Montcourt-Fromonville

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Infobox Commune de France

Montcourt-Fromonville (nommée également Moncourt-Fromonville non officiellement) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Montcourt-Fromonville est située à Modèle:Unité au nord de Nemours.

Communes limitrophes

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Géologie et relief

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'altitude varie de Modèle:Unité à Modèle:Unité pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ Modèle:Unité d'altitude (mairie)<ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Montcourt-Fromonville.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 17 janvier 2019</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le Réchauffement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref name="EspProtégés">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de Modèle:Unité, est un espace protégé sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises<ref name="MAB-Font">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Réseau Natura 2000

Fichier:77302-Montcourt-Fromonville-Natura 2000.png
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web.</ref>.

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoNatura2000>Modèle:Géoportail.</ref> :

  • les « Rivières du Loing et du Lunain », d'une superficie de Modèle:Unité, deux vallées de qualité remarquable pour la région Île-de-France accueillant des populations piscicoles diversifiées dont le Chabot, la Lamproie de Planer, la Loche de Rivière et la Bouvière<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Montcourt-Fromonville comprend une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoZNIEFF>Modèle:Géoportail.</ref>, les « Étangs de Pleignes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/>, la « vallée du Loing entre Moret et Saint-Pierre-Lès-Nemours » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Montcourt-Fromonville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont Fromonville, Pleignes (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (44,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (44,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,9% ), terres arables (36,7% ), zones urbanisées (13,8% ), prairies (4,3% ), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le Modèle:Date- et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.

Logement

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 885 dont 96,2 % de maisons et 3,7 % d'appartements<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

Parmi ces logements, 91,4 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88 % contre 11,2 % de locataires<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 11 août 2020</ref> dont, 2,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et, 0,7 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

Voies de communication

Modèle:…

Transports

La commune est desservie par les lignes du réseau de bus Vallée du Loing - Nemours :

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes J. de Molicuria en 1229<ref>Archives nationales, L 901.</ref> ; G. de Moocort en 1241<ref>Archives nationales, S 5168.</ref> ; Mocourt en 1241<ref>Archives nationales, S 5167.</ref> ; Moorcourt en 1255<ref>Ann. Gât., XXII, 1904, p. 162.</ref> ; Mollicuria en 1256<ref>Ann. Gât., XXII, 1904, p. 156.</ref> ; Moncourt en 1266<ref>Richemond, Nemours, II, p. LIX.</ref> ; Molcourt en 1384<ref>Archives nationales, P 131, fol. 97 v°.</ref> ; Montcourt en 1763<ref>Archives de la Seine-et-Marne, B 187.</ref>.
Anciennement en dialecte local, Montchourt.

La commune, instituée lors de la Révolution française sous le nom de Fromonville, prend en 1926 celui de Montcourt-Fromonville<ref name="Cassini"/>.

Moncourt ou Maucourt, évolution de la forme de Moorcort de 1241 : « de l’enclos du marais nommé ».

Fromonville, du prénom du premier propriétaire de la métairie de Fromond.

Histoire

Modèle:Section à sourcer À l’origine paroisse constituée de plusieurs hameaux : Fromonville, Moncourt, Pleignes et Darvault. Cette dernière a pris son autonomie communale en 1913<ref name="Cassini"/>.

La présence de l’homme sur le territoire de Fromonville est attestée à l’ « Âge de la pierre » par les fragments d’outils en silex trouvés çà et là sur le périmètre du village. Il existait encore au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une sépulture dolménique dite « de Pleignes » qui contenait des squelettes humains et des couteaux en silex taillé de la période néolithique » (entre Modèle:Unité avant notre ère), mais les vestiges ont disparu. D’autres dolmens se rencontrent dans la région, ils seraient associés à des alignements de menhirs parmi lesquels on retrouve la « Pierre des Moines » sur la commune de Darvault, datant également du NéolithiqueModèle:Sfn.

Au début du second millénaire de notre ère, la métallurgie du bronze puis du fer apparurent en Île-de-France. Ces nouvelles technologies modifièrent l’organisation sociale ;  à partir de Modèle:Date-, les Celtes (Gaulois pour les Romains) se sédentarisent. Le Gâtinais, Pagus Vastinensis, est une des subdivisions de la Gaule créées par les Romains : les Sénons occupent le territoire correspondant aux départements de Seine-et-Marne, de l’Yonne, la Marne et la Côte d’Or, entre les Carnutes (Chartres) à l'ouest et les Lingons (Langres) à l'est. Malgré des découvertes isolées de céramique et de pièces de monnaie, aucun vestige d’habitation de cette période n’a été constaté sur la commune. Par ailleurs, de grandes voies de communication furent tracées reliant Paris, Melun et Sens.

À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les « Barbares » envahirent la Gaule : Huns, Goths, Alamans, puis Vandales venant de Germanie orientale, poursuivirent leurs incursions ; les Francs, avec Clovis à leur tête,  s’emparèrent du nord de la Gaule jusqu’à Melun. L’empire romain s’effondre alors en 476Modèle:Sfn.

Après la dynastie des Mérovingiens, les Carolingiens prennent le pouvoir en 751 avec Charlemagne jusqu’en 814. Roi guerrier, il agrandit notablement son royaume et construisit un empire qui ne lui survit cependant pas longtemps. Se conformant à la coutume successorale germanique, l’Empire fut partagé en 843 entre trois de ses petits-fils, lors du traité de Verdun. Le morcellement féodal des siècles suivants, puis la formation en Europe des États-nations rivaux condamnèrent à l’impuissance ceux qui tentèrent de restaurer « l’Empire d’Occident »Modèle:Sfn.

Les premiers textes attestant de l’existence du village de Moncourt-Fromonville datent du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; Fromonville et Moncourt ainsi que Pleignes et Darvault apparaissent dans les recueils de cartulaires (chartes) du prieuré de Néronville (proche de Château-Landon)Modèle:Sfn. Ce prieuré bénédictin fut fondé en 1080 par Dimon de Montereau, descendant des seigneurs de Melun ; vers 1130, il érigea les quatre fiefs en paroisses (entité religieuse et administrative). Au décès de leur mère, les trois filles de Dimon héritèrent du territoire.

Béline reçut la partie méridionale comprenant Darvault, Auffais la partie médiane, c’est-à-dire une partie de Fromonville et le fief de Moncourt renfermant l’église, une métairie et deux moulins.  Hersent reçut la partie septentrionale de Fromonville ainsi que Pleignes qui était alors une vaste zone recouverte de forêts et d’étangs<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>.

En 1068, le roi Philippe 1er fit entrer le Gâtinais dans le domaine royal de France. Puis, le roi Philippe Auguste (1180-1223) un siècle plus tard, en repoussa les frontières au-delà de la forêt d'Orléans, en conquérant la Normandie, le Maine, la Touraine et l'Anjou.

Plusieurs familles de dignitaires se sont succédé sur ce territoire jusqu’au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name=":0" /> :

  • la famille Bullican apparaît en 1150 dans la région, liée au vicomte de Melun, propriétaire de Fromonville ; Moncourt n’apparaît qu’un siècle plus tard sous leur administration ;
  • la famille Moorcort, apparaît en 1215, elle s’installe près de Fromonville, en provenance du bailliage de Grez-sur-Loing, dans une demeure seigneuriale dont nous n’avons aucune trace dans les archives. Par le jeu des alliances et héritages successifs, les fiefs de Fromonville et Moncourt ont été réunis en 1255 par le mariage de Marie de Faÿ-lès-Nemours avec Laurent de Moncourt. En 1298, on trouve le petit-fils de Laurent, Ytier de Moncourt sous le nom de  Yterius de Molle Curia  (en latin), inscrit dans les  « comptes » de Philippe le Bel comme participant à la guerre de Flandre (1298) ;
  • la famille Trumel apparaît en 1341 ; le personnage le plus connu en est  Étienne Trumel de Fromonville, arbalétrier des milices de Bertrand du Guesclin (guerre de Cent ans) ; il décède en 1380, sa pierre tombale est dans le chœur de l’église Saint-Etienne Sainte-Avoye. Dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, cette famille cède les fiefs de Moncourt, Fromonville, Faÿ, Paley et Méréville à un dénommé Etienne Le Fèvre ; le domaine de Pleignes est acheté par un dénommé Jean de Serre en 1409 ;
  • la famille  Amer : Pierre 1er acquit le fief de Pleignes en 1455 ; il fut nommé clerc (conseiller) du roi Charles VII en la Chambre des comptes, puis « correcteur » du roi Louis XI. En 1472, il agrandit son territoire avec  les fiefs de Fromonville et Moncourt. Cette famille et ses descendants habitèrent le château de Pleignes de 1455 à 1644 ;
  • la famille de Sailly : Germain de Sailly fit construire la chapelle seigneuriale de l’église de Fromonville lui ajoutant ainsi une aile en 1538, puis il fit ériger le clocher en 1543. A noter : la pierre tombale de Marguerite Amer sa belle-sœur, petite-fille de Pierre Amer 1er, décédée en 1521, fut transférée dans la chapelle seigneuriale de l’église. Un siècle et demi plus tard, Gabrielle de Monthiers, dame de Pleignes, arrière-petite-nièce de Marguerite Amer y fut inhumée en 1661 ;
  • la famille de Mornay : en 1586, Louis de Mornay, petit-neveu de Marguerite Amer, hérita du domaine de Fromonville ; Il restaura les bâtiments entourés de quelques arpents de terre mais en 1589, les Huguenots détruisirent le petit « manoir » au cours de la 8ème Guerre de religion. Louis de Mornay décède sans descendance en 1601. Anne Pelet son épouse hérite alors du domaine et le lègue à sa nièce Jeanne de Brosset, dernière descendante de la famille Amer ;
  • la famille Chapotin<ref name=":0" /> : en 1644 : Louis Chapotin, seigneur de Darvaux et autres lieux, bailli de Nemours et son épouse Michelle Hédelin, petite-fille d’Ambroise Paré -le chirurgien- acquirent le domaine de Fromonville et édifièrent le premier château, le « Grand Chaillot » dans un style Louis XIII « à la Mansart », à l’emplacement de l’ancien bâtiment servant de logement au  fermier ; ils aménagèrent des jardins « à la française », et il augmentèrent considérablement la surface du domaine, en y rattachant la seigneurie de Pleignes-le-Territoire en 1655 (appelée Pièce-du-Camp, aujourd’hui occupée par la résidence des Rougemonts).

En 1723 fut achevé le canal du Loing<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Commandé en 1718 par le duc Philippe d’Orléans (frère de Modèle:Noble et Régent de France pendant la minorité de Modèle:Noble), ses travaux arrivèrent à Fromonville quelques années plus tard. D’une longueur totale  de Modèle:Nobr, il relie le canal de Briare (Montargis) à la Seine (Saint-Mammès). Le Canal changea profondément les conditions de navigation, procurant un développement économique aux régions traversées en facilitant le transport de produits agricoles, du produit des carrières, du bois de chauffage et de charpente et bien d’autres denrées.

Puis le territoire passa entre les mains de nombreux propriétaires et connut des fortunes diverses.

À l’aube de la Révolution française, le roi Louis XVI décide de réunir les Etats généraux le 4 mars 1789. Cette assemblée essentiellement consultative, était composée de 1190 députés élus par les trois « ordres » qui composaient la société de l’Ancien régime, le clergé, la noblesse et le tiers état. Les États généraux étaient convoqués dans des circonstances exceptionnelles (crise politique ou financière); les précédents avaient été convoqués en 1664 sous Louis XIII.

Le pays était alors divisé en bailliages et sénéchaussées, circonscriptions administratives au nombre de 400. La Révolution crée un cadre juridique uniforme sur la totalité du territoire, et institue la création des départements (83 en 1790)<ref>Modèle:Article.</ref>. En 1793, toutes les dénominations de ville, bourg ou village sont supprimées et le terme de « commune » leur est substitué. Les quatre paroisses deviennent donc des communes le Modèle:Date-, le registre d’état civil, tenu alors par le curé, passe sous la responsabilité d'un officier public élu.

En 1798, la Maréchale de Richelieu, née Jeanne de Lavaulx, acheta le domaine de Fromonville  et y demeura jusqu’à sa mort en 1815Modèle:Sfn. Elle était veuve en premières noces d’un gentilhomme irlandais, Edmond de Rothe, décédé en 1772. Elle épousa en 1780 Louis François Armand de Vignerot du Plessis (1696-1788), 3e duc de Richelieu, petit-neveu du Cardinal et Maréchal de France. Veuve pour la 2e fois en 1788, elle fuit un temps la Révolution et se réfugie en Allemagne ; puis, elle s’installa à Fromonville avec ses cinq enfants en 1798 jusqu’à sa mort en 1815. La pierre tombale de la Maréchale est située contre le mur ouest du chœur de l’église, avec celle de son fils Antoine Edmond Joseph de Rothe décédé en 1842 et celle de sa petite-fille Henriette Marguerite décédée en 1811.

1805 : Antoine Edmond Joseph de Rothe, le fils de la Maréchale, devenu lieutenant-colonel d’infanterie reçoit le domaine de Fromonville en dot à l’occasion de son mariage. Il fut chambellan de Charles X et maire de Fromonville. Il agrandit le parc et les dépendances.

Au village, les habitants vivent surtout de l’agriculture, de la vigne, des vergers, ils habitent des hameaux, des métairies comme La Barraude, La Boissière, l’Erable, Basses-Pleignes… Les artisans et commerçants sont plutôt établis à Nemours, des approvisionnements en tous genres se font dans ce bourg en pleine expansion à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, fournissant aussi du  travail aux femmes des paysans (lingères, couturières…)

1856 : Pierre Adèle Philippe Coëttant de Borderieux, ancien agent de change à la Bourse de Paris, acheta le domaine et agrandit encore les terres jusqu’à 51 hectares. Il remania les communs, fit construire une maison de jardinier, des écuries. Il mourut au château en 1880. Son épouse, Louise Elisa Adélaïde Haussoulier, mourut en 1885, elle légua alors le domaine à leurs trois enfants.

Septembre 1870 : un détachement des armées prussiennes fit son apparition dans la commune, avant d’en être délogé par la garnison de Nemours.

1886 : Emile Louis Richemond acquit le domaine de Fromonville le 12 juinModèle:Sfn ; il avait épousé en 1863 la comtesse Louise Marie Coëttant de Borderieux, l’une des trois héritières. Ils firent reconstruire le château sur son plan primitif dès 1886 après la démolition du château des Chapotin devenu vétuste. Industriel, gouverneur de la Banque de France, président du Tribunal de commerce de la Seine, Émile Louis Richemond était aussi historien, membre de la Société historique et archéologique du Gâtinais, auteur d’un ouvrage sur l’histoire de la région de 1130 à 1643. Il agrandit le domaine, ajouta des dépendances, un château d’eau, des jardins, des serres. Jusqu’aux années 1940, le château était un vrai centre de vie : lieu d’habitation, de réception, mais aussi exploitation agricole. Une trentaine de personnes y travaillaient pour répondre aux besoins domestiques et à l’entretien des terres.

1913 : Darvault, hameau de Fromonville, devint une commune à part entière et le premier maire en fut M. Farizy le 15 mars 1914.

Durant la Grande Guerre, des habitants furent mobilisés comme dans tous les villages de France,  et plus de vingt soldats restèrent sur les  champs de bataille.

Jacques Richemond, fils d’Emile Louis épouse Marcelle Kléber ; il devint capitaine de cavalerie et vécut au château jusqu’en 1936.

1926 : le 15 décembre, Moncourt et Fromonville ont été réunis sur la demande du Maire de l’époque, Monsieur Valladier, par la promulgation d’un décret. Fromonville n’avait plus que 20 habitants, Moncourt  s’était développé plus rapidement et comptait 268 habitants.

1940 : le château est occupé par l’armée allemande pendant quelques mois. En 1944, des éléments des Forces Françaises Libres logent un temps dans les dépendances du château. À la Libération, des officiers américains et anglais, en détachement à Fontainebleau, habitent une partie du château durant quelques années.

1953 : Marthe Richemond, fille de Jacques, épouse le comte Rollon de Chappedelaine ; elle reprend la gestion du domaine au décès de sa mère Marcelle (Kléber)-Richemond ; la famille séjourne au château, en alternance avec leur appartement parisien. La comtesse décède en 1969, elle est enterrée à Fromonville. Son fils unique Stephen hérite du domaine ;  il le vend à la Caisse des Dépôts et Consignations en 1976.

1984 : la commune achète le domaine de Fromonville, la mairie s’installe au château en 1997Modèle:Sfn.

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}}, Moncourt-Fromonville dut son essor économique à l’extraction et au transport du sable. Celui-ci, extrait des carrières de Darvault, arrivait par wagonnets au port au sable situé le long du Canal avant d’être chargé dans des péniches près de la passerelle de Fromonville. On extrayait des carrières de Bourron un sable très pur qui partait à l’étranger pour réaliser les verres les plus fins (de Murano à Venise par exemple) ; de la ballastière de Grez, l’on extrayait cailloux et graviers pour le chemin de fer et les travaux  publics. Ces matériaux  venaient des carrières jusqu’au Canal, près du pont métallique, par un petit train jusqu’en 1969. En 1982, des passionnés nostalgiques remirent sur les rails ce petit tortillard abandonné : c’est le Tacot des lacs.

À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la population du village a rapidement augmenté, entraînant la construction de plusieurs lotissements. L’agriculture occupe toujours une grande part de l’économie locale mais emploie peu, l’activité industrielle est devenue mineure et il reste très peu de commerçants et d’artisans : les actifs dorénavant travaillent pour la plupart dans les villes.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve depuis 1988 dans l'arrondissement de Fontainebleau du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de Seine-et-Marne.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Nemours<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 17 à 51 communes.

Intercommunalité

La commune est membre de la communauté de communes Pays de Nemours, créée fin 2009.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

Modèle:…

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la commune de Montcourt-Fromonville gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 janvier 2023<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de Grez-sur-Loing, Montcourt-Fromonville qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le Réchauffement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le Modèle:Date-, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nobr (dont 70 % imposés), représentant 2 029 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 240 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 8 novembre 2020.</ref>.

Emploi

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nobr, occupant Modèle:Nobr résidants.

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,3 % contre un taux de chômage de 6,9 %.

Les 25,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 9,6 % de retraités ou préretraités et 5,3 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017 », consulté le 8 novembre 2020.</ref>.

Entreprises et commerces

En 2015, le nombre d'établissements actifs était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l’industrie, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce-transports-services divers et Modèle:Nobr étaient relatifs au secteur administratif<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Caractéristiques des établissements en 2015 », consulté le 8 novembre 2020.</ref>.

Ces établissements ont pourvu Modèle:Nobr postes salariés.

Secteurs d'activité

Agriculture

Montcourt-Fromonville est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)<ref name="AgriGéné"/>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 2 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Montcourt-Fromonville, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Montcourt-Fromonville entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 2 1 1
Travail (UTA) 2 1 1
Surface agricole utilisée (ha) 140 143 143
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) s s s
Céréales (ha) s s s
dont blé tendre (ha) s s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s s
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 0 0 0

Culture locale et patrimoine

L'église Saint Étienne.
L'église St-Etienne Ste-Avoye.
Fichier:Croix des trois tilleuls à Fromonville.jpg
Borne féodale de la Croix Richelieu.

Lieux et monuments

  • L’église Saint-Etienne Sainte-Avoye bâtie entre le {{#switch: et le
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et le|-| – | et le }}Modèle:S mini- siècle

}} inscrite au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Un tableau la représentant, brossé par Edmond Daynes, est conservé au Musée du Domaine départemental de Sceaux.

La tour latérale de forme carrée est étayée aux angles par d'importants contreforts. Chacune des faces de ce clocher est éclairée par des baies géminées. L’édifice comporte une nef de plan rectangulaire à chevet carré, sans bas-côté. Une chapelle de 1538 précède la sacristie, ces deux éléments se trouvant en enfilade, accolés au mur nord.
- Retable du maître-autel – Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Pierre tombale du curé Debonnaire - début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Pierre tombale de la duchesse de Richelieu (à l'extérieur)- milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Station du chemin de croix – Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle - métal émaillé.
- Sainte Avoye - Vitrail - fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Saint Etienne - Vitrail- fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Le bon pasteur - vitrail – Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
  • Le château de Moncourt ({{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XX|-| – | XX }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècle

}}), anciennement appelé château de Chaillot, acquis par la commune et qui abrite la mairie depuis 1997.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Modèle:Légende plume

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Notes "Carte"

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

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