Parvillers-le-Quesnoy

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Modèle:Voir homonymes {{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Commune de France

Parvillers-le-Quesnoy est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:...

Communes limitrophes

Le territoire est bordé par Rouvroy, Damery, Andechy, Erches, Fouquescourt, La Chavatte, Fresnoy-lès-Roye, Goyencourt et Bouchoir.

Sol, sous-sol, hydrographie, relief

Le sol communal est entièrement constitué du fertile limon des plateaux. Il recouvre une couche de craie qui n'affleure en aucun endroit.

Une nappe phréatique se trouvait en 1899 à Modèle:Nobr de profondeur. C'est elle qui alimentait alors la population. Aucun cours d'eau ne coule sur le territoire<ref name="noti2" />.

Urbanisme

Typologie

Parvillers-le-Quesnoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roye, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,7 %), zones urbanisées (3,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Modèle:... La commune est constituée par la fusion en 1968 de Parvillers et du Quesnoy<ref name="Cassini"/> :

  • Parrovillaris (960), Parviller, Esparvillers, Parvillers (1323), peut être interprété comme « petite villa »<ref name="noti2">Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Parvillers, M. Chiraux, 1899, Archives départementales de la Somme.</ref> ;
  • Querculi apparait en 1130, Kaisnoi, Kaisnetum, forme latinisée et Caisnoi sont relevés ensuite. Dès 1569, on relève Le Quesnoy. Tous ces toponymes font référence à un lieu planté de chênes<ref name="noti1">Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur du Quesnoy, M. Dury, 1899, Archives départementales de la Somme.</ref>.

Histoire

Des silex taillés et des monnaies antiques ont été découverts au Quesnoy et à Parvillers, attestant d'une présence humaine très ancienne<ref name="noti1" />,<ref name="noti2" />.

Les seigneuries du Grand et du Petit Buissancourt ont régné sur le village à l'époque féodale<ref name="noti2" />.

La chapelle Saint-Nicolas à Parvillers, démolie en 1855, serait le vestige d'un monastère ou d'une maladrerie<ref name="noti2" />.

Autour de l'église, des souterrains appelés « caves de guerre » ou muches, aussi bien à Parvillers qu'au Quesnoy, ont servi de refuge pendant les périodes troublées qu'a connues le village<ref name="noti1" />.

Parvillers a possédé un télégraphe aérien, installé sur le clocher de l'église. Modèle:Problème.

Parvillers et Le Quesnoy se trouvaient dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les deux anciennes communes ont été décorées de la Croix de guerre 1914-1918 le Modèle:Date-<ref>Journal officiel du 6 novembre 1920, Modèle:P..</ref>. Modèle:Article détaillé

La commune de Parvillers, instituée lors de la Révolution française, absorbe en 1968 celle du Quesnoy (dite Le Quesnoy-en-Santerre, et qui avait elle-même absorbé Routiauville entre 1790 et 1794<ref>Modèle:Cassini-Ehess.</ref>) et devient Parvillers-le-Quesnoy<ref name="Cassini"/>.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Les anciennes communes puis la commune fusionnée se trouvaient de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du Modèle:Date-, Parvillers-le-Quesnoy en est détachée le Modèle:Date- pour intégrer l'arrondissement de Péronne<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elles faisaient partie depuis 1793 du canton de Rosières-en-Santerre<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Parvillers-le-Quesnoy est intégrée au canton de Moreuil.

Intercommunalité

La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le Modèle:Date-.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Nombre, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département<ref>Modèle:Article.</ref>.

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de Modèle:Unité regroupant 46 communes<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016<ref>Modèle:Article.</ref>, la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>.

Cette procédure aboutit à la création au Modèle:Date- de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluFin

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Portail