Marie-Thérèse d'Autriche (1717-1780)

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Politicien Marie-Thérèse Walburge Amélie Christine de Habsbourg (en allemand : Maria Theresia Walburga Amalia Christina von Habsburg), née le Modèle:Date de naissance à Vienne et morte dans la même ville le Modèle:Date de décès, archiduchesse d'Autriche, fille aînée de l'empereur Modèle:Souverain2 mort sans descendance masculine, succède en 1740 à son père à la tête des possessions héréditaires de la maison des Habsbourg d'Autriche<ref group=Note>L'archiduché d'Autriche et autres principautés autrichiennes, le royaume de Hongrie, le royaume de Croatie, le royaume de Bohême, Mantoue, Milan, Parme, le royaume de Galicie et Lodomérie, les Pays-Bas autrichiens (duchés de Brabant, Limbourg, Luxembourg ; comtés de Flandre, Hainaut, Namur).</ref>, notamment le royaume de Hongrie, le royaume de Bohême et le royaume de Croatie, dont elle recevra les couronnes.

Bien que Modèle:Souverain- ait pris soin de très longue date d'assurer sa succession, grâce à la Pragmatique Sanction de 1713 et à des traités avec les autres États d'Allemagne (Prusse, Bavière, etc.) et d'Europe, l'accession au pouvoir d'une princesse de Modèle:Nobr est l'occasion d'un long conflit, lancé par Modèle:Souverain2 dès la fin de 1740, la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748), à laquelle prennent aussi part, parmi les ennemis de Marie-Thérèse, la Bavière, la France et l'Espagne. Au terme de cette guerre, conclue par le traité d'Aix-la-Chapelle, Marie-Thérèse a perdu la Silésie, province qu'elle chérissait, cédée à la Prusse, mais son époux a été élu empereur et son pouvoir est solidement établi.

Mariée depuis 1736 à [[François Ier (empereur du Saint-Empire)|Modèle:Souverain- Étienne]], duc de Lorraine et de Bar (jusqu'en 1737), puis grand-duc de Toscane, Marie-Thérèse ne peut être élue empereur, dignité réservée à un homme : compte tenu de la situation internationale, ce n'est qu'en 1745 que François de Lorraine est élu empereur, succédant à Modèle:Souverain2, électeur de Bavière, élu en Modèle:Date. Marie-Thérèse est donc couramment appelée l'« impératrice » Marie-Thérèse, formellement seulement en tant qu'épouse de l'empereur<ref group=Note >François de Lorraine n'aurait évidemment pas été élu s'il n'avait pas été l'époux de Marie-Thérèse.</ref>. Elle est cependant considérée par ses contemporains, qui la surnomment « la Grande », comme détentrice de facto de la dignité impériale, jusqu'à la mort de son mari en 1765, puis aux côtés de son fils Modèle:Souverain2. Seule femme à avoir été souveraine des possessions des Habsbourg, elle est restée, dans la mémoire collective, comme l'un des plus grands monarques de son siècle, comme Catherine de Russie.

Elle a eu seize enfants, dont onze filles, parmi lesquels Modèle:Souverain2, l'empereur du Saint-Empire, Modèle:Souverain2 (1747-1792) et la reine de France Marie-Antoinette (1755-1793).

Elle est avec son époux la fondatrice de la Maison de Habsbourg-Lorraine dont les descendants ont régné sur l'Autriche, la Hongrie, la Bohême, la Toscane et Modène, et même sur le Mexique.

Biographie

Famille

Fichier:Andreas Moeller - Erzherzogin Maria Theresia - Kunsthistorisches Museum.jpg
Marie-Thérèse enfant en 1727.

Dernière descendante de la Maison de Habsbourg, l'archiduchesse est la fille aînée de l'empereur Modèle:Souverain2 et de l'impératrice, née Élisabeth-Christine de Brunswick-Wolfenbüttel. Un seul de ses frères et sœurs a survécu au-delà de l'enfance : Marie-Anne (1718-1744) dont elle est restée très proche, mais qui mourra prématurément. L'archiduchesse est aussi proche de sa tante l'archiduchesse Marie-Madeleine. Issue d'une Maison marquée par la consanguinité, elle a hérité de sa mère la beauté et la force de caractère.

Elle épouse, le Modèle:Date-, François-Étienne de Lorraine, duc de Lorraine puis grand-duc de Toscane ; de cette union naissent seize enfants, dont la future reine de France Marie-Antoinette. Elle a aussi marié sa sœur cadette Marie-Anne au frère cadet de François, Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780), gouverneur général des Pays-Bas autrichiens.

Héritière des États des Habsbourg

Fichier:Rosalba Carriera - Maria Theresa, Archduchess of Habsburg (1717-1780) - Google Art Project.jpg
L'Archiduchesse Marie-Thérèse
par Rosalba Carriera, vers 1730.
Gemäldegalerie Alte Meister (Dresde).

Afin d'affirmer l'indivisibilité des domaines des Habsbourg, son père, sans enfant mâle, rendit le Modèle:Date- la Pragmatique Sanction. Cette disposition de succession au trône réserve celui-ci à l’aîné vivant des enfants du souverain, quel qu'en soit le sexe. De fait, Modèle:Souverain2 désigne donc Marie-Thérèse pour lui succéder, au détriment de sa nièce, la fille de Modèle:Souverain-, son frère aîné décédé.

Cet acte, reconnu par les diètes des États des Habsbourg, sera finalement garanti, non sans difficultés, par les grandes puissances européennes.

Le Modèle:Date-, Marie-Thérèse épouse son fiancé, François-Étienne de Lorraine. Ce dernier, aux traités de Vienne (Modèle:Date- et Modèle:Date-) mettant fin à la guerre de Succession de Pologne, reçoit le grand-duché de Toscane en échange de ses duchés héréditaires de Bar et de Lorraine qu'il abandonne à titre viager à Stanislas Leszczynski, roi déchu de Pologne, mais beau-père de Modèle:Louis XV lesquels duchés, à la mort de l'ex-roi de Pologne, seront annexés par la France.

À la mort de Modèle:Souverain- le Modèle:Date-, et malgré ladite Pragmatique Sanction, Marie-Thérèse éprouve des difficultés à faire reconnaître ses droits aux trônes de son père, droits immédiatement contestés par la Bavière, l'Espagne, la France, le Piémont-Sardaigne, la Prusse et la Saxe. Sans ultimatum, Modèle:Souverain2 attaque la Silésie, riche territoire appartenant à la Maison de Habsbourg, avec pour conséquence le déclenchement de la guerre de Succession d'Autriche<ref group=Note>Pour le paragraphe : Piet Lenders, Vienne et Bruxelles : une tutelle qui n’exclut pas une large autonomie, Modèle:P., dans Hervé Hasquin et alii, La Belgique autrichienne, 1713-1794 : Les Pays-Bas méridionaux sous les Habsbourg d’Autriche, Bruxelles, Crédit Communal, 1987 ; Léopold Genicot, Histoire de la Wallonie, Toulouse, Privat (Univers de la France et des pays francophones. Série : Histoire des provinces), Modèle:P..</ref>.

Une succession très disputée

Fichier:Marie-Thérèse d'Autriche Wien Museum.jpg
Marie-Thérèse, roi<ref group=Note name="roi">Les lois du royaume hongrois ne reconnaissent pas le titre de reine.</ref> de Hongrie et de Bohême.

À la mort de l'empereur son père, Marie-Thérèse est une jolie jeune femme de Modèle:Unité, vive, spontanée, très amoureuse de son mari et ayant donné le jour à trois filles dont deux sont mortes en bas âge, dont la petite princesse Marie-Caroline emportée par la variole.

Depuis trois générations, la difficulté à engendrer l’héritier mâle destiné à raffermir le trône de la dynastie est cruellement ressentie par la famille impériale et par ses sujets. Alors enceinte de quatre mois, la grande-duchesse de Toscane espère donner enfin le jour à ce fils tant attendu.

Peu préparée à ses fonctions, la jeune souveraine se trouve confrontée à un « empire » sortant d'une guerre désastreuse contre l'Empire ottoman, une armée désorganisée, des caisses vides et une administration archaïque aux rouages grippés.

Elle est, de plus, assaillie de tous les côtés et par ceux-là mêmes qui s'étaient engagés à la soutenir, ses voisins et parents, notamment le roi Modèle:Souverain3, nouveau roi en Prusse. Elle doit mener sans soutien ni argent la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748) contre la Prusse, la Bavière, la Saxe, la France de Modèle:Louis XV, le Piémont-Sardaigne et l'Espagne. Son cousin par alliance Charles Albert, électeur de Bavière, protégé par la France ennemie, est élu empereur (Modèle:Souverain-) contrairement à la volonté de Modèle:Souverain-.

À ces trahisons répond une première victoire « biologique » : en Modèle:Date- naît l'héritier mâle tant attendu. Sur les conseils de sa mère, elle le nomme en geste d'action de grâce, Joseph, comme le père nourricier du Christ.

Sur le plan politique, elle réussit à s'allier à l'Angleterre des Hanovre et à rallier à elle la noblesse hongroise. Cette guerre occasionne pourtant la perte de la Silésie, riche région minière qu'elle doit céder à la Prusse, et d'une petite partie du Milanais qu'elle cède au roi de Sardaigne son beau-frère, Modèle:Souverain3.

Le reste des possessions héréditaires des Habsbourg est cependant sauvegardé : Marie-Thérèse, conformément au vœu de son père, est alors à la tête de l'archiduché d'Autriche (Modèle:Date--Modèle:Date-), « roi » de Hongrie<ref group=Note name="roi"/> (couronnée le Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>) et reine de Bohême (1743-1780).

Le trône des Habsbourg et la politique impériale

Fichier:Thaler à la madone et à l'effigie de Marie Thérèse d'Autriche, 1742.jpg
Thaler à la madone et à l'effigie de Marie-Thérèse d'Autriche (1742).

En 1745, après la mort de Modèle:Souverain-, Marie-Thérèse fait élire son époux François-Étienne de Lorraine sur le trône impérial. Elle-même devient alors « impératrice consort des Romains ».

Fichier:MariaTheresia Maske.jpg
Marie-Thérèse au masque : l'impératrice aimait aussi les fêtes et les bals.

Nonobstant le fait que la dignité impériale ne pouvait être conférée qu'à un homme, la personnalité de Marie-Thérèse, faite de courage, de grandeur d'âme, de droiture et de pugnacitéModèle:Référence souhaitée, s'impose dans la politique de l'Empire, bien plus que la sage mesure qu'observe l'empereur François. Elle est pour toutes les cours, les chancelleries et pour le public, simplement « l'impératrice », qui exerce la réalité du pouvoir.

Ses contemporains la nomment assez rapidement, dès la seconde partie de son règne, « Marie-Thérèse la Grande »<ref group=Note>Modèle:Cf. le discours d'accueil du cardinal de Rohan à Marie-Antoinette d'Autriche à Strasbourg en 1770, la lettre du comte de Mercy apprenant l'exécution de la reine en 1793…</ref>.

Avec l'accession de François et Marie-Thérèse au trône, la dignité impériale revient dans la maison de Habsbourg (devenue maison de Lorraine d'Autriche ou Lorraine-Habsbourg mais connue depuis comme celle de Habsbourg-Lorraine) : la maison d'Autriche préserve ainsi sa puissance et son importance dans le concert des grandes nations européennes.

Peu formée à sa fonction, elle sait s'entourer d'hommes compétents et dévoués auxquels elle accorde une véritable confiance, tout en sachant aussi imposer son autorité. Parmi eux, le comte Emmanuel de Silva-Tarouca qui a assisté à sa naissance et à qui elle demande de lui parler sans détour et d'oser la critiquer avec franchise.

La nouvelle politique d'alliance mise en œuvre par son chancelier d'État, le comte de Kaunitz, ayant pour but de combattre la Prusse, a pour conséquence un rapprochement avec la France et le soutien de la Russie et de la Suède. Alliée à la France depuis 1756, Marie-Thérèse reprend la guerre contre Modèle:Souverain3 afin de récupérer la Silésie ; mais à l'issue de cette guerre de Sept Ans (1756-1763), cette tentative échoue lamentablement. Elle empêche toutefois son ennemi de prendre la Saxe, et réussit à obtenir son vote pour l'élection de son fils Joseph comme empereur. Elle privilégiera désormais des solutions plus pacifiques.

C'est au cours de cette guerre qu'elle crée un nouvel ordre de chevalerie, qui porte son nom et qui restera jusqu'en 1918 la plus haute décoration militaire autrichienne.

Elle renforce les liens avec ses sujets hongrois en leur manifestant une confiance particulière. Un corps d'élite de hussards hongrois est ainsi chargé d'assurer sa garde personnelle, tradition qui perdurera jusqu'en 1918 ; de plus, elle confie au maréchal comte Batthyány l'éducation du futur Modèle:Souverain-<ref name="Tarot">David Tarot, « L'impératrice Marie-Thérèse », La Nouvelle Revue d'histoire, no 64, Modèle:Date-, Modèle:P.46-48.</ref>.

À la mort de son époux en 1765, Marie-Thérèse, toute à sa douleur, songea à abdiquer mais, effrayée par le tempérament impulsif, autoritaire et vindicatif de son fils et successeur Modèle:Souverain2, elle préféra conserver le pouvoir et seulement l'associer au gouvernement des « États héréditaires ».

Durant son règne, elle entreprit diverses réformes centralisatrices, notamment grâce à l'aide de son chancelier Kaunitz. Elle fut aussi une adepte du mercantilisme.

L'impératrice se laisse entraîner malgré elle Modèle:Incise dans le premier des partages de la Pologne. Modèle:Citation dit plus tard le cynique Modèle:Souverain3, qui n'est pas aussi scrupuleux que la catholique souveraine autrichienne. En 1772, lui sont attribuées la Petite-Pologne et la Galicie.

Elle a aussi financé en 1777 la construction d'une école dans le centre de la ville de Herve en Belgique. Cet établissement, le collège royal Marie-Thérèse, est l'une des plus vieilles écoles de Belgique. Toujours en Belgique, en 1772, elle donne à une société littéraire le titre d'Académie impériale et royale des sciences et belles-lettres de Bruxelles, en lui assignant pour mission d'animer la vie intellectuelle du pays et de stimuler les recherches scientifiques. C'est l'origine de l'actuelle Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, parfois dénommée « la Thérésienne ».

Religions

Bien que fervente catholique Modèle:Incise qui impose sa religion comme la seule officielle et avec une grande intolérance<ref name=":1">Modèle:Article.</ref>, elle cherche à renforcer le contrôle de l'État sur l'Église et signe, en 1773, l'expulsion de la Compagnie de Jésus<ref name="Tarot" />.

À l'égard des autres religions, elle déclare : Modèle:Citation bloc D'ailleurs, elle expulse les quelque Modèle:Nombre en 1744, la plus grande communauté ashkénaze d'Europe, qu'elle rappelle rapidement après la catastrophe économique que cela déclenche afin de continuer à bénéficier du savoir-faire de ses exportateurs et négociants juifs en verre et en toile de Bohême<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref> Quant aux protestants, ils sont déplacés entre 1752 et 1757 : plus de Modèle:Nombre familles protestantes de Carinthie en Autriche vers la Transylvanie multiconfessionnelle, région actuellement en Roumanie<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Mariage et descendance

Fichier:Enfants de Marie-Thérèse d'Autriche.jpg
Les enfants impériaux, Joseph et six de ses frères et sœurs, à la sortie de la guerre de succession.

Marie-Thérèse est une épouse profondément amoureuse de son mari, qui le lui rend bien (on l'a dite parfois envahissante). À la différence des princes de leur temps, ils partageront la même chambre et le même lit pendant les Modèle:Nobr que durera leur union. Marie-Thérèse est une épouse ardente qui disgraciera un courtisan coupable d'avoir conseillé à l'empereur de faire chambre-à-part. Elle met au monde seize enfants dont cinq fils et onze filles (parmi lesquels dix parvinrent à l'âge adulte). Comme tout membre de la Maison des Habsbourg puis de Habsbourg-Lorraine, Marie-Thérèse, son mari et leur descendance sont destinés à être inhumés dans une crypte dédiée à Marie-Thérèse, au sein de la crypte des Capucins à Vienne.

Fichier:Marie-Thérèse d'Autriche (1717-1780), atelier d'Anton von Maron.jpg
Marie-Thérèse en deuil, vers 1772.

Elle a aussi 60 petits-enfants et 121 arrière-petits-enfants.

Postérité

Les membres de l'actuelle maison de Habsbourg-Lorraine, dite maison d'Autriche, descendent tous de Marie-Thérèse et de son mari François<ref>Nicolas Enache, La Descendance de Marie-Thérèse de Habsbourg, reine de Hongrie et de Bohême, 1996, L’Intermédiaire des chercheurs et curieux, Modèle:Nobr Modèle:ISBN.</ref> et par ceux-ci de leurs enfants : Modèle:Léopold II, Ferdinand duc de Modène, Marie-Amélie duchesse de Parme, et Marie-Caroline, reine de Naples et de Sicile. Par leurs mariages, les descendants actuels des maisons souveraines d'Espagne, de France, du Luxembourg, de Belgique, du Liechtenstein, des Deux-Siciles, de Parme, de Savoie, de Saxe et de Bragance, ont tous Marie-Thérèse dans leurs ancêtres directs. Il en est de même pour la maison ducale de Hohenberg et les comtes de Méran<ref>L'archiduc Jean-Baptiste d'Autriche.</ref>, branches morganatiques des Habsbourg-Lorraine. Les descendants de Marie-Thérèse se retrouvent également parmi les membres de plusieurs grandes familles de l'aristocratie européenne.

Thaler de Marie-Thérèse

Fichier:MTThaler.png
Thaler de Marie-Thérèse (1858).

En 1741, Marie-Thérèse fait émettre une pièce de monnaie de un thaler à son effigie. Cette pièce de monnaie, communément appelé Thaler de Marie-Thérèse, connaîtra un grand succès et sera utilisée avec le même millésime (1780) sur tous les continents jusqu'en 1960.

Honneurs

Titulature complète

Héritière des Habsbourg, Marie-Thérèse porte de nombreux titres, matérialisant ses multiples possessions. Après le décès de son mari Modèle:Souverain-, le Modèle:Date- son « grand titre » était le suivant : Marie-Thérèse, par la Grâce de Dieu Modèle:Colonnes

Ascendance

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Dans les arts et la culture

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Sa statue, sur la place Maria-Theresia (Maria-Theresien-Platz) à Vienne.

Musique

La [[Symphonie nº 48 de Joseph Haydn|Symphonie Modèle:N°]] de Joseph Haydn, en do majeur Hob.48, composée en 1768/1769, est surnommée Marie-Thérèse en l'honneur de l'impératrice.

Cinéma et télévision

Marie-Thérèse d'Autriche a été interprétée à l'écran par :

Documentaire

Le documentaire-fiction de l'émission Secrets d'histoire sur France 2, intitulé Marie-Thérèse, l'envahissante impératrice d'Autriche, lui était consacrée<ref>Modèle:Lien web</ref>

Jeux vidéo

Dans Civilization II, Marie-Thérèse peut être choisie comme dirigeante de la civilisation allemande. Dans un opus suivant, Civilization V, elle est l'unique dirigeante de la civilisation autrichienne.

Notes et références

Notes

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Références

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Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

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Liens externes

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