Musée national d'Art moderne

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Le musée national d'Art moderne (MNAM) est un musée français consacré à l’art moderne et contemporain des {{#switch: XXI

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}}. Il est situé à Paris dans le centre Georges-Pompidou, où il occupe deux niveaux (« Art contemporain » au Modèle:Nobr et « Art moderne » au Modèle:Nobr), outre l'atelier Brancusi, des galeries d'expositions temporaires et divers autres espaces liés au musée. La collection est la deuxième plus grande du monde après celle du musée d'Art moderne de New York et rassemble plus de cent dix mille œuvres dont seule une partie est exposée par roulement. L’accrochage est en principe révisé tous les deux ans<ref name="Duponchelle">Modèle:Lien web.</ref>. Des expositions temporaires sont également présentées.

Historique

Musée

Le musée national d'Art moderne a pris le relais de l'ancien musée du Luxembourg créé en 1818 par Modèle:Souverain2 pour accueillir les œuvres des artistes vivants destinées à rejoindre le musée du Louvre dix ans après leur mort<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 1861, le musée s'ouvre aux écoles étrangères jusqu'à constituer à partir des années 1890 une section suffisamment importante pour être installée en 1922 dans une antenne au Jeu de paume, renommée « musée des Écoles étrangères » en 1932, qui présentera de 1922 à 1939 plus de trente expositions temporaires consacrées à ces écoles.

Confronté de nouveau à l'exiguïté du musée du Luxembourg, malgré son installation dans le bâtiment actuel, construit en 1886, et l'Orangerie contiguë qui abrite les sculptures<ref>Les musées du Luxembourg depuis 1750, Le musée des arts contemporains dans l’Orangerie Férou 1886-1937, Site du Sénat.</ref>, et après l'abandon de son transfert envisagé en 1906 dans l'ancien séminaire Saint-Sulpice, puis du projet de « Cité des musées », proposé en 1929-1930 par Auguste Perret à l'emplacement du palais du Trocadéro, l’idée de construire un musée d'art moderne est alors promue en 1932 par Louis Hautecœur, conservateur du musée des Artistes vivants du Luxembourg. Déjà le musée de Grenoble en 1919, le musée de Peinture occidentale moderne (MNZJ1 et 2) de Moscou en 1920, le musée Folkwang d'Essen en 1927, le musée d'Art de Łódź en 1930, puis le musée Kröller-Müller d'Otterlo en 1938, avaient été parmi les premiers musées en Europe à consacrer une section de leurs collections à l'avant-garde de l'art moderne, alors qualifiée d'« art indépendant » en France par référence au Salon des indépendants ; tandis qu'à New York était créé en 1929 le MoMA, spécialement consacré à cette période.

En 1934, l'État décide alors de construire un musée national d'Art moderne sur le site de l'ancienne manufacture de tapis de la Savonnerie doublé d'un second musée d'Art moderne pour la ville de Paris et, le Modèle:Date, le président Lebrun inaugure le « palais des Musées d'art moderne », construit pour l’Exposition universelle de 1937 et ensuite dénommé palais de Tokyo. Néanmoins, il accueille à cette occasion une rétrospective de l'art français depuis le Moyen Âge, le choix ayant alors été fait de présenter la collection moderne d'art français au musée du Petit Palais, avec l'exposition Les maîtres de l'art indépendant 1895-1937<ref>Modèle:Lien web</ref>, de juin à Modèle:Date- et les écoles étrangères au musée du Jeu de paume, avec l'exposition « Origines et développement de l'art international indépendant », du Modèle:Date- au Modèle:Date-.

Le Modèle:Date, le musée national d'Art moderne, dont l'inauguration prévue pour 1939 avait été repoussée par la nécessité de travaux de finition puis par la guerre, connut enfin une ouverture partielle dans le palais de Tokyo avec un tiers seulement de la collection ramené des dépôts de la zone occupée et sans les écoles étrangères, conservées depuis 1922 au musée du Jeu de paume, alors évacuées et mises à l'abri au château de Chambord. À la Libération, le « musée des Arts modernes » reprend ses activités avec l'exposition Art et Résistance, du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Mais le musée national d'Art moderne n'ouvrira véritablement ses portes que le Modèle:Date en intégrant les collections du « musée des Écoles Étrangères » du Jeu de Paume ; tandis que ce dernier reçoit la même année les impressionnistes, déjà versés au Louvre en 1929.

En 1977, le musée national d'Art moderne est transféré dans le nouveau centre Georges-Pompidou avec les œuvres débutant par le fauvisme en 1905, en laissant au palais de Tokyo les œuvres post-impressionnistes des artistes nés avant 1870, qui rejoindront en 1986 le musée d'Orsay.

Sur les huit niveaux du Centre Pompidou accessibles au public totalisant Modèle:Unité<ref>Découvrir l'architecture du centre Pompidou - Site officiel, Modèle:P. Modèle:Pdf</ref>, la Bibliothèque publique d'information (BPI), dont l'entrée est désormais indépendante du Forum et qui possède sa propre cafétéria, occupe le tiers du Modèle:Nobr de mezzanine et les niveaux 2 et 3, soit environ Modèle:Unité, dont Modèle:Unité de salles de lecture. Le reste de l'édifice, soit environ Modèle:Unité, est en réalité dévolu au musée national d'Art moderne, qui compte Modèle:Unité d'espaces d'exposition (Modèle:Unité pour les collections nationales, atelier Brancusi de Modèle:Unité inclus, Modèle:Unité pour les expositions temporaires réparties dans sept galeries dont deux au sein même du musée) et à ses annexes (bibliothèque Kandinsky, librairies d'art, boutique, ateliers pédagogiques, salles de conférences et de spectacles, ces dernières étant principalement liées à la programmation du musée) ou bénéficie directement au musée, comme les espaces de restauration des niveaux de mezzanine et du sixième étage consacrés aux expositions temporaires.

Travaux

La première grande vague de travaux intervient en 1985. Les collections ayant alors presque doublé, les espaces d'exposition sont agrandis par l'architecte italienne Gae Aulenti, qui réaménage les galeries contemporaines, et de nouveaux espaces sont créés comme la « Galerie du Forum » dédiée aux expositions les plus exploratoires<ref name="travaux1">Modèle:Lien web</ref>.

En 1990, l'Ircam, qui avait été construit en souterrain en 1978 sous la place Igor Stravinsky et la fontaine de Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle, est doté d'une tour émergente de Modèle:Unité par Renzo Piano, puis augmenté de deux immeubles aussi disparates qu'une ancienne école Jules-Ferry et un bâtiment de Bains-Douches réaménagés par Daniel et Patrick Rubin<ref name="IRCAM">Modèle:Lien web</ref>. Lancé en juillet 1995, le remodelage des abords du Centre Pompidou porte sur une zone piétonne de Modèle:Unité délimitée par les rues Saint-Martin, Rambuteau, Beaubourg, du Renard et Saint-Merri. Il comporte la réfection des revêtements de sol, du mobilier urbain, de l'éclairage, de l'environnement paysager avec la plantation d'arbres, la réalisation d'un escalier reliant la Piazza à la rue Rambuteau et la création d'un parc de stationnement souterrain pour les autocars et des locaux de stockage. Ces travaux s'achèvent le 28 janvier 1997, à l'occasion de la célébration des 20 ans du Centre Pompidou par l'inauguration de la reconstruction par Renzo Piano de l'atelier de Brancusi, avec une ouverture sur un jardin privatif de Modèle:Unité, sur le côté nord de la Piazza Beaubourg, où il avait déjà été réinstallé en 1977<ref name="travaux2">Modèle:Lien web</ref>.

Du 29 septembre 1997 au 31 décembre 1999, le Centre Pompidou ferme pendant plus de deux ans à l'exception d'un espace d'exposition de Modèle:Unité et du belvédère, pour une importante rénovation d'un coût de 440 millions de francs, menée par Renzo Piano et Jean-François Bodin. Le trou du Forum est en grande partie rebouché pour accueillir au sous-sol de nouvelles salles du Forum dédiées au spectacle vivant. Le transfert des bureaux à proximité dans le quartier de l'Horloge, permet d'agrandir la Bibliothèque publique d'information, qui dispose alors de sa propre entrée rue Beaubourg, ainsi que les lieux d'exposition, notamment au dernier étage, où deux galeries d'exposition temporaire sont aménagées ; tandis que les galeries du musée sont revues de part et d'autre de leur grande rue traversante. Le « tepee » de Modèle:Unité conçu par Chaix et Morel pour une exposition au Grand Palais est réutilisé sur la Piazza pour servir à l'information des visiteurs, aux « revues parlées » et à l'activité de la librairie-boutique<ref name="travaux1"/>.

Du 20 novembre 2019 au 16 juin 2021, l’escalator extérieur surnommé la « chenille » a été rénové, avec le retour du public de la BPI par l’entrée commune sur la Piazza et l’ajout d'un accès à la bibliothèque par le niveau 2 via l'escalator<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, avant la fermeture totale du Centre Pompidou entre fin 2024 et 2027, voire 2028, pour des travaux de désamiantage, réfection des peintures, changement de l’ensemble des baies vitrées et des ascenseurs, refonte des systèmes d’aération et de climatisation et mise aux normes de sécurité incendie et d'accessibilité, d'un montant de 200 millions d'euros<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Collections

Le fonds initial hérité du musée du Luxembourg (reliquat de 803 œuvres<ref>Reliquat des œuvres acquises par le musée du Luxembourg affectées au MNAM - Collection.centrepompidou.fr.</ref> porté à 1415 œuvres par 612 acquisitions de 1937 à 1946<ref>Œuvres acquises de 1937 à 1946 conservées par le MNAM - Collection.centrepompidou.fr.</ref>) a été considérablement enrichi depuis 1947 et constitué en partie par des donations d'artistes (Picasso, Braque, Matisse, Chagall, Delaunay, etc.) et de leurs héritiers, incluant le legs de fonds d'atelier (Brâncuși, Kandinsky, Dufy, Rouault) et des dons de collectionneurs privés (André Lefèvre, baronne Gourgaud, Raoul La Roche, Marie Cuttoli et Henri Laugier, Louise et Michel Leiris (218 œuvres), Docteur Robert Le Masle<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Paul et Lucienne Rosenberg, Marguerite, Aimé et Adrien Maeght, Daniel-Henry Kahnweiler, Daniel Cordier (651 œuvres), Heinz Berggruen, Florence et Daniel Guerlain (1157 œuvres), Bruno Decharme (près de 1000 œuvres), etc.) ou avec l'aide du fonds du patrimoine, ainsi que par d'importantes dations (Man Ray, Chagall, Duchamp, Breton, Derain, Dubuffet, etc.).

L'enrichissement des collections, par dons et parfois participation aux achats, bénéficie également du soutien d'associations et de fondations amies :

Les acquisitions bénéficient également du don d'œuvres des artistes en résidence d'entreprises du Fonds de dotation Centre Pompidou Accélérations crée en Modèle:Date-, à la suite de leur exposition annuelle intitulée « Points de rencontres » au Centre Pompidou<ref>Fonds de dotation Centre Pompidou Accélérations - Centrepompidou.fr.</ref> (73 œuvres depuis 2020<ref>Œuvres acquises grâce au Fonds de dotation Centre Pompidou Accélérations depuis 2020 - Collection.centrepompidou.fr.</ref>).

Missions et organisation du musée

Modèle:Article détaillé

Fichier:Paul Signac Entrée du port de Marseille.jpg
Paul Signac : Entrée du port de Marseille (1918).

Le musée constitue un département du centre national d'art et de culture Georges-Pompidou. Depuis 1992, il a intégré le Centre de création industrielle fondé par François Mathey et est officiellement appelé : Musée national d’Art moderne - Centre de création industrielle (MNAM / CCI).

Selon ses statuts modifiés par le décret Modèle:N° du Modèle:Date-, il a pour mission<ref>Décret n°92-1351 du 24 décembre 1992 portant statut et organisation du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, site Légifrance.</ref> :

Le MNAM / CCI comprend :

  • la conservation des collections d'arts plastiques composée des services suivants : le service des collections historiques, le service des collections contemporaines, le service de la création contemporaine et prospective, le cabinet d'art graphique, le cabinet de la photographie, le service du cinéma expérimental, le service des nouveaux médias, le service de la restauration ;
  • la conservation des collections architecture et design, composée du service architecture et du service design et prospective industrielle ;
  • le service de la bibliothèque Kandinsky - Centre de recherche et de documentation du MNAM / CCI, qui comprend le secteur des collections imprimées et le secteur des archives et de la documentation ;
  • le service des collections, conjointement avec la direction de la production.

Il assure également le secrétariat de la commission d'acquisition et le secrétariat de la commission des prêts et dépôts du centre Georges-Pompidou.

Activités culturelles

Outre plusieurs expositions temporaires par an consacrées à l'art moderne et contemporain, le MNAM/CCI, collabore, comme l'IRCAM et la BPI, aux manifestations et cycles réguliers des "Rendez-vous du Forum" organisés tout au long de l'année par le Centre Pompidou (cinéma, performances, danse, théâtre, concerts, débats, conférence, colloques) :

  • Festival « Hors Pistes », de nature pluridisciplinaire sur les nouvelles pratiques de l'image, depuis 2006, en janvier, février<ref>Hors Pistes 2013 - Site officiel.</ref> ;
  • « Nouveau Festival », de nature pluridisciplinaire, depuis 2009, en février, mars<ref>Un Nouveau festival - Site officiel.</ref> ;
  • Festival international de films documentaires « Cinéma du réel », depuis 1979, en mars, avril, sous l'égide de la BPI<ref>Cinéma du réel : Histoire - Site officiel.</ref> ;
  • Festival « Manifeste », depuis 1992, en juin, sous l'égide de l'Ircam, où il remplace depuis 2012 « Agora » créé en 1998<ref>Manifeste 2013 - Ircam.</ref> ;
  • Cycle « Move/Vidéodanse », entre juin et novembre qui, dans le cadre du cycle interdisciplinaire « Move », remplace le Festival Vidéodanse créé en 1982<ref>Vidéodanse, les trente ans - Site officiel.</ref> ;
  • Cycles « In Vivo », consacrés aux arts vivants à travers la performance, depuis 2011, sous l'égide du MNAM/CCI ;
  • Cycle « Link », consacré, en présence des artistes, à la transmission artistique intergénérationnelle, depuis 2011, sous l'égide du MNAM/CCI ;
  • Cycles « Face aux œuvres » et « Un dimanche une œuvre » en présence de l'artiste, au MNAM/CCI ;
  • Cycle « Cinéastes en correspondance », notamment dans le cadre du Festival d'automne, depuis 2012<ref>Cinéastes en correspondance - Site officiel.</ref> ;
  • Cycle mensuel « Prospectif Cinéma », en présence du cinéaste, le dernier jeudi du mois, depuis 2002 ;
  • Cycle « Rencontres de la BPI »<ref>Les manifestations orales - Bibliothèque publique d'information (BPI).</ref> ;
  • Cycles ponctuels de conférences « Parole » (aux artistes, à l'architecture, au design, à l'histoire de l'art…, tels que "L'Encyclopédie des guerres") et « Rencontre » avec des artistes, etc.

Antennes du musée et réserves

Après l'an 2000, le Centre Pompidou a engagé un déploiement de sa collection hors les murs, avec :

Collections

Fichier:Roger de La Fresnaye, 1910, Deux nus dans un paysage, oil on canvas, 59 x 74 cm, MNAM, Centre Pompidou, Paris.jpg
Roger de La Fresnaye, 1910, Deux nus dans un paysage, huile sur toile, Modèle:Dunité.
Fichier:Robert Delaunay, 1910, La ville no. 2, oil on canvas, 146 x 114 cm, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris.jpg
Robert Delaunay, 1910, La ville no. 2, huile sur toile, Modèle:Dunité.

Le musée dispose de Modèle:Unité d'exposition répartis sur plusieurs niveaux du centre :

  • les collections permanentes aux quatrième et cinquième étages avec, au sein du musée, deux galeries d'expositions généralement monographiques et d'art graphique, ainsi qu'une librairie, un coin bibliothèque et deux espaces de consultation documentaire multimédia sur les collections de vidéos et de cinéma ;
  • cinq galeries d’expositions temporaires supplémentaires (actualités, photographie, architecture, design, etc.), qui occupent au total Modèle:Unité, comprenant deux grandes galeries au sixième étage, les galeries 3 et 4 au niveau mezzanine (précédemment divisé différemment en deux espaces baptisés l'Espace 315 et la Galerie Sud) et la galerie de photographies de Modèle:Unité au Forum -1, inaugurée le Modèle:Date-. L'Espace 315 exposait notamment le lauréat du prix Marcel-Duchamp décerné l'année précédente lors de la Foire internationale d'art contemporain ;
  • l'atelier Brancusi de Modèle:Unité situé sur la Piazza<ref>Dossier pédagogique : Constantin Brancusi - Site officiel..</ref>.

La collection du musée reflète tous les mouvements artistiques du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Le Centre Pompidou en 2009, Bilan d'activités, Les lacunes, Modèle:P.</ref>,<ref group="Note">Mais sont par exemple absents des collections Franz Marc, Egon Schiele, Erich Heckel, Otto Mueller, Wilhelm Lehmbruck, Lioubov Popova, Ivan Klioune, Edward Hooper, Franz Kline, Jirō Yoshihara, Keith Haring, Jeff Koons, Damien Hirst, Jan Fabre, etc.</ref>. Pour la première fois en Modèle:Date-, les œuvres furent également présentées thématiquement, alors que depuis l'origine du musée, elles étaient exposées par mouvement et chronologiquement :

Désormais, tous les deux ans et chaque année alternativement, le Centre Pompidou renouvelle l'accrochage de ses collections modernes au niveau 5 et contemporaines au niveau 4, sauf présentation exceptionnellement commune sur deux niveaux :

  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : Elles@centrepompidou - Artistes femmes dans les collections du MNAM, niveaux 4 et 5.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : Collection moderne, parcours chronologique, niveau 5.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : Fruits de la passion - 10 ans du Projet pour l'Art Contemporain, niveau 4.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : Modernités plurielles 1905 - 1970 - Une histoire mondiale de l'art moderne, niveau 5.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : Une histoire - Art, architecture et design, des années 1980 à aujourd'hui, niveau 4.
  • À partir du Modèle:Date- : Collection moderne, parcours chronologique, niveau 5. À compter de cette date des salles d'exposition-dossier, inaugurées avec « Passeurs » (12 historiens, critiques d'art et amateurs éclairés), renouvellent annuellement ce niveau, ainsi qu'une salle « Focus » d'actualité trimestrielle des collections.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : Cher(e)s ami(e)s - Donateurs 2010 - 2015, niveau 4.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : exposition-dossier « Politiques de l'art », de russie jusqu'en occident, niveau 5.
  • Modèle:Date- (1ère partie) et Modèle:Date- (totalité) - Modèle:Date- : Musée en œuvre(s), parcours contemporain par mouvements historiques, niveau 4.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : exposition-dossier « L’Œil écoute », musique et art moderne, niveau 5.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : exposition-dossier « Histoire(s) d'une collection », 1920-1977 du musée du Luxembourg au musée national d'art moderne, niveau 5.
  • Modèle:Date- - Modèle:Date- : exposition-dossier « Petits papiers du 20e siècle », imprimés d'artistes de la dation Paul Destribats, niveau 5.

Tous les mouvements et œuvres des artistes figurant dans la collection, qui fin Modèle:Date- comprenait Modèle:Nombre de Modèle:Nombre et 90 pays différents, ne sont donc pas présentés au même moment, mais par roulement. En 2013, l'accrochage des collections permanentes, atelier Brancusi compris, prévu jusqu'en Modèle:Date-, exposait ainsi à titre d'exemple, 680 artistes (10,6 %) et Modèle:Nombre (2,1 %) de 62 pays, soit 408 peintures, 512 sculptures et installations, dont 256 de Brancusi, 255 objets, dont 74 de design et 8 textiles, 664 dessins, 32 estampes, 181 photographies, 20 films et vidéos, 40 maquettes, etc. Par comparaison, au même moment, le MOMA exposait Modèle:Nombre et la Tate Modern 620 œuvres de 172 artistes. En 2013, néanmoins, Modèle:Nombre étaient déposées dans des musées de province (engendrant alors un reliquat de Modèle:Nombre conservées au MNAM/CCI), et 4 304 ont été prêtées, dont 2 334 à des musées étrangers<ref>Rapport d'activité 2013 - Site officiel, Modèle:P..</ref>. En 2012, 223 œuvres avaient été prêtées au Centre Pompidou-Metz et 14 au Centre Pompidou mobile<ref>Le Centre Pompidou en 2012, Bilan d'activités, Modèle:P.</ref>,<ref name="Duponchelle"/>.

La collection du musée<ref>Collection du musée en ligne - Site officiel.</ref>,<ref>Recherche des œuvres du musée, sur la base Videomuseum.</ref>, représentative des scènes internationale et française, est organisée en deux périodes, moderne et contemporaine :

Période moderne (1905-1960)

Après 1945 :

En raison des règles régissant le droit d'auteur, la « reproduction non autorisée » des œuvres de certains artistes majeurs sur le site de la collection du musée ne cessera qu'à l'expiration d'une période de soixante-dix ans après leur mort, à savoir : Henri Laurens et Henri Matisse le Modèle:Date-, Georges Braque le Modèle:Date- et Sonia Delaunay le Modèle:Date-.

Période contemporaine (après 1960)

Et de nombreux artistes des scènes étrangères et française des années 1990-2000 : Bernd et Hilla Becher, Andreas Gursky, Martin Parr, Thomas Ruff, Nan Goldin, Peter Fischli et David Weiss, Wim Delvoye, Gilbert (Prousch) et George (Passmore), Cindy Sherman, Peter Doig, Andy Goldsworthy, Glenn Brown, Sean Scully, John Currin, Marlene Dumas, Ernesto Neto, Tunga (Antônio José de Barros Carvalho e Mello Mourão), Subodh Gupta, Ma Desheng, Ai Weiwei, Zhang Xiaogang, Yan Pei-Ming, Wang Du, Mona Hatoum, Adel Abdessemed, Bertrand Lavier, Philippe Cognée, Bernard Frize, Pierre Huyghe, Alain Sechas, Xavier Veilhan, Jean-Michel Othoniel, Philippe Ramette, Bernard Piffaretti, Laurent Grasso, Claude Closky, Michel Blazy, Didier Marcel, Philippe Mayaux, Philippe Parreno, Philippe Decrauzat, Hubert Duprat, Pierre (Commoy) et Gilles (Blanchard), Valérie BelinModèle:, etc.

Architecture et design

Depuis l'intégration de la collection du Centre de création industrielle en 1992 : Otto Wagner, Peter Behrens, Gerrit Rietveld, Marcel Breuer, Pierre Chareau, Le Corbusier et Pierre Jeanneret, Charlotte Perriand, Eileen Gray, Ludwig Mies van der Rohe, Louis Sognot, René Herbst, Robert Mallet-Stevens, Franco Albini, Alvar Aalto, Marcel Lods, Gio Ponti, Jean Prouvé, Hans Coray, Ray et Charles Eames, Harry Bertoia, Marco Zanuso, Richard Sapper, Pierre Guariche, Raymond Loewy, Achille Castiglioni, Eero Saarinen, Sori Yanagi, Verner Panton, Arne Jacobsen, Roger Tallon, Pierre Paulin, Olivier Mourgue, Isamu Noguchi, Joe Colombo, Ettore Sottsass, Carlo Bartoli, Shiro Kuramata, Élisabeth Garouste et Mattia Bonetti, Gaetano Pesce, Mario Bellini, Philippe Starck, Martin Szekely, Marc Newson, Ronan et Erwan Bouroullec, Ron Arad, Jasper Morrison, Konstantin Grcic, Matali Crasset, Patrick Jouin, Marcel Wanders, Ross Lovegrove, Norman Foster, François Azambourg, Aldo Rossi, Jean Nouvel, Dominique Perrault, Christian de Portzamparc, etc.

Atelier Brancusi

Situé sur la Piazza en dehors du bâtiment principal et intégré à la collection, l'atelier Brancusi<ref>Dossier pédagogique, Constantin Brancusi - Site officiel.</ref> est une reconstitution fidèle de l'atelier du sculpteur de l'impasse Ronsin, légué à l'État en 1956 avec tout son contenu. Il conserve Modèle:Nombre achevées, ébauches et objets, dont 137 sculptures, 87 socles originaux, 41 dessins, 2 peintures, plus de 1 600 plaques photographiques de verre et tirages originaux, une bibliothèque de 160 ouvrages, une discothèque de plus de 200 disques, des meubles et des outils.

Bibliothèque Kandinsky

Créée en 2002, la bibliothèque Kandinsky<ref>Bibliothèque Kandinsky - Site officiel.</ref> est la bibliothèque spécialisée du musée consacrée à l'art du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Elle trouve son origine dans la documentation rassemblée à l'hôtel Salomon de Rothschild par le Centre national d'art contemporain (Cnac) et compte 200 000 ouvrages imprimés, depuis l'acquisition en 2006 de la bibliothèque Paul Destribats, qui en a fait le fonds le plus riche au monde pour la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Une nouvelle acquisition de la bibliothèque Kandinsky : La collection Paul Destribats, site de l'INHA</ref>. Elle peut accueillir jusqu'à 64 lecteurs sur une surface de Modèle:Unité.

Quelques œuvres

Directeurs du MNAM

Fichier:Pompidou.JPG
Sérigraphie reprenant le logo du musée.

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets Modèle:Catégorie principale

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

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