Pierre Alechinsky

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Artiste

Pierre Alechinsky Modèle:API-fr né le Modèle:Date à Saint-Gilles, à Bruxelles (Belgique) est un peintre et graveur belge naturalisé français<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Membre fondateur du groupe Cobra, son œuvre mêle l'expressionnisme au surréalisme.

Il est le père du poète Ivan Alechine (né en 1952) et du sculpteur Nicolas Alquin (né en 1958).

Pierre Alechinsky est représenté par la Galerie Lelong & Co.

Biographie

Le père de Pierre Alechinsky est russe, avec des origines juives, et sa mère est belge, d'origine wallonne. Tous deux sont médecins. Dans les années 1930, Alechinsky étudie à l'école Decroly à Bruxelles. On oblige l’enfant gaucher à écrire de la main droite. La gauche, sa meilleure main, les éducateurs la lui laissent pour les travaux Modèle:Citation : le dessin<ref>Modèle:Lien web</ref>.

De 1944 à 1948, il étudie l'illustration du livre, la typographie, les techniques de l'imprimerie et la photographie à l'École nationale supérieure d'Architecture et des Arts visuels de La Cambre à Bruxelles. C'est pendant cette période qu'il découvre l'œuvre d'Henri Michaux, de Jean Dubuffet et des surréalistes. Il rencontre et se lie d'amitié avec le critique d'art Jacques Putman, qui consacre de nombreux écrits à son œuvre. Il commence à peindre en 1947 et fait alors partie du groupe Jeune Peinture belge, qui réunit notamment Louis Van Lint, Jan Cox, et Marc Mendelson.

Cobra

Pierre Alechinsky devient très rapidement l'un des acteurs majeurs du monde artistique belge de l'après-guerre. Il fonde avec Olivier Strebelle et Michel Olyff dans une maison communautaire, les Ateliers du Marais. Après sa rencontre avec le poète Christian Dotremont, l'un des fondateurs du groupe Cobra<ref>Mouvement créé en 1948, regroupant des artistes issus de Copenhague, Bruxelles et Amsterdam (d'où son acronyme), qui préconise un retour à un art plus provocant, agressif et audacieux.</ref>, il adhère en 1949 à ce mouvement d'avant-garde artistique, rejoignant Karel Appel, Constant,Corneille, Jan Nieuwenhuys et Asger Jorn. Il participe aussitôt à la première exposition internationale de Cobra au Stedelijk Museum.

Pendant la brève existence du groupe, il s'y implique très fortement, organisant des expositions, comme la deuxième exposition internationale d'art expérimental Cobra au palais des beaux-arts de Bruxelles en 1951 et contribuant à la réalisation de la revue Cobra. Le rôle capital que joue pour lui le mouvement Cobra tient autant aux personnes qu'aux idées défendues : spontanéité sans frein dans l'art, d'où rejet de l'abstraction pure et du « réalisme socialiste », refus de la spécialisation.

Après la dissolution du groupe Cobra, dont il perpétue l'esprit (Modèle:Citation, a-t-il pu direModèle:Refnec), Pierre Alechinsky s'installe à Paris, où il côtoie les surréalistes. Il complète sa formation de graveur et s'initie à de nouvelles techniques à l'Atelier 17, dirigé par Stanley Hayter. C'est l'époque, à partir de 1952, où il se lie d'amitié avec Alberto Giacometti, Bram van Velde, Victor Brauner et où il commence une correspondance régulière avec le calligraphe japonais Modèle:Lien de Kyōto.

La consécration

Fichier:Serigraphy Alechinsky 2.jpg
[Titre ?] (1978), lithographie en couleur, Apeldoorn, musée CODA.

En 1954, il fait la connaissance du peintre chinois Walasse Ting, qui a une grande influence dans l'évolution de son œuvre.

Alechinsky présente, cette même année, sa première exposition personnelle à la galerie Nina Dausset, à Paris. Sa première grande exposition est organisée en 1955 au palais des beaux-arts de Bruxelles. En 1958, l’Institute of Contemporary Arts de Londres accueille ses œuvres (Alechinsky : encres). En 1960, lors de la Modèle:30e , il expose au pavillon belge.

Il abandonne progressivement l'huile pour des matériaux plus rapides et plus souples comme l'encre, qui lui permet de donner libre cours à un style fluide et sensible. Fasciné par la calligraphie orientale, dont la spontanéité l'attire, il effectue plusieurs voyages en Extrême-Orient et tourne en 1955 à Kyōto un film documentaire sur la calligraphie japonaise. Même si La Nuit (1952, Kurashiki, Ohara Museum of art) contient déjà cette inspiration de l'Extrême-Orient par la rencontre entre signe et écriture hors du champ de la couleur, le film Calligraphie japonaise, monté en 1958, témoigne de l'impact de cette découverte sur sa propre technique. Christian Dotremont en a écrit le commentaire et André Souris la musique.

Soutenu par la galerie de France, il effectue, à partir des années 1960, de fréquents séjours à New York, où il découvre en 1965 une technique qui lui convient bien, la peinture acrylique, à laquelle l'initie Walasse Ting. Cette même année, il crée son œuvre la plus célèbre Central Park, avec laquelle il inaugure la peinture Modèle:Citation, inspirée de la bande dessinée<ref>Ou des polyptyques de la Renaissance, des icônes byzantines…</ref>, où l'image centrale est entourée, sur les quatre côtés, d'une série de vignettes destinées à compléter le sens du tableau. L'interaction entre les deux zones est à la fois énigmatique et fascinante.

Toujours en 1965, André Breton, un an avant sa mort, invite Pierre Alechinsky à participer à la Modèle:21e internationale du Surréalisme, L'Écart Absolu.

Il illustre le Traité des excitants modernes d'Honoré de Balzac en 1989. Le livre, accompagné d'une postface de Michel Butor est publié par Yves Rivière.

En 1975, le ministère de la Culture lui commande un service de table qu'il a réalisé en collaboration avec la Manufacture de Sèvres. Il sera complété l'année suivante par un service à café au chiffre de Michel Guy. Entre 2000 et 2004, il revient régulièrement dans les ateliers de la manufacture pour peindre des décors sur le service Diane, une forme de service de table issue du répertoire de Sèvres - Cité de la céramique.

En 1998, dans le cadre d'une commande publique, il a réalisé pour la Chalcographie du Louvre une gravure à l'eau-forte et à l'aquatinte intitulée Le Pinceau voyageur<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 1998, la galerie nationale du Jeu de Paume lui consacre une exposition. En 2004, nouvelle exposition au Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou à Paris.

En 1992, on lui confie la décoration de la rotonde d'accès de l'hôtel de Lassay à l'Assemblée nationale<ref>Décor de la rotonde de l'hôtel de Lassay, Assemblée nationale.</ref>.

En Modèle:Date-, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur.

En 2006, dans la revue Trou Modèle:N°, paraît le travail « Main courante » qu'il a créé spécialement pour cette revue et dont l'édition de tête contient une eau-forte intitulée Temps passé tirée sur des feuilles d'un ancien registre des douanes françaises.

De Modèle:Date- à Modèle:Date-, à l'occasion des 80 ans d'Alechinsky, les Musées royaux des beaux-arts de Belgique de Bruxelles lui rendent hommage à travers une exposition rétrospective de l'ensemble de la carrière de l'artiste et Modèle:Référence souhaitée.

La galerie Lelong à Paris représente et expose régulièrement l'œuvre de Pierre Alechinsky depuis 1979.

Il a fait partie du jury du prix Godecharle.

Œuvres

Expositions

Publications

Monographies

  • Le tout venant, Galerie de France, 1966
  • Roue libre, Éditions Skira, 1971
  • Les estampes de 1946 à 1972, Éditions Yves Rivière, 1973
  • Alechinsky par Yves Rivière, Galerie de France, 1976
  • Peintures et écrits, Arts et métiers graphiques, 1977 Modèle:ISBN
  • Ensortilèges, Éditions Fata Morgana, 1984
  • Max Loreau, Le mythe amplifié, Ed. Galerie Lelong, 1984 Modèle:ISBN
  • Pierre Descargues, Alechinsky, Bouches et Grilles., Galerie Lelong, Paris, 1986 Modèle:ISBN
  • Michel Butor et Michel Sicard, ABC de correspondance, Galerie Lelong, Paris, 1986 Modèle:ISBN
  • Jacques Dupin, Alechinsky, Laves émaillées, Galerie Lelong, Paris, 1988 Modèle:ISBN
  • Jacques Putman, Alechinsky, Paris : CELIV, 1990 Modèle:ISBN
  • Petites huiles, Galerie Lelong, 1990 Modèle:ISBN
  • Lettre suit, Gallimard, 1992 Modèle:ISBN
  • Gérard Macé, Alechinsky, Suite d'arbres, Paris : Galerie Lelong, 1992 Modèle:ISBN
  • L'Avenir de la propriété, Éditions Fata Morgana, 1992 Modèle:ISBN
  • Baluchon et ricochets, Éditions Gallimard, 1994 Modèle:ISBN
  • Travaux à deux ou trois, Éditions Galilée, 1994 Modèle:ISBN
  • Plans sur la comète, Éditions l'Échoppe, 1994 Modèle:ISBN
  • D'encre et d'eau, Éditions Yves Rivière, 1995 Modèle:ISBN
  • Entre les Lignes, Éditions Yves Rivière, 1996 Modèle:ISBN
  • Deux pinceaux dans le sable, Éditions Actes Sud, 1997 Modèle:ISBN
  • Rue de la verrerie, Éditions l'Échoppe, 1997 Modèle:ISBN
  • Cobra et le bassin parisien, Éditions l'Échoppe, 1997 Modèle:ISBN
  • Alechinsky, 50 ans d’imprimerie, 2000 Catalogue édité par le Centre de la gravure et de l'image imprimée
  • Parfois répondre à un questionnaire, Éditions l'Échoppe, 2003 Modèle:ISBN
  • Carnets en deux temps, Buchet-Chastel, 2004 Modèle:ISBN
  • Des deux mains : traits et portraits, Mercure de France, 2004 Modèle:ISBN
  • Rein, comme si de rien, Éditions Fata Morgana, 2009 Modèle:ISBN
  • La gamme d'Ensor, Éditions Fata Morgana, 2009 Modèle:ISBN
  • Pierre Alechinsky et Didier Semin, A l'heure qu'il est, Ed. Galerie Lelong, 2014 Modèle:ISBN
  • Les palimpsestes, Catalogue édité par le Centre de la gravure et de l'image imprimée, 2017

Ouvrage en collaboration

  • Jean-Jacques Levêque, Pierre Alechinsky (ill.), L'Espace d'un doute, Éditions PAB, 1967
  • Joyce Mansour, Pierre Alechinsky (ill.), Le Bleu des fonds, Éditions Le Soleil Noir, 1968
  • Jean-Clarence Lambert et Pierre Alechinsky, Laborinthe : Code 2 (Bibliopus), Éditions G. Fall, 1973
  • Roger Caillois et Pierre Alechinsky, Un Mannequin sur le trottoir, Éditions Y. Rivière, 1974
  • Michel Butor et Pierre Alechinsky, Le Rêve de l'ammonite, Éditions Fata Morgana, 1975
  • Emil Cioran et Pierre Alechinsky, Essai sur la pensée réactionnaire : à propos de Joseph de Maistre, Éditions Fata Morgana, 1977
  • Odysseas Elytis, Jacques Lacarrière, et Pierre Alechinsky, Les Clepsydres de l'inconnu : Poèmes (Dioscures), Éditions Fata Morgana, 1980
  • Jean Frémon : Pierre Alechinsky, Notes et remarques sur le motif, derrière le Miroir N 247, Galerie Maeght, 1981
  • Jorge Luis Borges et Pierre Alechinsky (ill.), Treize poèmes Dioscures, Éditions Fata Morgana, 1983 Modèle:ISBN
  • Pierre Alechinsky et Gilbert Lascault, Arrondissements : Avec, pas à pas, leurs légendes, Éditions D. Lelong, 1983
  • Michel Butor et Pierre Alechinsky, Le Chien roi, Éditions D. Lelong, 1984
  • Roger Caillois et Pierre Alechinsky, La Lumière des songes, Éditions Fata Morgana, 1984
  • Jacques Dupin et Pierre Alechinsky (ill.), De singes et de mouches, Éditions Fata Morgana, 1983 Modèle:ISBN
  • Christian Dotremont et Pierre Alechinsky, Commencements lapons, Éditions Fata Morgana, 1985
  • Pierre Alechinsky et Françoise Armengaud, Titres, Éditions Méridiens-Klincksieck, 1988 Modèle:ISBN
  • Pierre Alechinsky et Christian Dotremont, Dotremont et Cobra-forêt, Éditions Galilée, 1988 Modèle:ISBN
  • André Pieyre de Mandiargues et Pierre Alechinsky, Les portes de craie, RLD, 1989
  • Pierre Alechinsky et Michel Sicard, Extraits pour traits, Éditions Galilée, 1989 Modèle:ISBN
  • Jean Frémon : Eclipses, gravures de Pierre Alechinsky, Fourbis, 1990
  • Michel Sicard, Pierre Alechinsky, et Uffe Harder, Flore danoise, Ateliers Dutrou, 1991
  • Pierre Alechinsky, Roger Caillois et Amos Kenan, Alechinsky, travaux d'impression, Éditions Galilée, 1992 Modèle:ISBN
  • Gérard Macé et Pierre Alechinsky, Choses rapportées du Japon, Éditions Fata Morgana, 1993 Modèle:ISBN
  • Daniel Abadie, Toiles, grès et porcelaines, Ed. Galerie Lelong, Paris, 1994, Modèle:ISBN
  • Jean-Yves Bosseur et Pierre Alechinsky, La plume : Pour orchestre d'harmonie, Éditions Actes Sud, 1995
  • Pierre Alechinsky et Jean Tardieu, Le jardin fragile, Éditions Gallimard, 1995 Modèle:ISBN
  • Pierre Bettencourt et Pierre Alechinsky, La planète Aréthuse, Ateliers Dutrou, 1996
  • Luc de Heusch, Pierre Alechinsky et Adolphe Nysenholc, Cobra en Afrique, Éditions de l'Université de Bruxelles, 1997 Modèle:ISBN
  • Salah Stétié et Pierre Alechinsky, 5 dans ton œil, Atelier Dutrou, 1998
  • Jean Clair, Alechinsky, Sur le vif, Ed. Galerie Lelong, Paris, 1999, Modèle:ISBN
  • James Ensor, Pierre Alechinsky, Gisèle Ollinger-Zinque, Ensor, Musées royaux des beaux-arts de Belgique, 1999 Modèle:ISBN
  • Pierre Daix et Pierre Alechinsky, Pierre Alechinsky, Éditions Ides et Calendes, 1999 Modèle:ISBN
  • Pierre Alechinsky et Gérard Mans, Hors cadre: Choix de textes, Labor, 2000 Modèle:ISBN
  • Pierre Bettencourt et Pierre Alechinsky, Les nonnes grises, Atelier Dutrou, 2002
  • Pierre Dumayet et Juan Manuel Bonet, Alechinsky, Le pinceau même, Ed. Galerie Lelong, Paris, 2001, Modèle:ISBN
  • Erik Satie et Pierre Alechinsky, Indications de jeu, La Pierre d'Alun, 2003 Modèle:ISBN
  • Dominique Radrizzani et Pierre Alechinsky, Carnets en deux temps, Les Cahiers dessinés, 2004
  • Georges Bataille et Pierre Alechinsky, Lettre à René Char sur les incompatibilités de l'écrivain, Éditions Fata Morgana, 2005 Modèle:ISBN
  • René de Obaldia et Pierre Alechinsky, Terrils, Paris : Galerie Lelong, 2006 Modèle:ISBN
  • Pierre Alechinsky et Charles Fourier, Harmonie aromale des astres, Éditions Fata Morgana, 2006 Modèle:ISBN
  • Julien Gracq et Pierre Alechinsky, Plénièrement suivi de Une journée chez Eliza, Éditions Fata Morgana, 2006 Modèle:ISBN
  • Marcel Proust, Pierre Alechinsky (ill.), Journées de lecture, Éditions Fata Morgana, 2006 Modèle:ISBN
  • Blaise Cendrars, Pierre Alechinsky (ill.), La Légende de Novgorode, Éditions Fata Morgana, 1996 Modèle:ISBN
  • Ivan Alechine, Christian Dotremont, et Pierre Alechinsky (ill.), Tapis et caries, Éditions Fata Morgana, 2006 Modèle:ISBN
  • Daniel Abadie et Pierre Alechinsky, Alechinsky, Éditions de Campredon-Maison René Char, 2006 Modèle:ISBN
  • Pierre Dumayet et Pierre Alechinsky, À la recherche du féminin : Abécédaire, Éditions L'Échoppe, 2007 Modèle:ISBN
  • René de Obaldia et Pierre Alechinsky, Terrils, Galerie Lelong, 2007 Modèle:ISBN
  • Pierre Alechinsky et Frédéric Charron, Alechinsky : les affiches, Catalogue raisonné des affiches, Éditions Ides et Calendes, collection « Catalogues raisonnés », 2007 Modèle:ISBN
  • Hélène Cixous et Pierre Alechinsky, Ciguë : Vieilles femmes en fleurs, Éditions Galilée, 2008 Modèle:ISBN
  • Jean-Clarence Lambert et Pierre Alechinsky, Cobra, un art libre : Précédé de Cobra dans le rétroviseur, Éditions Galilée, 2008 Modèle:ISBN
  • Pierre André Benoit et Pierre Alechinsky, Immobile mobile, Les éditions de Rivières, 2009
  • Daniel Abadie, Ronds, Ed.Galerie Lelong, Paris, 2010, Modèle:ISBN
  • Pierre Alechinsky et Dominique Radrizzani, Enfance de la majuscule, Fontfroide, Éditions Fata Morgana, 2010
  • Dominique Radrizzani, Alechinsky : Flora Danica, Paris, Les Cahiers dessinés, 2011
  • Pierre Alechinsky, André Jacqmain, Philippe Roberts-Jones, Salah Stétié et Danièle de Temmerman, Urvater, histoire d'une collection, Stichting Kunstboek, , Joseph-Berthold Urvater, Modèle:ISBN

Récompenses et distinctions


Collections publiques

Autriche

Belgique

Canada

Danemark

Espagne

États-Unis

France

Italie

Pays-Bas

Suisse

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Irène, Scut, Magritte & C°, Bruxelles, Musées royaux des beaux-arts de Belgique, 1996, 558 p.
  • Édouard Jaguer, monographieModèle:Refinc.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Müller-Yao, Marguerite Hui, Der Einfluß der Kunst der chinesischen Kalligraphie auf die westliche informelle Malerei, Diss. Bonn, Köln 1985 Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Müller-Yao, Marguerite, « Informelle Malerei und chinesische Kalligrafie », in Begegnung und Wandel, (hrsg von Heinz Althöfer, Schriftenreihe des Museums am Ostwall; Bd. 2), Dortmund 2002 Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Rolf Wedewer, Die Malerei des Informel. Weltverlust und Ich-Behauptung, Deutscher Kunstverlag, Munich, 2007 Modèle:ISBN.

Filmographie

  • Luc de Heusch, Alechinsky d'après nature, 1970, 20 minutes ; Alechinsky le grand, 1972.
  • Jean Antoine, Pierre Alechinsky, 50 minutes, RTBF, Magazine « Styles », 1974 (en ligne).
  • Intervention de Pierre Alechinsky dans le film Les Ensortilèges de James Ensor de Nora Philippe, 60 minutes, prod. Abacaris Films, 2010, diffusion ARTE et RTBF, 2011 (en ligne).
  • Pierre Alechinsky est coscénariste de Perséphone (1951), le seul film du groupe CoBrA.

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Modèle:Portail