Pierre Jonquères d'Oriola

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Modèle:Infobox Cavalier

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Pierre Jonquères d'Oriola, en juin 1933, à 13 ans ½ sur Rina.
Fichier:SIA 1957.Pierre Jonquère Doriola (Champion olympique à Helsinski en 1952) à gauche Gilles Delamare ,à droite colette Duval (27262837283).jpg
Pierre Jonquère Doriola en 1957 (à D. Colette Duval).
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Pierre Jonquères d'Oriola en 1964 (JO).

Pierre Jonquères d'Oriola, né le Modèle:Date de naissance à Corneilla-del-Vercol (département des Pyrénées-Orientales, France) ou il est mort, dans sa propriété, le Modèle:Date de décès à l'âge de 91 ans<ref>Modèle:Lien web.</ref>, est le cavalier français le plus titré aux Jeux olympiques, en saut d'obstacles.

Biographie

Il fut sélectionné à sept reprises aux Jeux Olympiques, en 1948 (comme remplaçant), 1952, 1956, 1960, 1964, 1968, et 1972 (qu'il n'honora pas)<ref>Histoires de Jeux olympiques, Sud Ouest - dossiers du Quotidien, juillet 1988, article Jonquères : le meilleur ami du cheval, François Trasbot, Modèle:P..</ref>.

Ses premières compétitions équestres remontent à l'âge de 12 ans, soit dès 1932. Il est alors interne au collège militaire de Sorèze, dans le Tarn, de 1935 à 1938<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Homme de terroir au franc-parler, ses démêlés avec la Fédération française d'équitation furent particulièrement fréquentsModèle:Refnec. Il faut aussi noter qu'après son succès aux Jeux Olympiques de 1964 à Tokyo, il refusa de serrer la main de Maurice Herzog, Modèle:Refnec faite aux sportifs favorables à l'Algérie française d'aller à ces JO deux ans après l'indépendance de l'AlgérieModèle:Note.

Il jouait également au rugby, au poste de trois-quart aile.

Après son parcours sportif, il resta viticulteur dans son village natal de Roussillon (province), en tant que descendant de propriétaires terriens originaires de cette région.

Il a été candidat aux élections européennes de 1979 sur la liste Eurodroite du PFN (Parti des forces nouvelles), menée par Jean-Louis Tixier-VignancourModèle:Référence souhaitée, ainsi qu'aux élections législatives de 1981 dans la [[Cinquième circonscription de Paris de 1958 à 1986|Modèle:5e circonscription de Paris]] comme suppléant de Pascal Gauchon<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il a ensuite été membre du Front national<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Il était le cousin par alliance de l'escrimeur Christian d'Oriola.

Distinctions

Décorations

Récompenses

  • Grand Prix Olympique de l’Académie des sports en 1964
  • Prix Claude Foussier de l'Académie des Sports en 1952, et 1964 avec l'équipe de France olympique de jumping

Palmarès

Publications

  • Pierre Jonquères d'Oriola, A cheval sur cinq olympiades, éd. Solar, Paris, 1968;
  • Modèle:Ouvrage

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

  • Fernand Albaret, Les d'Oriola et les Vendanges olympiques, éd. La Table ronde, Paris, 1965.
  • Fernand Albaret, Pierre Jonquères d'Oriola. D'or et de pourpre, éd. Librairie des Champs-Élysées, Paris, 1965.

Liens externes

Modèle:Liens

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