Quand Harry rencontre Sally
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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Quand Harry rencontre Sally (Modèle:Langue) est un film américain réalisé par Rob Reiner et sorti en 1989. Cette comédie romantique, écrite par Nora Ephron et avec Billy Crystal et Meg Ryan dans les rôles titres, soulève la question, à travers l'histoire et les rencontres entre ces deux personnages, de savoir si les hommes et les femmes peuvent être amis sans arrière-pensées d'ordre sexuel.
L’idée de ce film est venue à Rob Reiner peu de temps après son divorce. Reiner a fourni la base du personnage de Harry, celui de Sally étant basé sur Ephron et certaines de ses amies. Billy Crystal a participé à l'écriture des dialogues, rendant le personnage de Harry plus drôle, alors qu'Ephron s'est beaucoup appuyée sur des dialogues réels s'étant déroulés entre Crystal et Reiner, tous deux étant des amis proches. La bande originale du film est constituée de standards de jazz interprétés par Harry Connick Jr. et sur des arrangements musicaux de Marc Shaiman. Connick a remporté un Grammy Award pour la meilleure interprétation masculine de jazz.
Le film a été un succès commercial lors de sa sortie au cinéma, et Nora Ephron a reçu un BAFTA Award et a été nommée aux Oscars pour son scénario. Le film est classé Modèle:23e dans la liste des films les plus drôles du cinéma américain de l’American Film Institute et a été adapté en comédie musicale en Angleterre en 2004, avec Luke Perry et Alyson Hannigan dans les rôles titres.
Synopsis
En 1977, Harry Burns et Sally Albright ont terminé leurs études à l'université de Chicago et doivent se rendre à New York pour entrer dans la vie active. Harry est alors le petit ami d'Amanda, une amie de Sally, qui les présente l'un à l'autre. Ils font ensemble le trajet en voiture, mais la conversation devient vite conflictuelle, car le credo de Harry est qu'Modèle:Citation et que Sally refuse de l'admettre. Un fort antagonisme s'installe et, une fois arrivés à destination, ils se séparent sans penser se revoir, vivant leur vie chacun de son côté.
Cinq ans après leur arrivée à New York, ils se rencontrent fortuitement à l'aéroport, prenant le même avion, sans qu'il n'y ait d'autre suite qu'un échange d'informations sur leurs situations respectives : Sally est fiancée à Joe, travaille dans le journalisme et Harry, qui est consultant en politique, va se marier avec Helen. La discussion n'est pas moins conflictuelle qu'à leur première rencontre.
Cinq années passent encore avant une nouvelle rencontre, dans une librairie. Harry vient de divorcer et Sally a rompu avec son petit ami et leurs solitudes respectives vont les amener, contre toute logique, à développer une relation amicale empreinte de complicité. Ils passent de plus en plus de temps ensemble et se présentent l'un à l'autre leurs meilleurs amis respectifs, Jess et Marie, qui se découvrent beaucoup d'affinités et s'empressent de finir la soirée ensemble, laissant Harry et Sally de leur côté.
À l'occasion d'un sérieux coup de cafard de Sally, Harry vient chez elle pour la réconforter et finit par coucher avec elle, mais tous deux s'en veulent immédiatement. Leur amitié se refroidit considérablement à la suite de cet épisode et semble définitivement détruite à l'occasion d'une dispute entre eux lors du mariage de Marie et Jess. Harry tente vainement de recoller les morceaux sans y parvenir et tous deux passent la soirée du nouvel an dans un état de solitude extrême. Finalement, alors que Sally s'apprête à quitter la soirée où elle s'est laissé entraîner par Marie, Harry fait son apparition et déclare sa flamme à Sally. Ils s'embrassent et, alors que tout au long du film, plusieurs histoires d'amour ont été présentées en tant que fil rouge par des couples interviewés, Harry et Sally forment le dernier couple interrogé et racontent comment ils ont fini par se marier, douze ans et trois mois après leur première rencontre.
Fiche technique
- Titre original : Modèle:Langue
- Titre français : Quand Harry rencontre Sally
- Réalisation : Rob Reiner
- Scénario : Nora Ephron
- Décors : Jane Musky
- Costumes : Gloria Gresham
- Photographie : Barry Sonnenfeld
- Montage : Robert Leighton
- Musique : Marc Shaiman et Harry Connick, Jr.
- Production : Rob Reiner et Andrew Scheinman
- Sociétés de production : Castle Rock Entertainment, Nelson Entertainment
- Société de distribution : Columbia Pictures (Modèle:Nobr), 20th Century Fox (Modèle:Pays)
- Budget : Modèle:Unité<ref name="jps"/>
- Pays d'origine : Modèle:Nobr
- Langue originale : anglais
- Formats : Couleur - 1,85:1 - son Dolby - [[format 35 mm|Modèle:Unité]]
- Genre : Comédie romantique
- Durée : 96 minutes
- Dates de sortie :
Distribution
- Billy Crystal (VF : Lionel Henry) : Harry Burns
- Meg Ryan (VF : Martine Irzenski) : Sally Albright
- Carrie Fisher (VF : Pauline Larrieu) : Marie
- Bruno Kirby (VF : Michel Mella) : Jess
- Steven Ford : Joe
- Lisa Jane Persky (VF : Dorothée Jemma) : Alice
- Michelle Nicastro (VF : Françoise Dasque) : Amanda Rees
- Harley Jane Kozak (VF : Colette Venhard) : Helen
- Estelle Reiner : la vieille cliente du Katz's Delicatessen
- Franc Luz : Julian
- Tracy Reiner : Emily
- Connie Sawyer : la femme du vieux couple du documentaire
- Sources et légende : Version française (VF) sur AlloDoublage<ref>Modèle:Lien web</ref>
Production
Préproduction
En 1984, le réalisateur Rob Reiner, le producteur Andrew Scheinman et la scénariste Nora Ephron se rencontrent au Modèle:Langue de New York pour un dîner de travail afin de développer un projet de film mais l'idée de scénario proposée par Reiner est rejetée par Nora Ephron<ref name="Collector">Modèle:Extrait vidéo</ref>. Une seconde rencontre se transforme en longue discussion au sujet des vies de célibataires menées par Reiner et Scheinman, Reiner étant alors divorcé depuis trois ans et s'étant engagé dans une série de rencontres toutes aussi désastreuses les unes que les autres<ref>Modèle:Article</ref>. Pour leur troisième réunion, Reiner avance l'idée qu'il a toujours voulu faire un film sur deux personnes qui deviennent amies et ne veulent pas coucher ensemble car elles savent que cela ruinerait leur amitié mais finissent par le faire quand même. Nora Ephron est séduite par cette idée, qui peut lui permettre d'écrire un scénario sur les différences de comportement et de raisonnement entre les hommes et les femmes, et Rob Reiner se charge alors de trouver un financement pour monter le projet<ref name="Keyser">Modèle:Article</ref>.
Nora Ephron interroge à plusieurs reprises Rob Reiner et Andrew Scheinman au sujet de leurs vies de célibataires afin d'avoir une base sur laquelle travailler et commencer à esquisser le personnage de Harry. Reiner est alors constamment déprimé et pessimiste tout en réussissant à plaisanter sur son état et certains échanges entre lui et Ephron se retrouvent plus tard dans les dialogues du film. Le personnage de Sally est basé sur Nora Ephron, pour son côté optimiste et sa manière de commander les menus au restaurant, et sur certaines de ses amies<ref name="DVD"/>. Plusieurs brouillons du scénario sont écrits par Ephron tandis que Reiner réalise successivement [[Stand by Me (film)|Modèle:Langue]] et [[Princess Bride (film)|Modèle:Langue]]<ref name="Collector"/>. Puis, Billy Crystal rejoint le projet, alors appelé Modèle:Langue, et apporte sa contribution au scénario, rendant le personnage de Harry plus drôle<ref>Modèle:Extrait vidéo</ref>. L'acteur, qui est le meilleur ami de Reiner, a assisté au retour à la vie de célibataire de celui-ci, après son divorce avec Penny Marshall, et cette expérience l'a aidé à rentrer dans le rôle de Harry<ref name="Keyser"/>.
Durant le processus d'écriture du scénario, Nora Ephron interroge plusieurs personnes qui travaillent pour la société de production et certaines de ces interviews apparaissent dans le film comme interludes entre plusieurs scènes, qui montrent des couples racontant l'histoire de leur rencontre, bien que ces interludes aient été réécrits et tournés avec des acteurs car les histoires racontées par les véritables couples se perdaient trop dans les détails<ref name="Keyser"/>. Plusieurs dialogues s'étant réellement déroulés entre Billy Crystal et Rob Reiner sont incorporés au film, notamment pour les scènes où Harry et Sally apparaissent sur un écran divisé et discutent au téléphone tout en regardant la télévision, ce que les deux hommes font alors chaque soir avant de se coucher<ref name="Lacey">Modèle:Article</ref>. Pour le rôle de Sally, Rob Reiner envisage successivement les actrices Susan Dey, Elizabeth Perkins et Elizabeth McGovern. Puis, Molly Ringwald est sur le point d'obtenir le rôle mais doit y renoncer en raison d'un emploi du temps trop chargé et c'est Meg Ryan, dont c'est le premier grand rôle, qui le décroche<ref name="DVD"/>.
Tournage
Nora Ephron voulait à l'origine intituler le film « Modèle:Langue » et a testé plusieurs titres différents. Rob Reiner organise même un concours entre les membres de l'équipe du film durant le tournage, promettant une caisse de champagne à celui qui trouverait le titre adéquat, avant de trouver lui-même le titre définitif<ref name="Collector"/>. Le tournage se déroule du Modèle:Date- au Modèle:Date-, d'abord à Los Angeles, puis à Chicago, et enfin à New York à partir du début du mois d'octobre. Dans le but d'être dans l'état d'esprit solitaire de Harry après son divorce, Billy Crystal s'isole délibérément du reste de l'équipe pendant le tournage à Manhattan<ref name="Lacey"/>. Central Park, Broadway, le Washington Square Park et le Metropolitan Museum of Art font partie des lieux de tournage du film<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le scénario prévoyait initialement que Harry et Sally restent amis sans poursuivre de relation romantique<ref name="Collector"/>, mais Ephron et Reiner finissent par réaliser qu'il serait plus approprié que les personnages se marient à la fin du film, même s'ils admettent que ce n'est pas le dénouement le plus réaliste<ref name="DVD">Modèle:Extrait vidéo</ref>.
La scène qui est restée la plus connue du film est celle où Harry et Sally déjeunent au Katz's Delicatessen, situé sur Houston Street dans l'East Village, tout en discutant de la capacité d'un homme à savoir quand une femme simule l'orgasme. Sally prétend que les hommes ne peuvent pas faire la différence et, pour le prouver, elle simule l'orgasme en plein restaurant. La scène se termine quand Sally retourne calmement à son repas et qu'une cliente assez âgée attablée non loin (interprétée par Estelle Reiner, la mère de Rob Reiner<ref>Modèle:Ouvrage</ref>) dit à la serveuse : Modèle:Citation. De nombreuses prises de cette scène ont été faites et Meg Ryan a ainsi dû simuler l'orgasme à maintes reprises<ref name="DVD"/>. L'idée de la scène est née quand l'équipe du film a réalisé que celui-ci commençait à trop se focaliser sur le personnage de Harry et qu'il fallait que le personnage de Sally soit plus mis en avant. Nora Ephron a alors avancé l'idée que Sally pourrait simuler un orgasme, Meg Ryan a suggéré que la scène pourrait avoir lieu dans un restaurant et Billy Crystal a trouvé la réplique finale<ref name="Keyser"/>. En 2005, cette réplique a été classée par l'American Film Institute à la Modèle:33e dans son classement des 100 répliques de films les plus mémorables<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ephron se souvient que, lors d'une projection test, toutes les femmes présentes dans le public riaient alors que tous les hommes restaient silencieux, comme abasourdis par cette révélation qu'ils avaient du mal à accepter<ref name="Collector"/>.
Quand on lui pose la question, au sujet de l'amitié entre hommes et femmes, qui est le sujet principal du film, Meg Ryan répond Modèle:Citation. Billy Crystal répond : Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>.
Bande originale
Modèle:Infobox Musique (œuvre)
Rob Reiner souhaite avoir une bande originale composée de standards du jazz, et Bobby Colomby, le batteur du groupe Blood, Sweat and Tears et ami de Reiner, recommande à celui-ci le jeune Harry Connick Jr. pour travailler avec lui sur la musique du film. Lorsque Reiner écoute la cassette que Colomby lui a envoyé, il est frappé par la ressemblance de la voix de Connick avec celle de Frank Sinatra quand celui-ci était jeune<ref name="Collector"/>. L'album de la musique du film est enregistré en Modèle:Date- et sort le mois suivant sous le label Columbia Records, toutes les chansons y étant interprétées par Connick accompagné par un big band et un orchestre. Connick remporte pour sa performance le Grammy Award de la meilleure interprétation masculine de jazz en 1990<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les arrangements et les orchestrations de It Had to Be You, Modèle:Langue, Modèle:Langue et Modèle:Langue sont de Marc Shaiman, recommandé par Billy Crystal dont il a été le pianiste répétiteur au Saturday Night Live<ref name="DVD"/>, alors que les autres chansons sont interprétés par Harry Connick Jr., accompagné par Benjamin Jonah Wolfe à la basse et Jeff « Tain » Watts à la batterie, ou par Marc Shaiman au piano. Le saxophoniste ténor Frank Wess et le guitariste Joe Berliner participent également à l'enregistrement de l'album. Celui-ci atteint la première place des ventes d'albums de jazz du magazine Billboard et entre dans le Top 50 du Billboard 200<ref>Modèle:Article</ref>. L'album atteint la certification de double disque de platine<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Bien que les chansons soient toutes interprétées par Harry Connick Jr. sur l'album, ce n'est pas le cas pour le film, où on peut entendre notamment Frank Sinatra, Louis Armstrong, Ella Fitzgerald, Ray Charles et Bing Crosby. En 2004, la chanson It Had to Be You a été classée à la Modèle:60e dans la liste établie par l’American Film Institute des plus grandes chansons du cinéma américain<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Morceaux du film
- "It Had to Be You Instrumental " (Isham Jones, Gus Kahn) – Harry Connick Jr. Trio
- "Our Love Is Here to Stay" (George Gershwin, Ira Gershwin) – Louis Armstrong et Ella Fitzgerald
- "Don't Pull Your Love" (Brian Potter, Dennis Lambert) – Hamilton, Joe Frank & Reynolds
- "Ramblin' Man" (Dickey Betts) – Allman Brothers Band
- "Right Time of the Night" (Peter McCann) – Jennifer Warnes
- "Let's Call the Whole Thing Off" (G. Gershwin, I. Gershwin) – Louis Armstrong et Ella Fitzgerald
- "Where or When" (Lorenz Hart, Richard Rodgers) – Ella Fitzgerald
- "Lady's Lunch" (Marc Shaiman)
- "The Tables Have Turned" (Laura Kenyon, Marc Shaiman, Scott Wittman)
- "But Not for Me" (G. Gershwin, I. Gershwin) – Harry Connick Jr.
- "Plane Cue" et "La Marseillaise" (Max Steiner) (de Casablanca 1942
- "La Marseillaise" (Claude Joseph Rouget de Lisle)
- "Autumn in New York" (Vernon Duke) – Harry Connick Jr. Trio
- "Winter Wonderland" (Felix Bernard, Richard B. Smith) – Ray Charles
- "I Could Write a Book" (Hart, Rodgers) – Harry Connick Jr.
- "The Surrey with the Fringe on Top" (Rodgers, Oscar Hammerstein II) – Billy Crystal et Meg Ryan
- "Say It Isn't So" (Irving Berlin)
- "String Quartet No.7" (Wolfgang Amadeus Mozart)
- "Stompin' at the Savoy" (Benny Goodman, Chick Webb, Edgar Sampson, Andy Razaf) – Harry Connick Jr. Trio
- "Don't Be That Way" (Sampson, Goodman, Mitchell Parish)
- "Have Yourself a Merry Little Christmas" (Ralph Blane, Hugh Martin) – Bing Crosby
- "Call Me" (Tony Hatch) – Billy Crystal
- "Don't Get Around Much Anymore" (Duke Ellington, Modèle:Lien) – Harry Connick Jr.
- "Isn't It Romantic?" (Hart, Rodgers)
- "Auld Lang Syne" (Robert Burns) – Louis Armstrong
- "It Had to Be You" (Isham Jones, Gus Kahn) – Frank Sinatra
Accueil
Sortie du film et box-office
Columbia Pictures choisit de distribuer le film en utilisant la technique de « plate-forme », qui consiste à le projeter tout d'abord dans quelques villes et de laisser le bouche à oreille accroître l'intérêt pour le film, qui est alors distribué graduellement à l'échelle nationale durant les semaines suivantes. Lors du premier week-end d'exploitation, le film rapporte Modèle:Unité alors qu'il est programmé dans 41 salles de cinéma<ref name="Mojo">Modèle:Lien web</ref>. Malgré les inquiétudes de Billy Crystal, qui craint que le film ne fasse un flop car il doit subir la concurrence de blockbusters tels que Indiana Jones et la Dernière Croisade et Batman<ref name="Keyser"/>, le film est distribué dans tous les États-Unis le Modèle:Date, dans 775 salles, et rapporte Modèle:Unité pour son premier week-end d'exploitation à l'échelle nationale<ref name="Mojo"/>. Finalement, le film est projeté dans Modèle:Unité de cinéma et rapporte Modèle:Unité aux box-office américain, recettes qui dépassent de loin son budget de Modèle:Unité<ref name="Mojo"/>.
En France, le film a réalisé Modèle:Unité<ref name="jps">Modèle:Lien web</ref>.
Accueil critique
Les critiques du film ont été en général très positives. Il recueille 88 % de critiques positives, avec une note moyenne de Modèle:Fraction et sur la base de 59 critiques collectées, sur le site Rotten Tomatoes<ref>Modèle:Lien web</ref>. Sur le site Metacritic, il obtient un score de Modèle:Fraction, sur la base de 17 critiques collectées<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Roger Ebert, du Chicago Sun-Times, parle de Rob Reiner comme de Modèle:Citation, disant du film qu'il est Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>. Rita Kempley, du Washington Post, évoque une comédie qui Modèle:Citation et fait l'éloge de la distribution, non seulement des deux acteurs principaux mais aussi de Carrie Fisher et Bruno Kirby<ref>Modèle:Article</ref>. Mike Clark, de USA Today, donne au film trois étoiles sur quatre et écrit que Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>.
Caryn James, du New York Times, est plus nuancé dans son article, écrivant que le film est Modèle:Citation et qu'il est Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>. David Ansen, du magazine Newsweek, délivre l'une des rares critiques négatives du film en critiquant le choix de Billy Crystal en tant qu'acteur principal, écrivant que Modèle:Citation et que le film Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>.
En France, Thierry Jousse, des Cahiers du cinéma, évoque une Modèle:Citation qui Modèle:Citation et explique que la Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>. Igor Hansen-Løv, de L'Express, estime que le film demeure l'une Modèle:Citation grâce à son Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>. Marine Landrot, de Télérama, trouve que c'est un film Modèle:Citation qui Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ariane Beauvillard, du site internet Critikat.com, trouve que la meilleure idée de cette Modèle:Citation est d'avoir créé Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>. Pour le site Cinefeed, le film a créé la recette de la parfaite comédie romantique Modèle:Citation car Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Distinctions
À la cérémonie des BAFTA Awards de 1990, Nora Ephron a été récompensée du BAFTA Award du meilleur scénario original et Rob Reiner a été nommé dans la catégorie du meilleur film<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ephron a également été nommée dans la catégorie du meilleur scénario original lors de la [[62e cérémonie des Oscars|Modèle:62e des Oscars]]<ref>Modèle:Lien web</ref> et par la Writers Guild of America en 1990<ref>Modèle:Lien web</ref>. Enfin, lors de la cérémonie des Golden Globes de 1990, le film a été nommé dans cinq catégories : (1) meilleur film musical ou comédie, (2) meilleur réalisateur, (3) meilleur acteur dans un film musical ou une comédie (pour Billy Crystal), (4) meilleure actrice dans un film musical ou une comédie (pour Meg Ryan) et (5) meilleur scénario, mais ne remporta aucun trophée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sortie vidéo
Quand Harry rencontre Sally est sorti en DVD le Modèle:Date- en région 1<ref>Modèle:Lien web</ref> et le Modèle:Date- en région 2<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il comporte en bonus un commentaire audio du film par Rob Reiner, un documentaire sur le making of du film ainsi que sept scènes coupées. Une « Édition Collector », comprenant un nouveau commentaire audio du film par Rob Reiner, Nora Ephron et Billy Crystal, les scènes coupées ainsi que sept documentaires, est sortie en DVD le Modèle:Date- en région 1<ref>Modèle:Lien web</ref> et le Modèle:Date- en région 2<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Influence culturelle
Le film a acquis au fil des ans une grande réputation dans le monde entier<ref>Modèle:Article</ref>. En 2000, il a été classé Modèle:23e dans la liste des films les plus drôles du cinéma américain de l’American Film Institute (AFI)<ref>Modèle:Lien web</ref> et, en 2002, l'AFI l'a classé Modèle:25e dans sa liste des meilleures histoires d'amour du cinéma américain<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2008, il est à la sixième place des meilleures comédies romantiques, toujours selon l'AFI<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En 2008, le magazine [[Empire (magazine)|Modèle:Langue]] le classe à la Modèle:90e dans sa liste des 500 meilleurs films de tous les temps<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2009, le magazine Entertainment Weekly le classe à la Modèle:7e des meilleurs films romantiques des 25 dernières années<ref>Modèle:Article</ref>, ainsi qu'à la Modèle:12e des films les plus drôles des 25 dernières années<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2002, le magazine l'avait également classé à la Modèle:3e de sa liste des meilleures romances modernes<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2010, le site Rotten Tomatoes le classe Modèle:15e dans sa liste des 25 meilleures comédies romantiques<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Quand Harry rencontre Sally a renouvelé le genre de la comédie romantique et a inspiré de nombreux films de ce genre, dont Sept Ans de séduction<ref>Modèle:Article</ref>, Hum Tum<ref>Modèle:Lien web</ref> et Un jour, peut-être<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2004, le film a été adapté en comédie musicale au Theatre Royal Haymarket de Londres, avec Luke Perry et Alyson Hannigan dans les rôles titres<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis avec Michael Landes et Molly Ringwald<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2019, Elizabeth Sankey reprend ce film dans son documentaire Romantic Comedy<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Notes et références
Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références