Le Progrès (Lyon)

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Le Progrès est un journal régional français, né en 1859, dont le siège se trouve à Lyon, dans le département du Rhône. Il est diffusé dans ce dernier département ainsi que dans l'Ain, le Nord-Isère, la Loire, la Haute-Loire et le Jura.

Le Progrès est une filiale du Groupe Ebra. Il est détenu par la banque Crédit Mutuel.

Histoire

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L'ancienne salle de rédaction.

Le Progrès est un modeste journal qui paraît pour la première fois le lundi Modèle:Date- ; ses fondateurs sont : l'imprimeur Jean-François Chanoine, le journaliste Frédéric Morin et Eugène Beyssac<ref>Modèle:Chapitre. Modèle:Pdf</ref>. À l'époque, c'est un « journal indépendant et d'opposition républicaine », classé comme « républicain radical » sous le Second Empire<ref>Modèle:Article.</ref>. Sous la Troisième République, il soutient souvent Édouard Herriot contre Le Nouvelliste, par exemple dans la querelle sur la destruction de l'Hôtel-Dieu.

De 1890 à 1905, il est l'objet d'un supplément dominical, le Progrès illustré<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, il continue à paraître dans un premier temps<ref>Vie de René Leynaud.</ref>. Il s'arrête cependant lors de l'occupation de la zone libre le Modèle:Date-, seul parmi les autres quotidiens lyonnais<ref>Modèle:Lien web.</ref>, tout en continuant à payer son personnel. Il réapparaît à la Libération le Modèle:Date-, et affronte de nouveaux titres, qui disparaissent progressivement ; L’Écho du Sud-Est absorbe La Liberté, puis Le Progrès absorbe L'Écho-Liberté, tandis que La République/Le Patriote disparaît en 1956, victime indirecte des événements de Hongrie.

En 1959, pour son centenaire le tirage atteint les Modèle:Unité contre Modèle:Unité en 1946.

Le groupe absorbe le quotidien stéphanois La Tribune du centre et du sud-est le Modèle:Date-. Celui-ci, appelé précédemment La Tribune républicaine, devient l’édition La Tribune Le Progrès<ref>La presse stéphanoise, de la Libération à nos jours, Le Progrès.</ref>.

En Modèle:Date-, Le Progrès signe un accord avec Le Dauphiné libéré en vue de rapprocher les deux titres. C'est le début de la perte de contrôle du Progrès par la famille Brémond.

Dans les années 1980, avec ses Modèle:Unité, l'éphémère Lyon-Libération n'arrivera pas à inquiéter Le Progrès.

En 1986, Le Progrès est repris par Robert Hersant, en plus du Dauphiné Libéré.

En 2004, Le Progrès ainsi que l’ensemble des titres de la Socpresse (le « Groupe Hersant ») sont rachetés par le groupe Dassault.

En Modèle:Date-, le groupe de l’Est Républicain rachète le groupe Progrès/le Dauphiné Libéré, avant d'être lui-même racheté par SIM (ou groupe EBRA) une filiale de Crédit Mutuel Alliance Fédérale<ref>Modèle:Lien web.</ref> en 2009.

L'édition de Saône-et-Loire du Progrès, à savoir Le Journal de Saône-et-Loire, est le plus vieux quotidien régional français encore en activité. En effet, Le Journal de Saône-et-Loire, hebdomadaire fondé à Mâcon en 1826, est devenu quotidien en 1831. Son siège se trouve aujourd'hui à Chalon-sur-Saône. En 1967, il a participé à la fondation de l’Agence d'informations générales, locales, économiques et sportives. En 1989, il prend son indépendance.

Identité

Logos

Informations financières

Le Progrès a réalisé un chiffre d'affaires de Modèle:Unité en 2018 et enregistré une perte de Modèle:Unité. L'effectif moyen annuel 2018 est de Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Locaux

Fichier:Ancien siège Progrès Lyon 1.jpg
Ancien siège du Progrès, au centre de Lyon.

Siège du journal

Le journal avait son siège dans un immeuble gardé par deux cariatides, rue de la République. Depuis, ce bâtiment, est occupé par la Fnac « Lyon République ». Initialement, le bâtiment était le Théâtre Bellecour de 1880 à 1892. Les locaux du journal ont été déplacés en 2001, rue Servient dans le [[3e arrondissement de Lyon|Modèle:3e]]. Depuis Modèle:Date-, le siège est installé dans le quartier de La Confluence, au 4, rue Montrochet dans le [[2e arrondissement de Lyon|Modèle:2e]].

Imprimeries

Depuis 1966, l'imprimerie est située à Chassieu. Il imprime notamment depuis 2016 le journal I/O Gazette dédié aux festivals culturels dans le monde. La Tribune / Le Progrès (éditions de Loire et Haute-Loire) était jusqu’en 2007 imprimée à Saint-Étienne<ref>« La Tribune Le Progrès » désormais imprimé dans le Rhône, Les Echos, Dénis Meynard, 28 décembre 2007</ref>.

Rédaction

La rédaction compte, en 2013, Modèle:Nobr, la majorité étant au siège lyonnais. Elle est en relation avec Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Indépendance éditoriale

En Modèle:Date-, le journal d'investigation locale Mediacités rapporte que Le Progrès multiplie les événements (70 en 2017) organisés en partenariats avec des entreprises et des collectivités locales, pour faire face à l'érosion de son lectorat et le manque à gagner qu'il génère ; des journalistes de la rédaction les animent parfois. Ces événements sont souvent accompagnés de suppléments du journal, qui relèvent pour une partie d'entre eux de la communication (par opposition au journalisme) sans qu'une mention « communication » ou « publireportage » n'en informe les lecteurs. Mediacités questionne ces pratiques et cite des journalistes du Progrès et des membres du Syndicat national des journalistes (SNJ) qui les critiquent<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Diffusion

Les éditions locales

Département Nombre Nom des éditions
Ain 3 Bourg - Bresse - Val-de-Saône-Nord, Dombes - Côtière de l'Ain, Oyonnax - Léman - Bugey - Bas-Bugey
Jura (sous le titre Le Progrès - Les Dépêches) 1 Jura
Haute-Loire (sous le titre La Tribune - Le Progrès) 1 Haute-Loire
Loire (sous le titre La Tribune - Le Progrès) 4 Saint-Étienne - Ondaine, Forez, Gier et Pilat, Roannais
Rhône 5 Villefranche - Tarare, Oullins - Givors - Mont du Lyonnais, Lyon - Villeurbanne, Ouest Lyonnais et Val de Saône, Est Lyonnais

Filiales

Le groupe Progrès était propriétaire de la chaîne de télévision locale Télé Lyon Métropole (TLM) jusqu'à sa revente en 2010.

Le groupe Progrès est également l'éditeur du quotidien gratuit Lyonplus.

L'agence de presse AGIR (Agence de Presse d'Informations Régionales), qui emploie notamment une dizaine de journalistes pigistes permanents, appartient également au groupe Progrès. En Modèle:Date-, l'existence d'une UES (unité économique et sociale) a été reconnue entre Agir et Le Progrès par le tribunal d'instance de Lyon.

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Autres projets

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