Maronne

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Géographie

Fichier:Salers pano vallee maronne.jpg

La vallée de la Maronne vue depuis Salers.

La Maronne prend sa source vers Modèle:Unité en Auvergne-Rhône-Alpes, dans le Massif cantalien et le département du Cantal, sur la commune de Saint-Paul-de-Salers, sur les pentes septentrionales du Roc des Ombres.

Elle chute d'une hauteur de Modèle:Unité à la cascade du Roc des Bancs<ref>La cascade du Roc des Bancs, Cascades du Cantal, consulté le 15 juin 2020.</ref>, passe à deux reprises sous la route départementale Modèle:Nobr, longeant le petit bourg de Saint-Paul-de-Salers par le nord, puis passe en contrebas du village de Salers. Sur sa gauche, elle reçoit le ruisseau du Rat, est franchie par la Modèle:Nobr au pont de Saingoux, et reçoit encore à gauche l'Aspre. Au village de Salles, elle passe sous la Modèle:Nobr, puis traverse le bourg de Saint-Martin-Valmeroux, franchie par la Modèle:Nobr.

Elle passe sous la Modèle:Nobr, puis au sud des bourgs de Sainte-Eulalie et de Loupiac, sous la Modèle:Nobr au pont de Chabus, sous la Modèle:Nobr au sud-ouest de Saint-Christophe-les-Gorges et alimente la retenue d'Enchanet longue d'une quinzaine de kilomètres. La Maronne est franchie par une ancienne ligne ferroviaire au viaduc de la Maronne et reçoit presque aussitôt sur la gauche son principal affluent, l'Etze. Au barrage d'Enchanet, la Modèle:Nobr franchit la Maronne. Le ruisseau d'Incon la rejoint sur sa droite. Elle alimente ensuite la retenue du Gour Noir, passe sous la Modèle:Nobr au pont des Estourocs, marque pour dix kilomètres à partir de cet endroit la limite départementale et régionale entre Cantal (région Auvergne-Rhône-Alpes) et Corrèze (région Nouvelle-Aquitaine), reçoit le Riou Tort à droite et est arrêtée par le barrage du Gour Noir. Elle est ensuite franchie par le pont interdépartemental des Modèle:Nobr (Cantal) et 111E2 (Corrèze), est grossie successivement en rive gauche par le ruisseau du Cayrou puis par le ruisseau de la Bedaine, confluent à partir duquel la Maronne cesse de servir de limite départementale et régionale, entrant définitivement en Corrèze.

Elle passe sous la Modèle:Nobr, contourne les tours de Merle par un méandre, reçoit à droite le Gourdaloup et alimente la retenue du barrage de Hautefage Modèle:Incise dans laquelle débouche en rive droite la Glane de Malesse. Après le barrage de Hautefage, la Maronne reçoit en rive gauche le ruisseau de la Pagésie, est franchie par la Modèle:Nobr à la Broquerie, reçoit encore sur sa gauche le ruisseau du Peyret et entre sur la commune d'Argentat-sur-Dordogne, passant sous la Modèle:Nobr au pont de Basteyroux, puis sous la Modèle:Nobr.

Elle se jette dans la Dordogne en rive gauche, à Modèle:Unité, deux kilomètres et demi au sud-sud-ouest du centre-ville d'Argentat, en limite des communes d'Argentat-sur-Dordogne et de Monceaux-sur-Dordogne.

Toute la partie amont de la Maronne jusqu'à la commune de Saint-Martin-Valmeroux incluse, se situe à l'intérieur du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. Au-delà, depuis Sainte-Eulalie jusqu'à Argentat, la Maronne s'écoule dans des gorges hautes de cent à deux cents mètres. Hormis trois kilomètres au niveau des tours de Merle, le cours de la Maronne sert de limite aux communes qu'elle borde, depuis Besse et Pleaux jusuqu'à La Chapelle-Saint-Géraud et Hautefage.

De direction générale est-ouest, la Maronne est longue de Modèle:Unité<ref name=sandre>Modèle:Sandre.</ref>.

Communes, arrondissements et départements traversés

La Maronne arrose Modèle:Nombre<ref name=sandre/>, réparties sur deux départements. D'amont vers l'aval se succèdent :

• dix communes dans le Cantal (arrondissements d'Aurillac et de Mauriac) : Saint-Paul-de-Salers (source), Fontanges, Saint-Martin-Valmeroux, Sainte-Eulalie, Besse, Pleaux, Saint-Martin-Cantalès, Arnac, Cros-de-Montvert et Rouffiac ;
• et onze en Corrèze, dans l'arrondissement de Tulle : Saint-Julien-aux-Bois, Saint-Cirgues-la-Loutre, Saint-Geniez-ô-Merle, Goulles, Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle, Sexcles, Hautefage, Mercœur, La Chapelle-Saint-Géraud, Argentat-sur-Dordogne (confluence avec la Dordogne) et Monceaux-sur-Dordogne (confluence).

Affluents et nombre de Strahler

Parmi les Modèle:Unité répertoriés par le Sandre<ref name=sandre/>, les dix plus longs sont, d'amont vers l'aval :

• le ruisseau du Rat, avec Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> en rive gauche ;
• l'Aspre, avec Modèle:Unité<ref name=Aspre>Modèle:Sandre.</ref> en rive gauche ;
• l'Etze, ou ruisseau de Conne et ruisseau de Sévinières dans sa partie amont, Modèle:Unité<ref name=Etze>Modèle:Sandre.</ref> en rive gauche ;
• le ruisseau d'Incon (ou l'Incon<ref name=Michelin>Atlas routier France 2012, Michelin, Modèle:P..</ref>, ou ruisseau d'Encon, ou ruisseau de Lagarde dans sa partie amont), Modèle:Unité<ref name=Incon>Modèle:Sandre.</ref> en rive droite ;
• le Riou Tort (ou Rioux Tort<ref name=Michelin/>, ou ruisseau d'Albois dans sa partie amont), qui se jette dans la retenue du barrage du Gour Noir, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> en rive droite ;
• le ruisseau du Cayrou, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> en rive gauche ;
• le ruisseau de la Bedaine (ou Bedaine<ref name=Michelin/>, ou ruisseau de Vialore dans sa partie amont), qui sert de limite entre Cantal et Corrèze et passe au pied des ruines des tours de Carbonnières, Modèle:Unité<ref name=Bedaine>Modèle:Sandre.</ref> en rive gauche ;
• le Gourdaloup, qui borde le bourg de Saint-Cirgues-la-Loutre Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> en rive droite ;
• la Glane de Malesse (ou Glane<ref name=Michelin/>, ou dans sa partie amont Glane d'Ancèze, ou Glane Dancèze), Modèle:Unité<ref name=Glane>Modèle:Sandre.</ref> en rive droite ;
• le ruisseau de la Pagésie (ou ruisseau d'Artigues dans sa partie amont), avec Modèle:Unité<ref name=Pagésie>Modèle:Sandre.</ref> en rive gauche.

Principal affluent de la Maronne par l'étendue de son bassin versant, l'Etze a trois sous-affluents qui ont eux-mêmes des sous-affluents (un pour le ruisseau Négro<ref>Modèle:Sandre.</ref>, deux pour le ruisseau d'Ugeols<ref>Modèle:Sandre.</ref><ref>Modèle:Sandre.</ref> et quatre pour la Doire<ref>Modèle:Sandre.</ref><ref>Modèle:Sandre.</ref><ref>Modèle:Sandre.</ref><ref>Modèle:Sandre.</ref>).

De ce fait, le nombre de Strahler de la Maronne est de six.

Bassin versant

Le bassin versant de la Maronne s'étend sur Modèle:Unité<ref name=bassin>Modèle:Pdf La Maronne – Directive Cadre sur l'eau, DREAL Nouvelle-Aquitaine, consultée le 15 juin 2020.</ref>.

Outre les Modèle:Nombre irriguées par la Maronne, le bassin en concerne également Modèle:Nombre :

• Le Fau et Saint-Projet-de-Salers arrosées par l'Aspre<ref name=Aspre/> ;
• Nieudan, Saint-Illide, Saint-Santin-Cantalès et Saint-Victor baignées par l'Etze<ref name=Etze/> ;
• Ayrens, Freix-Anglards et Jussac arrosées par le ruisseau de Braulle<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de l'Etze ;
• Crandelles, Saint-Paul-des-Landes et Teissières-de-Cornet arrosées par le ruisseau du Meyrou<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de l'Etze ;
• Saint-Chamant et Saint-Cirgues-de-Malbert arrosées par la Bertrande<ref>Modèle:Sandre.</ref>, principal affluent de l'Etze ;
• Girgols, Lascelle, Saint-Cernin et Tournemire arrosées par la Doire<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de la Bertrande ;
• Ally et Barriac-les-Bosquets baignées par le ruisseau d'Incon<ref name=Incon/> ;
• Chaussenac arrosée par le ruisseau d'Escladines<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent du ruisseau d'Incon ;
• Auriac et Rilhac-Xaintrie arrosées par le ruisseau de Polprat<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent du Riou Tort ;
• Montvert arrosée par le ruisseau de la Bedaine<ref name=Bedaine/> ;
• Saint-Privat baignée par la Glane d'Ancèze<ref name=Glane/> ;
• Saint-Julien-le-Pèlerin arrosée par le ruisseau de la Pagésie<ref name=Pagésie/> ;
• Camps-Saint-Mathurin-Léobazel arrosée par le ruisseau du Peyret<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de la Maronne.

Hydrologie

Le débit de la Maronne a fait l'objet de mesures en quatre lieux différents : à Sainte-Eulalie depuis 1934<ref>Modèle:Hydro.</ref>, à Enchanet (Pleaux) entre 1961 et 2014<ref>Modèle:Hydro.</ref>, à Cros-de-Montvert entre 1939 et 1945<ref>Modèle:Hydro.</ref>, et à Argentat depuis 1918<ref name=hydro>Modèle:Hydro.</ref>.

La Maronne à Argentat

Le débit de la Maronne a été observé sur une période de Modèle:Nombre (1918-2020), à la station hydrologique du pont de Basteyroux à Argentat, située environ trois kilomètres et demi en amont de son confluent avec la Dordogne<ref name=hydro/>. Le bassin versant de la rivière y est de Modèle:Unité.

Sur cette période, le module de la rivière à Argentat est de Modèle:Unité<ref name=hydro/>.

La Maronne présente les fluctuations saisonnières de débit assez importantes et typiques des rivières de régime nivo-pluvial du Massif central, avec des crues d'hiver-printemps portant le débit mensuel moyen entre 19,6 et Modèle:Unité, de novembre à mai inclus (avec un maximum en février), et des basses eaux d'été de juillet à septembre, avec une baisse du débit moyen mensuel jusqu'au niveau de Modèle:Unité au mois d'août. Cependant ces chiffres ne sont que des moyennes et les fluctuations de débit peuvent être plus importantes selon les années et sur des périodes plus courtes.

Étiage ou basses eaux

À l'étiage le VCN3 peut chuter jusque Modèle:Unité, en cas de période quinquennale sèche, soit Modèle:Unité par seconde, ce qui représente 1,4 % du module.

Crues

Les crues peuvent s'avérer fort importantes. Les Modèle:Nobr et Modèle:Nobr valent respectivement 140 et Modèle:Unité. Le Modèle:Nobr est de Modèle:Unité et le Modèle:Nobr de Modèle:Unité. Quant au Modèle:Nobr, il est de Modèle:Unité.

À titre de comparaison, le Modèle:Nobr de la Marne à proximité de Paris vaut Modèle:Unité<ref>Modèle:Hydro.</ref>. On voit ainsi que le Modèle:Nobr de la « petite rivière longue de Modèle:Unité et dotée d'un petit bassin » qu'est la Maronne, vaut plus de la moitié de celui de la Marne à proximité de Paris, rivière cinq fois plus longue que la Maronne et dont le bassin versant est quinze fois plus étendu.

Durant la période 1918-2020, le débit journalier maximal enregistré à la station d'Argentat a été de Modèle:Unité le Modèle:Date-. Il s'agissait donc d'une crue plus que cinquantennale, peut-être d'ordre centennal, voire plus ; depuis lors, la plus haute valeur du débit instantané maximal enregistré a été de Modèle:Unité le Modèle:Date-<ref name=hydro/>.

Lame d'eau et débit spécifique

La lame d'eau écoulée dans le bassin de la Maronne est de Modèle:Unité annuellement, ce qui est très élevé, largement supérieur, tant à la moyenne d'ensemble de la France, qu'à celle du bassin versant de la Dordogne (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Hydro.</ref>. Le débit spécifique (ou Qsp) se monte à Modèle:Unité par seconde et par kilomètre carré de bassin<ref name=hydro/>.

Organisme gestionnaire

La Maronne dépend de l'Établissement public territorial du bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref name="eptb">Modèle:Lien Web</ref>.

Hydroélectricité

Trois barrages hydroélectriques ont été aménagés sur le cours de la Maronne : le barrage d'Enchanet<ref>Barrage d'Enchanet sur le site Structurae, consulté le 15 juin 2020.</ref>, établi entre Arnac et Pleaux, celui du Gour Noir<ref>Barrage du Gour Noir sur le site Structurae, consulté le 15 juin 2020.</ref>, entre Saint-Julien-aux-Bois et Cros-de-Montvert, et le barrage de Hautefage<ref>Barrage de Hautefage sur le site Structurae, consulté le 15 juin 2020.</ref>, entre Hautefage et Sexcles.

• La retenue du barrage d'Enchanet.
  La retenue du barrage d'Enchanet.
• Le barrage d'Enchanet.
  Le barrage d'Enchanet.
• Le barrage de Hautefage.
  Le barrage de Hautefage.

Environnement

Plusieurs zones sont protégées à divers titres le long du cours de la Maronne.

Parc naturel

Depuis sa source jusqu'à la commune de Saint-Martin-Valmeroux incluse, la rivière est comprise dans le parc naturel régional des Volcans d'Auvergne. Elle y est franchie par le GR 400 qui fait le tour du volcan cantalien.

Natura 2000

Le Réseau Natura 2000 distingue trois zones importantes sur le cours de la Maronne :

• sur le premier kilomètre de son parcours, la Maronne s'écoule dans une zone de landes et de pelouses sèches montagnardes propices à une flore spécifique<ref>Modèle:Pdf FR8301055 - Massif cantalien sur le site l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la zone Natura 2000 FR8301055sur le site l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref> ;
• constituée de gorges boisées offrant de fortes pentes, la partie comprise depuis la retenue du barrage du Gour Noir jusqu'à la retenue du barrage de Hautefage, au niveau de la confluence avec le ruisseau des Escures est répertoriée comme site important de reproduction et/ou d'hivernage pour de nombreuses espèces de rapaces<ref>FR7401103 - Vallée de la Dordogne sur l'ensemble de son cours et affluents sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la zone Natura 2000 FR7401103 sur le site l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref> ;
• bien plus limitée, une aire de Modèle:Unité située autour du château de Palmont à Fontanges et débordant sur les communes voisines de Saint-Paul-de-Salers et de Saint-Martin-Valmeroux est identifiée comme territoire important de reproduction pour trois espèces de chauves-souris : le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), ainsi que pour la Loutre d'Europe (Lutra lutra)<ref>FR8302017 - Site de Palmont sur le site l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la zone Natura 2000 FR7401103 sur le site l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref>.

ZNIEFF

Plusieurs zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) concernent le cours de la Maronne : quatre dans le Cantal et deux en Corrèze.

Dans le Cantal, la vallée de la Maronne en amont de Saint-Martin-Valmeroux fait partie d'une ZNIEFF de type II, celle des monts du Cantal, très importante par la variété de sa faune et de sa flore<ref>Modèle:Pdf Monts du Cantal sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la ZNIEFF 830007461 sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref>.

Les trois autres ZNIEFF du département sont de type I :

• sur Modèle:Unité, les falaises de Saint-Paul-de-Salers dominent la Maronne d'une cinquantaine de mètres et servent de lieu de nidification au Hibou grand-duc (Bubo bubo) et au Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus)<ref>Modèle:Pdf Falaises de Saint-Paul-de-Salers sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la ZNIEFF 830009031 sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref> ;
• sur Modèle:Unité, une zone pratiquement identique à celle (Natura 2000) du château de Palmont concerne la haute vallée de la Maronne et le bois du Theil<ref>Modèle:Pdf Haute vallée de la Maronne - Bois du Theil sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la ZNIEFF 830020454 sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref> ;
• sur plus de Modèle:Unité, depuis Saint-Christophe-les-Gorges jusqu'en aval du barrage du Gour Noir, incluant les parties aval de plusieurs affluents ou sous-affluents (Etze, Bertrande et ruisseau d'Incon) la vallée encaissée est propice à la présence de nombreuses espèces de rapaces<ref>Gorges de la Maronne - Barrage d'Enchanet, secteur Auvergnesur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la ZNIEFF 830020176 sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref>.

En Corrèze, il existe deux ZNIEFF de type II :

• la première s'étend sur plus de Modèle:Unité depuis la retenue du Gour Noir jusqu'à celle de Hautefage et inclut les parties aval des affluents de la Maronne : le Riou Tort et le ruisseau de la Bedaine. La rivière s'y écoule dans une vallée boisée aux rives encaissées favorisant une flore diversifiée. Côté faune, la vallée abrite, entre autres, des loutres communes (Lutra lutra), cinq espèces de chauves-souris et plusieurs espèces de rapaces<ref>Modèle:Pdf Vallée de la Maronne sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la ZNIEFF 740006116 sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref>.
• l'autre ZNIEFF est celle de la vallée de la Dordogne qui inclut la Maronne, en aval du barrage de Hautefage, pour ses derniers kilomètres avant sa confluence avec la Dordogne<ref>Modèle:Pdf Vallée de la Dordogne sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref><ref>Carte de la ZNIEFF 740006115 sur le site de l'INPN, consulté le 15 juin 2020.</ref>.

Sites pittoresques

En Corrèze, un site de près de Modèle:Unité concernant les communes de Goulles, Hautefage, Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle, Saint-Geniez-ô-Merle et Sexcles, est inscrit depuis 1977 pour son caractère pittoresque<ref>Modèle:Pdf Vallée de la Maronne – Site inscrit, DREAL Nouvelle-Aquitaine, consulté le 15 juin 2020.</ref>.

Monuments ou sites remarquables à proximité

• À Saint-Paul-de-Salers, l'église Saint-Paul de styles roman et gothique<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;
• Salers, l'un des plus beaux villages de France, est bâti en hauteur et domine la vallée de la Maronne de plus de Modèle:Unité ;
• à Fontanges, le château de Palmont du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;
• à Saint-Martin-Valmeroux :
  • l'église Saint-Martin des {{#switch: XIV

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}}<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;

• • le château de Saint-Pol<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;
  • la halle du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;
• à Loupiac, commune de Pleaux :
  • les ruines du château de Branzac du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;
  • la chapelle Notre-Dame du Château qui surplombe les gorges de la Maronne<ref>Chapelle Notre-Dame du château sur le site de l'office de tourisme du pays de Salers, consulté le 15 juin 2020.</ref> ;
• à Saint-Martin-Cantalès :
  • l'église Saint-Martin de styles roman et gothique<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;
• les gorges de la Maronne ;
• le barrage d'Enchanet, sa retenue et la base nautique de Longayroux ;
• à Saint-Geniez-ô-Merle :
  • les tours de Merle<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> enserrées dans un méandre de la Maronne ;
  • les ruines de l'ancienne église des {{#switch: XV

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}}

}}<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;

• à Saint-Bonnet-les-Tours-de-Merle, le château du Rieux du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref> ;
• le barrage de Hautefage et son lac ;
• à Hautefage, l'église Notre-Dame de styles roman et gothique<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 15 juin 2020.</ref>.

Photothèque

• La vallée de la Maronne à Saint-Paul-de-Salers.
  La vallée de la Maronne à Saint-Paul-de-Salers.
• L'église Saint-Paul de Saint-Paul-de-Salers.
  L'église Saint-Paul de Saint-Paul-de-Salers.
• Le centre du bourg de Saint-Martin-Valmeroux.
  Le centre du bourg de Saint-Martin-Valmeroux.
• L'église de Saint-Martin-Cantalès.
  L'église de Saint-Martin-Cantalès.
• Les tours de Merle.
  Les tours de Merle.
• Les ruines de l'église du Vieux Bourg de Saint-Geniez-ô-Merle.
  Les ruines de l'église du Vieux Bourg de Saint-Geniez-ô-Merle.
• L'église de Hautefage.
  L'église de Hautefage.
• La Maronne en amont de la RD 33 à Argentat.
  La Maronne en amont de la RD 33 à Argentat.
• La Maronne en aval de la RD 116 à Argentat.
  La Maronne en aval de la RD 116 à Argentat.

Voir aussi

Articles connexes

• la liste de rivières de France
• la liste des cours d'eau de la Corrèze
• la liste des cours d'eau du Cantal
• la liste des cours d'eau de France par longueur
• les débits des cours d'eau du bassin de la Dordogne
• le bassin versant de la Dordogne
• la Dordogne
• le barrage d'Enchanet
• le barrage du Gour Noir
• le barrage de Hautefage