Louis Delluc
Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion Modèle:Infobox Biographie2
Louis Delluc est un écrivain, scénariste, éditeur, photographe<ref>Modèle:Lien web</ref>, critique de cinéma et réalisateur français, né le Modèle:Date de naissance à Cadouin en Dordogne et mort le Modèle:Date de décès à Paris.
Le prix Louis-Delluc récompense chaque année le meilleur film français.
Biographie
Années de formation
Installé à Paris depuis 1903, Louis Delluc suit des études classiques au Lycée Charlemagne et écrit un premier recueil de poésies en 1906.
En 1908, il s'inscrit au lycée Henri-IV<ref>Modèle:Lien web</ref> en cours de rhétorique et prépare le concours d'entrée à l'École normale supérieure. Il y rencontre Marcel Jouhandeau et se tourne alors vers le journalisme.
Critique de théâtre
Il écrit des critiques de pièces de théâtres pour la revue Comœdia<ref>Modèle:Lien web</ref> et pour Le Courrier de Paris-Province<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il participe à l'occasion à des concours littéraires<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En 1910, il entre au Comœdia Illustré<ref>Modèle:Lien web</ref> dont il deviendra le secrétaire de rédaction<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il participe régulièrement à la Revue Française politique et littéraire<ref>les numéro 10 à 16, décembre 1909, en ce qui concerne la publication originelle de la série "Les idées au théâtre" (référence pour le seul numéro 13), et d'autres articles dans la même revueModèle:Lien web</ref> dont le format lui permet d'approfondir ses premières réflexions sur le monde du théâtre, ainsi qu'à Le Monde et le Théâtre<ref>Modèle:Lien web</ref> et à Gil Blas<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Ecrivain
Louis Delluc écrit du théâtre en vers, des comédies fantaisistes, des romans, des poèmes et des chansons et il dessine à l'occasion des caricatures. Il s'intéresse de près à la mise en scène et au cinéma.
Il confie à l'occasion l'interprétation de son œuvre à des amis proches comme Georges Pitoëff rencontré à Paris et qui crée depuis Genève, en prévision de tournées françaises à venir, plusieurs œuvres de Delluc. Il est également très proche de l'acteur Edouard de Max<ref>Un faux courrier, publié le 4 septembre 1911 par "Comoedia" dans lequel il écrit, pour dénoncer l'attribution hâtive et peu rigoureuse par les journalistes de ses œuvres aux directeurs des salles qui les mettent en scène, comme Abel Tarride du théâtre de la Renaissance pour Francesca, témoigne de cette proximité entre les deux hommesModèle:Lien web</ref> - dit M. de Max - à qui il confie de nombreux textes et créations et au sujet duquel il écrira plusieurs articles<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il publiera ses confidences, Chez de Max, en 1918.
En 1914, Jean Hervé lui présente l'actrice Ève Francis<ref>Louis Delluc, l'éveilleur du cinéma français par Brigitte et Gilles Delluc</ref> qui va lui faire découvrir le cinéma américain. Il l'épouse le 21 janvier 1918.
Critique de films
En 1917, Louis Delluc intègre la revue Le Film créée par Diamant-Berger en tant que rédacteur en chef<ref>Modèle:Lien web</ref> et publie très régulièrement dans des journaux comme Le Siècle, L'Action ou L'Événement des critiques cinématographiques, ainsi que des analyses dans des revues spécialisées qu'il édite avec son ami Arcady Roumanoff au 10 rue de l'Élysée, comme Le Journal du Ciné-club ou Cinéa. Il continue à écrire des pièces et des romans et rédige plusieurs ouvrages majeurs d'analyse du Cinéma.
Avec son ami d'enfance Léon Moussinac, il est l'un des premiers critiques indépendants et théoriciens du cinéma en France.
Il généralise le principe du ciné-club<ref>Modèle:Lien web</ref> cher à Edmond Benoit-Lévy.
L'intérêt que Louis Delluc porte au Cinéma n'est pas restrictif : s'il s'interroge avant tout sur la transposition au cinéma des contraintes de la mise en scène de théâtre, il n'en apprécie pas moins les innovations techniques - les effets spéciaux, les prises de vues macroscopiques, les images accélérées - ou les aspects documentaires, pédagogiques et naturalistes<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sans forcément les opposer, il compare souvent les productions cinématographiques française et américaine. Il juge le cinéma français léger, récréatif et il souhaite qu'il se façonne une identité propre<ref>Modèle:Lien web</ref> en limitant le texte et la gestuelle à l'essentiel, en cherchant à conserver la maîtrise de la composition de l'image, etc.
Réalisateur
À partir de 1920, Louis Delluc met en pratique ses analyses et écrit et réalise sept films innovants. La presse le qualifie de cinégraphe, parfois d'écraniste, ce à quoi il rétorque "cinéaste"<ref>Modèle:Lien web</ref>. Deux de ses films ont particulièrement marqué l'histoire du cinéma français : Fièvre, réalisé en 1921, et La Femme de nulle part qu'il réalise en 1922.
Il fonde en février 1920 la société de production Parisia-Film dont il devient le directeur artistique, rapidement transformée en société de production Films Louis Delluc, puis en la Société d'Editions Cinématographiques Alhambra-Film créée en juin 1921<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Louis Delluc et Ève Francis se séparent au cours de l'été 1922<ref>"...après les représentations de Natchalo au théâtre des Arts, le couple se sépara.... son dernier livre... porte en dédicace Pour la Même..." Nécrologie officielle non-signée publiée à la suite des nécrologies de Louis Delluc faites par ses collègues et amis "Aux écoutes" 30 mars 1924, page 15</ref>. Très attaché, il continue de lui dédier la majeure partie de son œuvre et compose pour elle son dernier film en 1923, L'Inondation.
Lors du tournage en extérieur, dans la vallée du Rhône et dans des conditions climatiques très mauvaises, il aggrave la tuberculose dont il souffre depuis l'adolescence.
Au début de l'année suivante, de retour d'Hendaye, il est atteint d'une pneumonie et succombe en quelques semaines à une phtisie galopante à seulement trente-trois ans.
Il est inhumé au cimetière parisien de Bagneux (Hauts-de-Seine). Ses amis le décrivent tourmenté à la fin de sa vie<ref>"... il promenait sa tristesse comme le bouleau argenté promène son front sur le ruisseau..."Abel Gance; "...Il était avant tout poête...un amant du silence." Marcel l'Herbier, etc. Nécrologie de Louis Delluc par ses collègues et amis "Aux écoutes" 30 mars 1924, page 15</ref> et Abel Gance lui rend un dernier hommage dans une courte nécrologie A la mémoire de mon ami Louis Delluc<ref>Modèle:Lien web</ref>.
L'Inondation est présenté pour la première fois au public la semaine suivante au cours d'une projection commémorative qui est organisée au Colisée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
[[Fichier:Plaque Louis Delluc rue de Beaune.jpg|vignette|Plaque Modèle:N° rue de Beaune ([[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e arrondissement de Paris]]).]] Au Modèle:N° rue de Beaune ([[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e arrondissement de Paris]]) où il habitait, une plaque a été apposée.
Le travail de Louis Delluc, résolument prospectif et constitué autant d'œuvres cinématographiques que d'écrits théoriques, constitue un corpus cohérent qui propose une vision pragmatique du Cinéma, partagée avec une nouvelle génération de réalisateurs avant-gardistes qui vont incarner le cinéma des années 1920 et où l'on trouve entre autres Abel Gance, Germaine Dulac, Marcel L'Herbier, Jean Epstein ou encore René Clair, sous le nom de la première avant-garde.
Filmographie partielle
Louis Delluc considère que La Femme de nulle part est son premier vrai film<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Co-réalisations
- 1920 : La Fête espagnole de Germaine Dulac<ref>Modèle:Lien web</ref>, adapté du roman Le train sans yeux
Comme réalisateur
- 1920 : Le Silence, premier essai<ref name="D'après sa nécrologie par son ami Léon Moussinac">le Crapouillot du 16 avril 1924, page 17</ref>
- 1920 : Fumée noire, mise en scène de René Coiffard<ref>Sur de nombreuses Affiches promotionnelles, le film est présenté Réalisé par René Coiffard, avec l'aide de l'auteur, mais la presse accorde normalement la totalité du crédit du film à Louis Delluc, ce dont Coiffard s'offusque en revendiquant une paternité sur la mise en scène Modèle:Lien web</ref>
- 1920 : Le Chemin d'Ernoa ou L'Américain, mise en scène de René Coiffard<ref>D'après la BNF - fiche René Coiffard</ref>
- 1921 : Fièvre, censuré à sa sortie en mai sous le nom La Boue<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1921 : Le Tonnerre
- 1922 : La Femme de nulle part
- 1924 : L'Inondation
Comme acteur
Projets
- 1916 : Le Train sans yeux, scénario non-tourné dont Louis Delluc tirera le roman du même nom<ref>LE CINÉASTE LOUIS DELLUC, HOMME DE LETTRES OUBLIÉ(1890-1924) par Gilles Delluc, avec la collaboration de Brigitte Delluc</ref>.
- 1921 : Paris<ref>Modèle:Lien web</ref>, fresque, (non-tourné?)
- 1921 : Série de bandes comiques avec Foottit<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Henri Lepage reprend les propos de Louis Delluc à propos de la nécessité pour le cinéma français de produire de bons films comiquesModèle:Lien web</ref>
- 1924 : Nachalo, d'après la pièce en 3 actes d'André Salmon et René Saunier créée au Théâtre des Arts et 1921<ref>Il est fait état de cette adaptation cinégraphique à de nombreuses reprises et pendant plusieurs mois dans la presseModèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>, qu'il adapte dans le courant de l'année 1923<ref>Modèle:Lien web</ref>, prévue à la suite de L'Inondation par contrat avec Cinegraphic.
- 1924 : Choc en retour, d'après un texte de Pierre Mac Orlan<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1924 : Un Homme à la mer d'après François Duhourcau
- 1924 : Un fou, d'après sa pièce "Histoire d'un fou" ou bien d'après le roman "Un fou" de 1895 de Hélène de Monbart sous son pseudonyme de Hans Von Kahlenberg
Théâtre
- 1911 :Comme la plume au vent, conte rimé, créé le 10 juin au Théâtre sous-bois de Marnes-la-Coquette<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1911 :Aux parisiennes, prologue récité au Théâtre de verdure du pré Catelan<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- 1911 :Francesca, pièce en vers en 3 actes, adaptée de Comme la plume au vent<ref>Modèle:Lien web</ref> et créée le 6 juillet au Théâtre de verdure du pré Catelan<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- 1911 :Lazare le ressuscité, pièce en vers en 1 acte, écrite pour Edouard de Max<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui ne sera mise en scène qu'en 1920<ref>sans citation de l'auteur, une référence à son ami l'acteur De Max qui s'intéresse au projetModèle:Lien web</ref> avec Ève Francis dans le rôle de Lazare<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1911 :Le geste, pièce en 3 actes, réécrite et mise en scène après la mort de Louis Delluc par Maurice Donnay et Henri Duvernois les 26, 27 et 29 septembre 1924 au Théâtre de la Renaissance<ref>Modèle:Lien web</ref>. La pièce est jouée à la radio en juin 1933 au Poste Parisien<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1911 :La débutante
- 1911 :L'homme de peine et la fille de joie, créé en août au Théâtre de la Renaissance par Abel Tarride
- 1913 :La Petite sera Tragédienne, pièce montée au palais du Trocadéro à l'occasion d'un gala de bienfaisance, le 31 mai<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1913 :La Frangine, chanson co-écrite avec Léo Daniderff et créée au Théâtre de la Gaîté-Rochechouart en juin par Gaby Montbreuse<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- 1914 :La Route, poésie dramatique, pièce en 1 acte adaptée du livret de 1910 et créée le 7 mai au théâtre Villiers<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1916 :Tout avance!, monté avec Albert Willemetz au théâtre des variétés sous la direction de René Danancier<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1916 :Edith Cavell, Martyre, pièce en 3 actes, refusée par le Théâtre Antoine par peur de la censure<ref>Modèle:Lien web</ref> et montée à Florence par Lyda Borelli en juin<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- 1917 :La Semelle de ses Souliers, pièce annoncée initialement au Gymnase, puis aux Bouffes-Parisiennes<ref>Modèle:Lien web</ref> .
- 1917 :La princesse qui ne sourit plus, ballet parlé, présenté le 27 juin<ref>Modèle:Lien web</ref> à l'Opéra avec Ève Francis<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1917 :Le Cobzar, pièce en 1 acte créée le 27 juin et jouée lors d'une matinée de bienfaisance au bénéfice de la Roumanie, en compagnie de son ami M. de Max dont c'est la patrie de naissance<ref>Modèle:Lien web</ref>
- 1918 :Pomme se marie,
- 1918 :Le Filon, confié à une complète ré-écriture à André Mouëzy-Éon Par Gustave Quinson<ref>La référence suivante révèle la ré-écriture du texte "Le filon" de l'auteur de "Pomme se marie" par Mouëzy-Eon à la demande de Quinsson...Modèle:Lien web</ref>,<ref>.... et celle-ci confirme l'identité de l'auteur de Pomme se marie comme étant Louis DellucModèle:Lien web</ref> qui en achète les droits
- 1919 :Ma femme danseuse, comédie en 3 actes créée par la troupe du Théâtre Pitoëff à Genève et Lausanne<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- 1919 :Le temps est un songe,
- L'Homme-orchestre,
- Histoire d'un Fou,
- La Vivante,
- Un Mariage à Marseille,
- Trois Enfants dans une Étoile,
- Lapin et Zoiseau,
Publications
- Chansons du jeune temps", poèmes, (œuvre d'adolescence écrite en 1906<ref name="D'après sa nécrologie par son ami Léon Moussinac"/>), Impr. St-Gervais, 1908<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Les idées au Théâtre ou Le théâtre, feuillets, 1909 et 1910<ref>La Revue Française politique et littéraire, numéro 10 à 16, décembre 1909, référence donnée pour le seul numéro 13Modèle:Lien web</ref>
- La route, livret, poème dramatique en prose, 1910<ref>Modèle:Lien web</ref>
- L'Armoire aux Masques, galerie de portraits d'artistes<ref>Modèle:Lien web</ref>
- (Poèmes publiés) La Ronde d'Eté (1912), Rustique (1912), Montmartre<ref>Modèle:Lien web</ref> (1913), Le Miroir<ref>Modèle:Lien web</ref> (1914)
- Chanson de route d'un qui n'est pas parti, criée, à la suite de sa réforme de l'armée, par M. De Max lors d'une matinée à la Croix-Rouge, ainsi que par Mounet-Sully
- Monsieur de Berlin, roman, Fasquelle, 1916
- La guerre est morte, roman écrit en 1915<ref>Modèle:Lien web</ref>, L'édition, 1917 - rééd. 1952
- Les Alexandrins fastueux, 1918<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Chez de Max, L'édition, 1918
- Le Train sans yeux, roman, G. Crès, 1919
- Cinéma et Cie (Écrits cinématographiques II), B. Grasset, 1919
- Drames de cinéma (Écrits cinématographiques III)<ref name="+1">D'après sa nécrologie par son ami Léon Moussinac, le Crapouillot du 16 avril 1924, page 17</ref>
- La Danse du scalp, roman, B. Grasset, 1919, paru en feuilleton dans l'Humanité, septembre
- Les Douze Chevaux du Cirque Page, nouvelle, Comoedia Illustré, 5 décembre 1919
- Photogénie, de Brunoff, 1920
- Charlot, de Brunoff, 1921, consacré à Charles Chaplin
- Les Cinéastes<ref name="+1" />
- La Jungle du cinéma, La Sirène, 1921
- Les Secrets du confessionnal, roman, Éditions du monde moderne, septembre 1922, sorti initialement en février 1922 sous le titre Pia Solar
- L'Homme des bars, La pensée française, 1923
- Le Dernier Sourire de tête brûlée, Éditions du monde moderne, 1928
- Le Roman de la manucure, Éditions des Portiques, 1931
- Écrits cinématographiques, Cinémathèque française, vol. I à III, 1985-1990 (vol. I: compilation d'articles et de chroniques, vol. II: texte original de Cinéma et Cie, vol. III: texte original de Drames de cinéma)
- La Vie et les Aventures de Douglas Fairbanks (inachevé), roman co-écrit avec Robert Florey<ref>Modèle:Lien web</ref>, 1923
Edition Delluc-Roumanoff
- Cinéa 1921
- Le journal du Ciné-club
Postérité
- Le prix Louis-Delluc est une récompense cinématographique française qui est décernée depuis 1936 et nommée en hommage à l'écrivain et réalisateur .
- En 1999 a été créé un prix Louis-Delluc du premier film.
- Créé en 1998 sur sa commune d'origine, le cinéma municipal du Buisson de Cadouin est nommé le Louis Delluc en son hommage. Il a une des meilleures fréquentations des cinémas Art et Essai en milieu rural français.
- Son neveu, le préhistorien Gilles Delluc, lui a consacré une biographie : Louis Delluc, l'éveilleur du cinéma français, parue en 2003.
- Le coffret des films de Louis Delluc, restaurés, a enfin été publié en Modèle:Date- par les Documents cinématographique, Paris. Il contient 3 DVD présentant les 4 films conservés (Fièvre, la Femme de nulle part, le Chemin d'Ernoa, l'Inondation) et un bonus copieux et passionnant.
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
- Ève Francis, Temps héroïques : théâtre, cinéma, préface de Paul Claudel, Paris, Denoël, 1949.
- Marcel Tariol, Louis Delluc, collection Cinéma d'aujourd'hui Modèle:N°, Éditions Seghers, 1965.
- Jean Mitry, Louis Delluc, Anthologie du cinéma, 1971.
- Gilles Delluc, Louis Delluc (1890-1924), l’éveilleur du cinéma français au temps des années folles, Pilote 24 et Les Indépendants du premier siècle, Périgueux, Paris, 2003 Modèle:ISBN
- Pierre Lherminier, Léon Moussinac, Louis Delluc et le cinéma français, collection Ramsay Poche cinéma, Ramsay, 2008 Modèle:ISBN
Voir aussi
Liens externes
- Louis Delluc sur Cinémathèque.fr
- Modèle:Bases