Laprugne

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Modèle:À sourcer Modèle:Infobox Commune de France

Laprugne est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Laprugne est une commune située à l'extrême sud-est du département de l'Allier<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à la limite de celui de la Loire, entre la montagne bourbonnaise et les monts de la Madeleine. Elle occupe la haute vallée de la Besbre, entre le roc de Gabelous (969 m) et les Pierres du Jour (1165 m)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

À vol d'oiseau, elle est à Modèle:Unité au sud-est du Mayet-de-Montagne<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité au sud-est de Cusset<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité au sud-est de la sous-préfecture Vichy<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Modèle:Unité au sud-sud-est de Lapalisse<ref>Modèle:Lien web.</ref> et à Modèle:Unité au sud-sud-est du chef-lieu du département Moulins<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La ville la plus proche est Roanne (Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>), dans le département de la Loire.

Huit communes, dont quatre dans le département limitrophe de la Loire (neufModèle:Note en incluant le quadripoint avec Les Noës), jouxtent Laprugne<ref name="geoportail" /> : Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La superficie de la commune est de Modèle:Unité<ref name="RGC" /> ou Modèle:Unité ; son altitude varie entre 549<ref name="RGC" /> et Modèle:Unité<ref name="RGC" /> (au point culminant de la commune, dans la forêt de l'Assise, aux Pierres du Jour, à l'est de la commune).

Modèle:Référence nécessaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Caractéristiques géologiques

Laprugne est entourée par des massifs granitiques (les monts de la Madeleine et les Bois Noirs).

Environnement

Le sud et l'ouest de la commune sont occupés par le massif forestier d'altitude des Bois Bizin. Le roc des Gabelous, point culminant du massif (Modèle:Unité), se trouve sur Laprugne. La limite avec la commune voisine de Ferrières-sur-Sichon, à l'ouest, suit pour l'essentiel le chemin de crête.

Des forêts entourent le village et les arbres les plus courants sont les hêtres, les frênes, les châtaigniers, les noyers, les chênes et les sapins. La forêt domaniale de l'Assise tient une part importante dans le massif forestier prugnard (environ Modèle:Unité).

Hydrographie

Modèle:… La commune est traversée par la Besbre, affluent de la Loire ; Modèle:Référence nécessaire, à la limite nord, lorsqu'elle quitte Laprugne pour entrer dans la commune de La Chabanne.

Climat

Le climat est continental (hiver froid - été chaud).

Urbanisme

Typologie

Laprugne est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en Modèle:Date-, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,8 %), prairies (25,6 %), zones urbanisées (0,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.

Logement

En 2012, la commune comptait Modèle:Unité, contre 531 en 2007. La majorité de ces logements sont des résidences secondaires, au nombre de 309 (soit 58,4 %) ; en outre, 30,3 % étaient des résidences principales et 11,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 64,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 35,2 % des appartements<ref group="a">LOG T2 – Catégories et types de logements.</ref>.

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 85,8 %, en hausse sensible par rapport à 2007 (85,1 %). La part de logements HLM loués vides était de 2,6 % (contre 1,2 %)<ref group="a">LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.</ref>.

Planification de l'aménagement

L'ancienne communauté de communes de la Montagne bourbonnaise, dont Laprugne était membre, avait prescrit l'élaboration d'un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) en 2014. À la suite de la fusion de la communauté de communes avec la communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier le Modèle:Date-, c'est Vichy Communauté qui poursuit les procédures de l'élaboration de ce document, approuvé en conseil communautaire le Modèle:Date- et exécutoire depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Voies de communication et transports

La commune est traversée par plusieurs routes départementales. La principale route d'accès est la route départementale 7, reliant Lapalisse et Le Mayet-de-Montagne à Saint-Priest-la-Prugne<ref name="geoportail" />.

La route départementale 177 relie Saint-Clément à la station de ski de la Loge des Gardes, à l'est de la commune ; c'est aussi le point de départ de la route départementale 478 menant à Saint-Nicolas-des-Biefs, en longeant la frontière départementale. Une Modèle:Nobr relie La Chabanne à Laprugne sans passer par la station<ref name="geoportail" />.

La route départementale 182 relie le centre du village à la station de ski de la Loge des Gardes et au département de la Loire en direction de l'agglomération roannaise, vers la Modèle:Nobr (gérée par le conseil départemental de la Loire malgré un passage sur le territoire de la commune)<ref name="geoportail" />.

Entre 1911 et 1949, la commune était desservie par la ligne unique à voie métrique reliant Vichy à Saint-Just-en-Chevalet (Modèle:Citation), avec la gare de Lavoine-Laprugne. Y passait même un temps un train Vichy-Roanne.

Toponymie

Les habitants sont appelés les Prugnards et les Prugnardes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le nom vient de l'arpitan local La Prugnaz.

Laprugne est en effet une des quelques communes du département de l'Allier à faire partie de l'aire linguistique du francoprovençal (arpitan). Cette aire linguistique comprend aussi dans le sud-est du Bourbonnais les communes de Saint-Pierre-Laval, Saint-Nicolas-des-Biefs, La Chabanne et Lavoine<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Histoire

Préhistoire

Comme preuve de l'occupation humaine à l'époque préhistorique, deux haches polies ont été découvertes à Ratignier et aux Pouzerattes, puis placées au musée Déchelette à Roanne. Elles datent du paléolithique. Des morceaux de hache de l'âge de bronze ont été aussi trouvées sur le chemin de la ligue ainsi que les restes d'une enceinte fortifiée au Point du Jour (village situé à Modèle:Unité d'altitude sur la commune de Laprugne).

Antiquité

Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les Romains passaient par Laprugne pour aller de Vichy à Feurs.

Moyen Âge

Projectus, évêque d'Auvergne du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle a donné le nom de Laprugne au village. Le nom viendrait de l'arbre « prunier » du latin prunhia.

Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les terres de Laprugne furent rattachées à l'abbaye de Cusset. L'abbesse Agnès, supérieure de l'abbaye , créa plusieurs prieurés. Celui de Laprugne fut l'un des plus importants. Le territoire formera la paroisse de Laprugne.

Le Châtelard : les religieuses fortifieront un endroit favorable pour se protéger des dangers extérieurs (brigands, bandes armées et épidémies de peste) ; elles se retrancheront au Châtelard (petit château fort). Le château tomba en ruines et, en 1473, l'abbesse Blanche demanda à Louis XI de reconstruire la forteresse. Celui-ci accepta la reconstruction de la place forte. À ce jour, il ne reste rien de ce château, seul le nom de Châtelard est conservé par le lieu-dit.

L'une des cloches de l'église de Laprugne, datant de 1474, est une des plus anciennes du département.

Époque moderne

Dans la deuxième moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le pays est déchiré par les luttes entre protestants et catholiques. Le chemin de la Ligue, utilisé par les ligueurs qui suivaient ce chemin pour surveiller les alentours, existe toujoursModèle:Note. Ce chemin est situé sur la crête de la commune de Laprugne.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Laprugne faisait partie de la province du Bourbonnais, pays de grande gabelle, où l'on payait l'impôt sur le sel, la gabelle, beaucoup plus cher qu'en Auvergne, pays rédimé de gabelle. Une contrebande active s'exerçait donc à la frontière entre ces deux provinces. Un poste de surveillance situé sur le chemin de la Ligue, nommé le Roc des Gabelous, dominait à Modèle:Unité d'altitude la commune de Laprugne ; il existe encore aujourd'hui.

Modèle:Référence nécessaire.

Époque contemporaine

La commune est créée en 1790.

Les abbesses quitteront Laprugne après plus de neuf siècles passés dans leur domaine lors de la Révolution française. Fin Modèle:Date-, la grande peur s'empara de la population mais rien ne se produisit sinon le pillage de quelques châteaux des environs. De nombreux biens seront vendus, dont le pré de la Cure appartenant à l'abbaye de Cusset. Après l'abolition du culte catholique, de nombreux prêtres réfractaires se réfugient dans la forêt de l'Assise et disent la messe du dimanche en cachette. Après la Terreur, l'église Saint-Jean-Baptiste de Laprugne est rouverte au culte.

Sous l'Empire, de nombreux conscrits se cachèrent aussi dans la forêt de l'Assise.

En 1842, débute l'exploitation de mines de plombs argentifères, puis plus tard d'étain et de cuivre.

En 1850, une partie de la commune de Laprugne est détachée au profit de la commune de La Chabanne.

Sous le règne de Napoléon III, l'abbé Querry sera à l'origine de la tradition de l'agneau de la Saint-Jean. À la suite d'une maladie qui décimait les troupeaux de moutons, un paysan demanda à l'abbé de venir bénir le troupeau. Le mal disparut. L'abbé demanda qu'à chaque Saint-Jean, un agneau soit amené et béni pendant la messe. Cet agneau fut ensuite vendu aux enchères au profit de la paroisse. Chaque année, un agneau est donné par un agriculteur de la région. Et la tradition de l'agneau de la Saint-Jean continue depuis cette époque.

En 1911, la ligne de train à voie métrique du réseau secondaire de l'Allier, de Vichy à Ferrières-sur-Sichon est prolongée jusqu'à Laprugne, puis par le col du Bon Louis, jusqu'à Saint-Just-en-Chevalet dans la Loire et au réseau de ce département. Cela permit l'expansion des minesModèle:Sfn.

En 1924, implantation du monument aux morts en granit gris. Les tables d'inscription sont en granit rose. Une croix de guerre est sculptée.

En 1933, début de la commercialisation de l'eau minérale Charrier, qui jusqu'alors sous son nom d'origine, La Bouna Font, ne servait que pour hydrater les mineursModèle:Sfn.

En 1952, début d'extraction d'uranium dans la commune voisine de Saint-Priest-Laprugne. Laprugne va largement en bénéficier, voyant sa population passait de 900 à 1400 habitants. La cité Magnan, comprenant 120 logements et un nouveau groupe scolaire sont construitsModèle:Sfn.

En 1953, la mine de cuivre et d'étain est définitivement fermée.

En 1958, rachat de la source Charrier par le groupe Perrier. L'année suivante, l'exploitation de l'eau minérale atteint son apogée avec son célèbre slogan publicitaire Modèle:Citation Modèle:Sfn jouant sur la relation entre Brigitte Bardot (BB) et Jacques Charrier et la naissance de leur enfant.

En 1960, aménagement de la station de ski de la Loge des Gardes.

En 1980, les ouvertures de mines d'uranium à Lodève entrainent la fermeture de celle de Saint-Priest-Laprugne et le départ de nombreux habitants à LaprugneModèle:Sfn.

En 1996, fin de l'exploitation de la source CharrierModèle:Sfn.

Politique et administration

Administration municipale

Monique Montibert, ancienne adjointe, a été élue maire à l'issue des élections municipales de 2014, lors du conseil municipal suivant immédiatement les élections, lequel a désigné trois adjoints<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 2020, Séverine Thomas-Mollon succède à Monique Montibert à la mairie. Trois adjoints ont été désignés<ref name="Election2020">Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services publics

Enseignement

Laprugne dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère l'école élémentaire publique Victor-Schœlcher (douze élèves)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les collégiens sont scolarisés au Mayet-de-Montagne<ref>Modèle:Lien web.</ref> et les lycéens au lycée Albert-Londres à Cusset<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est âgée.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 18,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 43,5 % la même année, alors qu'il est de 34,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 52,7 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,05 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Sports

Laprugne a été commune de passage du Paris-Nice 2023. Le Modèle:Nobr, la Modèle:4e avait pour terminus la station de ski de La Loge des Gardes, avec une ascension de Modèle:1re (Modèle:Unité à 7,1 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à Modèle:Euro, ce qui plaçait Laprugne au 30 566e rang des communes de plus de Modèle:Unité en métropole<ref>Revenus fiscaux localisés des ménages Modèle:Zip, Insee, données 2011.</ref>.

Emploi

En 2012, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à Modèle:Unité, parmi lesquelles on comptait 71,7 % d'actifs dont 56 % ayant un emploi et 15,7 % de chômeurs<ref group="a">EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.</ref>.

On comptait Modèle:Unité dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 115, l'indicateur de concentration d'emploi est de 38,7 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif<ref group="a">EMP T5 – Emploi et activité.</ref>.

85 des Modèle:Unité âgées de 15 ans ou plus (soit 73,9 %) sont des salariés<ref group="a">ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2012.</ref>. 36,9 % des actifs travaillent ailleurs dans le département, 29,7 % dans une autre région et 27,9 % dans la commune même<ref group="a">ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.</ref>.

Entreprises

Au Modèle:Date-, Laprugne comptait quinze entreprises : deux dans l'industrie, aucune dans la construction, onze dans le commerce, les transports et les services divers et deux dans le secteur administratif<ref group="a">DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au Modèle:Date-.</ref>.

En outre, elle comptait Modèle:Unité<ref group="a">DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au Modèle:Date-.</ref>.

Tourisme

Au Modèle:Date-, la commune comptait un seul hôtel non classé de onze chambres<ref group="a">TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au Modèle:Date-.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Laprugne dans la littérature et les arts

Au début du roman fantastique de René Barjavel, Une rose au paradis (1981), le village de Laprugne est cité et il sert de toile de fond au départ de l'action.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Insee

Dossier relatif à la commune Modèle:Références

Autres références

Modèle:Références

Modèle:Palette Vichy Communauté Modèle:Portail