Les Échos

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Les Échos est un quotidien français d’information économique et financière, fondé en 1908 par les frères Robert et Émile Servan-Schreiber.

Le quotidien revendique une orientation libérale<ref name="questions">Modèle:Citation (« Vos questions, nos réponses », site Les Échos. Consulté le 7 novembre 2007).</ref>. Il défend une ligne éditoriale favorable à l'économie de marché, ouverte sur le monde et l'Europe<ref name="Viva Technology">Modèle:Lien web</ref>.

Le journal Les Échos est fortement développé sur le numérique, qui représente plus de 53 % de sa diffusion payée en France en 2019<ref>Modèle:Lien web</ref>, soit l'une des plus fortes proportions parmi les quotidiens nationaux<ref name="Viva Technology"/>.

Les Echos est détenu par Bernard Arnault depuis 2007. Il appartient au Groupe Les Échos-Le Parisien depuis 2015, une filiale de LVMH<ref>Modèle:Article</ref>.

Histoire

Modèle:Article général

Fichier:Échos de l'Exportation.jpg
Premier numéro d'Échos de l'exportation, paru le 2 avril 1908. Un an plus tard, le sous-titre mentionnant l'actionnaire est supprimé.

Fondée en Modèle:Date-, la publication qui devient Les Échos en 1928 débute modestement lorsque Robert Schreiber<ref>Modèle:Lien web</ref> crée un bulletin mensuel, Échos de l’exportation, servant d'outil de promotion pour la maison Schreiber et Aronson, héritée de son père<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>,<ref name=":5">Modèle:Lien web</ref>. Cette petite affaire d'import-export est spécialisée dans les produits de mercerie (surtout les boutons de nacre<ref>Modèle:Lien web</ref>), tissus, bonneterie et autres articles venus d'Europe centrale<ref name=":0" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le premier numéro paraît le Modèle:Date-, le mensuel de quatre pages<ref>Modèle:Article</ref> à l'époque tiré à Modèle:Unité<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref> étant, en grande partieModèle:Sfn, distribué gratuitement aux clients, les fabricants, et aux maisons d'import-export du quartier parisien de la confection. Quelques mois plus tard, la publication passe à Modèle:Nobr et le sous-titre Modèle:Citation Modèle:Incise est supprimé.

À partir d'août 1909, une société anonyme est créée au capital de Modèle:Unité, dont la moitié des parts appartiennent à Albert Aronson et Robert Servan-Schreiber et l'autre moitié à deux Allemands, Siegfried Karo et Léopold Schottlaender, respectivement rédacteur en chef et propriétaire du journal économique allemand KonfectionärModèle:Sfn. Le journal alors contient « Modèle:Nobr – dont un tiers de publicités »<ref name=":0" />. En 1910, le journal passe à Modèle:Nobr et le frère de Robert Schreiber, Émile, écrit une bonne partie des articles sous un pseudonyme<ref name=":0" />. Entre la fin de 1911 et le début de 1912, les participations des actionnaires allemands sont rachetéesModèle:Sfn,<ref name=":1" />. En Modèle:Date, Émile devient associé de la société R. Schreiber et associésModèle:Sfn, éditrice des Échos. Le succès se confirmant, le journal devient hebdomadaire à partir du Modèle:Date-. Il est tiré à Modèle:Unité<ref name=":0" />. À la suite d'un voyage aux États-Unis qui a impressionné Émile en Modèle:Date, l'actualité économique américaine est intégrée au journal<ref name=":0" />,Modèle:Sfn,<ref name=":5" />. Pendant la Première Guerre mondiale le journal cesse de paraîtreModèle:Sfn,<ref name=":0" />. Le Modèle:Date, le journal est refondé par les frères Schreiber avec pour titre Les Échos<ref name=":0" /> et pour sous-titre la grande revue commerciale française<ref name=":2">Modèle:Article</ref>. Il embauche son premier journaliste<ref name=":0" />.

Le journal publie le supplément Les Échos des industries d'art en 1925 et devient quotidien le Modèle:Date-, sous le titre Les Échos<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name=":0" />,<ref name=":4">Modèle:Article</ref>. Le journal, qui reste destiné aux milieux du commerce et des petites entreprises, vend environ Modèle:Unité à la livraison en 1929<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Il aborde « rarement les questions politiques, excepté lorsqu'elles mettent en cause la liberté du commerce ou les finances de ses lecteurs »<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

En 1940, les frères Schreiber « pressentant l’inévitable spoliation » sabordent le journal dont ils transfèrent la propriété fictivement et Les Échos cessent de paraître<ref name=":0" />,Modèle:Sfn,<ref name=":2" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le Modèle:Date<ref>Modèle:Article</ref>, le journal est de nouveau publié, mais uniquement quatre fois par semaineModèle:Sfn. Il est réduit à quelques pages, car le papier est contingentéModèle:Sfn. Dès 1947, Jean-Claude Servan-Schreiber travaille aux Échos, dont il devient directeur à la place de son père (le cofondateur Robert Schreiber) en 1958, après avoir créé en 1953 L'Express avec son cousin Jean-Jacques<ref>« L'Express, du journal d'opinion au news-magazine », Michel Jamet, Communication et langages, Modèle:N°56, 1983, Modèle:Pp.85-97.</ref>.

Le journal dépasse les Modèle:Unité à partir de 1948. Au cours des années 1950, les enfants de Robert et Émile prennent la relève. Surnommé la « boulangerie » par Clara Schreiber, le journal sert avant tout à entretenir le train de vie des Servan-SchreiberModèle:Sfn, employant jusqu'à quinze membres de la famille certaines annéesModèle:Refnec. En mai 1953, sous l'impulsion de Jean-Jacques Servan-Schreiber, paraît un supplément du nom de l'Express (lancé pour soutenir l'action de Pierre Mendès France, il deviendra par la suite indépendant), ce qui accentue les tensions au sein du « clan » Servan-Schreiber (les fils aînés des deux branches de la famille se disputant la direction), car cette aventure coûte cher au Groupe Les Échos<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Les conflits, surtout d'ordre politique, continuent de diviser les deux branches de la famille, d'autant plus que la formule d'origine des Échos s'essouffle. Cela incite son directeur de rédaction Jean-Louis Servan-Schreiber à le transformer pour en faire un véritable journal économique sur le modèle des quotidiens anglo-saxons, le Financial Times et The Wall Street Journal<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Le journal devient progressivement une référence de la presse économique, mais les conflits politiques enveniment les relations familiales au sein de cette « entreprise prospère où les actionnaires, les enfants d'Émile et les enfants de Robert, chaque clan détenant la moitié des parts, empêchent toute gestion efficace »<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Cette situation conduit à la vente du titre, le Modèle:Date-, à Jacqueline et Pierre Beytout, directeur des laboratoires Roussel, lesquels vont le moderniser et le développer. En 1976, après le décès de son mari, Jacqueline Beytout assure seule la direction générale du titre.

En 1981, le Groupe Les Échos achète un journal médical quotidien, Panorama du médecin<ref name=":3">Modèle:Lien web</ref>,<ref name=":4" />. D'autres revues médicales seront par la suite achetées ou créées<ref name=":3" />,<ref name=":4" />.

En 1986, le mensuel Dynasteurs est lancé. Il est renommé en 1992 Enjeux-Les Échos<ref name=":3" />,<ref name=":4" />.

À partir de 1982, le journal bénéficie de l'engouement des Français pour la Bourse et pour l'information économique, si bien que sa diffusion dépasse les Modèle:Unité à partir de 1989<ref name="Eveno p96">Modèle:Harvsp.</ref>.

Profitant de cet engouement, La Tribune, concurrent direct des Échos, est créée en Modèle:Date- par Bruno Bertez<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>.

En 1988, Jacqueline Beytout, âgée de Modèle:Nobr, cède le contrôle actionnarial du journal au groupe d'édition britannique Pearson (également propriétaire du Financial Times) pour éviter qu'à sa mort il ne soit repris par un des grands groupes français manifestant leur intérêt pour l'entreprise de presse : Michelin, Havas ou Hachette Filipacchi Médias<ref name="Eveno p96" />. Le gouvernement Balladur tente d'imposer une solution nationale, mais la Commission de Bruxelles entérine la reprise par le groupe britannique<ref>Modèle:Article</ref>. À l'occasion de ce conflit, la rédaction du journal Modèle:Incise déclenche le premier mouvement de grève de l'histoire du quotidien<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Nicolas Beytout (son petit-fils par alliance), nommé rédacteur en chef par sa grand-mère, devient directeur de la rédaction en 1996. À cette époque, « la ligne éditoriale du quotidien est graduellement infléchie vers la réalisation d'un journal d'information générale, sans sacrifier toutefois ce qui a fait la force des Échos, la couverture de l'actualité des entreprises et de l'économie »<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

En 1999, le groupe vend sa branche médicale<ref name=":3" />.

Une nouvelle version imprimée du quotidien est lancée en 2003 lorsque le journal adopte le format berlinois, identique à celui de ses grands confrères internationaux. La campagne publicitaire associée à ce lancement reçoit le prix EPICA<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Epica d'Or 2004, site de Epica-awards. Consulté le 11 mai 2008.</ref>. En Modèle:Date, Nicolas Beytout quitte son poste pour Le Figaro. Il est remplacé par Jacques Barraux, jusqu'alors numéro deux de la rédaction<ref>Modèle:Article</ref>.

En 2007, le groupe LVMH, dirigé par Bernard Arnault, rachète Les Échos au terme d’un âpre conflit. En Modèle:Date, le groupe Pearson, qui détenait le quotidien économique, annonce sa volonté de vendre Les Échos, tandis que le groupe LVMH, propriétaire de l'autre quotidien économique français La Tribune alors déficitaire, déclare vouloir racheter le journal. Sa déclaration entraîne une crise au sein de la rédaction qui souhaite préserver « l'indépendance de ce titre et de son équipe rédactionnelle », des grèves ponctuelles des journalistes<ref>« Les Échos en grève, La Tribune aussi », L'Express, 22 juin 2007.</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref> et le lancement d’une pétition qui recueille la signature de Modèle:Nobr économiques et politiques<ref>Texte de la pétition lancée par les salariés des Échos pour « l'indépendance » du quotidien et liste des signataires, site Les Échos, 8 novembre 2007.</ref>. Une contre-offre de rachat, proposée le Modèle:Date par le groupe Fimalac<ref>« Un nouvel acheteur pour Les Échos », L'Express, 12 juillet 2007.</ref>, dirigé par Marc Ladreit de Lacharrière, recueille le soutien unanime des journalistes de la rédaction réunis en assemblée générale. Finalement, invoquant une clause d’exclusivité de vente<ref>« Pearson dévoile sa clause d'exclusivité avec LVMH », L'Express, 5 septembre 2007.</ref>, le groupe britannique Pearson annonce le Modèle:Date la vente du quotidien Les Échos au groupe LVMH pour Modèle:Nobr d'euros, sans veto des autorités publiques<ref>« LVMH a racheté le Groupe Les Échos », L'Express, Modèle:Date.</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. LVMH revend alors son autre quotidien, La Tribune, à News Participations, une des holdings d'Alain Weill.

En 2008, Jacques Barraux quitte son poste de directeur de rédaction et laisse sa place à Henri Gibier. Celui-ci est finalement remplacé en Modèle:Date- par Nicolas Barré<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date-, le journal connaît un épisode unique dans l'histoire de la presse française : les journalistes femmes font la grève des signatures pour manifester leur colère devant leur faible représentation dans les organes dirigeants du journal<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Aucune femme ne signera donc d'article le Modèle:Date-.

Le directeur de la rédaction, Nicolas Barré, est limogé en mars 2023 après dix années à la tête des Echos. Selon La Lettre A, cette décision a été prise par Bernard Arnault, le propriétaire du journal. Nicolas Barré avait récemment fait publier un article concernant des perquisitions fiscales dans le groupe LVMH, autre propriété du milliardaire, et une critique du livre Histoire d’un ogre consacré à Vincent Bolloré<ref>Modèle:Article</ref>.

Identité visuelle (logo)

Le journal

Modèle:Section rédaction à revoir

Les Échos traite et analyse l'ensemble de l'actualité régionale, nationale et internationale ayant des répercussions sur la vie des affaires. Le journal est une mine d'informations sélectionnées et les plus anonymes possibles, Modèle:Refnec

Le quotidien publie des analyses macroéconomiques et politiques pour la France et l’étranger (politique économique, finances publiques, etc.), des analyses sectorielles, des études d’entreprises, ainsi qu’une analyse boursière.

Dans sa version papier, il se présente sous la forme d’un double cahier (macroéconomie dans le Modèle:1er, microéconomie et analyse boursière dans le second).

La rédaction des Échos, dirigée par Nicolas Barré, rassemble aujourd'hui plus de Modèle:Nobr avec douze correspondants permanents à l'étranger et un réseau d'une cinquantaine de correspondants régionaux.

Contenu et ligne éditoriale

Modèle:Section vide ou incomplète Selon un des anciens directeur de la rédaction, Jacques Barraux, Modèle:Citation

L'indépendance de la rédaction est défendue par les journalistes réunis dans l'association la Société des journalistes des Échos. Les journalistes disposent également un droit de veto sur la nomination du Directeur de la Rédaction. La Société des journalistes se mobilise pour défendre l'indépendance de la rédaction, par exemple en 2008<ref>Modèle:Lien web.</ref> mais est également solidaire des problématiques d'indépendance avec leurs confrères, comme Mediapart en 2019<ref>Modèle:Article.</ref>. En 2017, la société des journalistes des Échos s'était également émue d'une censure d'une interview de François Ruffin par le biais d'un communiqué, ce qui avait forcé le directeur de la rédaction à se justifier publiquement, en invoquant ne pas vouloir faire de publicité à quelqu'un qui « dénigrait leur journal dans des termes qui ne sont pas de l'ordre du débat - légitime - mais systématiquement caricatural »<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le quotidien s'est engagé contre l'union de la gauche lors des élections législatives de 2022<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Organisation

Équipe dirigeante

Financement

Comme la plupart des journaux de presse français, Les Échos touche de fortes subventions de l’État. Il a ainsi perçu Modèle:Nobr d’euros d’aide du fonds d'aide à la modernisation de la presse de 2003 à 2010<ref>Owni.fr, L’heure des fuites sur les subventions à la presse ?, Rue89, publié le 11 août 2010, consulté le 26 octobre.</ref>.

Formats de publication

Version imprimée

En version imprimée, Les Échos se présente sous la forme d’un double cahier :

  • macroéconomie dans le Modèle:1er, avec revue des informations économiques françaises et internationales, des présentations d'évolutions ou d'avancées scientifiques<ref>par exemple, La mort des abeilles met la planète en danger, 20 août 2007.</ref>, ainsi que des pages Idées et Débats qui regroupent des analyses économiques de long terme et des interventions d'économistes reconnus (Joseph E. Stiglitz, Kenneth Rogoff…). On y trouve également des analyses d'éditorialistes du journal, comme Jacques Hubert-Rodier, Jean-Francis Pecresse ou Jean-Marc Vittori
  • microéconomie, cours boursiers, analyses boursières et informations financières dans le Modèle:2e
  • des suppléments spéciaux ou réguliers (Les Échos week-end, cahiers consacrés à l'intelligence artificielle ou au bitcoin, Série limitée…)

Site Internet

En lançant le site des Échos en 1996, Les Échos devient un des premiers quotidiens français en ligne. Le site propose :

  • l’actualité économique et financière, mais aussi générale ;
  • les informations boursières (à Paris et internationales) ;
  • l’« information entreprise » ;
  • les finances personnelles, avec une rubrique spéciale pour gérer efficacement son portefeuille ;
  • des rubriques sur les loisirs et le luxe.

La dernière version du site date du Modèle:Date : quatorze ans après sa naissance, le site franchit une nouvelle étape de son développement avec un contenu enrichi et une refonte complète de son design, de l'ergonomie et du mode de navigation. Il repose sur une rédaction unique, née de la fusion des rédactions imprimées et en ligne.

Le site offre également des outils pratiques tels que des alertes personnalisables, des flux RSS, une veille thématique, une recherche par mots-clés multicritères et un accès par téléphone mobile, ainsi que le journal mis en ligne dès Modèle:Nobr du matin, l’ensemble des archives du quotidien depuis 1991 et tous les dossiers de la Rédaction. Il comptabilise Modèle:Nombre uniques par mois en moyenne<ref>Source : Nielsen Ratings.</ref> et 3 250 000 pages vues en Modèle:Date-<ref>Source : Xiti.</ref>.

En Modèle:Date-, il lance son site participatif, Le Cercle Les Échos. Cet espace de débat en ligne permet aux internautes de publier leurs propres articles sur l'économie et la finance, mais aussi la politique, l'international, l'environnement, le high-tech, etc. De grands noms de l'économie interviennent aujourd'hui sur ce site : Paul Krugman, Nouriel Roubini, Dominique Moïsi ; mais également des élus, avocats, chefs d'entreprise, blogueurs, lecteurs des Échos

Le Modèle:Date-, Les Échos présente une nouvelle version de son site internet<ref>Modèle:Lien web</ref>. S'inspirant des plateformes de contenus comme Netflix, le nouveau site sera chargé d'offrir une expérience « addictive » à ses lecteurs<ref>Modèle:Article</ref>. L'objectif est d'augmenter le nombre d'abonnés en proposant des contenus personnalisés à ceux qui sont « proches de s'abonner »<ref>Modèle:Article</ref>.

Édition papier numérique

Le Modèle:Date, sous l'impulsion de Philippe Jannet, Les Échos propose sa version papier numérique, Modèle:Référence nécessaire. Cette nouvelle version des Échos permet ainsi de lire l’intégralité du journal du jour et de disposer d’une actualisation de l’information financière et boursière toutes les heures, entre Modèle:Nobr et Modèle:Nobr (UTC).

L’offre éditoriale des Échos est complétée par un fil de dépêches AFP et des livres proposés par Modèle:Langue, Nathan, Flammarion, Le Guide du Routard, Hachette Éditions et M21. La version numérique des Échos est disponible sur deux lecteurs : un reader spécifiquement développé pour Les Échos et le reader Iliad d’Irex ; chacun de ces lecteurs propose des configurations de contenu qui lui sont propres. La version papier numérique est également compatible avec les principaux lecteurs électroniques du marché.

Enfin et pour compléter son offre, Les Échos propose également une librairie 100 % numérique<ref>Modèle:Lien web</ref>, déjà riche de près d’un millier d’ouvrages.

Contributeurs notoires

Modèle:Colonnes

Données financières

2017<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Chiffre d'affaires : Modèle:Unité

Résultat : Modèle:Unité (perte)

Effectif moyen : 285 collaborateurs

Diffusion

Voici la diffusion totale des Échos, gratuits et étranger inclus, selon les données de l'ACPM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name=acpm/> :

Modèle:Graph:Chart

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Presse française Modèle:Portail