Liste des comtes puis ducs de Valentinois

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Les titres de comtes de Valence ({{#switch: au

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}}), puis de comtes de Valentinois ({{#switch: au

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}}), sont des titres rattachés au territoire du comté de Valentinois. Le titre devient celui des ducs de Valentinois (quatre créations, {{#switch: au

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}}) après l'érection du Valentinois en duché. Le titre, depuis 1949, a été recréé dans la noblesse monégasque.

== Premiers comtes de Valence ({{#switch: au

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}}) == Les comtes possédant le pays de Valence ou Valentinois, antérieurs à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ne sont pas connus<ref name="Blanc 1984">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Adalelme est le premier personnage mentionné comme comte, dans les textes les dernières décennies du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. On le trouve sous la forme Modèle:Latin<ref name="UChevalier 1869">Modèle:Ouvrage.</ref>, sans précision de terre associée, mais dont l'implantation correspond au Valentinois<ref name="Blanc 1984"/>,Modèle:Sfn. Il est mentionné en 890, au plaid de Varennes, le Modèle:Date-, aux côtés de sa femme Rotlinde<ref name="UChevalier 1869"/>, et en 912, à Vienne avec son fils, Boson<ref name="Ref-Saint-Phalle-Troyes">Modèle:Ref-Saint-Phalle-Troyes.</ref>,Modèle:Note.

Les historiens s'accordent pour indiquer qu'il n'existe aucun lien entre Adalelme et son fils et les comtes qui se succèdent Modèle:Incise entre le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et celui du siècle suivant. Les actes permettent de connaître partiellement la filiation de ces comtes. Ainsi ils laissent apparaître des noms patronymiques Modèle:Incise qui se retrouvent d'une génération à l'autre, ce qui laisseraient peu de doute quant à leurs origines, mais il n'existe aucune source permettant de rattacher ces trois groupes d'individus portant le titre comtal de la région<ref name="Blanc 1984"/>.

Jules Chevalier, prêtre et historien régional (1897), puis André Blanc, chargé de recherches au CNRS (1984, qui s'appuie sur Chevalier)<ref name="Blanc 1984"/> font l'hypothèse qu'il existe des liens de parentés entre les trois groupes formés par Geilin {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, Lambert et Geilin II et leurs enfants. Le marquis Henri de Pisançon (1874)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ou encore André Lacroix (1877)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> considéraient pour leur part que ce groupe des premiers comtes de Valentinois formaient une première maison dite marquis Géléins ou famille Geilon ou Geilin (voire Gillin ou Gélein). Cette analyse est reprise notamment par Stéphane Baumont (1992) qui parle des Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

  • Modèle:V. — 912 : Adalelme (Alleaume, Adalelmo)<ref name="Blanc 1984"/>.
    ∞ Rotlinde.
  • 912 — 943 : Boson, fils du précédent<ref name="Blanc 1984"/>.
  • 943 — Modèle:V. : [[Geilin Ier|Geilin/Gelin {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]]<ref name="Blanc 1984"/>.
    ∞ (1) Gotheling, dont Ainerius ; ∞ (2) Raimondis.
  • Modèle:V. : Lambert.
    ∞ Falectrude. Aucune source ne permet de faire de liens avec les précédents.
  • Modèle:V. - 1037 : Ademar/Adhémar/Aimar, fils du précédent.
    ∞ Roteldis dont 5 fils. En tant qu'aîné, Hugues, devrait hériter du titre, mais aucun acte ne le mentionne<ref name="Blanc 1984"/>.
  • 1058 : Geilin/Gelin II<ref name="Blanc 1984"/>
    ∞ Ava, dont 5 fils. Aucune source ne permet de faire de liens avec les précédents.

== Comtes de Valentinois de la maison de Poitiers ({{#switch: au

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle

}}) == André Blanc (1984) conclue qu'à la suite de Geilin II (Modèle:V.), quelques décennies plus tard, le titre passe à la famille dite de Poitiers[-Valentinois]<ref name="Blanc 1984"/>. Le titre serait issu, sans qu'il n'existe de sources, du mariage avec l'héritière de Marsanne<ref name="Blanc 1984"/>,Modèle:Sfn. Si les preuves d'un lien de parenté avec les premiers comtes de Valence n'existent pas, la tradition onomastique se perpétue toutefois au sein de la famille de Poitiers<ref name="Blanc 1984"/>. André Blanc conclue Modèle:Citation<ref name="Blanc 1984"/> À partir de 1280, les comtes portent également le titre de comte du DioisModèle:Sfn. Le titre s'éteint avec la mort de Louis II de Poitiers (Modèle:Mort en), dernier mâle de la branche aînée. Il institue dans son testament Charles, dauphin du Viennois, fils du roi de France, Charles VI, son héritierModèle:Sfn.

  • avant 1158 : [[Aymar Ier de Poitiers-Valentinois|Aymar/Adhémar {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]]Modèle:Sfn (A Pictaviensis comitis Valentini)<ref name="U Chevalier p.6">Modèle:Ouvrage.

À noter, la charte Modèle:N°, non datée, pourrait cependant désigner Aymar II, fils de Guillaume [I/II].</ref>.

  • fils de Guillaume et NN, et probable frère d'Eustache, évêque et comte (selon l'étude de la charte Modèle:N° du Cartulaire de Léoncel<ref name="U Chevalier p.6"/> et son interprétation par J. ChevalierModèle:Sfn). Père de Guillaume, qui suis (charte Modèle:N°), et Eustache, prévôt de ValenceModèle:Sfn.
    ∞ Véronique (de Marsanne)Modèle:Sfn.
Fichier:Blason comte fr Valentinois.svg
  • 1189 — 1239 : Aymar II de Poitiers (Modèle:Mort vers1250)Modèle:Sfn
    ∞ Philippe (Philippa)<ref>Philippa dans les ouvrages modernes, tel que Pierre Guichard, Comprendre le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:|  }} }} siècle : études offertes à Marie-Thérèse Lorcin (1995).</ref> de Fay, Dame de Clerieu, fille de Guillaume-Jourdain, seigneur de Fay et Mezenc et de Météline de ClerieuModèle:Sfn. Trois enfants dont un fils :
    • Guillaume II (1202 † 1227) ∞ Flotte de Royans, fille de Ra(i)mbaud Bérenger, seigneur de RoyansModèle:Sfn, un fils, Aymar III, qui suit.
  • 1339 — 1345 : [[Louis Ier de Poitiers-Valentinois|Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Poitiers]] (Modèle:Mort en), comte du Valentinois et du DioisModèle:Sfn.
    fils du précédent.
    ∞ en 1321 à Marguerite de Vergy, fille d'Henri de Vergy, seigneur de Fonvens. Deux enfants dont Aymar VI qui suitModèle:Sfn.

== Ducs de Valentinois ({{#switch: au

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}}) == Modèle:Section à sourcer

Première création

Deuxième création

Troisième création

Le Valentinois est donné en 1642 au prince de Monaco Honoré II par le roi Louis XIII en compensation des territoires perdus en Espagne<ref name="La Chesnaye-Desbois, 1776">La Chesnaye-Desbois, 1776.</ref>.

Quatrième création

Le duché de Valentinois est à nouveau érigé en duché-pairie, en 1715, en faveur de [[Jacques Ier de Monaco|Jacques {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Monaco]], et transmis à ses héritiers mâles et légitimes, par lettres patentes de Louis XV<ref name="La Chesnaye-Desbois, 1776"/>.

Titre monégasque

Modèle:Section à sourcer Les princes de Monaco portèrent régulièrement ce titre jusqu'en 1949, date du décès du prince Louis II de Monaco. S'agissant d'un titre de droit français il ne peut logiquement pas se transmettre par les femmes ni par bâtardise et il n'y a plus aujourd'hui d'autorité en France ayant le pouvoir d'en effectuer le report en cas d'extinction des mâles. Cependant, le prince créa ce titre dans la noblesse monégasque et le donna à sa fille légitimée, Charlotte de Monaco et à son époux.

Notes et références

Notes

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Références

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Annexes

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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