Le Tronquay (Eure)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Le Tronquay est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Géographie
C'est une petite commune située dans le pays de Lyons-Andelle à un peu plus de Modèle:Unité de Paris et Modèle:Unité de Rouen, dans la forêt de Lyons, la plus grande hêtraie d'Europe. Située sur le plateau limité par l'Andelle et la Lieure, le bourg se trouve à la limite Sud du territoire communal. La commune est occupée par deux zones importantes de forêt, l'une à l'ouest, l'autre au centre-nord.
Le Tronquay possède plusieurs lieux-dits et fermes :
- les Célestins. Le fief de la Rosière prit le nom des célestins au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, lorsque Jeanne Havart<ref>dame d'Aussebosc, fille de Georges Havart, vicomte de Dreux, sénéchal héréditaire du Perche et de Antoinette d'Estouteville, de la ligne d'Estouteville</ref>, épouse de Guillaume V de Bricqueville<ref>Maison de Bricqueville</ref>, le vendit aux célestins de Rouen. À la disparition du couvent des célestins en 1783, les biens furent réunis au séminaire Saint-Nicaise de Rouen ;
- les Cornets ;
- la Grand-Fray <ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> Fief en 1579 de Philippe d'Alcrippe ;
- la Motte. Élevée selon la tradition lors de la guerre de Cent Ans par les Anglais, elle se composait d'une butte et d'une fortification ;
- le Fresnay. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le Fresnay appartenait en partie à M. de la Garenne ;
- les Landez ;
- les Callouettes ;
- les Brûlins. Ce nom semble indiquer qu'un incendie aurait détruit une partie de la forêt sur laquelle le nouveau fief allait être installé. L'existence du fief est attesté en 1588. Le propriétaire, Martin Anquetil, procureur du roi au Parlement, demande la construction d'un colombier à pied. À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, début Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il passe à la famille Hallé. Milieu Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il devient la propriété de Robert Dieupart, pour appartenir à M. de Limoges au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ;
- le Bâtiment. Le manoir est un logis du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et appartenant à cette époque à la famille de Limoges<ref>Possessionnée à Vascœuil, elle a donné les marquis de Saint-Saëns.</ref>, dont deux membres furent abbés de l'Isle-Dieu ;
- la Garenne. Triège<ref>Un triège défini une surface de forêt ou un lieu-dit [1].</ref> sis au Fresnay, propriété de Thomas d'Aussy, sieur de la Garenne, anobli en 1643. Le manoir appartient en 1753 à la famille Lefranc d'Assignies. La chapelle du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle est aujourd'hui détruite.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, dans le département de la Seine-Maritime, mise en service en 1968 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Le Tronquay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,5 %), forêts (41,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), prairies (4,9 %), zones urbanisées (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le lieu est mentionné sous la forme latinisée Troncheium vers 1188 (reg. Phil. Aug.), Trunkeium en 1197 (charte de Gautier, archev. de Rouen), Tronqueium en 1206, Truncheium en 1208, Tronquetum en 1248, Tronqueum en 1250, Trunqueium en 1250 (cartulaire de l’Isle-Dieu), Tronquoy en 1321 (cartulaire de l’Isle-Dieu), Le Tronquoy en 1754 (Dict. des postes), Tronquai-en-Lions 1828 (Louis Du Bois)<ref name="de Blosseville">Modèle:Ouvrage.</ref>
La présence de l'article indique qu'il ne s'agit pas d'une formation très ancienne, romane en tout cas : on y reconnait le mot tronc, attesté pour la première fois chez Wace en 1155 (trunc), c'est-à-dire de façon quasiment contemporaine à « Tronquay ». Ce terme est issu du gallo-roman *TRUNCU qui remonte au latin truncus « tronc, souche »<ref>étymologie de tronc</ref>.
Le second élément est le suffixe masculin bien connu -ay (parfois graphié -ey ou -et) et qui « sert généralement à désigner un ensemble d'arbres appartenant à la même espèce » (cf. Modèle:Page h', Modèle:Page h', etc.), sa forme féminine -aye a donné le suffixe moderne -aie (cf. chênaie, saulaie, etc.). Il remonte au gallo-roman -ETU / -ETA.
Il est parfois attesté avec la phonétique plutôt picarde de Tronquoy en 1321 (cartulaire de l'abbaye de l'Isle-Dieu) à Le Tronquoy en 1754 (dictionnaire des postes), -oy étant la forme correspondant à -ey / -ay, plus répandue en Picardie et en Wallonie (cf. Le Quesnoy, Le Sauchoy).
La commune est enfin dénommée officiellement en 1828 Tronquai-en-Lions<ref>Dictionnaire topographique de la France, noms de lieux anciens et modernes</ref>.
La signification exacte du toponyme n'est pas claire « l'endroit où il y a des troncs d'arbre »<ref name="RL">René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Éditions Charles Corlet/Presses Universitaires de Caen, 1993, Modèle:ISBN, Modèle:P.260.</ref>, c'est-à-dire, peut-être, une « troncaie » au sens de futaie, même suffixe -aie<ref>François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. Modèle:P..</ref>.
Histoire
- D'après les recherches faites par un des curés du Tronquay, la commune a vu son origine à la fin du {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:s| s }} }}, début Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Autrefois, l'église du Tronquay relevait de l'abbaye de L'Isle-Dieu<ref>Jadis très influente ; c'est aujourd'hui une grande ferme entre Vascœuil et Perruel. L'abbaye de l'Isle-Dieu nommait le curé de la paroisse.</ref>. Une charte du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle parle de l'« ancien et du nouveau territoire du Tronquay ». En 1206, Mathieu du Tronquay donna plusieurs pièces de terre à cette abbaye, qui possède le patronage de l'église. D'autres familles firent aussi des dons à cette abbaye et le roi Louis VIII de France donna un bois en 1226 où les religieux ont construit une grange aujourd'hui détruite. Le fief du Tronquay appartient de 1411 à 1421 à la famille de Beauvais, puis à celle d'Estouteville en 1438.
La guerre de Cent Ans
- Pendant la guerre de Cent Ans, le Tronquay s’est trouvé sous occupation anglaise. C’est de cette époque que daterait la motte. Les habitants du Tronquay étaient devenus très malheureux, d’une part des soldats anglais, et d’autre part à cause de la rapacité des chanoines de Rouen, jamais satisfaits. Il y eut des protestations de la part de la population. Finalement, un arrangement a pu être trouvé.
Le privilège de Saint-Romain
- Les paroissiens du Tronquay se défendent en demandant que tout homme d’armes possède un ordre du roi par écrit s’il veut séjourner et loger avec ses troupes sur le territoire de la paroisse (1640)<ref>Des Andelys au Havre : illustrations de Normandie</ref>. Le sieur de la Fontaine du Houx a passé outre cet ordre. Il s’installa le Modèle:Date- dans le pays et pilla le presbytère et d’autres maisons, ainsi que l’église. Devant la demande des habitants de présenter l’autorisation du roi, le capitaine de la Fontaine du Houx lança ses soldats contre la foule. Beaucoup furent tués, des soldats aussi et leur capitaine. Le père de la Fontaine du Houx, le chevalier de Fours prit 18 ou 20 habitants en otage et les autres en résidence surveillée. Ceux qui ont pu fuir se sont réfugiés dans la forêt. Pendant deux ans, la situation stagne, quand les gens du Tronquay ont tourné leur regard vers l’église de Rouen et choisirent d’avoir recours au privilège de Saint-Romain. 15 habitants se constituèrent prisonniers dans la prison de Rouen. Après étude de leur cas, ils furent tous libérés, le privilège de Saint-Romain fonctionna en leur faveur (Modèle:Date- et Modèle:Date-)<ref>Liste des 15 habitants : Jacques Brémontier, 49 ans du Tronquay ; Jean Brémontier, 14 ans de Lorleau ; Étienne Anquetil, 46 ans, drapier au Tronquay ; François Lorgery, 45 ans, tonnelier ; Paul Mesnager, 42 ans, tisserand ; Pierre Oliefve, 40 ans, geôlier à Lyons ; Georges Delamare, 35 ans, laboureur ; Pierre Lorgery, 31 ans, sabotier ; Nicolas Boissel, 38 ans, batteur en granges ; Étienne Mabire, 25 ans, du Tronquay, avironnier à Rouen ; Noël Delamare, 36 ans, charron ; Louis Brémontier, 33 ans, tabellion ; Jean Drouet, 22 ans, laboureur ; Nicolas Brémontier, 24 ans ; Jean Picart, 44 ans, toilier.</ref>.
La séparation avec Les Hogues
- Le défrichement de la forêt se prolonge jusqu'au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. À cette époque, c'est monsieur de Belle-Isle qui devint seigneur et patron honoraire du Tronquay. Plus tard, le Tronquay devint propriété royale, puis du comté d'Eu et du duc de Penthièvre, dernier seigneur du Tronquay.
- En 1787, Le Tronquay se scinda en deux : Le Tronquay et Les Hogues (pour des raisons d'éloignement). Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il y avait plusieurs sabotiers ainsi que 15 cafés.
Aujourd'hui
- Ce petit village paisible garde deux écoles primaires (regroupement scolaire avec les communes environnantes), un garage et des artisans. La fête patronale Saint-Ouen se fait tous les troisièmes dimanches de juin.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
- 1786 = 3000
- 1787 = 1027<ref>juste après la séparation avec Les Hogues</ref>
Lieux et monuments
- Église paroissiale<ref>Liste des curés du Tronquay :
- 1254 - Anfroid
- 1574 - François Cellier
- Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle - Le Mire
- 1640 - Élie Delamare
- 1672 - Antoine Le Danois
- 1687 - Tubeuf
- 1691 - André de Caumont (Armorial général de France (édit de novembre 1696) : généralité de Rouen. Tome 2 par G.-A. Prévost sous la dir. de C. d'Hozier. En 1689, il était prieur claustral de l'abbaye de l'Isle-Dieu)
- 1713 - Pierre Duval
- 1729 - Nicolas de Caumont
- 1786 - Gontier
- 1808 - Nicolas Robine
- 1860-1890 - A. Delarue (sa tombe, l'une des dernières autour de l'église, se trouve derrière de transept nord)
- 1905-1950 - Abel Cluzeau (il repose dans le cimetière, devant la croix)
- 1960-1994 - Haffray, également curé des Hogues</ref> Saint-Ouen<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle-Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle-Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), en rangée de briques et de grès, sacristie en brique de 1776 ;
- plusieurs fermes-manoirs parmi lesquels le manoir de Célestins <ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, le manoir du Bâtiment (lieu-dit) <ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, le manoir de la Garenne <ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ou encore le manoir des Brûlins <ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- monument celtique dit de la Pierre tournante du Fresnay<ref>Pierres à légendes du département de l'Eure, 1922, par Léon Coutil.</ref> ;
- motte dite la Butte aux Anglais <ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>La Butte aux Anglais</ref> (près du hameau de la Motte). Les Anglais avaient élevé une butte cernée par un fossé, point d'observation de la route reliant Rouen à Gournay. Site non fouillé et rattaché à la période de la guerre de Cent Ans.
-
Église Saint-Ouen.
-
Place.
-
Mairie et école primaire.
-
La Pierre tournante.
-
Butte aux Anglais.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Guarin (Le Tronquay, 1678 - Saint-Germain-des-Prés, 1729), bénédictin hébraïsant.
- Nicolas Brémontier (Le Tronquay, 1738 - Paris, 1809), inspecteur général des ponts et chaussées. Il appliqua le premier en France, le moyen de fixer les sables mouvants par des plantations de pins maritimes. Une stèle est érigée en son honneur et une partie de la RD114 est nommée avenue Brémontier.
- Auguste-François-Joseph de Caze (Paris, 1783 - Le Tronquay, 1859). Ancien négociant, il entre à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen en 1833<ref>Entrée à l'Académie le 2 janvier 1833.</ref>. Il meurt dans sa maison de campagne le Modèle:Date-<ref>Précis analytique des travaux de l'Académie.</ref>.
- Éleonor Lebas (Lyons-la-Forêt, 1799 - Le Tronquay, 1872), notaire à Rouen. Il a été ancien adjoint au maire de Rouen et conseiller municipal du Tronquay.
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage
- Commission régionale de Haute-Normandie. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Eure, canton: Lyons-la-Forêt. Paris: Imprimerie Nationale, 1976. 372 pages.
- P Duchemin. Notice historique sur Le Tronquay et Les Hogues. Gisors: Imprimerie Echo républicain, 1890. In-16, 120 pages.
- Auguste Le Prévost, Mémoires et notes de M. Auguste Le Prévost pour servir à l'histoire du département de l'Eure, Évreux: Imprimerie d'Auguste Hérissey, 1869.