ref name="RdB70"/>.

La seule contre-vérité historique est la présence au départ d'Avignon et à l'arrivée à Rome de Catherine de Sienne, qui n'assista à aucun de ses deux évènements. Mais c'est une constante, en Italie, de faire parrainer le retour de la papauté par la dominicaine<ref>Jean-Pierre Saltarelli, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

Fait plus important, sur la partie gauche de la fresque, au-dessus du dai pontifical, la seconde rangée des cardinaux présente une particularité insigne. Sur les trois représentés, deux ont leur visage rendu méconnaissable par une couche d'enduit. Il ne s'agit en rien d'un hasard, puisque l'un de ceux-ci, portant camail et robe noires, se retrouve traité de la même façon sur le volet droit de la fresque. De plus c'est le seul cas de caviardage observable sur celle-ci<ref name="RdB72">Jean-Pierre Saltarelli, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

C'étaient les portraits, fort identifiables, des cardinaux Pierre de Genève et Pedro La Luna, futurs papes avignonnais du Grand Schisme, qui ont subi un tel traitement<ref name="RdB72"/>. Un siècle après le retour de la papauté à Rome, le peintre semble avoir travaillé d'après des cartons d'époque, ce qui permet de considérer que le portrait de Modèle:Souverain-, qui se retrouve à l'identique sur les deux côtés d'arc triomphant, reproduit sa vraie figure<ref>Jean-Pierre Saltarelli, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

À la même époque

Notes et références

Modèle:Références

Bibliographie

Chroniques contemporaines
Études générales
  • É. Baluze, Vitæ paparum Avenionensium, sive collectio actorum veterum, Modèle:Vol. et Modèle:II. Paris, 1693.
  • J.-F. Fornéry, Histoire ecclésiastique et civile du Comté Venaissin et de la ville d’Avignon, Roumanille, Avignon, 1741.
  • Tessier, Histoire des souverains pontifes qui ont siégé dans Avignon, Avignon, 1774.
  • J.-B. Christophe, Histoire de la papauté pendant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec des notes et des pièces justificatives, Modèle:T. et Modèle:II, Paris, 1853.
  • J.-B. Joudou, Histoire des souverains pontifes qui ont siégé à Avignon, Avignon, Modèle:T. et Modèle:II, 1855.
  • Guillaume Mollat, Les papes d'Avignon 1305-1378, Ed. Letouzey & Ané, Paris, 1949, Neuvième édition, 598Modèle:Nb p.
  • Guillaume Mollat, Les papes d'Avignon, Letouzey & Ané, Paris, 1950.
  • Yves Renouard, La papauté à Avignon, Paris, 1954.
  • Bernard Guillemain, La cour pontificale d'Avignon 1309-1376. Étude d’une société, Éditions de Boccard, Paris, 1966, 808Modèle:Nb p.
  • Dominique Paladilhe, Les papes d'Avignon, Perrin, Paris, 1999 Modèle:ISBN.
  • Bernard Guillemain, Les papes d’Avignon (1309-1376), Paris, 1998.
Études particulières

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Article connexe

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Grand Schisme d'Occident

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