Le Plessis-Trévise

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Le Plessis-Trévise est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.

De peuplement récent, elle a une existence administrative depuis 1899 et s'est urbanisée surtout à partir des années 1950.

Ses habitants sont appelés les Plesséens. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Fichier:VdM-Le-Plessis-Trevise.png
Localisation du Plessis-Trévise dans le Val-de-Marne

Située à Modèle:Unité à l'est de Paris, Le Plessis-Trévise est la plus jeune commune du Val-de-Marne.

Le Plessis-Trévise est située au carrefour entre la Seine-et-Marne avec la commune de Pontault-Combault, la Seine-Saint-Denis avec la commune de Noisy-le-Grand et le Val-de-Marne avec les communes de Champigny-sur-Marne, Chennevières-sur-Marne, La Queue-en-Brie et Villiers-sur-Marne.

Fichier:Place du marché, avenue Ardouin, Le Plessis-Trévise.jpg
La place du marché en 2017.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Milieux naturels et biodiversité

Modèle:... Une partie du Bois Saint-Martin se trouve au Plessis-Trévise.

Urbanisme

Typologie

Fichier:Le Plessis-Trévise - Centre ville.jpg
Le centre-ville, en 2009.

Le Plessis-Trévise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 8 442, alors qu'il était de 8 124 en 2013 et de 7 685 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 98,2 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 1,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 32 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 67,7 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Plessis-Trévise en 2018 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,8 %) et à à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 56,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (62,8 % en 2013), contre 45 % pour le Val-de-Marne et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le logement au Le Plessis-Trévise en 2018.
Typologie Le Plessis-Trévise<ref name="LogT2" group="I"/> Val-de-Marne<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>
Résidences principales (en %) 98,2 92,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,8 9,7
Logements vacants (en %) 1,1 5,7 8,2

Voies de communication et transports

Voies routières

Au nord, la commune est accessible par l'autoroute A4, en empruntant l'accès Noisy-le-Grand/ Villiers-sur-Marne. Au sud, elle est accessible par la N4 en empruntant la direction "Le Plessis-Trévise" au niveau du centre commercial Pince-Vent d'Ormesson. À l'est, la commune est accessible via la francilienne N104 en empruntant la sortie "Pontault-Combault gare"<ref>Page "Accès et transports" sur le site de la mairie du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.</ref>.

Transports en commun

Fichier:Gare de RER E Villiers-sur-Marne - Le Plessis-Trévise, vue rapprochée.jpg
gare de Villiers-sur-Marne - Le Plessis-Trévise, sur le RER E, vue depuis la rue du Chemin de fer, à Villiers-sur-Marne.

Le réseau de transports en commun plesséen repose sur les lignes de bus suivantes :

Toponymie

Le vieux mot « plessis » désignait jadis des branchages entrecroisés protégeant un domaine. Quant au mot « Trévise », il fait référence à la ville d'Italie (Vénétie) : le maréchal Mortier fut nommé duc de Trévise et gouverneur de Silésie par [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], en 1808, après la bataille de Friedland<ref name="PlessisEnBref"/>. En 1812, le maréchal Mortier, devenu immensément riche, s'était installé au château de La Lande, situé sur la commune dont il deviendra le maire. Il est tué en 1835, boulevard du Temple, victime de la « machine infernale » de Fieschi qui visait le cortège de Louis-Philippe. Inhumé aux Invalides, son cœur est enterré au cimetière du Père-Lachaise.

Histoire

Temps modernes

À l'origine, le hameau est constitué de deux domaines séparés : Le Plessis-Saint-Antoine et le Plessis La Lande. En 1776, le prince de Conti réunit les domaines ébauchant ainsi le territoire de ce qui deviendra le Plessis-Trévise, alors partagé entre les communes de Villiers-sur-Marne, La Queue-en-Brie et Chennevières-sur-Marne<ref name="PlessisEnBref">Page "En bref" sur le site de la commune du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.</ref>.

Époque contemporaine

Vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'actuel territoire de la commune du Plessis-Trévise est presque entièrement boisé et à peine une cinquantaine de personnes y vivent de façon permanente<ref>Page d'accueil du site "Mémoire du Plessis-Trévise" maintenu par la Société historique du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.</ref>.

En 1857, après la mort de la duchesse de Trévise, ses héritiers confient à Jean Augustin Ardouin la tâche de morceler le domaine et d'en faire des lotissements. Cette décision a pour conséquence le début du morcellement des anciens grands domaines boisés<ref name="SHPT-MemLieux">Page "Mémoire des lieux" sur le site Mémoire du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.</ref>. Le château de la Lande et son parc sont achetés par Gustave Roger. Dans les anciennes dépendances du château, un institut hydrothérapique est fondé par le docteur Louis Fleury<ref name="PlessisEnBref"/>. Le lotissement d'une partie des terres du château amène une nouvelle population à s'y installer. Dans un premier temps, une population parisienne en quête d'espaces verts contribue à l'accroissement rapide de la ville, souvent par la construction de villas spacieuses. L'artisanat et le petit commerce s'y implante, ainsi que plusieurs fermes. Le chemin de fer y parvient et amène l'ouverture d'auberges et de guinguettes<ref name="PlessisEnBref"/>. En quarante ans, plus de Modèle:Nobr sont construites sur le territoire de l'actuelle commune et la population passe de Modèle:Nobr en 1857 à environ Modèle:Nobr en 1899<ref name="SHPT-MemLieux"/>.

Un syndicat des propriétaires du Parc du Plessis-Trévise porte des revendications d'indépendance administrative de la communauté en croissance rapide, ce qui conduit, après une trentaine d'années de démarches, à la création d'une commune à part entière par la loi du Modèle:Date<ref name="PlessisEnBref"/>. Un odonyme local (« Modèle:Page h' ») rappelle cet événement. L'église Saint-Jean-Baptiste du Plessis-Trévise est construite peu de temps avant la proclamation de la nouvelle commune<ref name="SHPT-MemLieux"/>. La création de la nouvelle commune entraîne l'édification d'équipements publics propres, dont la mairie et une école<ref name="SHPT-MemLieux"/>.

Ce n'est cependant qu'à partir des années 1950 que la nouvelle commune commence réellement à s'urbaniser, notamment après la création par l'abbé Pierre de la « Cité de la Joie », une des premières cités d'urgence construites après son fameux appel de l'hiver 1954 par l'architecte Pierre Dufau<ref name="PlessisEnBref"/>. Une communauté Emmaüs, la première à accueillir des femmes, et plusieurs logements gérés par Emmaüs Habitat sont situés sur la commune du Plessis-Trévise.

Un grand nombre de lotissements pavillonnaires se construisent dans les années 1970<ref name="PlessisEnBref"/>. À partir de 1984, la ville se dote d'un cœur et voit sa population atteindre sa maturité, autour de Modèle:Nombre aujourd'hui<ref name="PlessisEnBref"/>.

Politique et administration

Fichier:Camionnette de la ville du Plessis-Trévise.jpg
Véhicule de nettoyage de la ville du Plessis-Trévise en 2017.

Rattachements administratifs et électoraux

Antérieurement à la loi du Modèle:Date-<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune, créée en 1899 par détachement de celles de Chennevières-sur-Marne, La Queue-en-Brie et Villiers-sur-Marne faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et à son arrondissement de Nogent-sur-Marne après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.

Elle faisait partie depuis sa création à 1964 du canton de Boissy-Saint-Léger , année où elle intègre le canton de Chennevières-sur-Marne. Elle est rattachée en 1976 au canton de Villiers-sur-Marne<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de deux à trois communes.

Intercommunalité

La commune faisait partie de la communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne, créée en 2001.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de Modèle:Unité habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le Modèle:Date- à l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Référence nécessaire.

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, la liste MoDem-UMP-UDI menée par Didier Dousset Modèle:Incise obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (61,71 %, 28 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant largement celles menées respectivement par<ref>Résultats officiels pour la commune Le Plessis-Trévise</ref> :
- Maxime Chevallier (FN, Modèle:Unité, 16,23 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- François Gerard (DVG, Modèle:Nobr, 12,78 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Nathalie Lemaire (FG, Modèle:Nobr, 9,28 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 43,08 % des électeurs se sont abstenus. Modèle:Article détaillé

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste MoDem-LREM-MR menée par Didier Dousset obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (60,84 %, 29 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant très largement celles menées respectivement par<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Sabine Patoux (MoDem diss.-LR, Modèle:Nobr, 18,12 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Mirabelle Lemaire (LFI-PS, Modèle:Nobr, 13,56 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Alain Philippet (RN, Modèle:Nobr, 7,47 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 63,47 % des électeurs se sont abstenus. Modèle:Article détaillé

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut

Modèle:Élu

Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Distinctions et labels

Modèle:Section à actualiser Le Plessis-Trévise a été distinguée entre autres de deux fleurs au concours des villes et villages fleuris en 2006<ref>Modèle:Lien web.</ref> et de trois fleurs en 2015<ref>Modèle:Article.</ref> ou 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Jumelages

Le Plessis-Trévise est jumelée<ref name="jumelage">Villes jumelées au Plessis-Trévise</ref> avec les villes de : Modèle:Début de carte{{#if:350px|
Fichier:Blank map of world no country borders.PNG
|
Fichier:Blank map of world no country borders.PNG
}}

Modèle:Fin de carte

Équipements et services publics

Enseignement

Modèle:Section à sourcer Le Plessis Trévise dispose du collège Albert-Camus, qui se situe non loin de l'espace sportif Philippe-de-Dieuleveult.

Le Plessis Trévise dispose de cinq écoles élémentaires (l'école Jean-Monnet, Jean-Moulin, Marbeau, Val-Roger et l'école Marie-Louise-et-Marcel-Salmon.)

Et dispose également de cinq écoles maternelles (l'école Charcot, Olympe-de-Gouges, Saint-Exupéry, La Maréchale, Val-Roger)

Bibliothèques

Fichier:Médiathèque Jacques Duhamel, Le Plessis-Trévise.jpg
Médiathèque Jacques Duhamel, au Plessis-Trévise.

La médiathèque Jacques Duhamel se trouve en face de la place du marché, sur l'esplanade du Modèle:Date-, près de l'avenue Ardouin. Elle a été inaugurée en 1999<ref>Le Plessis mag' (bulletin d'informations municipales du Plessis-Trévise), Modèle:N°, novembre 2019, Modèle:P.10.</ref>. Depuis fin 2016, elle est gérée par l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir (GPSEA), qui regroupe seize communes du Val-de-Marne<ref>Billet sur le site de la médiathèque Jacques Duhamel. Page consultée le 17 octobre 2017.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:Référence nécessaire.

Sports et loisirs

Fichier:Centre sportif Louison-Bobet, espace Arlette-et-Jacques-Carlier.jpg
L'espace Arlette-et-Jacques-Carlier, l'un des bâtiments du centre sportif Louison-Bobet.

Modèle:Section à sourcer Le Plessis-Trévise possède plusieurs complexes sportifs. Le plus vaste est le complexe Philippe-de-Dieuleveult, composé d'une salle de handball, de gymnastique, de judo, d'escrime, de danse, de badminton, de tennis de table et une piscine. Le Plessis-Trévise possède également le centre sportif Louison-Bobet, un espace sportif comprenant principalement un stade d'athlétisme, qui se trouve à proximité de l'espace Philippe-de-Dieuleveult.

Le Plessis-Trévise dispose d'une équipe de handball masculine (EPHB) qui joue actuellementModèle:Quand en Nationale 2 .

Médias

En 2010, la commune du Plessis-Trévise a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »<ref>Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.</ref>.

Cultes

Fichier:Eglise paroissiale Saint Jean Baptiste, Le Plessis-Trévise, façade.jpg
L'église Saint Jean Baptiste en 2017.

Les fidèles catholiques du Plessis-Trévise disposent de l'église Saint-Jean-Baptiste, une église paroissiale chrétienne construite en 1881<ref>Page "Premiers édifices publics" sur le site Mémoire du Plessis-Trévise, maintenu par la Société historique du Plessis-Trévise. Page consultée le 12 octobre 2017.</ref>.

Économie

Modèle:…

Culture locale et patrimoine

Fichier:Mairie du Plessis-Trévise, octobre 2017.jpg
La mairie du Plessis-Trévise en 2017.

Lieux et monuments

Fichier:Château Tourelles - Le Plessis-Trévise (FR94) - 2022-03-17 - 2.jpg
Le château des Tourelles en 2022.

La mairie actuelle du Plessis-Trévise se trouve dans un bâtiment construit dans les années 1930<ref>Les premiers édifices publics, page sur le site de la Société historique du Plessis-Trévise. Page consultée le 17 octobre 2017.</ref>. Elle a été rénovée et agrandie en 2008.

Le Plessis-Trévise compte également deux châteaux : le château d'Emmaüs et le château des Tourelles.

Le château des Tourelles est une maison bourgeoise construite au cours du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par Arsène Ozanne. Le bâtiment adopte un style néogothique alors à la mode, et comporte deux tourelles en poivrière auxquelles il doit son nom. Le domaine est racheté par la ville du Plessis-Trévise en 1989 et rénové pour devenir un lieu d'exposition permanente ; il abrite également des ateliers d'artistes<ref>Page "à propos" du site du Château des Tourelles. Page consultée le 28 septembre 2023.</ref>.

Un château plus ancien, le château de La Lande, est très endommagé durant la guerre de 1870. Démantelé par ses propriétaires en 1942, il est démoli en 1943. Il en reste la grille d'entrée en fer forgé, portant les initiales de l'ancienne propriétaire Adelina Concha, encore visible sur l'avenue Jean-Claude Delubac<ref>4. La Lande : Le château au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, page de l'association Mémoire du Plessis-Trévise. Page consultée le 28 septembre 2023.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Portail