Les Ponts-de-Cé

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Modèle:Infobox Commune de France

Les Ponts-de-Cé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Commune angevine, Les Ponts-de-Cé est traversée par la Loire et se trouve dans la première couronne Sud de l'agglomération d'Angers, En France<ref>IGN, Géoportail Les Ponts-de-Cé, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Les quartiers

Modèle:Section à sourcer La Guillebotte : quartier récent créé dans les années 1970 entre La Chesnaie et le canal de l’Authion.

La Chesnaie : quartier qui s’est développé dans les années 1960-1970 avec la construction de nombreux logements, construits principalement sur des terres maraîchères.

Saint-Aubin : quartier ancien au cœur des Ponts-de-Cé où se trouve l’église Saint-Aubin, classée monument historique.

Saint-Maurille : quartier situé sur la rive sud de la Loire, entre le Louet et le bras principal de la Loire. L’axe principal ancien de Saint-Maurille est la rue du Commandant-Bourgeois. C’est maintenant la rue Pasteur dans l’axe du pont Dumnacus qui relie le quartier à celui de l’Île.

L’Île : avec Saint-Aubin forme le centre historique des Ponts-de-Cé sur les terrains situés entre le bras principal de la Loire et le bras de Saint-Aubin. On y trouve la mairie et les rues les plus anciennes de la ville ainsi que le château construit vers 850 sous Modèle:Nobr le chauve.

Sorges : quartier des Ponts-de-Cé situé entre Gauthier et Trématé. Village indépendant des Ponts-de-Cé, il lui est rattaché à la Révolution. Ses habitants étaient alors appelés les Sorgeais, nom qui apparaît vers l’an mille dans les manuscrits de l’abbaye Saint-Aubin d'Angers.

Hydrographie

Modèle:Section à sourcer La commune est située en bords du fleuve la Loire, qui traverse le territoire au centre, et de l'Authion canalisé au nord, et par le Louet au sud. Ces cours d'eau sont enjambés à l'origine par un pont unique. Au fil du développement de la cité médiévale, les arches ont été comblées tout en assurant la particularité de la commune des Ponts-de-Cé. Elle est située à environ Modèle:Unité de la mer en suivant la Loire. Limite de la Loire dite Modèle:Citation.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 4,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Georges Gard », sur la commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire, mise en service en 1950<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le département de la Sarthe, mise en service en 1944 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Les Ponts-de-Cé est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (25,1 %), zones urbanisées (21,3 %), prairies (20,3 %), terres arables (10,7 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), forêts (1,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Cé est attesté sous les formes [Castro] Seio en 889, Saiaco en 967, [Pon] Sigei en 1009, [In] Saiaco en 1036-1056, Saiaco 1060 - 1080, Saiacus en 1090, Seium en 1104, [Pons] Sagei en 1115, [Pons] Sagii en 1148, [Pons] Saeiien 1291, [Le Pont de] Sae (1293), [Les Ponts de] Sée en 1529<ref>Modèle:Harvsp.</ref>, [Les Ponts de] Cé en 1793, [Pont-de-]Cé en 1801, puis [Les Ponts-de-]Cé<ref name=Cassini/>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Ponts-Libres<ref name=Cassini/>.

Selon une légende locale, la ville, divisée en deux parties par la Loire enjambée par une multitude de ponts, aurait été construite par César. Quelqu'un voulut la baptiser « Les Ponts de César »<ref>Pierre-Louis Augereau, op. cit. , Modèle:P..</ref>. D’après une autre légende, une attaque gauloise a permis d'enlever le sculpteur en plein travail, empêchant d’inscrire sur le pont la dernière syllabe du nom de César, expliquant ainsi le suffixe du nom de la ville<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Ce genre de légende étymologique est caractéristique de la Renaissance et du classicisme et n'a ni fondement linguistique, ni fondement historique.

En réalité, l'élément représente le nom primitif du village voisin<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, comme l'indiquent les formes les plus anciennes. La forme Seio de 889 s'accorde mal avec celles, plus régulières, du {{#switch: e

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXI

}} du type Saiaco, bien qu'on ne puisse pas exclure un amuïssement régulier des consonnes intervocaliques dès cette époque. Il s'agit donc vraisemblablement d'un type toponymique gallo-romain en -(i)acum, suffixe d'origine gauloise marquant la localisation puis la propriété. Ce suffixe a régulièrement donné la finale dans l'ouest de la France, en domaine d'oïl. Le premier élément Sai- peut représenter le nom de personne latin (porté par un indigène) Sabius, d'ailleurs une villa rustica est mentionnée à cet endroit sous la forme Sabiacus dans une charte de Charles le Chauve (823 - 877), devenu plus tard paroisse de Saint-Aubin-des-Ponts-de-Cé<ref>Pierre-Louis Augereau, op. cit. , Modèle:P..</ref>. Ce qui peut justifier les formes plus tardives du type Sigei, Sagei (évolution phonétique comparable à celle de rabia> rage ou rubeus> RUBIU> rouge) par déplacement de l'accent tonique de 'SABIACU en SA'BIACU.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

Modèle:...

Moyen Âge

En 869, le roi Charles le Chauve construit un pont fortifié aux Ponts-de-Cé, afin de bloquer la remontée de la Loire aux pillards vikings<ref>Modèle:Ref-Dillange-Poitou, Modèle:P..</ref>. Il existe deux exemples de ponts similaires, à Pont-de-l'Arche sur la Seine, et à Trilbardou sur la Marne.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le roi Louis XI (1423-1483) demeurait fréquemment aux Ponts-de-Cé<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, quoique ce lieu fût situé en Anjou. En effet, à cette époque, le duc François II de Bretagne, afin de conserver son indépendance, s'était allié aux ennemis du royaume de France, notamment le duc de Bourgogne Charles le Téméraire. Pour le roi, le château des Ponts-de-Cé était idéal à contrôler ceux qui y passaient vers et dès la Bretagne. Ainsi, il y arriva le 29 août 1472 pour cet objectif, après avoir occupé Ancenis le Modèle:Date- ainsi que Pouancé le Modèle:Nobr, villes frontières, de sorte que Modèle:Nobr renonce son intention d'attaquer le royaume<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Ancien Régime

Le Modèle:Date- eut lieu la bataille des Ponts-de-Cé, connue également sous le nom des « Drôleries des Ponts-de-Cé », entre les partisans du roi Louis XIII et ceux de sa mère, Marie de Médicis, que son fils avait écartée de la Régence trois ans plus tôt, et qui tentait de revenir au pouvoir. Par la défection de certains de ses alliés, les troupes de Marie de Médicis furent bientôt sans commandement avant le combat. L'armée royale n'eut plus qu'à disperser ses fantassins dans une « drôlerie » générale.

Époque contemporaine

Rame de l'ancien tramway d'Angers devant la mairie, vers 1908.
Rame de l'ancien tramway d'Angers devant la mairie, vers 1908.

Modèle:Article détaillé

Lors de la guerre de Vendée, les républicains fusillent Modèle:Nombre à Modèle:Nombre prisonniers entre Modèle:Date- à la mi-janvier 1794<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Les villages

Modèle:Section à sourcer Une histoire riche accompagne ce quartier. Ses terres ont appartenu successivement à l'abbaye Saint-Aubin, aux vicomtes d'Anjou, puis au frère du roi Modèle:Nobr duc d'Anjou et à Jean Bourré, célèbre trésorier de Louis XI et bâtisseur du château du Plessis-Bourré.

En 1579, le temple protestant de la ville d'Angers s'installe à Sorges (près de la poste actuelle), celui-ci devant être construit à une lieue (Modèle:Unité) au moins d'Angers. Aujourd'hui, il n'en reste que la cour dite du « prêche », car ce temple fut détruit lors de la révocation de l'édit de Nantes par Modèle:Nobr en 1685.

En 1661, au début de son règne, Modèle:Nobr, se rendant de Saumur à Angers, s'arrête à Sorges et y dîne dans une ferme-auberge. En effet, la route Saumur-Angers passait par Sorges où il fallait emprunter un bac pour traverser l'Authion.

À la Révolution, en 1790, le village de Sorges devient une commune : son maire est Jacques Houtin. Un an plus tard, Sorges revient à la commune de Trélazé. Son rattachement définitif à la commune des Ponts-de-Cé date de 1796.

Son église est dédiée à saint-Maurice depuis 1535 et elle a été agrandie en 1845. Elle est ouverte chaque année le dimanche le plus proche de la Saint-Maurice (Modèle:Nobr).

Les inondations, surtout celle de 1856 avec le passage de Napoléon III et celle de 1910, ont inondé le quartier. Des plaques, sur le côté de la porte de l'église et sur la façade d'une maison (celle de Vignoble), indiquent les niveaux d'eau des crues : plus de deux mètres au-dessus du sol. Aujourd'hui, des levées et la station d'exhaure des eaux de l'Authion protègent le quartier.

Politique et administration

Administration municipale

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel

Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Angers du département de Maine-et-Loire. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la deuxième circonscription de Maine-et-Loire.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton des Ponts-de-Cé<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 16 à 17 communes.

Intercommunalité

La commune faisait partie de la communauté de communes du secteur des Ponts-de-Cé. Celle-ci a été supprimée fin 2004, certaines de ses communes ayant rejoint la communauté de communes Loire Aubance ou la communauté de communes de la Vallée-Loire-Authion. Les Ponts-de-Cé intègrent, eux, la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole. Celle-ci se transforme en communauté urbaine le Modèle:Date- sous le nom d'Angers Loire Métropole.

Contrairement à ce que laisse entendre cette dénomination, l'intercommunalité ne dispose pas du statut de Métropole au sens de la réforme des collectivités territoriales françaises et de l'acte III de la décentralisation.

La communauté urbaine, dont est désormais membre la commune, est organisée autour de la ville d'Angers et fait partie du syndicat mixte pôle métropolitain Loire Angers, anciennement Pays Loire-Angers. Elle est également membre du pôle métropolitain Loire-Bretagne.

Démocratie participative

Modèle:... La commune s'est dotée d'un conseil municipal d'enfants dont les membres sont élus par les élèves des classes de CM1 et CM2. La dernière élection a eu lieu en Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe

Distinctions et labels

En 2017, la commune a obtenu le label « ville active et sportive »<ref name="OF16122017">Modèle:Article.</ref>.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 30,3 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,88 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Enseignement

La commune est située dans l'académie de Nantes.

En 2014, la commune administre une école maternelle (Raymond-Renard) et quatre écoles élémentaires (André-Malraux, Jacques-Prévert, Raoul-Corbin, Raymond-Renard) communales et dispose de deux écoles élémentaires privées (Saint-Aubin, Saint-Maurille)<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

L'école élémentaire Saint-Maurille comptait Modèle:Nombre en 2012-2013<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Elle a été créée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dans un bâtiment qui était à l'origine une tannerie<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Le Modèle:Nobr, Médéric Lechalas, notaire, enregistre un legs fait par François Gazeau au profit du centre communal d’action sociale, d'un ensemble immobilier (ancienne tannerie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) situé au Modèle:Nobr, aux pauvres les plus nécessiteux de la paroisse de Saint-Maurille<ref>Bulletin des lois de la République française, Modèle:Nobr, Modèle:P., Modèle:Lire en ligne.</ref>. Modèle:Référence nécessaire

Le département gère en 2014 deux collèges : le collège public François-Villon comptant Modèle:Nombre en 2012-2013<ref> Modèle:Lien web.</ref> et le collège privé Saint-Laud comptant Modèle:Nombre en 2012-2013<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Toujours en 2014, la région Pays de la Loire gère deux lycées : le lycée polyvalent du campus de Pouillé-Angers<ref> Modèle:Lien web.</ref> et le lycée général et technologique Jean-Bodin comptant Modèle:Nombre en 2012-2013<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Outre ces établissements, la commune accueille un institut médico-éducatif dispensant une éducation et un enseignement spécialisés pour des enfants et adolescents atteints de déficience à prédominance intellectuelle<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Par sa proximité géographique avec Angers, c'est sur le territoire de la commune que sont installés les établissements suivants :

  • l'Ircom (anciennement Institut des relations publiques et de la communication (IRCOM)) dont dépendent l'institut Albert le Grand, l'Institut Mac Luhan et l'Institut Pedro de Béthencourt<ref>

Modèle:Lien web.</ref> ;

Modèle:Lien web.</ref>.

Culture

La commune comprend en 2015 plusieurs équipements culturels : le centre culturel Vincent-Malandrin, la médiathèque Saint-Exupéry créée en 2008<ref>Modèle:Lien web.</ref>, le théâtre des Dames et une école de musique<ref>Mairie des Ponts-de-Cé, Culture, sur le site municipal, consulté le 17 mai 2015.</ref>.

Sports

On trouve sur la commune un complexe sportif et des salles de sport : le complexe sportif François-Bernard, qui comprend un stade avec une tribune de 270 places, et les salles de sport annexe d’Athlétis et salle de sport Val-de-Louet<ref>Mairie des Ponts-de-Cé, Complexe sportif et salles de sport, sur le site municipal, consulté le 17 mai 2015.</ref>.

En 2017, L'office municipal des sports regroupe 23 clubs ou sections sportifs réunis au sein de l'association sportive des Ponts-de-Cé (ASPC) ou de l'amicale des anciens élèves de l'école communale (AAEEC)<ref name="OF16122017"/>.

Le club de Kin-ball de la ville accueille la Modèle:10e de sport Kin-Ball à l'automne 2019<ref>Modèle:Article.</ref>.

Sont implantés dans la ville la Maison des sports, le comité départemental olympique et sportif et le District de Maine-et-Loire de football<ref name="OF16122017"/>.

Manifestations culturelles et festivités

Se déroule dans la commune le festival les Traver’Cé musicales, dont la Modèle:16e a lieu le dimanche Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Tissu économique

Modèle:Section à actualiser Sur Modèle:Nobr présents sur la commune à fin 2010, 3 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 12 % du secteur de la construction, 65 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé<ref name="inseeeco">Insee, Statistiques locales du territoire des Ponts-de-Cé (49), consultées le 5 mai 2013.</ref>.

Deux ans plus tard, en 2012, on y trouvaient 909 établissements, qui relevaient pour 2 % de l'agriculture (pour une moyenne de 15 % sur le département), 6 % de l'industrie, 11 % de la construction, 67 % du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé<ref name="insee-2012">Insee, Statistiques locales du territoire des Ponts-de-Cé (49), consultées le 17 mai 2015.</ref>.

Commerces et entreprises

La ville accueille en 2015 plusieurs zones industrielles et artisanales : des zones communautaires gérées par la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole, la zone du Moulin-Marcille et la zone de Vernusson Pierre-Martine, et des zones communales, les zones d’activités Jean-Boutton, de Saint-Aubin et de la Petite Perrière<ref>Mairie des Ponts-de-Cé, Zones Industrielles et zones Artisanales, consulté le 17 mai 2015.</ref>.

Le « village Oxylane », situé sur la zone du Moulin-Marcille, a pour originalité de présenter des structures dédiées à la pratique sportive. On y trouve notamment un magasin Décathlon de Modèle:Unité, ouvert en Modèle:Nobr<ref>Communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole, Parc d'activités Moulin-Marcille, consulté le 17 mai 2015.</ref>,<ref>My Angers Info (Atlantique Énergie), Le village Oxylane des Ponts-de-Cé annonce ses projets de développement, article du 24 avril 2012.</ref>. La zone est accessible depuis l'A87.

À côté de ce complexe dédié aux sports, au début des années 2010 apparait un projet d'un centre commercial, provisoirement baptisé « l'Aréna », comprenant Modèle:Unité de commerces, restaurants et équipements culturels et ludiques, avec ses six salles de cinéma sous enseigne Mégarama<ref>Communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole, Un cinéma Mégarama en 2013 à Aréna, publié le 08 novembre 2011.</ref>,<ref>Angers Mag Info (Ouest eMedia Presse), Les Ponts-de-Cé, son centre commercial et ses six nouvelles salles de cinéma, article du 8 novembre 2011.</ref>. En 2014, le projet porté par le groupe Idec est retoqué par la commission départementale d'aménagement commercial (CDAC)<ref>Ouest-France Entreprises, Angers. Le pôle commercial L'Arena retoqué, article du 10 février 2014.</ref>.

La commune compte également une surface alimentaire, Intermarché et la société Technitoit<ref>Ouest-France Emploi, A Angers, la société Technitoit veut recruter 200 salariés, article du 23 septembre 2011.</ref>.

En 2023, l'Autre Usine, plus grand complexe de sport et loisir indoor de France installé à Cholet, annonce son projet de s'implanter aux Ponts-de-Cé d'ici 2025<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

La commune compte trois monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et Modèle:Nombre et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Par ailleurs, elle compte Modèle:Nombre répertoriés à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.

Les trois monuments historiques sont :

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXV

}}), « classé » depuis 1862<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Les Ponts-de-Cé et la littérature

Louis Aragon a écrit le poème C qui débute ainsi : J'ai traversé les Ponts-de-Cé, c'est là où tout a commencé ..., publié dans le recueil Les Yeux d'Elsa en 1942. Francis Poulenc l'a mis en musique l'année suivante.

Personnalités liées à la commune

  • Gustave Cordon (1854-1915), docteur en médecine et homme politique, décédé aux Ponts-de-Cé.
  • Jules Quélin (1835-1911), poète et astronome français, né aux Ponts-de-Cé.
  • Eugène Raphaël Fontaine (1884-1933), grand industriel, manufacturier et marchand de bois Alençonnais et conseiller municipal Ponts-de-Céais, décédé aux Ponts-de-Cé.
  • Michel Sy (1930- ), homme politique, né aux Ponts-de-Cé.

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

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Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail