Olivier Debré
Modèle:Voir famille Modèle:Infobox Biographie2 Olivier Debré, né le Modèle:Date de naissance à Paris où il est mort le Modèle:Date de décès<ref>Relevé des fichiers de l'Insee</ref>, est un peintre français, représentant majeur de l’abstraction lyrique.
Il est le fils du professeur Robert Debré, le frère de Michel Debré, le père de Patrice Debré et Sylvie Debré-Huerre, et l'oncle de Bernard Debré et de Jean-Louis Debré.
Biographie
Famille et formation
Troisième enfant de Robert Debré et de Jeanne Debat-Ponsan (fille du peintre Édouard Debat-Ponsan), le jeune Olivier est un bon élève au lycée Montaigne à Paris<ref name="Cortot">Jean Cortot, « Notice sur la vie et les travaux de Modèle:M. Olivier Debré (1920-1999) », notice lue à l'occasion de son installation comme membre de la section Peinture de l'Académie des Beaux-Arts, 11 décembre 2002.</ref>.
Il passe ses vacances à Nazelles dans la propriété de son grand-père maternel, Édouard Debat-Ponsan, puis, à partir de 1933, dans le domaine Les Madères acquis par son père à Vernou-sur-Brenne, dont il hérite avec sa sœur en 1978 et où il a installé depuis lors un de ses ateliers.
Après avoir passé la seconde partie de son baccalauréat de philosophie, il s'inscrit en 1937 pour des études d'architecture à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de son oncle Jacques Debat-Ponsan, et s'inscrit à la Sorbonne pour une licence d'histoire qu'il obtient en 1942. Il fréquente l'atelier de Le Corbusier<ref>« Olivier Debré », Le Monde des arts.</ref>.
Premières œuvres
En juin 1937, il subit un choc en voyant, exposé au pavillon de l’Espagne de l’Exposition internationale à Paris, le Guernica de Pablo Picasso. Georges Aubry, dont la galerie est située rue de Seine à Paris, l'encourage en l'exposant le premier. Il est remarqué par Dunoyer de Segonzac et Picasso<ref name="blh"/> qu'il rencontrera en 1941, ce dernier l’invitant à son atelier 7, rue des Grands-Augustins pendant l’hiver 1942-1943. C'est à cette époque que Georges Aubry expose ses premières toiles abstraites.
Entre 1940 et 1943, il rejoint son père et son frère dans la résistance des maquis<ref>Voir sur carcassonne.org.</ref>. En 1944, il épouse Denise Coulon, qui est l'arrière-petite-fille d'Eugène Scribe et la petite-nièce de Camille Pelletan, avec qui il aura deux enfants, Patrice et Sylvie. Il peindra dans la propriété familiale de sa femme à Saint-Georges-de-Didonne ainsi que sur le port de Royan jusqu'à sa mort. Durant la Seconde Guerre mondiale, son art est marqué par l'expression graphique. Le dessin lui permet de traduire toute l'horreur de la guerre : Le Mort de Dachau, Le Sourire sadique du Nazi, Le Mort et son âme. En 1946, il installe un atelier à Cachan, il y peint une toile de Modèle:Unité de long : La Vérité et la Justice poursuivant le crime. Il rencontre André Lanskoy.
En 1949, il présente sa première exposition personnelle à la galerie Bing, à Paris, marchand de Chaïm Soutine et de Modigliani. À l'automne, Olivier Debré installe un second atelier au 11, rue de Saint-Simon à Paris. Il est invité pour la première fois au Salon d'automne auquel il est resté fidèle. C'est à cette époque qu'il fait la connaissance de ses grands aînés, les peintres abstraits Hans Hartung, Gérard Schneider, Serge Poliakoff, Maria Helena Vieira da Silva. Il réalise ses premiers Signes-personnages<ref name="blh">Biographie Lydia Harambourg dans Olivier Debré, Éric de Chassey.</ref>,<ref name="Laroussepeinture">Dictionnaire de la peinture, article Modèle:Citation, Larousse, 2003 ; lire en ligne.</ref>.
Le temps du succès
Autour de 1950, il privilégie la matière et les couleurs sourdes. Olivier Debré expose à New York à la Perspective gallery. Il est invité au Salon de mai auquel il participera jusqu'à sa mort. En 1951 la librairie-galerie la Hune présente pour la première fois les gravures d'Olivier Debré. L'année suivante, il participe à son premier Salon d'octobre qui regroupe les peintres les plus significatifs de l'art non figuratif et abstrait. Il y côtoie Geneviève Asse, Claude Bellegarde, Francis Bott, Jean Degottex, Pierre Dmitrienko, Jacques Doucet, Jacques Germain, Charles Lapicque, Jean Messagier, Kumi Sugaï, Zao Wou-Ki, parmi d'autres. 1953 correspond à une période charnière dans l'œuvre d'Olivier Debré qui délaisse les signes-personnages pour les signes-paysages qui sont alors, restitue Pierre Cabanne, Modèle:Citation<ref>Pierre Cabanne, L'Art du vingtième siècle, Éditions Aimery Somogy, 1982, Modèle:P..</ref>. C'est à cette époque qu'il prend conscience des possibilités multiples offertes par la technique de la lithographie qu'il n'a jamais cessé de pratiquer<ref name="blh"/>. Il participe pour la première fois en 1954 au salon Comparaisons. En 1956, Michel Warren organise sa première exposition individuelle à Paris. L'année suivante, la seconde exposition chez Michel Warren le fait figurer Modèle:Citation, écrit John Prossot dans Apollo dont la couverture reproduit le tableau exposé. Après un voyage en Espagne, il expose, en 1959, à la Phillips Gallery à Washington. Il rencontre Franz Kline, Mark Rothko et Jules Olitski<ref name="MNA">Jean-Paul Ameline, commissaire d'exposition, « Olivier Debré », musée national d'art moderne, 2003.</ref>. En mai, première exposition personnelle à la Knoedler Gallery aux États-Unis, avec une préface de Pierre Courthion. Il participe à Peintres d'aujourd'hui au Palazzo delle Arti à Turin.
Au tournant des années 1960, il revient au paysage, sa peinture est plus fluide avec des ponctuations de concrétions épaisses qui délimitent et créent l'espace. Il qualifie alors sa peinture d’abstraction fervente car elle symbolise l'émotion ressentie devant le paysage. En 1960, il expose à la galerie Knoedler à Paris. La presse se fait l'écho de cet événement<ref name="blh"/>. Durant l'été, il séjourne en Vénétie avec sa famille<ref name="blh"/>. L'année suivante, il effectue un nouveau voyage en Espagne avec son fils Patrice. En 1962, il voyage en Grèce avec sa famille. À l'automne, une exposition de ses œuvres a lieu au musée de l'Athénée à Genève. Il participe pour la première fois au Salon Grands et Jeunes d'aujourd'hui à Paris. Il expose un bahut en bois sculpté posé sur un socle de métal à l'exposition « Antagonismes 2-L'objet » au musée des arts décoratifs à Paris.
En 1963, double exposition à la galerie Knoedler à Paris puis à New York. C'est le poète Francis Ponge qui écrit le texte pour les deux catalogues, dont Pour Olivier Debré<ref name="PON">Francis Ponge, Pour Olivier Debré, Paris, galerie Knoedler, 1963, avec deux lithographies sur double page, dont la couverture ; tirage : 33 ex. numérotés.</ref>. La presse se fait largement l'écho de cet événement en France comme aux États-Unis ; à cette occasion, Olivier Debré retourne à New York où il rencontre Mark Rothko pour la seconde fois.
La consécration internationale
Le temps de la maturité correspond aux grandes réalisations pour des commandes et à la reconnaissance internationale. Ainsi, 1965 marque la réalisation de grandes toiles de Modèle:Dunité et Modèle:Dunité pour le lycée Cordouan de Royan. Il participe à de nombreuses expositions itinérantes en Amérique latine et en Europe de l'Est. La première exposition personnelle d'Olivier Debré à Oslo se tient à la galerie Haaken A.Christensen en 1966. Il voyagera et peindra en Norvège jusqu'à la fin de sa vie. Une exposition rétrospective qui se tient au musée du Havre est abondamment relayée dans la presse. Une exposition a lieu à Francfort, à la galerie Appel und Fertsch<ref name="blh"/>.
À partir de 1967, Olivier Debré participe à de nombreuses expositions collectives et personnelles ; il figure à l'exposition internationale de Montréal « Expo 67 ». Il réalise une gigantesque peinture de Modèle:Dunité, Signe d'homme, pour le pavillon français. C'est l'époque où paraît la première monographie consacrée au peintre par Pierre Courthion. Olivier Debré reçoit plusieurs commandes pour des établissements d'enseignement, lycées et facultés. En 1970, il réalise sa première exposition au Japon, à la Nippon Gallery à Tokyo. Daniel Abadie présente sept de ses grandes toiles au Prieuré de Vivoin et signe la préface du catalogue<ref name="blh"/>. Olivier Debré participe en 1971 au concours d'architecture pour le Centre Georges-Pompidou en présentant deux projets. Il continue à recevoir de nombreuses commandes et à faire des expositions personnelles. Ainsi, une rétrospective de ses œuvres a lieu au musée d'art et d'industrie et à la maison de la culture et des loisirs de Saint-Étienne, exposition reprise en partie au musée Picasso à Antibes. En 1975-1976, il fait partie, avec Pierre Alechinsky, Hans Hartung, François Heaulmé, Roberto Matta, Zoran Mušič, Edouard Pignon et Pierre Soulages, de l'exposition itinérante en France Trente créateurs organisée par André Parinaud.
De 1980 à 1985, Olivier Debré le chef d'atelier de peinture murale à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris<ref>Institut de France, Académie des Beaux-arts, Notice sur la vie et les travaux de Modèle:M. Olivier Debré (1920-1999) par Modèle:M. Jean Cortot lue à l'occasion de son installation comme membre de la Section Peinture séance du 11 décembre 2002 (Modèle:Pdf en ligne sur academiedesbeauxarts.fr).</ref>. Il réalise une céramique pour le mur extérieur de l'hôtel Nikko à Paris. De nombreuses expositions personnelles lui sont consacrées en France et à l'étranger, à Washington, au Danemark, à Houston. Il crée les décors et costumes de la pièce Racines pour le festival d'Avignon. Une rétrospective a lieu dans les musées d'Orléans et de Metz en 1985-86. Plusieurs expositions personnelles se tiennent à l'étranger, à Dakar, à Stockholm, à Genève, à Luxembourg. Olivier Debré accorde une importante donation de 170 estampes à la Bibliothèque nationale de France, et réalise le rideau de scène et de fer de la Comédie-Française, qui est inauguré en 1987 par le ministre de la culture, François Léotard et par Jean Le Poulain. Deux ans plus tard, on inaugure le rideau de l'Opéra de Hong Kong commandé par la fondation Louis-Vuitton pour la création. Ses dessins d'après-guerre sont exposés au musée d'Art et d'Histoire de Saint-Denis en 1990, avec une préface de Bernard Noël. L'année suivante, le peintre reçoit une commande de la Régie immobilière de la ville de Paris, par l'intermédiaire de son directeur, Michel Lombardini, pour un immeuble d'ateliers d'artistes et de logements dans le Modèle:13e arrondissement de Paris, 54 rue Albert, inauguré en 1993. Olivier Debré gagne le concours pour la construction, à Compiègne, de l'église Notre-Dame de la Source<ref>L'Observatoire Caue, L'église Notre-Dame de la Source de Compiègne.</ref>.
La consécration du peintre est également marquée par l'inauguration d'une salle Olivier Debré au musée des beaux-arts de Tours en 1992. Dans le parc Lafontaine à Montréal, est inauguré par Jacques Chirac le Mémorial du général de Gaulle commandé à Olivier Debré par le maire de Paris et offert à la ville de Montréal pour le Modèle:350e de la cité québécoise. On inaugure également cette année-là le mur extérieur de la Villa Kujoyama à Kyoto, et l'année suivante, la céramique destinée au temple Daikakuji à Kyoto. L'année 1994 voit l'inauguration de quatre sculptures en acier pour l'entrée du tunnel sous la Manche. Le peintre réalise des fontaines pour les Autoroutes du Sud de la France.
Les dernières années
Une rétrospective des œuvres d'Olivier Debré a lieu en 1995 à la galerie nationale du Jeu de Paume à Paris, Daniel Abadie étant le commissaire et directeur<ref>Bernard Heitz, « Le paysage à l'âme. Olivier Debré au Jeu de paume », Télérama Modèle:N°, 21 juin 1995, Modèle:Pp.59-60.</ref>. À cette occasion, il décore vingt vases en porcelaine de Sèvres en collaboration avec la manufacture nationale de Sèvres en une série de pièces uniques qui sera vendue par le musée et la Manufacture. La rétrospective est présentée dans de nombreux pays. Le peintre réalise les vitraux pour la chapelle Saint-Maudé de La Croix-Helléan dans le Morbihan. En 1996 a lieu à Paris l'inauguration théâtre des Abbesses, œuvre de l'architecte Vandehove, où Olivier Debré réalise le rideau et les toiles tendues des galeries des balcons latéraux. L'année suivante, c'est la première à l'Opéra Bastille du spectacle Signes avec les décors et les costumes d'Olivier Debré, spectacle dans lequel Carolyn Carlson a signé la chorégraphie. Ce ballet est inscrit dans le répertoire de l'Opéra et est repris régulièrement. Enfin, en 1998, Olivier Debré réalise le rideau de scène de l'Opéra de Shanghai.
Le 17 mars 1999, quelques mois avant sa mort en juin, Olivier Debré est élu membre de l'Institut de France, à l'Académie des beaux-arts, au fauteuil précédemment occupé par le peintre Georges Cheyssial<ref name="blh"/>. À son décès<ref>Philippe Royer, « Décès du peintre Olivier Debré », La Croix, 3 juin 1999</ref>,<ref>Hervé Gauville, « Olivier Debré ne fera plus sensation - Mort du peintre qui traduisait les émotions que les paysages lui inspiraient », Libération, 3 juin 1999.</ref>,<ref>Philippe Mathonnet, « Le peintre français Olivier Debré a définitivement tiré le rideau », Le Temps, 3 juin 1999.</ref>, un hommage lui est rendu le 5 juin devant son atelier des Madères à Vernou-sur-Brenne et le 9 juin à la Comédie-Française. Il repose au cimetière de Nazelles<ref name="blh"/>. Son épouse, Denise Debré, est décédée le 12 septembre 2013 à 90 ans.
L'art d'Olivier Debré
Abstraite et solidement construite dans les années 1940-1950, sa peinture a évolué à partir des années 1960 vers une spatialité qui renvoie à la liberté et à l'impermanence de la nature. Grand coloriste, son intervention sur l'espace pictural exalte la couleur. Dans les années 1970, sa peinture atteint un équilibre formel dans une suite de toiles d’un format carré<ref name="blh"/>.
Olivier Debré a parfois peint de très grandes toiles en faisant glisser une sorte de pinceau-balai sur la toile au sol, peignant toujours dehors, quel que soit le temps. Il a dessiné également un timbre-poste, des vitraux, peint plusieurs rideaux de scène, pour la Comédie-Française, pour l'Opéra de Hong Kong et le nouvel Opéra de Shanghai en Chine, ainsi que les fresques murales du Théâtre des Abbesses à Paris, ce qui ne se fit pas sans remous avec le directeur Gérard Violette<ref name="Libé">« Le Théâtre de la Ville s'étend aux Abbesses. Ouverture à Montmartre d'une autre salle subventionnée par la mairie de Paris » dans Libération du 20 novembre 1996.</ref>.
Il a aussi été sculpteur et illustrateur, entre autres des livres de Michel Déon, Francis Ponge, Edmond Jabès et Julien Gracq. Il a publié quelques essais artistiques, notamment pour donner sa vision de l'évolution des formes, et proposé une nouvelle architecture adaptée à la ville contemporaine.
Expositions
Expositions personnelles
Expositions collectives
Réception critique
Le peintre
- Modèle:Citation - Francis Ponge<ref name="PON"/>
- Modèle:Citation - Modèle:Lien<ref>Julien Alvard, Pierre Courthion et Francis Ponge, Olivier Debré, Éditions du Musée Galliera, 1968.</ref>
- Modèle:Citation - Gérard Xuriguera<ref>Gérard Xuriguera, Regard sur la peinture contemporaine - La création picturale de 1945 à nos jours, Arted, 1983, Modèle:P..</ref>
- Modèle:Citation - Pierre Mazars<ref name="ANN"/>
- Modèle:Citation - Bernard Noël<ref>Bernard Noël, « Matière d'espace » (préface), Le rideau de la Comédie-Française, entretiens d'Olivier Debré avec Jean-Yves Bosseur et Michel Archimbaud, Librairie Séguier/ Garamont-Archimbaud, 1987, Modèle:P..</ref>
- Modèle:Citation - Gérald Schurr<ref name="SCH">Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, Modèle:P..</ref>.
Le graveur
- Modèle:Citation - Pierre Cabanne<ref name="PIE"/>.
Conservation
Modèle:Drapeau Belgique
Modèle:Drapeau Brésil
Modèle:Drapeau Canada
Modèle:Drapeau Danemark
Modèle:USA-d États-Unis
- Galerie d'art Albright-Knox, Buffalo (New York), Nature morte abstraite II, huile sur toile<ref name="PIE">Pierre Cabanne, Debré, Cercle d'art, 1991.</ref>.
- Fogg Art Museum, Cambridge (Massachusetts).
- Cincinnati Art Museum, Cincinnati.
- Menil Collection, Houston.
- Musée d'Art de Saint-Louis.
- Université Notre-Dame-du-Lac, South Bend (Indiana).
- Hirshhorn Museum and Sculpture Garden, Washington (district de Columbia).
- The Phillips Collection, Washington.
Modèle:FRA-d France
Un centre d'art au nom d'Olivier Debré
En 2015, le CCC - centre de création contemporaine de Tours est devenu le Centre de création contemporaine Olivier Debré. Il s'implante en 2016 dans un nouveau bâtiment construit sur le site du jardin François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}<ref name="PDV">Marie-Émilie Fourneaux, « La Reine Sonja de Norvège inaugure le Centre de création contemporaine Olivier Debré », Point de vue, 17 mars 2017.</ref>. Le lieu n'est pas un musée consacré à Olivier Debré mais un centre d'art<ref>Élodie de Dreux-Brézé, « Tours inaugure son nouveau CCC Olivier Debré », Connaissance des arts, 17 mars 2017</ref> qui fera vivre l’œuvre du peintre en la mettant en résonance avec la création artistique contemporaine<ref>Éloïse Bruzat, « Ouverture du CCCOD de Tours », France-3 Centre Val-de-Loire, 11 mars 2017 (source : YouTube ; durée : 26 min 2 sec).</ref>.
Le bâtiment, imaginé par l'agence d'architecture portugaise Aires Mateus, à la suite d'un concours international organisé par Tours Métropole Val de Loire, est inauguré le 10 mars 2017 avec l'exposition Un voyage en Norvège<ref name="CNA">Marine Rochard, CCCOD - Exposition inaugurale - Un voyage en Norvège d'Olivier Debré, Centre national des arts plastiques, 2017.</ref>, en présence du président de la République François Hollande<ref>Palais de l'Élysée, Déclaration de Monsieur François Hollande, président de la République, sur l'inauguration du Centre de création contemporaine Olivier Debré à Tours, 10 mars 2017.</ref> et de Sa Majesté la reine Sonja de Norvège<ref name="PDV"/>.
Autres
- Château d'Annecy<ref name="ANY"/>.
- Musée Picasso, Antibes.
- Salle polyvalente d'Audruicq, Jardin d'ocre au printemps, huile sur toile 170x750cm<ref>« Un tableau d'Olivier Debré, oublié au collège d'Audruicq, retrouve une place digne de son rang », La Voix du Nord, 24 septembre 2014</ref>.
- Musée des Beaux-Arts de Bordeaux.
- Hôtel de ville de Boulogne-Billancourt, huile sur toile, 650x867cm<ref>« Hôtel de ville de Boulogne-Billancourt, l'intérieur », Petit patrimoine, 12 avril 2013</ref>.
- Musée des Beaux-Arts de Brest.
- Fonds régional d'art contemporain de Normandie-Caen.
- Musée des Beaux-Arts de Caen, Noir bleu ocre de Loire aux taches fortes du haut, huile sur toile, 1996..
- Fondation du château de Jau, Cases-de-Pène, Longue automne de Saint-Savin, huile sur toile, 1978<ref name="PIE"/>.
- Musée Bertrand, Chateauroux<ref>Musée Bertrand, présentation des collections</ref>.
- Collégiale Saint-Mexme, Chinon, vitraux.
- Hôtel de ville de Chinon (accrochage initial : lycée François-Rabelais, Chinon), La métamorphose de Chinon ou la translation de Jeanne, huile sur toile 187x698cm, 1975<ref>Patrimoine région Centre, ville de Chinon, Olivier Debré</ref>.
- Musée Unterlinden, Colmar, Longue ocre, huile sur toile, 1974<ref name="PIE"/>.
- Lieu d'art et action contemporaine de Dunkerque<ref name="LAA"/> :
- Personnage brun-rouge, huile sur toile 195x114cm, 1959-1960.
- Bleu pâle de Royan, huile sur toile, 1977.
- Musée d'Évreux, Les Pins, huile sur toile 100x100cm, 1971.
- Musée de Grenoble, Bleu le soir à Royan, huile sur toile<ref>Jean-Louis Mazières, "Bleu le soir à Royan", musée de Grenoble</ref>.
- Chapelle Saint-Maudé, La Croix-Helléan, vitraux, 1997.
- Collégiale Notre-Dame de Lamballe, Lamballe, vitraux, 1995<ref>Ville de Lamballe, Les vitraux de la collégiale</ref>.
- Musée d'art moderne André-Malraux, Le Havre.
- Musée d'Art contemporain de Lyon, Grand carré de Loire bleu, huile sur toile, 1976.
- Musée Cantini, Marseille.
- Artothèque de Millau, estampe.
- Musée des Beaux-Arts de Nantes, Ocre violet noir, huile sur toile 192x194cm, 1971<ref>Musée des Beaux-Arts de Nantes, Olivier Debré dans les collections</ref>.
- Fonds régional d'art contemporain du Centre-Val de Loire, Orléans, Grande coulée d'automne, huile sur toile, 1983<ref>Nadine Labedade, Olivier Debré, FRAC Centre-Val de Loire</ref>.
- École polytechnique, Palaiseau, Huile bleue, huile sur toile 500x130cm<ref>École polytechnique, Olivier Debré dans les collections</ref>.
- Assemblée nationale, Paris, Ocre rayé des tilleuls, huile sur toile, 1992<ref>Assemblée nationale, Olivier Debré dans les collections</ref>.
- Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France, Paris<ref name="BNF"/>.
- Église Saint-Louis d'Antin (espace Georges-Bernanos), Paris, Le buisson ardent, huile sur toile ; mobilier liturgique.
- Fonds régional d'art contemporain Île-de-France, Paris<ref name="REN"/>.
- Hôpital Robert-Debré, Paris, panneau, hall<ref>Lydia Harambourg, « Olivier Debré, chef de file de la Nouvelle École de Paris, représentant majeur de l'abstraction lyrique », Canal Académie, 13 janvier 2013</ref>.
- Musée d'art moderne de la ville de Paris, Loire d'automne, huile sur toile, 1972<ref name="PIE"/>.
- Musée national d'art moderne, Paris<ref name="MNA"/>.
- Régie immobilière de la ville de Paris, rue Saint-Thomas-d'Aquin, Paris, peinture, plafond de la salle du Conseil.
- Musée Hyacinthe-Rigaud, Perpignan.
- Lycée Cordouan, Royan, 2 toiles 180x880cm et 180x1500cm<ref>Lycée Cordouan de Royan, Olivier Debré dans le patrimoine, septembre 2019</ref>.
- Musée Sainte-Croix des Sables-d'Olonne.
- Musée d'Art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole.
- Musée du Présidial de Saintes.
- Église de Lugagnac, Saint-Eutrope-de-Born, 6 vitraux, 1998<ref>« Saint-Eutrope-de-Born, vitraux abstraits dans l'église du XIe siècle », La Dépêche, 6 août 2014</ref>.
- Église Saint-Hilaire, Saint-Hilaire-de-Brens, peinture.
- Cité de la céramique - Sèvres et Limoges, Sèvres, service de table Diane, décor d'Olivier Debré<ref>Cité de la céramique de Sèvres, Olivier Debré dans les collections</ref>.
- Musée d'art moderne et contemporain de Strasbourg.
- Les Abattoirs, Toulouse.
- Faculté de médecine et de pharmacie de Tours, Diptyque, 2 huiles sur toiles, chacune 300x400cm<ref name="MED">Faculté de médecine et de pharmacie de Tours, Olivier Debré dans le patrimoine</ref>.
- Hôtel de ville de Tours, La grande Loire, huile sur toile 256x609cm<ref name="MED"/>.
- Musée des Beaux-Arts de Tours<ref>Sophie Join-Lambert, « Les œuvres d'Olivier Debré au Musée des Beaux-Arts de Tours », reportage de Cécile Lascève, La Nouvelle République, mai 2011 (source : Dailymotion ; durée : 2'43")</ref>.
- Musée d'Art et d'Archéologie de Valence, Jardin du noir, huile sur toile 140x150cm, 1960<ref>Musée d'Art et d'Archéologie de Valence, Olivier Debré dans les collections</ref>.
- Lille Métropole - musée d'Art moderne, d'Art contemporain et d'Art brut, parc urbain de Villeneuve-d'Ascq, Gris unique d'un soir d'automne, acrylique sur toile 180x500cm, 1985.
- Musée des Beaux-Arts La Cohue de Vannes, 165 œuvres (planches gravées, bons à tirer, essais)<ref name="COH"/>.
- Musée d'Art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine<ref>Alexia Fabre, présentation du Musée d'Art contemporain du Val-de-Marne et de ses collections</ref>.
- Ambassade de France aux États-Unis, Washington.
- Fonds départemental d'art contemporain de l'Essonne
Modèle:Drapeau Inde
Modèle:Drapeau Israël
- Maison de France, Jérusalem.
Modèle:Drapeau Italie
- Fondation Enzo-Pagani, Castellanza
Modèle:Drapeau Jordanie
Modèle:Drapeau Luxembourg
- Musée national d'Art et d'Histoire, Luxembourg
Modèle:Drapeau Norvège
- Centre d'art Henie-Onstad, Oslo.
- Galerie nationale d'Oslo.
- Musée d'Art contemporain Astrup-Fearnley, Oslo<ref>Musée d'Art contemporain Astrup-Fearnley, Olivier Debré dans les collections</ref> :
- Jaune, huile sur toile 191x314cm, 1966.
- Longue bleu pâle vertical, huile sur toile 310x180cm, 1984.
Modèle:Drapeau Pays-Bas
- Bibliothèque royale des Pays-Bas, La Haye, Avant-jour de Michel Déon, quatre eaux-fortes et aquatintes<ref>Bibliothèque royale des Pays-Bas, "Avant-jour" dans les collections</ref>.
Modèle:UK-d Royaume-Uni
Modèle:Drapeau Suisse
Modèle:Drapeau Taïwan
Autres œuvres
Espaces publics
- D et S ou Grise lourde 1948 (Centre Pompidou Paris).
- Sculpture « fontaine », implantée sur l'aire de Parcé-sur-Sarthe A11. Fontaine en deux parties, mettant en scène tout autant l'eau tumultueuse que le calme d'une eau paisible. Jets d'eau, grès, métal.
- Monument commémoratif à Charles de Gaulle érigé en 1992 au parc La Fontaine de Montréal pour le Modèle:350e de la cité québécoise : obélisque moderne et abstrait (sculpture-flamme) haut de Modèle:Unité en granit bleu de Vire.
- Mur extérieur revêtu d’une céramique à la Villa Kujoyama à Kyoto, 1992.
- Décor de la station « Les Arènes », métro de Toulouse, 1993.
- Quatre structures en acier (demi-cylindres biseautés) peintes en rouge pour l’entrée de l’Eurotunnel à Calais, 1994.
- Céramique pour le mur extérieur de l'hôtel Nikko à Paris.
- Rideaux de scène et de fer : Comédie-Française de Paris<ref>« Portrait : Olivier Debré », émission Soir 3, 16 septembre 1987 (source : archives INA ; durée : 2'12")</ref>, théâtre des Abbesses Paris, Opéra de Hong Kong, Opéra de Shanghai.
- Lambris pour le Centre hospitalier universitaire de Liège, sérigraphie sur panneaux d'acier émaillé vitrifié, chaque panneau : Modèle:Dunité, 1978-1985, collection du musée en plein air du Sart Tilman (université de Liège).
Contributions scéniques
- Racine(s), extraits de pièces de Jean Racine, adaptation de Jean-Louis Martinoty avec Yveline Ailhaud, Bertrand Bonvoisin et Jean-Claude Jay, scénographie et peintures d'Olivier Debré, chapelle des Pénitents blancs, festival d'Avignon, 1983.
- Signes, ballet de Carolyn Carlson sur une musique de René Aubry avec Marie-Claude Pietragalla et Kader Belarbi, décors et costumes d'Olivier Debré, Opéra Bastille, 1997, reprises en 2004 (avec Béatrice Martel, Céline Talon, Juliette Gernez et Christine Peltzer sous la direction de Brigitte Lefèvre)<ref>« Olivier Debré - Capter l'immatériel », Fine Arts Selection, 2004.</ref> et en juillet 2013<ref>« "Signes", Opéra Bastille », Sortir à Paris, juillet 2013.</ref>.
Collections privées
Contributions bibliophiliques
- Francis Ponge (traduction en langue anglaise d'Annette Michelson), Pour Olivier Debré, 2 lithographies originales d'Olivier Debré, 33 exemplaires numérotés, colophon signé par l'auteur et par l'artiste, Galerie Knoedler, 1963.
- Édith Boissonnas, Joan Brossa, Jean-Pierre Faye, John Keats, André Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan, Paroles peintes IV, gravures d'Olivier Debré, Antoni Tàpies, Pierre Tal Coat, Modèle:Lien, Roberto Matta, Philippe Lepatre et Henry Moore, édition originale présentée sous forme de feuilles flottantes, 228 exemplaires numérotés, Éditions O. Lazar-Vernet, 1970.
- Pierre Torreilles, Pratique de la poésie, une eau-forte originale d'Olivier Debré, Fata Morgana, 1977.
- Pierre Torreilles, Toutes les aubes conjuguées, 3 gravures signées et justifiées par Olivier Debré, colophon signé par l'artiste, 80 exemplaires numérotés, Thierry Bouchard, 1978.
- James Sacré, Quelque chose de mal raconté, une gravure originale d'Olivier Debré, André Dimanche, Marqseille, 1981.
- Jean-Clarence Lambert, Mu-Tei, 13 lithographies originales d'Olivier Debré, Éditions Le Limitrope, 1982.
- Djuna Barnes, Aux Abysses suivi de La Colombe, couverture illustrée par Olivier Debré, Éditions Ryôan-ji/ André Dimanche, 1984.
- Claude Margat, Regard dedans, frontispice d'Olivier Debré, 33 exemplaires numérotés (3 avec peinture originale, 30 avec gravure originale), Éditions Unes, 1984.
- Bernard Noël, Le livre de l'oubli, 8 eaux-fortes d'Olivier Debré, 121 exemplaires numérotés, André Dimanche éditeur, 1985.
- Franck André Jamme, Pour les simples, une gravure originale par Olivier Debré, Fata Morgana, 1987.
- Ouvrage collectif, El Tretze Vents, peintures originales et estampes par Olivier Debré, Jean Degottex, Antonio Saura, Antoni Tapies…, 85 exemplaires numérotés, Éditions du Musée de Céret, 1987.
- Patrice Huerre, Perocco le perroquet, illustrations d'Olivier Debré, L'École des loisirs, 1989.
- Edmond Jabès, Bâtir à chaux et à sable, 14 eaux-fortes et aquatintes d'Olivier Debré, 150 exemplaires numérotés, Cercle parisien du livre, 1989.
- Michel-Ange, Lettres familières, pointe-sèche d'Olivier Debré en 50 exemplaires numérotés et signés, L'Échoppe, Caen, 1989.
- Bernard Vargaftig, VOICI ou un souffle à travers "Journal du regard" de Bernard Noël, 315 exemplaires numérotés (15 exemplaires avec un lavis original, 300 exemplaires avec 3 reproductions de lavis d'Olivier Debré), Modèle:Coll., Æencrages & Co, Baume-les-Dames, 1990.
- Michel Butor, Sous le soleil noir, feuillets mobiles, Zoé Christiani éditeur, 1991.
- Mathieu Bénézet, Bernard Noël et Bernard Vargaftig, Trois états du toi, poèmes accompagnés de 9 lithographies originales d'Olivier Debré, 130 exemplaires numérotés, Éditions La Sétérée/ Jacques Clerc, 1992.
- Paul Valéry (présentation de Michel Decaudin), Poésies, 50 illustrations d'Olivier Debré, 900 exemplaires numérotés, Imprimerie nationale, 1992.
- Dominique Grandmont, Demain, fruit du sommeil, poème (fac-similé de manuscrit) sur 32 feuillets pliés en accordéon, reproduction de peinture d'Olivier Debré au recto, Les petits classiques du grand pirate, 1995.
- Eugène Guillevic, Ciels du quotidien, 3 eaux-fortes originales par Olivier Debré, Julius Baltazar et Roger Bertèmes, 60 exemplaires numérotés (les 12 premiers enrichis d'un dessin original à l'encre de Chine de chacun des 3 artistes), André Biren, Paris, 1996.
- Julien Gracq, Les eaux étroites, 8 eaux-fortes d'Olivier Debré, 180 exemplaires numérotés, Les Pharmaciens bibliophiles, 1997.
- Michel Déon, Avant-jour, 4 eaux-fortes et aquatintes d'Olivier Debré, 57 exemplaires numérotés, les 12 premiers enrichis d'un lavis original en frontispice, colophon signé par l'auteur et par l'artiste, Biren, Paris, 1998.
- Georges-Emmanuel Clancier, Est-ce un adieu ? On a tenu, édition originale des paroles d'adieu prononcées lors des obsèques d'Eugène Guillevic le 25 mars 1997, 2 gravures originales hors texte par Olivier Debré et Julius Baltazar, 65 exemplaires numérotés, Éditions Alain Pirol, Montréal, 1999.
- L'Ecclésiaste - Un temps pour tout (traduction de l'Hébreu d'Ernest Renan), 8 eaux-fortes et une lithographie originale d'Olivier Debré, 210 exemplaires numérotés, Les Amis du livre, Paris, 1999.
Écrits
- Impressions de voyage, galerie Ariel, 1973.
- Bernard Noël et Olivier Debré (entretiens avec Jean-Yves Bosseur et Michel Archimbaud, Le rideau de la Comédie-Française, Librairie Séguier/ Garamont-Archimbaud, 1987.
- L'Espace et le comportement, Modèle:Coll., L'échoppe, 1990.
- La Marche de Modèle:Mme Ouvrard, 1996.
- Couleurs et mots, Éditions du Cherche Midi, 1996.
- L'Œuf dans le chocolat, 1997.
- Espace pensé, espace créé, Modèle:Coll., Éditions du Cherche Midi, 1999.
Hommages
Prix
- Premier prix de la Biennale de Menton, 1964<ref name="HAA">Galerie Haaken, Oslo, Olivier Debré.</ref>.
- Premier prix artistique international, Modèle:Lien.
Philatélie
- Les Postes françaises ont émis le 19 avril 1993 le timbre-poste - Europa - « Rouge rythme bleu » - Olivier Debré, d'une valeur faciale de 2,50 FF et reproduisant la toile ainsi désignée<ref>Timbres de France, Olivier Debré.</ref>.
Voirie
- Le nom d'Olivier Debré a été donné à une rue des villes de Tours et de Vannes.
Élèves
Références
Voir aussi
Bibliographie
Sur Olivier Debré
- Dora Vallier, « Olivier Debré », Cahiers d'art, juin 1960.
- Pierre Courthion, Debré, Le Musée de poche, 1967.
- Modèle:Lien, Pierre Courthion et Francis Ponge, Olivier Debré, éditions du musée Galliera, 1968.
- Roger van Gindertael, Georges Badin et Robert Marteau (préface de René Le Bihan), Debré, éditions du Musée de Brest, 1969.
- Jacques Michel, « L'espace moderne d'Olivier Debré », Le Monde, 27 novembre 1969.
- Pierre Paret, « Olivier Debré, peintre de la sensation colorée », Vie des arts, Modèle:N°, été 1970 (consulter en ligne).
- André Parinaud, « Olivier Debré », Galerie des arts, Modèle:N°, 1970.
- Daniel Abadie et Claude Fournet, Olivier Debré - Dessins, sculptures, 1941-1974, Cahiers théoriques de l'abbaye Sainte-Croix, Les Sables-d'Olonne, Modèle:N°, mai 1974.
- Pierre Courthion, Olivier Debré ou la peinture signifiante, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, 1974.
- Bernard Ceysson et Marcelin Pleynet, Olivier Debré, musée d'Art et d'Industrie/maison de la culture, Saint-Étienne, 1975.
- Gaston Diehl et Daniel Abadie, Olivier Debré or the schism of reality, Welsh Arts Council & British Council, Cardiff et Londres, 1977.
- Henry Galy-Carles, « Olivier Debré ou l'espace cosmique », Coloquio Artes, Modèle:N°, mars 1982, Modèle:Pp..
- Bernard Noël, Debré, Flammarion, 1984.
- Bernard Ceysson, Olivier Debré, éditions du musée de Brou, Bourg-en-Bresse, 1985.
- Bernard Noël, Olivier Debré, éditions du musée d'Art et d'Histoire de Metz, 1986.
- Bruno Foucart, Olivier Debré, éditions du centre culturel de Boulogne-Billancourt, 1988.
- Michel Faucher, Cécile Roca et Éric Verrier, Debré Passeport, Éditions Fragments, Colombes, 1989.
- Bernard Noël, Debré - Dessins, 1945-1960, éditions du musée d'Art et d'Histoire de Saint-Denis, 1990.
- Jean-Clarence Lambert, Olivier Debré - Trente-six eaux-fortes, éditions Lacourière-Frélaut, 1990.
- Gilbert Lascault, Douze notes sur les peintures d'Olivier Debré, Artstudio, Paris, été 1990.
- Bernard Noël, Olivier Debré à deux voix, Opus international, Paris, novembre 1990.
- Pierre Cabanne, Debré, éditions Cercle d'art, 1991 (présentation en ligne).
- Haaken A. Christensen, Debré et Laerdal, Dreyer's vorlag/Flammarion, 1991.
- Jean-Jacques Lévêque, Olivier Debré en l'hôtel de la Monnaie, Nouvelle vision, 1991.
- Emmanuel Pernoud, Olivier Debré - Les estampes et les livres illustrés, 1945-1991, Publications de la Sorbonne, 1993 (consulter en ligne).
- Jean-François Mozziconacci, Philippe Dagen et Dominique Boudou, Olivier Debré, éditions des musées de Montbéliard, 1993.
- Achille Bonito Oliva, Georges Duby, Andreas Franzke et Ann Hardy, Olivier Debré, éditions de la Galerie nationale du Jeu de Paume, 1995.
- Gérard Xuriguera, Olivier Debré, éditions de l'Espace Riquet, Béziers, 1999.
- Modèle:Lien, Debré et la Norvège, Modèle:Coll., Fragments, 2000 (présentation en ligne).
- Jean Ristat, Olivier Debré, le théâtre de la peinture - Debré à Shanghai, Fragments, 2000 (présentation en ligne).
- Michel Butor, Dix regards sur l'atelier désert d'Olivier Debré, Ides et Calendes, 2001.
- Gérard de Cortanze, « Olivier Debré, l'atelier dans la nature », chapitre du livre L'Atelier intime, éditions du Rocher, 2006 (consulter en ligne).
- Éric de Chassey et Lydia Harambourg, Olivier Debré, Modèle:Coll., Expressions contemporaines, 2007.
- Patrice Debré, Les Ateliers d'Olivier Debré, La Guêpine, 2018 (présentation en ligne).
- Atelier Bernard Noël, Les signes d'Olivier Debré, 2020.
Sur la famille Debré
- Patrice Debré, Robert Debré, une vocation française, Odile Jacob, 2018 (consulter en ligne).
- Jean-Louis Debré, Une affaire de famille, Robert Laffont, 2019.
Ouvrages généraux (période, mouvement, etc.)
- Pierre Courthion (couverture d'Olivier Debré), Art indépendant - Panorama international de 1900 à nos jours, Albin Michel, 1958.
- Guy Weelen, La Jeune École de Paris, Le Musée de poche, 1958.
- Raymond Nacenta, The School of Paris - The painters and the artistic climate of Paris since 1910, Oldbourne Press, Londres, 1960.
- Jean Grenier, Entretiens avec dix-sept peintres non-figuratifs, Calmann-Lévy, 1967.
- Pierre Mazars, Jean-Marie Dunoyer et Jean Selz, L'Année de la peinture, Calmann-Lévy, 1979.
- Gérard Xuriguera, Regard sur la peinture contemporaine - La création picturale de 1945 à nos jours, Arted, 1983.
- Gérard Xuriguera, Les Années 50 - Peinture, sculpture, témoignages, Arted, 1984.
- Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz - Estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992.
- Patrick-F. Barrer, L'Histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
- François Béalu, Cinq graveurs contemporains - Eduardo Chillida, Olivier Debré, André Marfaing, Martin Müller-Reinhart, Gérard Titus-Carmel, Les Ateliers d'art/ Offrice départemental de développement culturel des Côtes-d-Armor, 1995.
- Marc Donnadieu, Gestes, signes, traces, espaces - Figures de la peinture moderne française dans les collections publiques françaises, éditions du Musée d'art moderne André-Malraux, Le Havre, 2007.
- Georges Roques, Claire Maingeon et Lydia Harambourg, De l'impressionnisme à l'abstraction - Une immersion dans la peinture, éditions du Musée des Beaux-Arts de Saint-Lô, 2013.
Dictionnaires, encyclopédies, guides
- Les Muses, encyclopédie des arts, vol. 6, Grange-Batelière, 1971.
- Pierre Cabanne, L'Art du vingtième siècle, Éditions Aimery Somogy, Paris, 1982.
- Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
- Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol.4, Gründ, 1999.
- Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001.
- Lydia Harambourg, L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Ides et calendes, 1993 (consulter en ligne).
Filmographie
- Marc Bonnet et Sylvie Carlier, Legato, documentaire sur le ballet Signes, 1977 (visionner en ligne, durée : 23 min 37 sec).
- Michel Dieuzaide, Olivier Debré - Le rideau français (durée : 45 min).
- Claudio Francia, Olivier Debré - Chronique d'une abstraction, Productions Claudio Francia, 1996.
Radiophonie
- Jacques Chancel, « Entretien avec Olivier Debré », Radioscopie, France Inter, 10 mars 1976.
- Entretiens avec Jean-Pascal Léger, France Culture, 21, 22, 23, 24 et 25 mars 1977.
- « Entretien avec Olivier Debré », Le bon plaisir, France Culture, Modèle:Date.
- À voix nue, cinq entretiens avec Bernard Noël, France Culture, 1er, 2, 3, 4 et 5 mars 1993.