Kakemphaton
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Le kakemphaton (du grec ancien : Modèle:Grec ancien, « malsonnant ») est une phrase que l'on peut entendre de plusieurs façons homophones mais qui, formant un sens différent, peut être synonyme de calembour. Le kakemphaton est parfois involontaire<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, parfois volontaire.
Exemples
Littérature
- Modèle:Citation : et le désir s'accroît quand les fesses reculent - Corneille, Polyeucte
- Modèle:Citation : Ménélas, poulet - Corneille, Horace
- Modèle:Citation : son crâne était tout vert - Victor Hugo, « Souvenir de la nuit du 4 », Les Châtiments
- Modèle:Citation : vierge non encornée - Jean-Baptiste Rousseau, « Ode à la postérité », Odes, livre IV, ode X
- Modèle:Citation : araignée - Corneille, La Mort de Pompée
- Modèle:Citation : vieil hareng saur - Adolphe Dumas, Le Camp des croisés<ref>Anne Quesemand, Elles sont tropes !, figures et tournures de la langue française (ill. Laurent Berman), Paris, Éditions Alternatives, 2005 Modèle:ISBN.</ref>
- Modèle:Citation : vingt culottes - Simon-Joseph Pellegrin, Loth
- Modèle:Citation : La bite à la main - Boris Vian, Un homme tout nu marchait
- « c’est assez, dit la baleine, je me cache à l’eau car j’ai le dos fin » : cétacé dit la baleine, je me cachalot car j’ai le dauphin. - locution couramment utilisée comme moyen mnémotechnique destinée à retenir les noms des cétacés
Chanson
- La chanson Le Tube de toilette de Boby Lapointe est entièrement écrite en kakemphatons. À chaque vers, la voix principale chante le texte puis une seconde voix explicite le kakemphaton.
- Modèle:Citation : sois en sursis - Tragédie, Bye bye
Cinéma
- Modèle:Citation : J'étouffais pour m'aigrir - Marc Goldstein