André Dunoyer de Segonzac

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Artiste

André Albert Marie Dunoyer de Segonzac, né le Modèle:Date de naissance à Boussy-Saint-Antoine (Seine-et-Oise, aujourd'hui Essonne) et mort le Modèle:Date de décès à Paris, est un peintre, dessinateur, graveur et illustrateur français.

On retient qu'Modèle:Citation<ref name="PEI">Sous la direction de Michel Laclotte et Jean-Pierre Cuzin, Dictionnaire de la peinture, éditions Larousse, 2003, Modèle:P..</ref>.

Biographie

Fichier:Jean-Charles Persil 1833 by Daumier.JPG
Honoré Daumier, Le Père-Scie

André Dunoyer de Segonzac naît le Modèle:Date- à Boussy-Saint-AntoineModèle:Sfn,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, du mariage de Louis Dunoyer de Segonzac (1843-1937), officier de marine, et Clémence Amélie Persil (1854-1918). Côté paternel, il est issu d'une famille de la noblesse française d'extraction (1558), originaire du Quercy<ref>Raymond Nacenta, School of Paris - The painters ans the artistic climate of paris since 1910, Oldbourne Book Company Ltd., 1960.</ref>.

Il a pour arrière-grand-père maternel Jean-Charles Persil qui fut garde des sceaux du roi Louis-Philippe Ier et qu'Honoré Daumier caricatura sous le sobriquet de Père-Scie<ref name="JAM">Paul Jamot, Dunoyer de Segonzac, Librairie Floury, Paris, 1941.</ref>.

Jeunesse et formation

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Boussy-Saint-Antoine

Il passe la plus grande partie de sa jeunesse dans son village natal à propos duquel Jean Vallery-Radot restitue des réminiscences durables : Modèle:Citation<ref name="JVR">Jean Vallery-Radot et Jean Adhémar, Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles, éditions de la Bibliothèque nationale de France, 1958.</ref>. Il est Modèle:Citation du lycée Henri-IV à ParisModèle:Citation<ref>André Brincourt, Noir sur blanc, Fayard, 1973.</ref> - cette vocation précoce décevra l'ambition parentale de le destiner à Saint-Cyr<ref name="DOR"/> - et où il rencontre Gus Bofa qui restera un de ses proches.

En 1900, il est élève libre de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. En 1903, parallèlement à l'étude du malinké qui, à l'École nationale des langues orientales, lui vaudra une licence en dialectes soudanais<ref name="JAM"/>, il entre dans l’atelier privé de Luc-Olivier Merson qu'il quitte, en mauvais termes avec ce maître, après son service militaire pour, en 1907, devenir à l'Académie Julian l'élève de Jean-Paul Laurens, puis dispose ensuite d'un atelier à l'Académie de la Palette à Montparnasse, où il reçoit les conseils de Georges Desvallières et Charles Guérin<ref name="BEN"/> et où lui-même enseignera<ref name="DOR"/>. Il fait la connaissance de Luc-Albert Moreau et de Jean-Louis Boussingault avec lequel il partage un atelier au 37, rue Saint-André-des-Arts<ref name="DOR">Bernard Dorival, Les peintres du vingtième siècle - Du cubisme à l'abstraction, 1914-1957, éditions Pierre Tisné, 1957, Modèle:Pp..</ref>. C'est aux côtés de ces deux derniers qu'il va Modèle:Citation<ref name="MUS">« Dunoyer de Segonzac », Les Muses - Encyclopédie des arts, Grange Batelière, Paris, tome 6, Modèle:Pp..</ref>. Ses premiers dessins sont publiés en 1908 dans La Grande revue et Le Témoin, hebdomadaire créé par son ami Paul Iribe<ref name="PEI"/>.

Le jeune peintre

En 1908, il commence à exposer au Salon d'automne et au Salon des indépendants, avec Paul Signac et Maximilien Luce. Son installation d'alors avenue Sainte-Marie à Chaville (alors en Seine-et-Oise, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine), ville qu'il habitera jusqu'à sa mort<ref>François Murez. Tribune : Sauvegardons la maison et le jardin du peintre Dunoyer de Segonzac à Chaville. Connaissance des Arts, Modèle:Date-. Lire en ligne.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, est liée à son attachement à la cité voisine de Versailles dont il évoque lui-même l'ancienneté : Modèle:Citation écrit-il pour souligner que, depuis l'âge de sept ans, il s'y rend chez un oncle conseiller d'État. C'est ainsi qu'il sera considéré que Modèle:Citation<ref name="LAM">Musée Lambinet, Versailles au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, muse des artistes, journal d'exposition, 2020.</ref> qui, cependant, continue de travailler dans son atelier parisien, au Modèle:N° de la rue Bonaparte<ref>Guillaume Gillet. Mon voisin Dunoyer de Ségonzac. Revue des Deux Mondes, novembre 2016, Modèle:P.. Lire en ligne.</ref>.

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Saint-Tropez

À partir de cette même année 1908, louant une maison appartenant à Paul Signac, Dunoyer découvre les paysages de Saint-Tropez, auxquels il restera fidèle en y séjournant jusqu'à la fin de sa vie. Paul Jamot situe là, puisque sa peinture d'avant 1898 demeurait confinée dans la nature morte, l'inauguration de sa peinture de paysages<ref name="JAM"/> et Pierre Cabanne restitue : Modèle:Citation<ref>Pierre Cabanne, Le Midi des peintres, collection « Tout par l'image », Hachette, 1964, Modèle:Pp..</ref>. Pour le reste, il mène une véritable vie de nomade, à la recherche du motif surtout à travers l’Île-de-France, la vallée du Grand Morin, Feucherolles, Chennevières-sur-Marne, Guyancourt, etc.

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Paul Poiret
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Isadora Duncan

En 1910, il se lie d'amitié avec le couturier Paul Poiret et rencontre Max Jacob, Raoul Dufy et Maurice de Vlaminck. Il brosse les décors des fêtes données par Paul Poiret comme, avec Raoul Dufy, ceux de la « Mille et deuxième nuit » dans les jardins du Faubourg Saint-Honoré, ou ceux de la « soirée des Butard » où, dans les bois de Vaucresson, dansa Isadora Duncan<ref name="JVR"/>.

De 1910 à 1914, il voyage en Italie, en Espagne, en Afrique du Nord, et s’intéresse au sport et à la danse (dessins des Ballets russes d’Isadora Duncan, 1911, Les Boxeurs 1910) à propos desquels Dunoyer de Segonzac restitue lui-même que, de tous les sports, c'est de fait la boxe qui l'a le plus passionné : Modèle:Citation<ref name="BOX">André Dunoyer de Segonzac, Le sport vu par un sympathisant, Académie des Beaux-Arts, novembre 1958.</ref>. Il est alors, avec Roger de La Fresnaye et Luc-Albert Moreau, bel et bien situé dans la mouvance cubiste dont il se désolidarisera rapidement<ref name="HAD"/>. De fait, dans sa visite du Salon des indépendants de 1914, André Salmon observe Modèle:Citation qu'il évoque sous l'appellation de Modèle:Citation et qu'il situe, proche de Roger de La Fresnaye, autour d'André Lhote, André Dunoyer de Segonzac et Luc-Albert Moreau<ref>André Salmon, « Le Salon », Montjoie !, 1914, Modèle:N°, Modèle:Pp..</ref>.

Première Guerre mondiale

Fichier:Charles Despiau (1874–1946).jpg
Charles Despiau

De 1914 à 1918, mobilisé en tant que sergent au 353e régiment d'infanterie, il fait la guerre durement, avant d’être affecté dans une section camouflage ddu Groupe d'armées du Nord, puis de commander celle de la [[3e armée (France)|Modèle:3e]]<ref name="JVR"/> : il dirige l'atelier de camouflage d'Amiens, puis celui de Noyon, se spécialisant dans la pose des faux arbres<ref>André Dunoyer de Segonzac, « L'art au service de la guerre - Souvenirs d'un camoufleur (1915-1918) », Le Figaro, Modèle:Date-.</ref>,<ref>Cécile Coutin, Tromper l'ennemi - L'invention du camouflage moderne en 1914-1918, éditions Pierre de Taillac, 2015.</ref> et ayant sous ses ordres le sculpteur Charles Despiau (le buste de Dunoyer de Segonzac que celui-ci exécutera en 1943-1944 témoignera de leur amitié pérenne<ref name="BUF"/>), les peintres Charles Dufresne, Charles Camoin, Jean Puy et Jean-Louis Boussingault qui, avec lui, Jean Marchand et Luc-Albert Moreau, dans une revendication commune de l'héritage de Gustave Courbet, forment le groupe de « la bande noire »<ref name="DOR"/>.

Il exécute de nombreux dessins de guerre, précieux par leur valeur artistique et documentaire, qui sont largement publiés dans Le Crapouillot et dans L'Élan, revue fondée par Amédée Ozenfant<ref name="JVR"/> et où celui-ci ajoute son propre commentaire : Modèle:Citation<ref>Amédée Ozenfant, « Les dessins de guerre d'André Dunoyer de Segonzac », L'Élan, Modèle:N°, Modèle:Date-.</ref>.

André Dunoyer de Segonzac, perçoit Hadrien Viraben un siècle plus tard dans l'étude qu'il consacre à ce second périodique, Modèle:Citation. Ses dessins ne sont pas la dénégation de massacres que d'autres saisissent par la photographie, mais Modèle:Citation<ref name="HAD">Hadrien Viraben, « L'image de la guerre dans L'Élan (1915-1916), un refoulement apparent », Les Cahiers de l'École du Louvre, 2013.</ref>.

L'après-guerre

Dès 1919, année où il s'initie à l'eau-forte afin d'illustrer Les Croix de bois de Roland Dorgelès<ref name="BEN"/>, il figure de nouveau dans de très nombreuses expositions, dont les principaux salons parisiens. Ses premiers paysages à l'aquarelle datent de 1920<ref name="BEN"/>.

En 1921, il rencontre Paul Valéry, Léon-Paul Fargue, Valéry Larbaud et Jean Cocteau<ref name="BEN"/>. En 1928, il fait un voyage aux États-Unis où il rencontre un vif succès. En 1930, il se lie d’amitié avec André Derain.

Il est membre du comité d'honneur de l'Association du foyer de l’abbaye de Royaumont et président de la Société des peintres-graveurs français.

Sous l'Occupation, il participe, en novembre 1941 à un « voyage d’études » en Allemagne, organisé par Arno Breker, acceptant, comme d'autres artistes parmi les plus renommés, de partir visiter les hauts lieux de la culture allemande ainsi que des ateliers d’artistes<ref name="LAU">Laurence Bertrand Dorléac, L'art de la défaite, 1940-1944, Seuil, 1993.</ref>,<ref>Limore Yagil, Au nom de l'art, 1933-1945 - Exils, solidarités et engagements, Fayard, 2015.</ref>,<ref>Tamara Ostriakova, « Instrumentalisations de l'art - Notes de lecture : Werner Lange, Les artists français sous l'Occupation, éditions Dean, Saint-Petersbourg, 2017 », Marges, Modèle:N°, 2018.</ref>.

En 1947, il est élu membre de la Royal Academy de Londres. À partir de 1951, ses œuvres peintes et gravées font l'objet d'expositions multiples en France, en Europe et aux États-Unis. De nombreuses études lui sont consacrées.

Mort et postérité

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Cimetière marin de Saint-Tropez
Fichier:ThereseDorny1921.tif
Thérèse Dorny (1891-1976)

Quittant ce monde dans une mort douce le Modèle:Date- - Modèle:Citation note ce jour-là son ami Michel Ciry<ref>Michel Ciry, « 17 septembre - Dunoyer de Segonzac est mort ce matin… », Détruire la nuit - Journal 1974-1975, Plon, 1977, Modèle:Pp..</ref> -, l'artiste est inhumé au cimetière marin de Saint-Tropez auprès de l'actrice Thérèse Dorny (1891-1976) qu'il avait épousé le Modèle:Date-<ref>Cimetières de France et d’ailleurs – Saint-Tropez.</ref>.

On peut être surpris de voir André Dunoyer de Segonzac, après sa mort, situé par certains historiens de l'art dans le courant expressionniste. Ainsi en va-t-il en 1980 de Hans L.C. Jaffé qui retient rétrospectivement que Modèle:Citation des années qui suivirent la Première Guerre mondiale eut peu d'influence en France. En dehors de Marcel Gromaire, avec ses compositions solidement construites, aux couleurs sombres, le principal représentant de cette tendance en France fut Dunoyer de Segonzac. Le paysage fut son thème de prédilection, mais, au lieu des touches extatiques de couleur qui caractérisaient les Fauves, au lieu de la véhémence passionnée de Chaïm Soutine, on remarque dans ses tableaux une atmosphère opprimante et lourde qui les rattache aux écoles nordiques. Segonzac s'efforça de faire revivre un style classique fondé sur le retour à Paul Cézanne, mais son tempérament romantique et nordique imprima à son œuvre le sceau de sa propre personnalité<ref>Hans L.C. Jaffé, « Les dix-neuvième et vingtième siècles » dans, sous la direction de L.C. Jaffé, Le monde de la peinture des origines à nos jours, V.N.U. Books International, 1980, Modèle:P..</ref>.

En 1985, [Georges Charensol préfère retenir que l'œuvre d'André Dunoyer de Segonzac se situe tout simplement Modèle:Citation, s'en justifiant par le constat que, pour l'artiste, il n'était pas Modèle:Citation<ref name="CHA"/>.

Michel Charzat, constatant pour sa part en 2021 que le nom d'André Dunoyer de Segonzac, qui Modèle:Citation, n'est plus, un demi-siècle après sa mort, Modèle:Citation, retient cependant que, Modèle:Citation<ref>Michel Charzat, André Dunoyer de Segonzac (1884-1974) - La force, la nature, l'amour de la vie, éditions Gourcuff Gradenigo, Montreuil, 2021.</ref>.

Œuvre

À peu près indifférent aux révolutions esthétiques contemporaines, Dunoyer de Segonzac entreprend, avec ses amis Jean-Louis Boussingault et Luc-Albert Moreau, de ressusciter le réalisme de Gustave Courbet en exécutant, par la peinture à l'huile qu'il ne pratiquera plus qu'épisodiquement, au bénéfice de l'aquarelle à partir de 1925, des natures mortes, des nus, des paysages, Modèle:Citation <ref name="BEN"/>. Pour Claude Roger-Marx, Modèle:Citation<ref name="DUR">Claude Roger-Marx, Dunoyer de Segonzac - Soixante années de peinture, Galerie Durand-Ruel / imprimerie Busson, Paris, 1972.</ref>.

Il donne sa définition de l'art dans l'une de ses lettres au peintre Maurice Boitel où il écrit, dans les années 1950 : Modèle:CitationModèle:Refnec

Initié à la gravure par Jean Émile Laboureur, il réalisa près de Modèle:Nombre de 1919 à 1970<ref name="AIM">Aimée Lioré et Pierre Cailler, Catalogue de l'œuvre gravé de Dunoyer de Segonzac, 8 volumes, 1.595 numéros décrits, éditions Pierre Cailler, Genève, 1959.</ref>.

Dessin et gravure de portraits

On doit à André Dunoyer de Segonzac les portraits de Paul Signac<ref name="SIG"/>, Francis Carco<ref name="KYR">Jean Melas Kyriazi, André Dunoyer de Segonzac, sa vie, son œuvre, Harmonies et couleurs, Lausanne, 1976, Modèle:Pp..</ref>, André Gide<ref name="EUG"/>, Jules Romains, Marcel Proust sur son lit de mort<ref name="PRO"/>, Colette<ref name="EUG"/>, Thérèse Dorny<ref name="JAM"/>, Paul Léautaud, André Dignimont, Léon-Paul Fargue<ref name="EUG"/>, Henri Mondor<ref name="ROB"/>,<ref name="SOI">Yves Brocard, « Dunoyer de Segonzac is back », Les soirées de Paris, Modèle:Date-.</ref>.

On ne connaît de l'artiste, ce dont il s'est justifié en disant que son physique ne l'intéressait pas, qu'un seul autoportrait, daté 1925<ref name="KYR"/>.

Contributions bibliophiliques

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Jacques Rouché
Fichier:Roland Dorgelès b Meurisse 1923.jpg
Roland Dorgelès
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Tristan Bernard
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Charles-Louis Philippe
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Régis Gignoux
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Colette
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André Gide
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Jean Giraudoux

Décors de théâtre

Cinéma

André Dunoyer de Segonzac joue son propre rôle dans Donne-moi tes yeux, film de Sacha Guitry en 1943.

Écrits

Auteur

Préfacier

  • René Blaise et Sabine Gervais, Crécy-en-Brie et la vallée du Morin, imprimerie Gruot et Bonne, Crécy-en-Brie, 1955.
  • Paul Noël, Au fil des jours, Imprimerie nationale, Paris, 1959.
  • Louis Süe, Chefs-d'œuvre du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et de l'époque fauve, musée de l'Annonciade, Saint-Tropez / Art et Style, Paris, 1959.
  • Pierre Cailler, Catalogue raisonné de l'œuvre gravé et lithographié d'Aristide Maillol, éditions Pierre Cailler, Genève, 1965.

André Dunoyer de Segonzac a également préfacé des catalogues d'expositions : René Durey, André Planson (peintures) et Raymond Martin (sculptures), Musée Galliera, Paris, 1960 ; Guy-Pierre Fauconnet, musée Alfred-Bonno, Chelles, novembre-décembre 1960 (co-préfacé avec Jean Cocteau et Jacques Fauconnet) ; Jean Commère, galerie David et Garnier, Paris, 1961 ; Jean Marchand, galerie René Drouet, Paris, 1961 ; Herbert Lespinasse, Bibliothèque d'Art et d'Archéologie de l'Université de Paris, 1964 (co-préfacé avec Julien Cain et Suzanne Dameron, 1964 ; Toulouse-Lautrec - Elles, galerie Berès, Paris, 1964 ; Yves Brayer, galerie de Paris, Paris, 1965 (co-préfacé avec Gérard Bauër), Michel Ciry, galerie Le Griffon, Lyon, 1965 (co-préfacé avec François Mauriac) ; Hommage à André Warnod, galerie Charpentier, Paris, 1965 (co-préfacé avec Pierre Brisson).

Collections publiques

Modèle:Drapeau Australie

Modèle:Drapeau Canada

Modèle:Drapeau Danemark

Modèle:USA-d États-Unis

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Modèle:Fin de colonnes

Modèle:FRA-d France

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Modèle:Drapeau Iran

Modèle:Drapeau Japon

Modèle:UK-d Royaume-Uni

Modèle:Drapeau Uruguay

Collections privées

Modèle:Drapeau Belgique

Modèle:USA-d États-Unis

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Modèle:Fin de colonnes

Modèle:FRA-d France

Modèle:Début de colonnes

Modèle:Fin de colonnes

Modèle:UK-d Royaume-Uni

Expositions

Fichier:Gallerie Bernheim-Jeune avenue Matignon à Paris.JPG
Galerie Bernheim-Jeune, Paris, 1928
Fichier:Paris - Palais du Louvre - PA00085992 - 1322.jpg
Pavillon Marsan, Paris, 1939
Fichier:Musée d'Art et d'Histoire de Genève.jpg
Musée d'Art et d'Histoire de Genève, 1951
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Royal Academy, Londres, 1959, 1982
Fichier:Le Musée olympique (Ank Kumar, infosys limited) 14.jpg
Musée olympique, Lausanne, 1995

Expositions personnelles

Modèle:Début de colonnes

Modèle:Fin de colonnes

Expositions collectives

Fichier:ArmoryShow poster.jpg
Armory Show, New York, affiche, 1913

Citations

Dits d'André Dunoyer de Segonzac

Réception critique

Fichier:Francis Carco (portrait gros plan) (...)Agence de btv1b9023636g.jpg
Francis Carco
Fichier:Portrait-René-Jean.JPG
René Jean
Fichier:Paul Jamot-Photo (1bis).jpg
Paul Jamot
Fichier:Bernard Dorival 1995 - copie 2.jpg
Bernard Dorival

Prix et distinctions

Prix

Distinctions

Hommages

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

Modèle:Légende plume

Presse

  • Claude Roger-Marx, « Dunoyer de Segonzac », L'Amour de l'art, mai 1921.
  • Roger Allard, « Dunoyer de Segonzac », La Revue universelle, 1er novembre 1921.
  • Le Crapouillot, Modèle:Date-, dessin d'André Dunoyer de Segonzac (Nu) en couverture.
  • Jacques de Laprade, « Dunoyer de Segonzac », Beaux-Arts, 25 décembre 1936.

Radiophonie

  • Interview d'André Dunoyer de Segonzac, Radio-Nice, 1955, Fonds Archives départementales des Alpes-Maritimes, Documents sonores isolés, 1AV107, mis en ligne le Modèle:Date- (écouter en ligne).

Filmographie

Iconographie

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Portail