Sémelay

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Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Infobox Commune de France

Sémelay<ref>Nom officiel de la commune.</ref>,<ref>Avec l'accent, comme l'atteste le champ « Nom de la commune » sur le site consacré à la commune.</ref> Modèle:Incise est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Fichier:Carte géologique du Morvan.svg
Carte du Morvan.

Sémelay se situe dans le sud-ouest du Morvan, au sud-est du département de la Nièvre, entre les communes de Saint-Honoré-les-BainsModèle:Unité) et LuzyModèle:Unité). Le village se situe presque dans une petite vallée et il est entouré de collines boisées<ref>Sémelay sur une carte topographique sur Géoportail</ref>. Le bourg est situé à 294 mètres d'altitude. Le territoire communal est très accidenté et possède quelques vignobles.

Sémelay est aussi située sur les rives de l'Alène, et est composée des bois de Vauvray, de Berluchet et de Sémelay.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes : Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Modèle:…

Hydrographie

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Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

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Climat

Le climat y est de type continental.

Ville Ensoleillement Pluie Neige Orage Brouillard
Paris Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité
Nice Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité
Strasbourg Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité
Sémelay Modèle:Unité<ref>MétéoFrance - ensoleillement de la station Nevers-Marzy</ref> Modèle:Unité<ref>MétéoFrance - pluviométrie de la station Nevers-Marzy</ref> Modèle:Unité<ref>MeteoCentre - carte des jours de neige - Decize</ref> Modèle:Unité<ref>MeteoCentre - carte des jours d'orage - Decize</ref> Modèle:Unité<ref>MeteoCentre - carte des jours de brouillard - Decize</ref>
Moyenne nationale Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité Modèle:Unité

Voies de communication et transports

Urbanisme

Typologie

Sémelay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (57,6 %), forêts (30,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), zones urbanisées (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de Sémelay proviendrait de Simuliacum ou Semelayum, peut-être le nom d'une famille gallo-romaine vivant là. Simullai était une place forte du système défensif des Romains dans le pays éduen. Une autre théorie voudrait que le nom provienne de Sémélé, mère de Bacchus, le dieu du vin chez les Romains, qui aurait eu un temple en ce lieu<ref name="Baudiau">Jacques-François Baudiau, Le Morvand, 1865, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5791782r%7C{{ #if: bpt6k5791782r |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>. Une fouille opérée en 1830, qui permit la découverte d'une enceinte carrée, de restes de mosaïque et de nombreux squelettes à peu de distance de l'église donne quelque crédit à cette hypothèse.

Histoire

Antiquité et Moyen Âge

La butte du Pont Jallery aurait été occupée par l'homme dès la Préhistoire (civilisation de La Tène). Des traces de gravures au burin représentant des signes géométriques ainsi que des figures zoomorphiques se trouvent à 300 mètres au nord-est du hameau des Renauds<ref name="ref-1">Modèle:Lien web.</ref>.

Plusieurs traces d'habitat gallo-romain ont été trouvées à Sémelay, aux Lassas, à Millery, à Vauvray, au bourg, etc. Le castrum gallo-romain de Montécot permettait de surveiller les passages dans la vallée de l'Alène et fut remplacé au Moyen Âge par une motte féodale où s'éleva un donjon de Modèle:Unité sur Modèle:Unité qui fut détruit sur ordre de Richelieu. La seigneurie de Montécot disposait du « droit de toute justice » (c'est-à-dire de haute justice, de moyenne justice et de basse justice). On voit encore les ruines du château. La tour en ruines fut utilisée comme sommet de triangulation lors de l'élaboration de la carte de Cassini au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Une autre motte féodale, dénommée Place Froide, existe en face, sur l'autre versant de la vallée de l'Alène<ref name="ref-1" />. Les terres de Sémelay étaient alors inféodées aux comtes de Nevers, la paroisse dépendait du diocèse d'Autun et de l'archiprêtré de Luzy. Montécot était une étape sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.

Le manoir du Plessy (« Plessis ») disposait lui aussi du « droit de toute justice » ; il possédait deux tours et un donjon. Ces deux seigneuries relevaient en fief du duché de Nevers et en arrière-fief du comté de Larochemillay.

Sémelay en 1368 aurait été le théâtre d'une victoire des Bourguignons, sous le règne du duc de Bourgogne Philippe le Hardi, face aux bandes gasconnes au service du roi de France Charles V<ref>Lebeuf, Mémoires, 1848, cité par Jacques-François Baudiau dans Le Morvand, 1865, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5791782r%7C{{ #if: bpt6k5791782r |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref> qui sévissaient dans la région<ref>Maximilien Quantin, Notes tirées de l'ouvrage de M. E. Petit, intitulé Itinéraires de Philippe-le-Hardi et Jean-sans-Peur, ducs de Bourgogne (1363-1419), 1890, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k672411%7C{{ #if: bpt6k672411 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

Modèle:Citation bloc

Un site clunisien

En 1076, l'église de Sémelay est décrite « ecclesiam in villa quae dicitur Simullai » dans une bulle du pape Grégoire VII. Mais le prieuré bénédictin, fondé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par la puissante maison de Châtillon-en-Bazois, semble avoir décliné très vite : en 1263, il est réduit à un prieur assisté d'un moine et il fusionne vers 1275 avec le prieuré de Saint-André à Luzy.

Entre le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et la Révolution française, l'église est partagée en deux : l'abbé de Cluny, prieur, perçoit les dîmes et se réserve l'usage du chœur, du transept et du clocher ; les paroissiens ont droit à la nef et aux bas-côtés<ref name="FSC">Le prieuré Saint-Pierre de Sémelay sur le site de la fédération des sites clunisiens</ref>. En 1701, le cardinal de Bouillon est prieur de Sémelay, Luzy et Saint-Avrée<ref name="Baudiau" />.

Époque moderne

En 1667 à Sémelay on déclare : « Il y a 400 communiants qui ne veulent pas mettre hors de l'église leurs arches et leurs coffres, usants de menaces »<ref>Cité par Pierre Deffontaines dans Géographie et religion, Gallimard, 1948</ref>.

Révolution française

André Thuillier a décrit Sémelay pendant la Révolution française entre 1793 et 1795 dans Économie et société nivernaises au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>André Thuillier, Économie et société nivernaises au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Paris, Mouton, 1974</ref>. C'est une description d'un village du Morvan sous la Convention, grâce au registre des délibérations de la commune de Sémelay de 1793 à 1795, village très isolé, où l'on respecte strictement les ordres de l'administration, sans révolte, mais sans passion, où les mêmes hommes entourés de l'estime générale restent en place et où, au fond, rien ne change<ref>Le Mouvement social : bulletin trimestriel de l'Institut français d'histoire sociale, octobre 1980, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5731784x%7C{{ #if: bpt6k5731784x |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Les réquisitions et l'occupation wurtembergeoise en 1815

Le colonel du Martray, d'après les notes laissées par son grand-père qui vivait au château du Martray en Sémelay en 1815 a décrit cette occupation et ces réquisitions : en juillet 1815, à la suite de la défaite de [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] qui met fin à la période des Cent-Jours, Sémelay est occupé à deux reprises par des troupes wurtembergeoises (lesquelles occupaient principalement, avec les troupes autrichiennes, Luzy) qui logent chez l'habitant (par exemple lors de la deuxième occupation 1 officier et 60 hommes à partir du Modèle:Date- et jusqu'au Modèle:Date). En 35 jours d'occupation, le détachement wurtembergeois avait exigé 2 616 livres de pain, 1328 livres de viande, etc.

Les habitants doivent aussi obéir aux réquisitions des troupes d'occupation : le maire de Sémelay dut faire envoyer des vivres à Luzy pour approvisionner les troupes autrichiennes et wurtembergeoises, en particulier de nombreuses tourtes de pain, de la paille, du vin rouge, des bœufs, du foin, de l'avoine, etc. L'acheminement était difficile car la route de Luzy à Sémelay était à l'époque une mauvaise piste de 13 km praticable seulement par les chars à bœufs. La valeur des denrées fournies fut estimée en tout à 1861 francs, somme énorme pour l'époque (le budget communal annuel de la commune était alors de 400 francs)<ref>Colonel du Martray, Les Alliés à Semelay en 1815, Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts, XXVe volume, 1919, p. 165-192.{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k298735v%7C{{ #if: bpt6k298735v |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

Sémelay et la Petite Église

Des « anticoncordataires » (refusant le concordat de 1801), membres de la Petite Église, surnommés « Blancs » en Bourgogne, se réunirent régulièrement à Sémelay pendant une bonne partie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Congrès scientifique de France, 4 septembre 1876, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k445280h%7C{{ #if: bpt6k445280h |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

Fichier:Eglise de Semelay (1891).jpg
L'église de Semelay en 1891 (photographie de Médéric Mieusement).

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

L'expulsion des sœurs et la révocation du maire (1903)

En 1903, le comte de Chargères, maire, et son adjoint, Doussot, sont suspendus<ref>Bulletin des congrégations, 31 mai 1903, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57563177%7C{{ #if: bpt6k57563177 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref> puis révoqués par le gouvernement<ref>Journal Le Courrier de la Nièvre, n° du 31-05-1903, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5507216x%7C{{ #if: bpt6k5507216x |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref> pour s'être opposés à l'expulsion des congrégations religieuses, ce qui avait entraîné des troubles à Sémelay où les paroissiens avaient, maire en tête, défendu les sœurs de la Providence de Portrieux qui avaient un établissement dans la commune pratiquant l'instruction primaire et les soins aux malades<ref>Augustin Joseph Crosnier, Les congrégations religieuses dans le diocèse de Nevers. Volume 2, Congrégations de femmes, 1877, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6128033v%7C{{ #if: bpt6k6128033v |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

Modèle:Citation bloc

En juillet 1903 est installée la première ligne téléphonique reliant Sémelay à Fours et Saint-Honoré-les-Bains<ref>Journal Le Courrier de la Nièvre, n° du 5-07-1903, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55072217%7C{{ #if: bpt6k55072217 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

Les guerres du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Le monument aux morts de Sémelay porte les noms de 65 habitants de la commune morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale<ref>MemorialGenWeb.org - Sémelay (58) : monument aux morts</ref>.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Le hameau des Montarons avait 115 habitants, celui du Bois-de-Mary 82 habitants et celui des Durands 72 habitants vers 1890<ref>Paul Joanne, Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies. 4, L-M, 1890, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k73392f%7C{{ #if: bpt6k73392f |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.


Modèle:Population de France/section

Sémelay est désormais presque quatre fois moins peuplée qu'en 1793 et presque six fois moins peuplée qu'en 1896. Si la commune a dans l'ensemble gagné des habitants tout au long du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, doublant sa population entre 1800 et 1896, date du maximum démographique, le déclin a été spectaculaire et quasi continu tout au long du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune perdant Modèle:Nombre entre 1896 et 2008 (-82,6 % en Modèle:Nobr) et le déclin, toutefois ralenti, se poursuit dans la première décennie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Ce déclin est dû à un exode rural très important qui a persisté, le solde migratoire restant négatif jusqu'en 1999 mais toutefois devenu légèrement positif entre 1999 et 2008 (+0,6 % l'an). Cette émigration, de jeunes adultes essentiellement, a entraîné un vieillissement de la population (33,2 % de 65 ans et plus pour seulement 18 % de 0 à 19 ans en 2007) et un solde naturel négatif (-1,3 % l'an entre 1999 et 2008)<ref>Population de Sémelay sur le site de l'Insee.</ref>.

Les résidences secondaires (103 en 2008) sont presque aussi nombreuses que les résidences principales (138 en 2008) et trois maisons seulement ont été construites entre 1990 et 2004, ce qui illustre aussi le vieillissement du parc immobilier<ref>Logements de Sémelay sur le site de l'Insee</ref>.

Économie

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Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église est intéressante surtout par ses 40 chapiteaux alliant visages intrigants et symboles végétaux, ses 40 bases de piliers ornementées de décors tous différents et ses 4 pilastres aux moulures variées<ref>http://www.culture.fr/recherche/?typeSearch=collection&SearchableText=S%E9melay&portal_type=CLT_Site_Note#categorie_2</ref>. Certaines des scènes représentées sont considérées comme « osées », surprenantes dans une église, comme une scène de sodomie, une autre scène représentant des porcs dévorant des victimes. Ouverte tous les jours<ref>Dépliant touristique du diocèse de Nevers, Visitez les églises de la Nièvre, Pastorale Tourisme & Loisir, 2013</ref>

Patrimoine culturel

Légende

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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