Uzès

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Modèle:Voir paronymes Modèle:Infobox Commune de France

Uzès Modèle:API-fr (Usès en occitan provençal, selon la norme classique) est une commune française située dans l'est du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par Les Seynes, l'Alzon et par Les Rosselles. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Uzès est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle est ville-centre de l'agglomération d'Uzès et fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès. Ses habitants sont appelés les Uzétiens ou Uzétiennes.

Uzès est qualifiée de « premier duché de France », ce titre n’étant lié au duché qu'en raison de l'ordre de préséance dans la hiérarchie de la noblesse, attribuée au duc d'Uzès en 1565 par Charles IX, alors roi de France. Le titre était lié à l'homme et non à ses terres.

Elle est la ville principale du pays d'Uzès. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Uzès se situe dans un cercle formé par les villes d'Alès, Modèle:Unité au nord-ouest, Avignon, Modèle:Unité à l'est, et Nîmes, la ville la plus proche à Modèle:Unité au sud. Elle se situe également à environ Modèle:Unité de Bagnols-sur-Cèze et à Modèle:Unité de la ville médiévale de Sommières au sud-ouest. La ville édifiée sur un promontoire est bordée de vignes, d'oliviers et de garrigue. Les alentours forment le pays d'Uzès.

Modèle:Carte interactive

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes : Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Les études du patrimoine géologiques :

Sismicité

La commune est située dans une zone de sismicité modérée<ref>Didacticiel de la réglementation parasismique.</ref>.

Hydrographie et les eaux souterraines

Fichier:Aqueduct-de-nimes.svg
Parcours de l'aqueduc romain de Nîmes.

Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>L'eau dans la commune.</ref> :

  • Arrosée par l'Alzon, elle surplombe la petite vallée fraîche de l'Eure d'où jaillit la source du même nom. C'est d'ici que provenait l'eau alimentant la ville de Nîmes à l'époque romaine. Cette eau était acheminée via un aqueduc de Modèle:Unité dont la partie la plus visible est le pont du Gard ;
  • Rivière Les Seynes ;
  • Ruisseau Les Rosselles ;
  • Station de pompage d'eau potable, puis centrale hydroélectrique de la ville d'Uzès<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Modèle:Centrer
  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 15,7 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cavillargues », sur la commune de Cavillargues, mise en service en 1961<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Fichier:30334-Uzès-ZNIEFF2.png
Carte de la ZNIEFF de Modèle:Nobr localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « plateau de Lussan et Massifs Boisés » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Uzès est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Uzès, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme<ref>Plan local d'urbanisme.</ref>.

La ville d'Uzès considère son patrimoine et son activité touristique comme un des facteurs principaux de développement local et de moteur de son économie<ref>Modèle:Pdf Les propriétaires dans le centre ancien.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,5 %), zones urbanisées (19,7 %), forêts (16,6 %), terres arables (11,1 %), cultures permanentes (5,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports

Voies routières

Modèle:...

Transports en commun

Fichier:Gare uzès.JPG
Modèle:Centrer

Uzès a été desservie par une ligne secondaire PLM puis SNCF qui reliait Remoulins à Alès, appelée à l'origine « ligne Beaucaire - Le Martinet ». Une jonction permettait également de relier la ligne des Cévennes entre Uzès et la gare de Nozières - Brignon.

À l'écart des grandes voies de communication, la gare d'Uzès distante d'environ Modèle:Unité de la ville, en contrebas de la colline vers l'ouest et inaugurée en 1880, est fermée. L'ancien bâtiment de la gare, typique de l'architecture normalisée du PLM (1880) est surmonté d'une horloge couronnant sa façade au sein d'un oculus toujours visible. Désaffectée, elle est devenue une propriété privée. Les rails entre Uzès et Remoulins existent toujours mais pourraient être déposés pour laisser la place à une « voie verte » comme cela a été fait entre Caveirac et Sommières en 2006-2007.

La ville est desservie par plusieurs lignes d'autocar à destination de Nîmes via le pont Saint-Nicolas, Alès et Avignon via le pont du Gard et Remoulins.

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Uzès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment Les Seynes et l'Alzon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1996, 1997, 1998, 2002, 2014 et 2021<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:30334-Uzès-argile.png
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Uzès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 82,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 2672 sont en aléa moyen ou fort, soit 96 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017, par des mouvements de terrain en 1983 et par des glissements de terrain en 1988<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Toponymie

Modèle:Article connexe

Attestations anciennes

Le nom de la localité est attesté sous les formes VCCETIO ; VCETIA ; Castrum Ucetiense ; Ucetia en 506 ; Uzecia, urbs Occitaniæ en 826 ; Ucetia en 878 ; Eutica en 1099 ; Uzetica en 1107 ; Ucetia en 1156 ; Uzez en 1157 ; Ucecia en 1158 ; Uzes en 1160 ; Uzecium en 1160 ; Ussecia en 1363 ; Villa Ucecie en 1384 ; Usès en 1474 ; Ucecia en 1485 ; Villa Ucetiæ en 1505 ; Uzez en 1532<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Uzès-la-Montagne pendant la Révolution française, Uzès depuis 1793 et 1801<ref name="Cassini" />.

Dès l'antiquité, on trouve (sur une stèle exposée au musée de la Romanité à Nîmes) la mention de la cité de Ucetia comme étant l'une des deux cités les plus importantes autour de Nemausus (Nîmes). Par la suite, la localité est signalée en l'an 506 dans les écrits et sur une monnaie mérovingienne, in pago Ucetico en 813, abbatia et villa Sancti Firmini en 1156<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Étymologie

Il semblerait que le toponyme Usès, en occitan, soit pré-celtique et reste de signification inconnueModèle:Refnec. « Le nom latin d|Ucetia, formé probablement sur un toponyme celte uk (correspondant à une hauteur dans une langue pré-celtique)Modèle:Refnec, donnera régulièrement Ucèz ou Usèz (comme on le lit encore dans les lettres de Jean Racine)<ref name="S A-M p31">Modèle:Ouvrage.</ref> ».

Histoire

Modèle:Article détaillé

Fichier:Duche-Uzes.JPG
Le Duché.

Le développement de la cité d'Uzès, dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avant notre ère, est antérieur à la construction du pont du Gard qui amenait l'eau de la fontaine d'Eure jusqu'à Nîmes et dont la construction remonte au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de notre ère. Le plateau calcaire sur lequel se situe Uzès était déjà occupé vers le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avant notre ère probablement par un oppidum qui accueillait la future cité. Un des quartiers périphériques de la ville d'Ucetia a été mis au jour au nord du centre médiéval en 2017. Ces fouilles menées sur Modèle:Unité révèlent l'existence de quartiers urbains à vocation artisanale et résidentielle (rues, îlots d'habitation, puits, hypocauste, domus, mosaïques) dont l'ancienneté est estimée à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avant notre ère<ref>Découverte de l'Uzès antique, sur inrap.fr.</ref>.

Il existe un évêché à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle jusqu'à la Révolution française. Il est supprimé en 1817. Successivement vicomté et comté en 1486, elle devint duché en 1565.

Uzès est durement éprouvée par les guerres de Religion et par la guerre des camisards.

Entre 1795 et 1800, la commune absorbe celle voisine de Saint-Firmin<ref name=Cassini/> peuplée, selon le recensement de 1793, de Modèle:Unité ; cette dernière avait porté provisoirement, au cours de la Révolution française, le nom de Firmin-lès-Uzés<ref>Modèle:Cassini-Ehess.</ref> ; Uzès elle-même avait été renommée, durant cette période, Uzès-la-Montagne<ref name=Cassini/>.

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926.

La marquise de Crussol joue un rôle important dans le nouveau souffle donné à la ville. À partir de 1951, elle engage d'importants travaux de restauration du château<ref>Bernard Wagon, Valérie Rousset, « Ville d'Uzès - Plan de sauvegarde et de mise en valeur », sur gard.gouv.fr, 17 novembre 2016, Modèle:P.53 (consulté le 10 août 2022). — Lettre du Modèle:Date- de la marquise de Crussol au préfet du Gard, Archives départementales du Gard, 8 T 253.</ref>. Au début des années 1960, elle intervient auprès d'André Malraux<ref>Sébastien Hoebrechts, « Ces grandes familles qui veillent sur Uzès », sur lepoint.fr, 19 juillet 2018 (consulté le 10 août 2022).</ref> pour que sa sa loi de 1962 permette la création à Uzès d'un des premiers secteurs sauvegardés. C'est chose faite en 1965<ref>« Uzès », sur sites-cites.fr, 2022 (consulté le 10 août 2022).</ref>. La restauration de la ville peut commencer.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Fichier:Uzès 1.JPG
L'hôtel de ville.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Budget et fiscalité 2021

Modèle:Mettre à jour Modèle:Colonnes

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : Médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Euro<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.</ref>.

Intercommunalité

Communauté de communes Pays d'Uzès<ref>Communauté de communes Pays d'Uzès.</ref>.

Équipements et services publics

Enseignement

Établissements d'enseignements sur la commune :

Santé

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 25,4 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (32,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (42,0 %) est supérieur au taux départemental (29,6 %).

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 55,06 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,82 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Vie culturelle

  • la ville comporte deux librairies proposant des ouvrages littéraires<ref group=Note name="librairie">Les termes « librairie proposant des ouvrages littéraires » visent à différencier ces deux librairies uzétiennes des marchands de journaux et autres papetiers qui, bien que vendant des livres, ne font pas du commerce de la librairie leur activité principale.</ref> ;
  • l'association pour le Théâtre Populaire d’Uzès et de l’Uzège (ATP)<ref name="ATP">Le site de l'ATP, l'association pour le Théâtre Populaire d’Uzès et de l’Uzège.</ref>, créée en 1981, propose une programmation théâtrale ;
  • la ville possède un cinéma, le Capitole ;
  • un centre de développement chorégraphique y est installé ;
  • tous les ans a lieu, lors de la troisième semaine de juin, le festival Uzès danse qui présente des spectacles de danse contemporaine ;
  • Les éditions de la Cigale Uzégeoise connurent un grand succès dans les années 1920-1930. La Nouvelle Cigale tente de relever l'édition régionale<ref>La cigale uzégeoise mise à l'honneur à Uzès.</ref> ;
  • La médiathèque<ref>La médiathèque.</ref>, aménagée dans une ancienne école catholique, que domine une petite « tourelle-clocher » néo-romane terminée par un dôme surmontée aujourd'hui encore d'une statue de la Vierge.

Sports et loisirs

Uzès compte de nombreuses équipes et infrastructures sportives. L'équipe la plus populaire de la ville est l'Entente sportive Pays d'Uzès, club de football évoluant en DHR et jouant au stade Pautex.

Cultes

Économie

Entreprises et commerces

Fichier:Pub Zan 1888.jpeg
Publicité du réglisse Zan.
Fichier:Duché d'Uzès.jpg
AOC Duché d'Uzès.

Modèle:Colonnes

Agriculture et gastronomie

Modèle:Colonnes

Tourisme

Commerces

  • Zone commerciale du Pont-des-Charrettes : Centre commercial Carrefour ;
  • Centre Historique : Principalement des commerces indépendants (By dé Bo, Bénédikt Aïchelé Joaillier<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Le Vestiaire d'Uzès…).

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Modèle:Article détaillé

Fichier:Uzès, Place aux Herbes.jpg
Modèle:Centrer
Fichier:Rue de la Petite Bourgade in Uzes 02.jpg
Modèle:Centrer

Uzès est classée ville d'art et d'histoire. Son centre est particulièrement bien conservé, offrant aux visiteurs de superbes façades des {{#switch: XVIII

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   Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles

}}

}} et de nombreux hôtels particuliers (pour une cité aussi modeste, près de 40 bâtiments sont inscrits ou classés au titre des Monuments historiques !). Les rues piétonnes étroites et pavées ramènent à l'époque médiévale, Renaissance et jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Sa place aux Herbes, ombragée de platanes, entourée de maisons à arcades, et au milieu de laquelle trône une grande fontaine en fonte ouvragée du milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est le lieu d'un marché hebdomadaire du samedi très apprécié, où se mêlent les parfums des herbes aromatiques de Provence et du Languedoc.

Sur la place [[Albert Ier (roi des Belges)|Albert-{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], ancienne place du marché au Blé au centre de laquelle se dresse un gracieuse fontaine figurant une monumentale femme à l'antique en fonte de fer, se situe la chapelle des Capucins construite en 1635 sur l'emplacement d'un temple romain dédié à Auguste. Cette chapelle accueillit les sépultures des ducs d'Uzès jusqu'en 1789 et est actuellement le siège de l'office de tourisme.

Le patrimoine religieux

Modèle:Message galerie 2

Autres lieux et patrimoines

Modèle:Message galerie 2

  • Aqueduc de Nîmes<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ;
  • L'hôtel de ville du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, restauré au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ;
  • Le jardin médiéval<ref>Le jardin médiéval.</ref> ;
  • Les châteaux d'Uzès<ref>Modèle:Pdf Jean Mesqui, Les châteaux d'Uzès, Modèle:P., dans Congrès archéologique de France. Modèle:157e. Gard. 1999, Société française d'archéologie, Paris, 2000, (lire en ligne).</ref>. Uzès conserve un ensemble exceptionnel de trois tours féodales (il y en avait une de plus au Moyen Âge), qui étaient autant de démembrements de la seigneurie originelle, encore représentée par le château du Duché et sa tour Bermonde. La tour de l'Évêché et la tour du Roi, magnifiquement conservées à côté de la tour Bermonde (la plus haute, Modèle:Unité, au sein du Duché), les enceintes et les logis de ces châteaux urbains, témoignent de la façon dont les seigneuries languedociennes étaient partagées au gré des successions, voyant coexister des tours féodales les unes à côté des autres. La tour de l'Évêché est surmontée d'un campanile abritant la cloche de l’Horloge communale depuis 1836. La tourelle et la structure du campanile en fer forgé dépassent en hauteur la tour Bermonde ;
  • Le Duché<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Il s'agit d'un ensemble architectural composite remarquable par la variété de ses styles et des époques de sa construction. On pénètre dans la grande cour par un porche à fronton encadré de deux colonnes en granit. Dans la ligne de mire, on aperçoit directement une grande porte d'époque Louis XIII, elle-même encadrée de colonnes en granit surmontées d'une balustrade. L'ensemble des bâtiments est dominé, au sud, par une puissante tour médiévale du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ancien donjon, dite tour Bermonde, dont le couronnement a été refait au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (terrasse et échauguettes avaient été arasées à la Révolution). On accède à sa terrasse, qui culmine à environ Modèle:Unité, d'où l'on jouit d'un superbe panorama à 360° sur la cité, au moyen d'un escalier en colimaçon de 135 marches. Le contraste entre ce donjon massif et la façade principale est fort lorsque l'on pénètre dans la cour. Le décor de cette grande façade est d'un raffinement Renaissance extrême, avec superposition des trois ordres architecturaux que sont le dorique, l'ionique puis le corinthien, réalisée à la demande d'Antoine de Crussol<ref>Bernard Sournia, Jean-Louis Vayssettes, La façade d'Uzès et son projet, Modèle:P., dans Congrès archéologique de France. Modèle:157e. Gard. 1999, Société française d'archéologie, Paris, 2000.</ref>. Des sculptures et trophées complètent le décor. Sans en être absolument certain, le nom de Philibert Delorme a souvent été associé à cette réalisation pouvant être située vers 1550 (dans la région, seule la façade du château Nogaret de Marssillargues dans l'Hérault peut accepter la comparaison). La chapelle gothique flamboyant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qui lui est accolée au nord fut restaurée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Sa haute toiture couverte de tuiles vernissées à la bourguignonne au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle présente, côté nord, le motif du blason de la famille des Crussol. Le premier étage de cette chapelle, qui comporte trois niveaux, est un oratoire toujours consacré à la riche décoration néogothique en trompe-l'œil. Sa voûte, sur croisée d'ogives, possède liernes et tiercerons.
L'intérieur même du Duché possède de nombreuses pièces meublées et collections ouvertes à la visite. On accède aux appartements, ornés de multiples portraits de la famille, par un très bel et exceptionnel escalier d'honneur Renaissance à l'italienne, rampe sur rampe, voûté en caissons et à pointes de diamants. Mention spéciale pour le Grand Salon Bleu d'époque Louis XV orné de gypseries, de quatre cheminées d'angle en marbre de Carrare et d'une belle collection de vases blancs et bleus en porcelaine de Chine montés en bronze ; meubles, tableaux, etc. Nombreuses autres pièces d'apparat (pas toutes visibles au public, hélas) et de réception, sans oublier la très grande cave. Deux autres tours subsistent au sein de cet ensemble ; la tour dite « polygonale », couverte d'une toiture pointue en tuile vernissées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et la tour ronde de la vigie médiévale ;
  • La tour Fenestrelle. Le monument le plus symbolique de la ville, après le Duché et le château des ducs d'Uzès, est la tour Fenestrelle, haute de Modèle:Unité et qui date en partie du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Sa partie haute fut reconstruite à l'identique au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle après les guerres de religion. Il s'agit d'un clocher de type circulaire unique en France qui rappelle l'architecture lombarde italienne. De style roman, c'est un campanile, séparé du gros-œuvre de la cathédrale Saint-Théodorit. Cette tour évoque quelque peu la tour de Pise. Ses nombreuses ouvertures lui donnèrent d'ailleurs son nom. Elle est couverte d'une toiture conique de tuiles vernissées vertes et jaunes du plus bel effet ;
  • Partie subsistante des remparts<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ;
  • Tour du moulin du Duc<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ;
  • L'ancien hôtel du baron de Castille<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> reconstruit en 1818 par Gabriel Joseph de Froment, baron de Castille, et sa mince et haute colonnade « non canonique », sur la place de l'Évêché, à côté de la cathédrale. Il s'agit à l'origine d'une bâtisse du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, agrandie au {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIIe{{#if:|  }} }} pour compter Modèle:Unité (dont 180 de pièces de réception et sept chambres). Froment acquiert l'édifice en 1785, est arrêté pendant la Terreur révolutionnaire et retrouve ensuite le château pillé et la bibliothèque incendiée. Inspiré par ses voyages, en particulier en Italie, il le restaure dans ce goût, avec des colonnes et des balcons. Le parc de deux hectares comprend un jardin à la française, une galerie, une pièces d'eau, une maison de gardien ainsi que des dépendances. Le baron meurt en 1824 et ses héritiers ne s'occupent plus du château, le parc étant même transformé en basse-cour. En 1924, il est vendu et son nouvel acquéreur tente en vain de réhabiliter l'édifice qui tombe en ruines. En 1950, il est acheté par le critique et historien d'art britannique Douglas Cooper qui le rénove et y installe sa collection d'art contemporain. Plusieurs artistes y séjournent comme Georges Braque, Fernand Léger, Paul Klee ou encore Pablo Picasso, qui réalise au début des années 1960 et avec le sculpteur Carl Nesjar cinq fresques le long d'une colonnade, s'inspirant des Sabines de Jacques-Louis David et du Déjeuner sur l'herbe d'Édouard Manet. Douglas Cooper revend le château en 1977 à une famille d'industriels français, qui le met à son tour en vente en 2016<ref>Modèle:Article.</ref> ;
  • L'ancien hôpital général néo-classique<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ;
  • Les anciennes casernes de style classique du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, abritant aujourd'hui le lycée<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ;
  • La Caisse d'épargne<ref>La Caisse d'Epargne.</ref> ;
  • Le site antique et pittoresque de la fontaine d'Eure<ref>La Fontaine d'Eure.</ref>,<ref>Cavités naturelles : Fontaine d' Eure.</ref> ;
  • L'ancien Museon di Rodo<ref>Scrapbook Modèle:N°. Dessins Ferroviaires Echelle "O" ou "HO". Documents extraits de la collection du Museon di Rodo, Uzès (Gard).</ref>, célèbre musée de la roue et des véhicules, dont la collection a malheureusement été dispersée depuis, était à Uzès, de même que la fonderie Petavit ;
  • La ville abrite aussi un haras national ;
  • Gibet Royal d'Uzès.

Personnalités liées à la commune

Citoyens d'honneur de la ville d'Uzès

  • Jacques Dreyfus (2016), architecte des bâtiments de France ;
  • Bernadette Fenwick (2011) ;
  • Michel Galtier (2014), trésorier principal ;
  • Albert Grimaldi (2017) ;
  • Heinz Zerwes (2014).

Héraldique

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Citations

  • Racine a écrit à Uzès ce vers fameux : Et nous avons des nuits plus belles que vos jours.
  • Dans Si le grain ne meurt, André Gide écrit : « Ô petite ville d'Uzès ! Tu serais en Ombrie, des touristes de Paris accourraient pour te voir ! »

Notes et références

Notes et cartes

Notes

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Cartes

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Références

Site de l'Insee

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Autres sites

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Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Modèle:Ouvrage
  • Modèle:Ouvrage et site Nemausensis
  • Modèle:Ouvrage
  • Gaston Chauvet, Uzès, en parcourant ses rues et sa campagne, histoires d'autrefois et souvenirs d'hier, Uzès, 1964 notice
  • Modèle:Chapitre
  • Modèle:Ouvrage, réedition en 2005.
  • Jean-Christophe Galant, Les affrontements politico-religieux à Uzès (1598-1685), in Religions et pouvoirs dans le Midi de la France de l'Antiquité à nos jours, LXXe congrès de la Fédération du Languedoc Méditerranéen et du Roussillon, Nîmes, Société d'histoire moderne et contemporaine de Nîmes et du Gard, 1998.
  • Jean-Christophe Galant, Les pouvoirs et les affrontements à Uzès au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Maîtrise, sous la dir. de Dominique Biloghi, Montpellier, Université Paul Valéry, 1998.
  • Jean-Christophe Galant, La société et les pouvoirs à Uzès et en Uzège au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, DEA, sous la dir. d'Henri Michel, Montpellier, Université Paul Valéry, 1999.
  • Jean-Christophe Galant : - La maison de Brueys, alliances et patrimoine, Société Historique de l'Uzège (SHU), Modèle:N°, 1999. - Les grandes héritières du Gard en 1810, SHU, Modèle:N°, 2000. - Les ducs d'Uzès aux Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècles, origines, alliances, patrimoine, SHU, Modèle:N°, 2001. - Insécurité et criminalité à Uzès au siècle des Lumières, Archives et Patrimoine, revue Modèle:N°, Les Amis du musée d’Uzès, 2010 - La Révolution à Uzès (1789-1792), Hors-série, Bulletin des Amis du musée d'Uzès, 2010. - La course aux champs à Uzès d'après le journal de Siméon Abauzit, (1814-1815), in Les Cultures politiques à Nîmes et dans le Bas-Languedoc du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle aux années 1970. Affrontements et dialogues. Société d'histoire moderne et contemporaine de Nîmes et du Gard, Paris, l'Harmattan, 2008. * Lionel d'Albiousse, Histoire de la ville d'Uzès, Uzès : H. Malige, 1903 (VII-403 p.), réimprimé en 1978 (Marseille : Laffitte notice), 1994 (Nîmes, éd. Rediviva notice) et 1998 (Péronnas : les Éd. de la Tour Gile notice)
  • Pierre Pelissero, Uzès, Éditions Ouest-France - Provence - Cote d'Azur, Rennes, 1982
  • Jean-Paul Ayrault, Uzès, un tour de ville - Promenades dans l'histoire, Éditions Inclinaison, 2007
  • Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
  • les « Souvenirs de l'Uzège », association des originaires et amis d'Uzès et de sa région, fondée par Robert Blanc (1955) ; site internet bibliographie et sitographie importantes 2014
  • Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio

Articles connexes

Liens externes

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