Laroque-des-Albères

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Modèle:Confusion Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Laroque-des-Albères <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le sud-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Tanyari, la rivière de Laroque et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Laroque-des-Albères est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération de Saint-Cyprien et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Rocatins ou Rocatines.

Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Carte communes limitrophes

Localisation

Modèle:Maplink La commune de Laroque-des-Albères se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Perpignan<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Céret<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Sorède (Modèle:Unité), Saint-Génis-des-Fontaines (Modèle:Unité), Villelongue-dels-Monts (Modèle:Unité), Montesquieu-des-Albères (Modèle:Unité), Saint-André (Modèle:Unité), Brouilla (Modèle:Unité), L'Albère (Modèle:Unité), Palau-del-Vidre (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Laroque-des-Albères fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 66093.png
Situation de la commune.

Géologie et relief

Le territoire de la commune connait deux zones distinctes : au nord, la plaine, zone de cultures fruitières et viticole, et, au sud, la zone montagneuse, qui s'élève jusqu'à Modèle:Unité (Puig Neulos), essentiellement forestière (chênes-lièges, châtaigniers notamment). Le village s'étend sur la zone intermédiaire entre la plaine et la montagne.

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Le territoire de la commune est arrosé par plusieurs rivières prenant leur source dans le massif des Albères<ref>Carte IGN 2549 OT</ref> :

  • Ribera de la Roca, affluent du Tech et ses affluents de l'amont vers l'aval :
    • Còrrec del Roc dels Tres Termes (rg) ;
    • Còrrec del Pou (rd) ;
    • Còrrec del Coll de l'Ullat (rg) ;
      • Còrrec del Puig d'Orella (rg) ;
    • Còrrec de Jaca (rg) ;
    • Còrrec de les Teixoneres (rd) ;
    • Còrrec de Mata Porcs (rd) ;
    • Còrrec de la Font del Pomer (rd) ;

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 9,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Boulou », sur la commune du Boulou, mise en service en 1962<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : la « crête du pic d'Aureille » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et les « crêtes de pic Neoulos » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : le « massif des Albères » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Laroque-des-Albères est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Cyprien, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), cultures permanentes (23 %), zones urbanisées (9 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Routes menant à Laroque-des-Albères<ref>Carte IGN 2649 OT</ref> :

La ligne 550 du réseau régional liO relie la commune à Céret et à Argelès-sur-Mer, et la ligne 553 relie la commune à la gare de Perpignan depuis Saint-Génis-des-Fontaines.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Laroque-des-Albères est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre 1 - Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Laroque-des-Albères est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Fichier:Laroque-des-Albères - Panneau entrée D11.jpg
Panneaux à l'entrée de Laroque-des-Albères.

En catalan, le nom de la commune est Modèle:Langue<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Ouvrage.</ref>.

Histoire

Les traces d'occupation humaine sur le territoire de la commune de Laroque remontent au moins jusqu'à la période protohistorique. En témoignent de nombreuses haches polies ainsi que la Balma del Moro<ref name=pc2>Modèle:Le pays catalan 2.</ref>, « l'un des trois plus beaux et plus grands dolmens du département » selon Jean Abélanet.

Laroque est mentionnée pour la première fois au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sous le nom Roca Frusindi du nom de son possesseur : Frusindus. Il s'agit d'un ancien fundus d'origine wisigothique.

Au haut Moyen Âge, l'actuel territoire de Laroque comptait cinq paroisses rurales : Roca-Vella, Tanya, Alamanys, Galicie et Laroque. Quatre de ces paroisses furent réunies au château de Laroque entre le Modèle:S mini- et le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'ancien village de Laroque fut, dès le Moyen Âge, articulé autour du château seigneurial à l'intérieur des remparts. C'est dans le château de Laroque que le roi de France Philippe III le Hardi rencontra le roi de Majorque lors de la Croisade d'Aragon. Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le village commença sa croissance en dehors des remparts, vers le nord, formant un « faubourg ». Aujourd'hui, le village est bien plus étendu et englobe, au nord, l'ancien hameau de Tanya.

Roca-Vella

Modèle:... Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle est mentionnée la Villa Rochas dite aujourd'hui Villa Vella.

Tanya

Ce lieu est cité dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. On y cite la Cella Saint-Félix et la Celle Saint-Julien, établissements quasi monastiques rattachés à l'évêque d'Elne. Dans son Testament daté de 1187, dame Alisende déclare: «Je laisse mon corps au monastère de saint-Génis...En outre, je laisse audit monastère, comme alleud, toute ma partie d'une borde aux environs de SaintFélix de Tanya, que tenait Raimond Saurina, avec les hommes et les femmes, de sorte qu'après le décès de mon mari Pierre de Saint-Martin, ledit monastère possède librement cette borde. Je laisse aux clercs de Saint-Félix de Tanya un muid inter panem et vinum. Je laisse à Saint-Julien de Tanya, cent sols barcelonais qui seront versés l'an accompli après mon décès. Si toutefois cette somme ne leur était pas versée, les recteurs du lieu de Saint-Julien tiendront mon champ de Condamine et ma vigne de Gavarra jusqu'à ce que cette somme leur soit acquittée.. »

Alamanys

Modèle:...

Galicie

Modèle:...

Politique et administration

Canton

D'abord incluse dans le canton de Collioure en 1790, la commune de Laroque en est détachée en 1793 pour devenir le chef-lieu du nouveau canton de Laroque. Ce dernier est supprimé en 1801 et Laroque est alors rattachée au canton d'Argelès dont elle a fait partie depuis<ref>Modèle:Paroisses et communes des PO.</ref>. À compter de Modèle:Date-, la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-Albères.

Administration municipale

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:Article détaillé Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie ancienne

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Modèle:Tableau population

Démographie contemporaine

Modèle:Population de France/section

Modèle:Tableau rang commune de France

Enseignement

Modèle:...

Manifestations culturelles et festivités

Santé

Modèle:...

Sports

Modèle:...

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 52 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (42,1 % dans le département).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 69,9 % d'actifs (55,5 % ayant un emploi et 14,4 % de chômeurs) et 30,1 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 402 en 2013 et 349 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 581, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 39,1 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 581 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 182 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 81,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % les transports en commun, 9,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro<ref group=I> Modèle:Lien web.</ref>.

Emploi

Entreprises et commerces

Longtemps tourné vers l'agriculture le village connait un nouveau développement grâce au tourisme vert. Sa proximité des côtes rousillonnaises en fait un lieu de villégiature et un point de départ des randonnées.

La population s'accroit grâce à l'arrivée de retraités et de citadins qui fuient les villes du bord de mer. Une zone d'activité artisanale a été créée.

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Personnalités liées à la commune

  • Philippe III le Hardi (1245-1285) : roi de France, qui rencontra à Laroque le roi de Majorque Jacques II ;
  • Jean Chaubet (1815-1871) : homme politique né à Laroque-des-Albères ;
  • Marcel Darné (1901-1970) : joueur de rugby à XV né à Laroque-des-Albères, champion de France avec l'U.S.A.P en 1925 et finaliste en 1924 ;
  • Lucien Jeunesse (1918-2008) : animateur de radio, demeura plusieurs années à Laroque sur la route des Mas catalans ;
  • Carlo Maiolini (1940-) : artiste-peintre vivant à Laroque-des-Albères.

Héraldique

Modèle:Article connexe

Modèle:Blasonnement

Photographies

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail