Merville (Nord)

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Merville (Meregem en Flamand) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

Fichier:LocatieMeregem.PNG
Merville dans son ANCIEN canton et son arrondissement. Merville fait désormais partie du canton d'Hazebrouck.

Situation

Située au sud de l'arrondissement de Dunkerque (Plaine de la Lys) entre Lille (38 km), Hazebrouck (13 km) et Béthune (16 km). Merville est située au confluent de la Lys et de la Bourre.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Une partie du hameau de Caudescure se trouve à Merville quant l'autre est située à Vieux-Berquin<ref>La Voix du Nord : https://www.lavoixdunord.fr/art/region/merville-le-hameau-de-caudescure-entre-nostalgie-et-ia18b47658n2993422</ref>

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Meregem en flamand<ref>Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois</ref> ce qui signifie : « hameau du marais ». Autrefois dénommée terre de Broyle (terrain marécageux) puis Maurante villa, du nom de Saint Maurand (Maurand de Douai)<ref>Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1855, page 176, lire en ligne</ref>. En latin, Merville se dit Maroutvilla<ref name=":0">Louis de Backer, Château de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 41, lire en ligne</ref> traduit par Maurontville.

Histoire

Fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Mauront, duc de Douai, fonde un monastère en un lieu appelé Bruël, près de la Lys. Il cède la direction à Aimé de Sion dit Saint-Amé, évêque exilé sur l'ordre du roi Thierry III. Aimé de Sion y meurt en 690. Saint-Maurand meurt en 701 ou 702 à l'abbaye de Marchiennes, fondée par sa mère Rictrude de Marchiennes (Sainte-Rictrude)<ref name=":2">Modèle:Lien web</ref>. Les deux sont considérés comme les fondateurs de Merville<ref name=":0" />.

Lors des invasions normandes, vers 870, les moines de Bruël se sont réfugiés à Soissons en emportant le corps de Saint-Amé, puis ils s'installent à Douai. Ils reçurent l'autorisation de s'y fixer et n'en bougèrent plus<ref name=":2" />.

La population se développe autour du monastère, et ainsi naît une agglomération attestée en latin médiéval sous la forme Maurontivilla - Broislum en 697, puis Menrivilla en 1076, dans un diplôme de [[Philippe Ier de France|Philippe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], roi de France, qui consacre les droits et les biens de la cité à la Collégiale Saint-Amé de Douai.

En 1431, Meerghem (hameau du marais en flamand) reçoit le privilège de fabriquer des draps par Philippe le Bon. Ce même duc signe en 1451 la fameuse Ghisle de Menreville, qui constitue la véritable charte de Merville. La cité est rattachée à la France en 1678 par le traité de Nimègue.

En 1713, le roi Louis XIV a établi à Merville une maîtrise des eaux et forêts<ref>Louis de Backer, Château de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 27, lire en ligne</ref>.

À Merville, comme dans toute la Flandre française, la religion catholique a joué un rôle de premier plan. La paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer<ref name=":022">Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.</ref>.

Au moment de la Révolution française, les mesures prises par le nouveau pouvoir pour contrôler la religion, comme la constitution civile du clergé, vont rencontrer une opposition larvée de la population. À Merville, la situation va plus loin que dans d'autres villages : dans la nuit du 20 au Modèle:Date-, l'arbre de la liberté planté sur la place est abattu. On attribue ce geste à la propagande contre-révolutionnaire propagée par le clergé réfractaire<ref name=":1" />. Cependant, le prêtre constitutionnel (ayant prêté le serment de fidélité à la constitution civile du clergé), Jacquez se révèle être un farouche patriote<ref>Modèle:Lien web</ref>. De même que quelques autres prêtres (Vandenheede curé de Rexpoëde, Verwisch curé d'Hazebrouck, décapité à Paris) , il fait partie des révolutionnaires les plus extrémistes, au point qu'un révolutionnaire laïque comme Florent-Guiot, représentant de la Convention dans le département du Nord, les soupçonne de vouloir en réalité un soulèvement de la population contre la Révolution<ref name=":13">Modèle:Lien web</ref>.

Un document de prairial an V (mai-juin 1797), constate « l'opinion religieuse est ici le régulateur de l'opinion politique<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref> ».

Après la Révolution française, sous le premier Empire, se tient chaque année à Merville une foire de seconde classe, héritée de l'époque antérieure à la Révolution, pour marchandises et bestiaux; en 1802-1803, elle a eu lieu les 1 et 2 vendémiaire (23 et 24 septembre 1802)<ref>Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. viij, lire en ligne.</ref>. S'ajoute à cela un franc marché (marché où les ventes sont dispensées de taxes) aux bestiaux chaque mois. Enfin se tient chaque décade (période de dix jours du calendrier républicain) un marché pour grains, petits animaux et légumes<ref>Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. ix, lire en ligne.</ref>.

En 1802, Merville est encore une place fortifiée<ref>Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 3, lire en ligne.</ref>. À cette époque, la ville est reliée à Lille par deux messagers le mercredi et le vendredi avec retour le lendemain; un autre messager va à Hazebrouck le lundi et le vendredi, et un à Bailleul le mardi et le samedi. Par voie d'eau, deux voitures d'eau publiques gagnent chaque jour Armentières, une autre s'en va vers Aire-sur-la-Lys le mardi et les vendredi avec retour le lendemain<ref>Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 217-218, lire en ligne.</ref>.

De 879 à 1940, la ville a connu 6 destructions totales et 5 partielles. Au cours de la Première Guerre mondiale, Merville est totalement rasée : l'architecture néo-flamande de la ville est caractéristique de la période de reconstruction dans les années 1920. La commune reçoit au titre de ces destructions la Croix de guerre 1914-1918<ref>Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1922</ref>.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, l'aérodrome est utilisé par les Anglais (Hawker Hurricanes...), puis pris par les Allemands (Messerschmitt Bf 110...) ; ces derniers transforment alors le triangle d'herbe en une structure bétonnée, environnée de blockhaus et de tarmacs disposés en « marguerite », l'aérodrome se situant en effet près de la côte et donc de celle de l'Angleterre (les hangars situés vers l'aéro-club datent a priori de cette époque). Lors de la libération de la ville, les infrastructures sont alors utilisées par les Américains pour réparer et entretenir leurs avions, en particulier les bombardiers lourds (Boeing B-17 Flying Fortress, ...).

Le Modèle:Date-, un raid de bombardiers de l'USAAF fait de nombreux morts sur l'axe des actuelles « Rue du Général de Gaulle - Rue du docteur Rousseau », le mémorial de 1914-1918 situé aux « deux-ponts » fut endommagé à cette occasion. L'attaque serait due à une erreur d'identification de cible ; en effet à cette époque, le débarquement venait de commencer et les aviateurs ont semble-t-il cru à des renforts ou des fuyards allemands lorsqu'il aperçurent nombre d'habitants dans ces rues. Ils provoquèrent la mort de 70 personnes et en blessèrent 59 autres, uniquement des civils<ref>Merville : le 12 juin 1944, 70 habitants mouraient sous les bombardements américains, une cérémonie ce jeudi</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Urbanisme

Typologie

Merville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group="Note" name="14novembre2020_zonage" />,<ref name="www.observatoire-des-territoires.gouv.fr" />,<ref name="avril2021_www.insee.fr_c1472" />,<ref name="2021_www.observatoire-des-territoires.gouv.fr" />.

Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref name="Avril2021_www.insee.fr_Béthune" /> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020" />,<ref name="UU20202b" />.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Merville, dont elle est la commune-centre<ref group="Note" name="Octobre2020_aire_attraction" />. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020" />,<ref name="AAV20202b" />.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,9 %), zones urbanisées (12,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), prairies (4,3 %), forêts (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

  • Merville: Merkem/Mergem et Meerghem en flamand.
  • Caudescure: Koudeschure en flamand. Ce qui signifie "grange froide". L'orthographe a donc été francisée.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:… Modèle:ÉluDébut<ref>Mairie de Merville</ref> Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 22,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,71 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Économie

Agro-alimentaire
Métallurgie
  • L'ancienne fonderie Franco-Belge, devenue Staub fonderie, spécialiste en ustensiles de cuisine de haut de gamme.
Aéronautique

Traditions

Fichier:CaouMerville.JPG
Le Caou
  • Fêtes communales. À Pâques et à l’occasion de la Fête nationale.
  • Cortège Carnavalesque du Lundi de Pâques. Y défilent les sociétés locales et étrangères, ainsi que les géants mervillois « le Caou » et « Saint-Antoine », le char de clôture représentant la tentation de Saint-Antoine.
  • Fête de la Lys. Initiée par Lys sans Frontières. Les Prés de la ville sont le principal théâtre des nombreuses manifestations : marché du terroir, guinguette au bord de l’eau, promenades en bateau…
  • Fête de la Musique. Depuis le Modèle:Date-, des artistes comme le JAM, Miguel, Isme, Heart Of Ice, etc.
  • Joutes nautiques. Les Fêtes du Modèle:Date- et du Modèle:Date- sont les deux rendez-vous annuels des jouteurs.
  • Foire agricole, avicole, industrielle, commerciale et artisanale.
  • Parade de St Nicolas. Par l’association des Amis de Saint-Nicolas.
  • L'harmonie fait partie des traditions vivantes de la commune. En 2019, elle existe depuis 230 ans sans interruption et a survécu aux deux guerres mondiales, ce qui en fait une des plus anciennes de France. Des familles entières en font partie depuis des générations, elle compte en 2019 72 musiciens, trois membres honoraires et un porte-drapeau<ref>La Voix du Nord du 13 décembre 2019, p. 10.</ref>.

Lieux et monuments

Modèle:Section à sourcer

Fichier:Eglise de Merville.jpg
Eglise Saint-Pierre

La ville ayant été complètement détruite lors de la Première Guerre mondiale, elle ne comporte pas de bâtiments anciens.

  • Hôtel de Ville. Inauguré le Modèle:Date-, l'hôtel de ville est construit dans le style de la Renaissance Flamande. Louis Marie Cordonnier en est l'architecte. Escaliers centraux imposants, salons d'honneurs et salle du conseil municipal au parquet lustré et vitraux aux couleurs des villes avoisinantes, plaques commémoratives...
  • Église Saint-Pierre. Après la Première Guerre mondiale, l'église de Merville est complètement détruite. La construction du nouvel édifice est confiée à Louis Cordonnier. La première pierre est posée le Modèle:Date-. Deux hautes tours carrées, surmontées d'une calotte byzantine, sur la place Bruël. L'église abrite : la piéta, copie de la Piéta du Bernin conservée dans l'église Saint-Jean de Latran à Rome ; le chemin de croix, peint en 1892-1893 par Pierre de Conincq ; la cuve des fonts baptismaux en pierre blanche; les orgues construites en 1928 par François Didier, facteur d'orgues à Epinal, récemment rénovées et bénies par Gérard Defois.
  • Le kiosque. Sur la place Jean-Baptiste Lebas, le kiosque à musique a été construit par les architectes Legrand, Bedu et Gruson. Il abrite généralement les concerts d'été de l'Harmonie municipale. En 2002, la municipalité a confié aux services techniques et à un chantier école, la réfection complète du kiosque.
  • Maison de retraite Léon-Duhamel 1923. La maison de retraite mervilloise a été créée en 1894. Détruite lors de la Première Guerre mondiale, elle voit ses bâtiments actuels être construit en 1923 par l'architecte L'Hermite.
  • Orphelinat Saint-Victor 1920-25. À l'initiative de Victorine Deroide, fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est construite la maison Saint-Victor, entourée d'un parc, avec pelouse et massifs arborés. Confié à la congrégation des Sœurs de l'Enfant Jésus, l'établissement accueille depuis la Première Guerre mondiale des enfants de 3 à 18 ans.
  • Couvent Saint-François d'Assise. Ce bâtiment accueillait jusqu'en 2002 la congrégation des Petites Sœurs de Saint-François d'Assise (infirmières).
  • Château Arnould. Bâtiment communal, le château Arnould abrite bon nombre de services (Anpe, mission locale, salles des associations) mais également le musée des Amis du Vieux Merville.
  • Maison diocésaine d'accueil : bâtiment appartenant au diocèse. Reconstruit de 1924 à 1926 par Louis Cordonnier, c'est un séminaire jusqu'en 1970 et depuis transformé en lieu de réunions, de retraites spirituelles. Elle possède un orgue Cavaillé-Call de 1892 installé dans la chapelle par le facteur d'orgues Gonzales en 1953.

Personnalités liées à la commune

  • Charles Barizel (1788-1850), bassoniste, professeur au Conservatoire de Paris, né et mort à Merville.
  • Louis Fruchart, royaliste, résistant contre-révolutionnaire, né au hameau du Robermetz, Merville le Modèle:Date-.
  • Ouvrard Pierre-Albert 1922-1943 résistant armé 1941-1943, né le 28-8-1922 à Merville et fusillés par les Allemands le 7-2-1943, une victime du Charnier de la Serna, inh. à Flobecq en Belgique le 30-6-1945, (voir livre sur les 241 victimes du "Charnier de la Serna" à Jumet. auteur Aubry Jean-Marie 1996. Fleurus).
  • Robert Bart (1930-2003), athlète international, spécialiste du 400 mètres haies.
  • Arlette Chaumorcel <ref>Modèle:Lien web.</ref> née le 20 mai 1935 à Châteaubourg (Ille-et-Vilaine) est une poétesse et romancière qui réside à Merville (Nord).

Merville : Ville Internet

Depuis 1999, le label des Villes Internet, illustré par l’octroi d’une à cinq @, offre à la collectivité locale la possibilité de montrer son implication et sa volonté dans la promotion et la mise en œuvre d’un Internet local citoyen à la disposition de tous pour l’intérêt général. Il est attribué par un jury d’experts engagé pour l’Internet citoyen.

  • 2002 : Ville Internet 1@
  • 2003 : Ville Internet 1@
  • 2004 : Ville Internet 3@
  • 2005 : Ville Internet 4@
  • 2006 : Ville Internet 4@ Mention libre
  • 2007 : Ville Internet 4@
  • 2011 : Ville Internet 3@<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Pour approfondir

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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