Lagrâce-Dieu
Modèle:Infobox Commune de France Lagrâce-Dieu est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Mouillonne, le ruisseau le Rauzé et par divers autres petits cours d'eau.
Lagrâce-Dieu est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Gracieux-Divins ou Gracieuses-Divines.
Géographie
Localisation
Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Haute-Garonne
La commune de Lagrâce-Dieu se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Toulouse<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Muret<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité d'Auterive<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Auterive<ref name=meta group=I/>.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Puydaniel (Modèle:Unité), Mauressac (Modèle:Unité), Auribail (Modèle:Unité), Miremont (Modèle:Unité), Grazac (Modèle:Unité), Auterive (Modèle:Unité), Esperce (Modèle:Unité), Caujac (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Lagrâce-Dieu fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Lagrâce-Dieu est limitrophe de six autres communes<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>. Modèle:Carte communes limitrophes
Relief et géologie
La superficie de la commune est de Modèle:Unité. Elle est située dans la vallée de la Mouillonne et sur des coteaux boisés du Volvestre, étagés de Modèle:Unité pour le lieu-dit la Pradasse à Modèle:Unité<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref> pour Le Roussel. La commune a la forme d'un parallélogramme de Modèle:Unité de long sur Modèle:Unité de large.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Mouillonne, le ruisseau le rauzé, la Mercé, le Rivet, le ruisseau de Bouthaère et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Mouillonne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Ybars (09) et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Grépiac, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ybars », sur la commune de Saint-Ybars, mise en service en 1987<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Lagrâce-Dieu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,6 %), forêts (26,5 %), zones urbanisées (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Accès par la route départementale D 622, et le réseau Arc-en-ciel.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lagrâce-Dieu est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Mouillonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1998, 1999, 2000, 2005, 2007, 2009 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Lagrâce-Dieu est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des Coteaux de l'Ariège. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de Modèle:Unité des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque feux de forêts.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 204 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2002, 2003 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Histoire
C'est vers le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle que l'on a donné le nom de « Lagrâce-Dieu ». L'abbaye de la localité avait une relique de saint Jean nommée Grâce de Dieu. La commune était formée anciennement de deux territoires entièrement distincts: Lagrâce-Dieu et Magrens. À la fin de la Révolution de 1789 Lagrâce-Dieu et Magrens ne forment qu'un seul village: Rozé rebaptisé Lagrâce-Dieu en 1791.
À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la révolution française, Lagrâce-Dieu faisait partie du diocèse de Rieux
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes du Bassin Auterivain et du canton d'Auterive.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Service public
Enseignement
Lagrâce-Dieu fait partie de l'académie de Toulouse.
1826 : Les registres de délibération du conseil municipal de Lagrâce-Dieu portent témoignage de l’existence d’une école déjà présente en 1826. Au budget, voté le Modèle:Date-, il est noté dans le registre des comptes au titre de dépenses que le logement et le traitement d’un instituteur s’élèvent à 80 F. (archives municipales de Lagrâce-Dieu).
1839 : Monsieur le maire explique qu’en exécution de l’ordonnance royale du Modèle:Date-, le conseil municipal doit délibérer, chaque année, au mois de mai, sur l’entretien de l’école primaire communale, sur le taux de rétribution mensuelle et le traitement fixe à accorder à l’instituteur. La somme allouée à l’instituteur est de 132 francs et 90 centimes par les fonds de la commune. Les parents doivent rétribuer mensuellement l’instituteur, seuls les parents indigents ne payent pas de rétribution.
1989 : La classe unique de Lagrâce-Dieu compte 9 élèves. L’école de Puydaniel est fermée déjà depuis quelques années.
1995 : Une classe enfantine (classe maternelle à plusieurs cours) est ouverte à Lagrâce-Dieu. Les locaux sont celui de l’ancien presbytère. 1997 : Une deuxième classe primaire est ouverte à Lagrâce-Dieu.
1999 : Une deuxième classe maternelle est ouverte à Lagrâce-Dieu. 2001 : L’école de Puydaniel est rouverte.
2003 : L’école de Puydaniel compte 20 élèves. L’école de Lagrâce-Dieu compte 72 élèves. Ces deux écoles sont gérées par le SIVOM regroupant les mairies de Lagrâce-Dieu, Mauressac et Puydaniel.
2005 : L’école de Puydaniel compte 23 élèves. L’école de Lagrâce-Dieu compte 92 élèves. Le conseil municipal de Mauressac envisage la construction et l’ouverture d’une école maternelle sur sa commune en 2007.
2009 : le RPI de Lagrâce-Dieu/Puydaniel/Mauressac compte 160 enfants. Il y a maintenant 7 classes: 3 classes à Lagrâce-Dieu, 3 classes à Mauressac et 1 classe à Puydaniel directrice du RPI : L’école de Lagrâce-Dieu : 65 élèves, l’école de Puydaniel : 21 élèves et l’école de Mauressac : 74 élèves.
2011 : le RPI de Lagrâce-Dieu/Puydaniel/Mauressac compte 180 enfants. Il y a 8 classes: 4 classes à Lagrâce-Dieu, 3 classes à Mauressac et 1 classe à Puydaniel. L’école de Lagrâce-Dieu : 89 élèves, l’école de Puydaniel : 15 élèves et l’école de Mauressac : 76 élèves.
2013 : le RPI de Lagrâce-Dieu/Puydaniel/Mauressac compte 194 enfants Il y a 8 classes : 4 classes à Lagrâce-Dieu, 3 classes à Mauressac et 1 classe à Puydaniel. L’école de Lagrâce-Dieu : 94 élèves, l’école de Puydaniel : 24 élèves et l’école de Mauressac : 76 élèves.
Culture et festivité
Foyer rural, comité des fêtes
Activités sportives
Chasse, pétanque, randonnée pédestre,
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Smivom de la Mouillonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 85,5 % d'actifs (78,6 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 14,5 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 41 en 2013 et 35 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 286, soit un indicateur de concentration d'emploi de 11,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 74,5 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 286 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 7 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 87,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,7 % les transports en commun, 3,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
25 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Lagrâce-Dieu au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 25 entreprises implantées à Lagrâce-Dieu), contre 12 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine.
Agriculture
Modèle:Tableau La commune est dans le Volvestre, une petite région agricole localisée dans l'est du département de la Haute-Garonne, constituée de collines de terrefort à fortes pentes autrefois consacrées à l’élevage s’orientent aujourd’hui vers les grandes cultures<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (14 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Jean-Baptiste.
- Chapelle du château de Magrens (château Roquette)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Tombeau de Sicard de Miremont
Description : Une série de quadrilobes dans le goût du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle se développe sur les flancs du tombeau renfermant chacun un écusson chargé d'une pièce héraldique alternativement répétée. C'est tantôt une croix péronée tantôt un lion rampant. L'écusson du milieu est seul chargé de pal. Sicard de Miremont (Sicardus de Miremonte) probablement fils de Bernard un des témoins nommés dans le traité de paix entre Saint Louis et Raymond VII de Toulouse (1229) joua un certain rôle dans les événements qui suivirent la croisade contre les Albigeois. Il figure dans un hommage au dernier Raymond et fut un des commissaires chargés de recueillir les serments de fidélité dans le Toulousain l'Albigeois le Rouergue le Quercy et l'Agenais (1243). On le trouve l'année suivante comme témoin des hommages des comtes d'Astarac et de Comminges. Il rend au comte Raymond Totum jus et dominumin castro sanctoe gvelloe. En 1261 Roger-Bernard II de Foix jure paréage et fidélité : Dominus castri de Saverduns et nobilis véris éjus Dum Castro penéluit et de Sicardus de Miramonte.
On voit à Miremont, peu distant de Lagrâce-Dieu le tombeau d'Honor de Durfort, femme de Sicard de Miremont.
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes