La Queue-en-Brie

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Modèle:Infobox Commune de France

La Queue-en-Brie (Modèle:MSAPI<ref group=Note>Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.</ref> <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Caudaciens. Modèle:Sommaire

Géographie

Situation

Fichier:La Queue-en-Brie map.svg
Localisation de La Queue-en-Brie dans la « petite couronne » de Paris.

La Queue-en-Brie est située à Modèle:Unité du centre de Paris à vol d'oiseau. La commune est délimitée par Ormesson-sur-Marne, Chennevières-sur-Marne, Pontault-Combault, Noiseau, Sucy-en-Brie, Santeny, le Plessis-Trévise et Lésigny. Elle englobe une grande partie de la Forêt de Notre-Dame.

Elle est la commune située le plus à l'est du département du Val-de-Marne et, de ce fait, la commune la plus à l'est de la petite couronne de Paris.

Le Modèle:Date-, en application de la loi du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, le département de Seine-et-Oise est supprimé et La Queue-en-Brie rejoint l'actuel département du Val-de-Marne.

Communes limitrophes

Hydrographie

On compte un seul cours d'eau dans le territoire communal, il s'agit du Morbras, ruisseau affluent de la Marne de Modèle:Unité de long.

La forêt domaniale de Notre-Dame au sud de la commune, abrite une vingtaine de mares abritant de nombreux batraciens et reptiles.

Voies de communication et transports

Voies routières

La route nationale 4, devenue Route Départementale 4 est l'axe routier historique traversant la ville au sud.

Pistes cyclables

La Queue-en-Brie détient plusieurs kilomètres de pistes cyclables.

Transports en commun

Lignes de bus desservant la commune :

Urbanisme

Typologie

La Queue-en-Brie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Quartiers, lieux-dits et écarts

Fichier:Hotel de ville de La Queue-en-Brie.jpg
L'hôtel de ville, plus haut bâtiment de la commune, construit en 1975.

Comme la plupart des villes médiévales, La Queue-en-Brie s'est développée en absorbant au fil du temps les écarts avoisinants le vieux-village.

Le vieux-village<ref name="vieux_village">Modèle:Lien web.</ref> Situé au sud de la commune, le quartier traversé par le Morbras représente le centre historique de La Queue-en-Brie. On y trouve donc naturellement l'essentiel du patrimoine historique et religieux caudacien.
La Pierre Lais<ref name="pierre_lais">Modèle:Lien web.</ref> Ancien lieu-dit, son toponyme est révélateur de la potentielle existence d'un monolithe aujourd'hui disparu.
Les Marnières<ref name="marnieres_valfleuri">Modèle:Lien web.</ref> Le lieu-dit des Marnières, accueillant depuis les années 1960 la résidence des Marnières, est un lieu avéré d'occupation gallo-romaine ; en témoigne l'abondance de scories retrouvées pendant des fouilles archéologiques.
Le centre-ville<ref name="centre_ville">Modèle:Lien web.</ref> C'est le nouveau centre-ville de la commune depuis le déplacement de la mairie en 1975.
Les Bordes<ref name="bordes">Modèle:Lien web.</ref> C'est un quartier résidentiel construit sur d'anciennes zones agricoles.
Le bois des Friches<ref name="bois_des_friches">Modèle:Lien web.</ref> C'est un quartier résidentiel boisé et traversé par le Morbras dont les premières constructions ont été achevées au mois de juin 1975<ref name="historique_asl_bdf">Modèle:Lien web.</ref>.
Les Ormoies<ref name="bordes"/> C'est un ensemble de trois quartiers résidentiels situés entre le bois des Friches et l'actuel centre-ville.
Le Val Fleuri<ref name="marnieres_valfleuri" /> C'est un quartier résidentiel construit entre le quartier des Marnières et le bois Lacroix.
Les violettes C'est un quartier construit en 2001 sur un terrain vague et non constructible jouxtant la halle des Violettes et la vallée du Morbras.
Le Chemin Vert Le Chemin Vert est un quartier se situant au nord-est de la commune, c'est le quartier le plus aisé de La Queue-en-Brie avec de nombreuses propriétés et manoirs. Elle est entourée par le Bois-Lacroix et le Champ-Garni.

Logement

D'après l'INSEE, 68 % des ménages de La Queue-en-Brie sont propriétaires de leur résidence principaleModèle:Référence nécessaire.

Toponymie

Attestée Cauda en 1147<ref>Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>, Cauda est le nom du château castro quod dicitur Cauda en 1151-1157<ref>DEPOIN (Joseph) Recueil des chartes et documents de l’abbaye de Saint-Martin des Champs, monastère parisien (1913), t. 2, p. 257.</ref>, Caudam en 1185<ref name="Nègre">Par Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, page 1335</ref>.

De la langue d'oïl signifiant « queue » (« extrémité d'un pré ou d'un étang »)<ref name="Nègre" />.

La « queue » est le nom donné à un bois de forme très allongée et étroite.

Histoire

Modèle:Article détaillé

Les origines

La Queue-en-Brie se situe en bordure du massif forestier de l'Arc Boisé, haut lieu d'occupation préhistorique en Île-de-France.

Les différentes fouilles archéologiques menées lors de travaux de construction ont mis en évidence une occupation humaine importante dans la vallée du Morbras au cours du néolithique. Des terrasses ont pu être aménagées en bordure du Morbras, en attestent les nombreux sites découverts sur le territoire communal.

La découvert d'une amulette en plomb à l'effigie d'une vierge allaitant l'enfant Jésus datée du <ref name="amulette_plomb">Amulette en plomb</ref> indique l'occupation protohistorique des lieux.

Des indices d'occupation gallo-romaine ont été trouvés au sud du domaine des Marmousets (meule du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="meule_IIIe">Meule du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle</ref>), et des foyers ayant servi à la réduction de minerai de fer ont été mis en évidence aux Marnières.

Le Moyen Âge

Modèle:Article détailléIl reste un vestige de l'époque du Moyen Âge : la tour de La-Queue-en-Brie.

Cette tour du Moyen Âge fut construite vers entre le {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:s| s }} }} et le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Mesurant plus de trente-trois mètres, cette tour servait à défendre la route de Paris. Détruit durant la guerre de Cent Ans, il ne reste que les ruines de la tour mesurant aujourd'hui cinq mètres<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'époque moderne

Modèle:Article détaillé

L'époque contemporaine

Modèle:Article détaillé

Politique et administration

Fichier:École Musique Lionel André Queue Brie 4.jpg
Ancienne mairie.

Jumelage

La ville de La-Queue-en-Brie est jumelé avec :

Rattachements administratifs et électoraux

Jusqu’à la loi du Modèle:Date-<ref>Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne et à son arrondissement de Nogent-sur-Marne après un transfert administratif effectif le Modèle:Date.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1896 de la quatrième circonscription du Val-de-Marne.

La commune faisait partie de 1801 à 1964 du canton de Boissy-Saint-Léger. Ce canton est scindé en 1984 et la commune intègre le Chennevières-sur-Marne de Seine-et-Oise. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton du Plateau briard.

Intercommunalité

La commune faisait partie de la communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne créée en 2001.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de Modèle:Unité habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le Modèle:Date- à l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne<ref name="Périmètre">Modèle:Légifrance sur Légifrance.</ref>. Modèle:Article détaillé .

Tendances politiques et résultats

Lors du premier tour des élections municipales de 2014, la liste menée par Jean-Jacques Darves (PCF) a obtenu 43,88 % des suffrages exprimés, celle de Jean-Paul Faure-Soulet (LR) 39,35 % et celle de Danielle Molinier-Verchère (DVG) 16,76%.

Au second tour, les mêmes listes étaient en lice, celle de Jean-Paul Faure-Soulet (LR) a obtenu 45,37 % des suffrages exprimés, menant avec 8 voix d'avance celle de Jean-Jacques Darves (PCF) et 45,18% et enfin celle de Danielle Molinier-Verchère (DVG) avec 9,44%. Modèle:Article détaillé

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique environnementale

Modèle:…En 2022,la ville de la Queue en Brie a été récompensée d'une 2ème fleur au concours des villes et villages fleuris.

Distinctions et labels

Modèle:Section à actualiser En 2005, la commune de La Queue-en-Brie a été récompensée par le label « Ville Internet @ »<ref>La Queue-en-Brie, Ville Internet @ 2005. Consulté le 23/08/2010.</ref>.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 40,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 17,1 % la même année, alors qu'il est de 19,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,85 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,91 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Répartition des ménages

<ref name="insee_menages">Répartition des ménages, Insee</ref>

Enseignement

Fichier:Collège Jean Moulin de La Queue-en-Brie.jpg
Collège Jean-Moulin.

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:…

Santé

La commune abrite le centre hospitalier Les Murets<ref name="les_murets">Centre hospitalier Les Murets</ref>.

Cet établissement qui a vu ses portes s'ouvrir à partir de 1963<ref name="murets_environnement">Les Murets - Environnement</ref>, a été implanté sur un domaine boisé de Modèle:Unité, où un château a été construit à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="environnement_murets">Centre Hospitalier « Les Murets » - Environnement</ref>. Il propose notamment des services de psychiatrie, d'assistance aux personnes âgées dépendantes et de formation en soins infirmiers<ref name="les_murets" />.

Sports

Installations sportives

Fichier:Stage Robert Barrant.jpg
Stade Robert-Barran.

Le stade Robert-Barran — nommé en l'honneur du célèbre joueur de rugby à XIII et rugby à XV qui s'illustra notamment en championnat et coupe de France entre 1944 et 1947 — propose les équipements suivants :

Il peut accueillir jusqu'à 2 300 personnes, dont 300 dans ses tribunes.

Le stade Léo-Lagrange — nommé en l'honneur d'un homme politique français — propose un terrain de football ainsi qu'un terrain de basket-ball.

Le stade annexe situé près de la résidence des Marnières est un lieu ouvert au public, où s'entraînent différentes équipes de la commune, ainsi que les élèves des écoles élémentaires et du collège Jean-Moulin. C'est aussi un lieu de rendez-vous, notamment le 14 juillet de chaque année, puisque c'est ici qu'est tiré le feu d'artifice célébrant la fête nationale.

La halle des Violettes est une salle polyvalente accompagnée de vestiaires et d'un parking de 15 places.

Le gymnase Pierre-de-Coubertin — nommé en l'honneur d'un historien et pédagogue français mais aussi car il est le créateur des jeux olympiques modernes — est situé entre les écoles Lamartine et Pasteur, et propose les équipements suivants :

La plaine de jeu du Liquidambar est un terrain aménagé dans le centre-ville qui propose un petit terrain de sports collectifs (football, basket-ball) ainsi que de nombreux équipements de loisir (balançoires, toboggans, etc.).

Le centre départemental de modélisme des Marmousets, géré par l'association loi 1901 club Modélisme Des Marmousets (ou c2m)<ref name="c2m">Site du c2m, Club Modélisme Des Marmousets</ref> est un site de 12 hectares consacré au modélisme sous toutes ses formes : pilotage à distance de véhicules terrestres, avions, hélicoptères, etc.

Équipes et associations sportives

L'association Entente Sportive Caudacienne, fondée le Modèle:Date- propose 16 sections sportives<ref name="esc_lqb">Entente Sportive de La Queue-en-Brie</ref> : le taekwondo, l'athlétisme, le badminton, la boxe française, le football, le football américain, le futsal, la gymnastique volontaire, le handball, le judo, le karaté, la lutte, le pancrace, le tennis, le tir à l'arc et le volley-ball.

Fichier:Gladiateurs logo.png

L'équipe de football américain les Gladiateurs de la Queue-en-Brie — créée en 2001 — s'entraîne régulièrement au stade annexe et au stade Robert-Barran, en compagnie de ses pom-pom girls. Le club évolue pour la première fois de son histoire en deuxième division de casque d'or pour la saison 2011.

Le club de tennis est un club dynamique. La présidente œuvre au quotidien sans ménagement pour le développement de sa section en proposant de nombreuses animations tout au long de l'année à ses adhérents. Deux nouveaux courts couverts ont été installés en 2015.

L'Entente Sportive Caudacienne de Football (ES Caudacienne)<ref name="ES_Caudacienne_Football">Site de l'ES Caudacienne de Football</ref>, s'entraîne au stade Léo-Lagrange et moins souvent au stade Robert-Barran.

L'Entente Sportive Caudacienne Athlétisme, est une section en pleine expansion depuis ces dernières années, passant d'une trentaine de licenciés à plus de 160 en 2016. Les efforts ont été récompensés par un titre de champion du Val-de-Marne par équipe en 2015, pour sa troisième participation seulement aux interclubs. De nombreux créneaux d'entraînements sont proposés, allant du BABY ATHLE (de 3 à 6 ans), aux Adultes Loisirs, en passant par toutes les catégories d'âges, ainsi qu'un groupe compétition. Le tout, animé par une équipe d'encadrant motivés et sympathiques, sous la houlette technique de Yves CONGARD, l'entraîneur historique du club, membre l'AEIFA (Association des Entraîneurs d'Ile de France d'Athlétisme).

Médias

Le Petit Voltaire, est un journal d'actualités à opinion, créé le Modèle:Date-.

Port Saint Nicolas<ref>Port Saint Nicolas - Site Web, page d'accueil</ref> est un site web réalisé à l'origine (Modèle:Date-<ref>Petite histoire des débuts du port</ref>) par des paroissiens de La Queue-en-Brie comme premier site Web catholique francophone<ref>Église réformée de France</ref>. Depuis 1998, il n'y a plus de lien direct entre le site et La Queue-en-Brie. Selon le journal La Croix, ce site est « une référence de l'Internet catholique francophone »<ref>Guillaume Barou, « Port-Saint-Nicolas.org fête ses dix ans », La Croix, 26 décembre 2005</ref>.

Vivre ensemble, le magazine municipal d'information édité plusieurs fois par an par la mairie, présente aux caudaciens un discours du maire, des informations sur le service public et l'administration, les travaux en cours de réalisation ou à venir et l'actualité de la commune<ref name="vivre_ensemble">Vivre ensemble, le magazine municipal d'information</ref>.

La Queue en Brie - ACEP<ref name="acep_lqb">[1]</ref> est un site web créé par l'association caudacienne d'étude des patrimoines (sigle ACEP) dont l'objet est la recherche et la sauvegarde des patrimoines sur tout ce qui concerne l’histoire, la culture et l'archéologie de la Queue-en-Brie et de sa région ; ainsi que l'étude et mise en valeur, voire la protection des patrimoines dans leur contexte naturel et leur évolution en rapport avec les activités humaines. Ce site internet est constitué :

  • d'une page d'accueil (le mot du président de l'ACEP)<ref name="Accueil_lqp">[2]</ref> ;
  • d'une page sur les patrimoines (église, zones naturelles, agricoles et forestières)<ref name="Patrimoines_lqp">[3]</ref> ;
  • d'une page sur l'archéologie (notamment sur la collection d'objets)<ref name="Archéologie_lqb">[4]</ref> ;
  • d'une page sur l'histoire (du Moyen Âge à nos jours) <ref name="Histoire_lqb">[5]</ref> ;
  • d'une page sur l'activité de l'association (réunions, sorties, publications, participation dans le Val-de-Marne)<ref name="Activités_lqb">[6]</ref> et
  • d'une page de contact (formulaire en ligne)<ref name="contact_lqb">[7]</ref>.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

D'après l'Insee, La Queue-en-Brie est l'une des communes françaises où la richesse moyenne par habitant est l'une des plus élevées : en 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait la commune au 2e rang parmi les Modèle:Nombre de plus de Modèle:Nombre en métropole.

Emploi

Emploi au lieu de travail La Queue-en-Brie en 2007

Secteur d’emploi Nombre % dont femmes en % dont hommes en % dont salariés en %
Primaire Agriculture 14 0,5 25,5 74,5 74,5
Secondaire Industrie 220 7,8 25,4 74,6 92,6
Construction 269 9,5 6,9 93,1 71,4
Tertiaire Commerce, transports, services divers 1 015 35,8 40,6 59,4 89,1
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 1 317 46,5 74,6 25,4 97,4
Total 2 835 100,0 51,9 48,1 91,3
Sources des données : Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Entreprises et commerces

L'activité économique de la commune est répartie sur plusieurs zones d'activités :

  • La zone industrielle de la Croix Saint-Nicolas.
  • La zone d'activités de la RN 4.
  • La zone du Chemin de la Montagne.
  • Le centre commercial Pince-Vent.
  • Le centre commercial du Morbras au centre-ville.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine civil

Le vieux-village

De type briard, il est le principal témoin de l'histoire de La Queue-en-Brie.

Le lavoir du vieux-village (ou le lavoir d'été)

Fichier:Ancien lavoir de la queue en brie.jpg
Lavoir « d'été », vieux-village.

Construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il n'a été doté de sa toiture qu'en 1843<ref>ROBLIN (J.), 1994, Modèle:P..</ref>.

Restauré en 1969 par la municipalité et le groupe nature caudacien<ref name="lavoir_ete">Le lavoir d'été de La Queue-en-Brie</ref>, ce lavoir a été construit sur le Morbras, quelques mètres en aval d'un abreuvoir.

De par la dureté et la fraîcheur de l'eau du Morbras, il était plutôt utilisé en été, d'où son surnom de « lavoir d'été ».

L'abreuvoir du vieux-village

Construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il permettait aux Caudaciens d'abreuver leurs bêtes.

L'école de musique Lionel-André

Bâtie en 1860, l'ancienne mairie et école de la commune se dresse au centre du vieux-village, à côté de l'église Saint-Nicolas.

L'école fut transférée en 1938 vers l'actuelle école Jean-Jaurès, et la mairie resta en fonction jusqu'en 1975, où elle fut transférée vers l'actuel centre-ville.

La borne royale Modèle:N°

Brisée pendant son déplacement, la borne royale numéro 19 qui jouxtait l'actuelle route nationale 4 était à l'origine ornée d'une fleur de lys, symbole de la monarchie française. Ce bas-relief fut martelé à la Révolution pour être transformé en bonnet phrygien<ref name="borne_royale_19">La borne royale 19</ref>.

Le chiffre gravé sur cette borne milliaire indique la distance par rapport à Paris, qui est de dix-neuf milliers de toises, soit environ Modèle:Unité.

Son origine est estimée entre les Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècles, et elle se tient actuellement dans le vieux-village, devant les vestiges de l'ancienne tour féodale.

La pierre Lais
Fichier:Fontaine de la Pierre Lais à la Queue-en-Brie.jpg
Fontaine du lavoir « d'hiver », pierre Lais.

La fontaine et le lavoir de la pierre Lais (ou le lavoir d'hiver)

Construite en 1873 (la date y est gravée) sur le lieu-dit de la pierre Lais, cette fontaine tire son eau d'une source profonde.

Gravée des initiales de son concepteur — N.H (H pour Hérault) —, la fontaine de forme hémisphérique se déverse dans le bassin d'un ancien lavoir.

L'eau y étant moins froide que celle du Morbras situé à Modèle:Unité de là, il était principalement utilisé par les lavandières en hiver, d'où son surnom de « lavoir d'hiver ».

Le domaine des Marmousets

Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le domaine devient propriété de Jean-Baptiste Nompère de Champagny (1756-1834), duc de Cadore, [[ministre de Napoléon Ier|ministre de Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]]<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Fichier:Château des Marmousets 2013-09-26 18-43-23.jpg
Château des Marmousets.
Le château des Marmousets
Vraisemblablement édifié à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la tradition indique pourtant qu'il fut construit par le général Hulin en 1828. L'ancienne appellation de « Maisoncelle » semble devoir indiquer ici la présence fort ancienne d'une « maison seule », voire d'une cellule monacale, isolée dans la forêt briarde, le terme de « Marmouzet » n'apparaissant qu'à partir d'un acte daté de 1520 dans les archives d'Ormesson. Le domaine de Maisoncelle fut propriété à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle du peintre miniaturiste et émailleur Jean Petitot le Jeune (1653-1702), protestant, qui fit comme son père, carrière en Angleterre, où il est nommé peintre du roi Charles II. Retourné en France à la fin de sa vie, il meurt au château en 1702. On hésite encore sur la date de construction du château actuel, la tradition voulant qu'il fût édifié en 1828, par le général Hulin, mais de plus récentes analyses tendent à le considérer comme de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
La glacière des Marmousets
construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle était principalement utilisée pour la conservation de la viande<ref name="glaciere_marmousets">La glacière des Marmousets</ref>.
Le domaine de l'Hermitage

Le château de l'Hermitage

Construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ce pavillon d'angle constitue l'unique vestige de l'ancien château de l'Hermitage<ref name="chateau_hermitage">Le château de l'hermitage</ref>. À la suite du morcellement de la seigneurie caudacienne en 1408, le fief de l'Hermitage est propriété de la famille Blanchet, sous la domination du seigneur de Berchères. Le fief comporte, outre les terres actuelles de l'Hermitage, le château désormais disparu dont les communs devinrent propriété de Rouart au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1576, le fief est tenu par Marc Miron, conseiller et premier médecin du roi Henri III. Ce sont probablement ses descendants qui font édifier un nouveau château au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, vaste quadrilatère flanqué de pavillons talutés aux quatre angles. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les nouveaux seigneurs de la Queue font partie de la famille royale des Bourbons : tout d'abord le prince de Dombes, puis le comte d'Eu, et enfin le duc de Penthièvre, tous trois petits-fils de Louis XIV et de Modèle:Mme de Montespan. En 1759, le château de l'Hermitage est incorporé au tout nouveau marquisat d'Ormesson par son premier tenant, le marquis Marie-François de Paule d'Ormesson (1710-1775), membre du Conseil royal des finances du roi Louis XV. Progressivement, le domaine est transformé en ferme. Ne demeure du château que ce pavillon d'angle sur le Morbras, incorporé au logis de maître construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

La maison Rouart

Ancienne demeure d'Alexis et Henri Rouart, il s'agit d'un vestige des communs de l'ancien château de l'Hermitage<ref name="maison_rouart">Maison Rouart de la Queue-en-Brie</ref>.

La glacière Rouart (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)

Anciennement aménagée dans les caves d'une partie aujourd'hui démolie du château de l'Hermitage, la glacière était destinée à conserver les denrées périssables<ref name="glaciere_rouart">Glacière Rouart</ref>.

Le château des Mûrets

Construit sous le règne de Napoléon III, ce château fut le lieu d'habitation d'un des ministres de l'Empereur. Actuellement, il est le centre administratif de l'hôpital des Mûrets.

Patrimoine religieux

Patrimoine militaire

Fichier:Restes de la tour médievale de la queue en brie.jpg
Vestiges de l'ancienne tour féodale, vieux-village.

Les vestiges de l'ancienne tour féodale, appelée à tort « le donjon », qui aurait été construite au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sont visibles place de la Tour, dans le vieux-village<ref name="tour_feodale">Vestiges de la tour féodale</ref>.

Patrimoine environnemental

Fichier:La Vallée du Morbras a La Queue-en-Brie.jpg
La vallée du Morbras.

La Queue-en-Brie bénéficie du label « ville fleurie » avec une fleur attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris<ref name="ville_fleurie">Modèle:Lien brisé.</ref>.

La forêt de Notre-Dame, l'une des plus grandes forêts de l'est francilien, se trouve en partie sur le territoire de la commune.

Équipements culturels

La Queue-en-Brie dans la culture populaire

L'écrivain Victor Hugo, dans son roman Notre-Dame de Paris envoie le capitaine Phœbus se reposer à la Queue-en-Brie pour se remettre de ses blessures.

Le peintre André Dunoyer de Segonzac a immortalisé en 1931 l'allée de Tilleuls de l'actuelle rue Jean-Jaurès dans son aquarelle « Grande rue du village », qui se trouve maintenant à l'ambassade de France à Washington<ref name="RogerFontanille">Modèle:Lien web.</ref>. Une rue de la commune porte d'ailleurs son nom<ref name="ecoles_maternelles">Modèle:Lien web.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • J. Roblin, La-Queue-en-Brie. Nouvelle chronique caudacienne, Manchecourt, 1994, 187 p. Modèle:ISBN

Articles connexes

Liens externes

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