Saint-Gervasy

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France Saint-Gervasy est une commune française située dans l'est du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vieux Vistre, le Canabou et par deux autres cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises »), un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Gervasy est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'unité urbaine de Bezouce et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'aqueduc de Nîmes, inscrit en 1999.

Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Communes limitrophes Situé entre les Alpilles, les Cévennes et la Camargue, ce village dont les maisons sont en pierre du Gard est facilement accessible puisqu'il se trouve proche de la route départementale D6086 entre Nîmes (8 km) et Avignon (33 km). Elle est la ville-centre d'une unité urbaine de l'aire urbaine de Nîmes.

Saint-Gervasy est l'une des 75 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard (voir lien) et fait également partie d'une des 41 communes du Pays Garrigues Costières.

La commune est traversée par l'autoroute A9 (Orange - Le Perthus) mais la sortie la plus proche se trouve sur la commune voisine de Marguerittes (N°24 : Nîmes-Est/Marguerittes).

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 16,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de Modèle:Unité reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Un autre espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Réseau Natura 2000

Fichier:30257-Saint-Gervasy-Natura2000.png
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, qui accueillait, en 2004, Modèle:Unité chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Fichier:30257-Saint-Gervasy-ZNIEFF1.png
Carte de la ZNIEFF de Modèle:Nobr localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : la « plaine de Manduel et Meynes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Gervasy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Bezouce, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (39,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), forêts (15,9 %), zones urbanisées (10,8 %), terres arables (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Gervasy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Nîmes, regroupant Modèle:Nobr soumises aux aléas de ruissellement pour la commune de Nîmes et de débordements de cours d’eau, notamment du Vistre, d'un de ses affluents, le Rhôny, et plus à la marge du Rhône, à l’aval, un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les événements significatifs passés relatifs à la Vistre sont des crues rapides et violentes, qui causent d’importants dégâts, voire des pertes humaines (octobre 1988, septembre 2002, décembre 2003, septembre 2005 notamment). Concernant le Rhôny, les principales crues recensées à Codognan ont eu lieu en 1845, 1933, 1945, 1958, 1963, 1976, 1987 et en octobre 1988. Cette dernière est la plus importante et marquante pour la population nîmoise. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1988, 1990, 2002, 2004 et 2005<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:30257-Saint-Gervasy-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gervasy.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 93,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 727 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Toponymie

Modèle:...

Histoire

Une petite agglomération existait en ce lieu dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Le premier document officiel mentionnant le village est le Cartulaire de Notre Dame de Nîmes, qui le nomme "VILLA SANCTI GERVASI" en 1156.

Au cours des guerres de Religion, le village fut souvent attaqué par les protestants qui s'en rendirent maîtres. Les catholiques le reprirent peu de temps après et tour à tour, il passa aux mains des uns et des autres.

À partir de 1622 et jusqu'à la Révolution, Saint-Gervasy vécut dans le calme et la tranquillité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Belleviste<ref name="Cassini" />.

La Croix de Saint-Gervasy

Une fin d'après-midi de Modèle:Date-, Barthelemy Roubiau, un berger de Ventabren (Bouches-du-Rhône) chemine vers la région d'Uzès où son patron l'a envoyé chercher des herbages pour l'estive suivante. Arrivé non loin du village de Saint-Gervasy, il s'agenouille près d'une petite croix pour dire une prière, au lieu appelé, « la croix rouge ».

La nuit approche, il se relève et aperçoit des flammes sur la colline qui domine le village. Il obtient l'asile pour la nuit. Les flammes lui apparaissent toujours et il est semble-t-il, le seul à les voir. Après un sommeil réparateur, au matin il repart passe tout près de la colline où il ne voit plus les flammes, mais comprend qu'il a reçu un signe.

Quelque temps plus tard, il va revenir et obtient d'Esprit Fléchier, évêque de Nîmes, l'autorisation d'ériger une croix au sommet de la colline du Puech Icard. Les jeunes gens du village lui demandent de la porter eux-mêmes pieds nus sur la colline, toute la population est présente.

Très rapidement, la Croix de Saint-Gervasy va devenir un lieu de dévotion de plus en plus fréquenté, Une foule nombreuse venant demander et obtenir des grâces et même des guérisons.

Le Modèle:Date-, Esprit Fléchier va écrire une longue lettre pastorale au sujet de la croix de Saint-Gervasy. En substance, il encourage les fidèles à venir s'y recueillir, mais il met aussi en garde contre les fausses croyances. En 1707, une chapelle est construite. C'est une construction très aérée, avec 4 piliers et un toit en forme de pagode.

Pendant la période révolutionnaire, les menaces s'accumulent sur la communauté catholique, une nuit plusieurs paroissiens viennent retirer la croix qui va être enterrée dans la cour de Joseph Cressenty. La chapelle est détruite, elle ne sera reconstruite qu'en 1803 et la croix réimplantée.

En 1836, le sentier qui monte vers la croix est aménagé, des petits oratoires sont construits en simple maçonnerie. De 1872 à 1878, les petits oratoires qui étaient très dégradés sont remplacés par des monuments plus importants qui subsistent toujours, les tableaux qui représentent la passion du Christ sont en terre cuite. Toutes ces stations ont pu être réalisées grâce à la générosité des paroisses environnantes ou par des donateurs dont les noms figurent sur chaque station.

En 1936, les plaques de terre cuite furent remplacées par des plaques en fonte. Depuis, des dégradations rendaient nécessaires des travaux, et c'est sous l'impulsion du père Benoît que ce dernier programme a été lancé depuis 2008 avec le secours d'un groupe de bénévoles venus rendre aux stations du chemin de croix leur éclat d'antan, et une souscription a permis la rénovation de la chapelle et des sculptures représentant la passion du Christ.

Commencés le Modèle:Date-, les travaux ont été achevés le Modèle:Date- en la fête de la Croix Glorieuse au cours de laquelle Robert Wattebled, évêque de Nîmes, est venu bénir un nouvel autel<ref>nimes.catholique.fr/actualite/docarti/st%20gervasy_historique.pdf</ref>.

Politique et administration

Liste des maires

Fichier:Saint-Gervasy Hôtel de ville.JPG
Hôtel de ville

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Canton

La commune fait partie du canton de Marguerittes. Le canton dépend de l'arrondissement de Nîmes et de la sixième circonscription du Gard.

Intercommunalité

La commune fait partie de la communauté d'agglomération Nîmes Métropole (CANIM), dont le siège se trouve à Nîmes.

Politique environnementale

Modèle:...

Finances locales

Modèle:...

Jumelages

Modèle:...

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Modèle:...

Santé

Modèle:...

Sports

Modèle:...

Cultes

Modèle:...

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 74,6 % d'actifs (65 % ayant un emploi et 9,7 % de chômeurs) et 25,4 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 232 en 2013 et 180 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 818, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,6 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 818 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 95 travaillent dans la commune, soit 12 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 91,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

132 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Gervasy au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 132
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
11 8,3 % (7,9 %)
Construction 31 23,5 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
44 33,3 % (30 %)
Activités financières et d'assurance 2 1,5 % (3 %)
Activités immobilières 2 1,5 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
15 11,4 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
20 15,2 % (13,5 %)
Autres activités de services 7 5,3 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (44 sur les 132 entreprises implantées à Saint-Gervasy), contre 30 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • Air Sud Maintenance, réparation de machines et équipements mécaniques (Modèle:Unité)

Agriculture

La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 41 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 26 en 2000 puis à 16 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 15 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 63 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 10 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail