Lavardens

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Modèle:Infobox Commune de France

Lavardens (Lavardens en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Guzerde et la Coulègne.

Lavardens est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Lavardenais ou Lavardenaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Michel, classée en 1960, et le château, classé en 1961.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Lavardens est situé à Modèle:Unité à l'ouest de Fleurance et à Modèle:Unité au nord-ouest d'Auch. La commune est traversée par la route départementale 103, qui la relie à la route départementale 930 Auch-Condom.

Le village est situé sur un éperon. C'est un village castral dominé par la masse imposante de son château. Le bourg révèle un urbanisme lié au relief : il est entaillé d'une rue principale que rejoignent des ruelles très abruptes.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Modèle:... Lavardens se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)<ref>Plan séisme</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lavardens.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Guzerde, la Coulègne, le ruisseau biote, le ruisseau de Larriouau et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La Guzerde prend sa source dans la commune de Castillon-Massas et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Lahontan a sa sortie de la commune.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 7,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucaire », sur la commune de Beaucaire, mise en service en 1973<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Lavardens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,2 %), forêts (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Lavardens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:32204-Lavardens-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lavardens.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 211 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1999, 2001, 2009, 2015 et 2018. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1996, 2003, 2009, 2012, 2016 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Modèle:...

Histoire

Attestée dès les années 1140, la forteresse médiévale, capitale militaire des comtes d'Armagnac, fut démantelée en 1496 par Charles VIII lors du siège de Lavardens.

Le château primitif était propriété du seigneur de l'Isle-Arbéchan (aujourd'hui L'Isle-de-Noé). Puis le château resta dans la mouvance des comtes d'Armagnac jusqu'à leur disgrâce en 1473.

L'actuel château de Lavardens est attribué pour l'essentiel de sa reconstruction à l'architecte Pierre Levesville qui réalisa les travaux pour le maréchal de Roquelaure, à partir de 1608. Antoine de Roquelaure construit ce château pour abriter ses amours avec sa jeune épouse Suzanne de Bassabat. Toutefois, il meurt sans avoir terminé sa tâche. Le château échoit alors, par voie d'héritage, à la famille de Rohan. Acheté ensuite, en 1752, par le marquis de Mirabeau, puis par la famille de Pins — propriétaire de 1766 à 1852, le château ne subit que quelques modifications.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le château est vendu en copropriété. Faute d'entretien, la toiture s'effondre en 1923.

Aujourd'hui, l'association de sauvegarde du château de Lavardens, propriétaire de celui-ci, le restaure depuis 1970 et gère l'accueil ainsi que les différentes animations et expositions.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 78,1 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs) et 21,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 88 en 2013 et 68 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 150, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,7 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 150 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 45 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 81 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

32 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Lavardens au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 32
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
4 12,5 % (12,3 %)
Construction 6 18,8 % (14,6 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
5 15,6 % (27,7 %)
Information et communication 1 3,1 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 1 3,1 % (3,5 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
5 15,6 % (14,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
7 21,9 % (12,3 %)
Autres activités de services 3 9,4 % (8,3 %)

Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,9 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 32 entreprises implantées à Lavardens), contre 12,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 59 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 41 en 2000 puis à 37 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 32 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 46 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 48 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Manifestations

Rétromotion

Marchés de nuit

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Lavardens est homologué comme un des Plus Beaux Villages de France depuis 2011.Modèle:Refnec

Les remparts

Lavardens était entouré de remparts. À ce jour, il ne reste de visible que cinq tours quadrangulaires. La mieux conservée — dite « de Bayonne » — mesure Modèle:Unité de haut. Elle a été bâtie en appareil moyen et percée de petites archères archaïques.

L'église Saint-Michel

Le clocher de l'église est classé au titre objet des monuments historiques depuis 1960<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le clocher de l'église aurait été le donjon de la forteresse primitive. Mais son éloignement du château contredit cette hypothèse.

L'église a été surélevée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'extérieur est caractérisé par un escalier à vis en hors-œuvre et des contreforts angulaires de hauteur dégressive.

Beau vitrail du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Le château de Lavardens

Modèle:Article détaillé Le village de Lavardens est dominé par l'imposante masse du château. Percé de fenêtres à double croisée de pierre, il fut hardiment lancé vers l'ouest, où la façade est cantonnée de tourelles carrées établies sur des trompes d'angle, en surplomb au-dessus du sentier. Un escalier taillé dans le roc mène aux grandes salles voûtées, à l'acoustique exceptionnelle, dont quelques-unes possèdent un pavement mozarabe de briques roses et de pierres aux motifs géométriques variés (uniques).

Le duc de Roquelaure avait entrepris en 1575 de démolir l'ancienne forteresse médiévale. À partir de 1620, il fit édifier le nouveau château suivant un plan beaucoup plus vaste. Le château n'a pas été construit en se limitant à la plateforme rocheuse d'origine<ref>Henri Polge, Le château de Lavardens, pp. 225-227, dans Congrès archéologique de France. Modèle:128e. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970</ref>.

Personnalités liées à la commune

 | e | er | = 
   {{#switch: e
 | e | er | = 
   Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
 | 
   Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXVII

}}

 | 
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 | e | er | = 
   Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
 | 
   Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles

}}

}} par le Dr J.-B. Noublet, Correspondant du ministre de l'Instruction publique pour les travaux historiques, membre de l'Académie impériale des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse, Paris, J. Téchener, Libraire, 1859. Voir p. 61-65, lire en ligne via google books.</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail