Saint-Jean (Haute-Garonne)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Jean est une commune française, située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Sausse, le ruisseau de Pichounelle et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Jean est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Jeannais ou Saint-Jeannaises.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Haute-Garonne

La commune de Saint-Jean se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Toulouse<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Rouffiac-Tolosan (Modèle:Unité), L'Union (Modèle:Unité), Castelmaurou (Modèle:Unité), Saint-Geniès-Bellevue (Modèle:Unité), Montrabé (Modèle:Unité), Lapeyrouse-Fossat (Modèle:Unité), Launaguet (Modèle:Unité), Saint-Loup-Cammas (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Jean fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Saint-Jean est limitrophe de cinq autres communes. Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Jean.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Sausse, le ruisseau de Pichounelle, le ruisseau de Dancelle, le ruisseau de Flotis, le ruisseau de la Rouquette, le ruisseau du Pommier et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La Sausse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Lanta et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 9,5 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Fichier:31488-Saint-Jean-ZNIEFF1.png
Carte de la ZNIEFF de Modèle:Nobr localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « bois de Preissac » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Jean est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (81,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (75,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), forêts (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,9 %), terres arables (4,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Voies de communication

Accès par la route : l'autoroute A68 sortie no 1, ou le périphérique de Toulouse Est, sortie no 14 et par la route nationale 88.

Transports

La ligne 42 du réseau Tisséo relie la clinique de L'Union et les quartiers sud de la commune à la station Borderouge du métro de Toulouse, la ligne 43 relie la clinique de L'Union à la station Argoulets, la ligne 68 relie les quartiers sud de la commune à la station Balma - Gramont depuis Castelmaurou, la ligne 73 relie le quartier Lestang et le centre de la commune à la station Borderouge, la ligne 76 relie les quartiers nord de la ville à la station Argoulets depuis Lapeyrouse-Fossat, et la ligne 355 du réseau liO Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse ou à la station Borderouge depuis Villemur-sur-Tarn.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Jean est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Sausse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999, 2003 et 2009<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:31488-Saint-Jean-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jean.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 3 476 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 1997, 1998, 2003, 2011, 2012, 2016, 2017, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

L'origine du nom de Saint-Jean remonte, semble-t-il, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il est attaché au lieu de prière fondé par les Hospitalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem sur des terres qu'ils exploitaient au lieu-dit « Estaquebiau », hameau actuel de la commune. Sous l'Ancien Régime, deux paroisses, Belbèze-lès-Toulouse (appelée aussi Belbèze) et Lacournandrie (appelée aussi La Cornaudric<ref group=Note>Cette graphie est sujette à caution dans la mesure où elle est dépendante de l'écriture et de la lecture qu'on peut en faire.</ref>), installées de part et d'autre du « grand chemin » d'Albi, se partageaient l'actuelle étendue des communes de Saint-Jean et de L’Union.

En 1790, ces deux paroisses donnent naissance à deux communes que le directoire du département de la Haute-Garonne décide de fusionner par un arrêté en date du 16 frimaire an II (Modèle:Date-). Les conseils municipaux devant se tenir dans l'église Saint-Jean-de Kyrié-Éleyson<ref group=Note>Au sujet de la tenue de conseils municipaux dans ladite église, l'arrêté précise : « Le directoire considérant que depuis le règne de l'égalité et de la raison toute présence dans les églises est d'une ridiculité Modèle:Sic affreuse et l'apanage des malveillances… » S'ensuit l'article premier dudit arrêté « invitant le conseil général à changer le nom de Saint-Jean-de Kyrié-Éleyson en un nom plus analogue aux vrais amis de la République. »</ref>, la commune reçoit ce nom<ref>Commune de L'Union. 1 D 5 : registre des délibérations du conseil municipal, an II, 24 frimaire-1821, 30 juin Modèle:Lien archive sur le site des Archives départementales de Haute-Garonne, voir Modèle:P., délibéré du 24 frimaire an II pour la réunion de Belbèze avec La Cornandrie.</ref>.

Le 20 nivôse an II (Modèle:Date-), le conseil se réunit pour adopter le nouveau nom de la commune : L'Union<ref>Commune de L'Union. 1 D 5 : registre des délibérations du conseil municipal, an II, 24 frimaire-1821, 30 juin Modèle:Lien archive sur le site des Archives départementales de Haute-Garonne, voir Modèle:P., réunion du 20 nivôse an II pour changer le nom de la municipalité ou paroisse.</ref>.

En 1868, le hameau de Saint-Jean acquiert son autonomie et le statut de commune<ref name=Cassini/>.

En occitan, le nom de la commune est Sent Joan le Vièlh.

Ses habitants sont appelés les Saint-Jeannais.

Histoire

Modèle:…

Politique et administration

Fichier:Saint-Jean (Haute-Garonne) - La Maire.jpg
L'Hotel de Ville

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de trente-trois<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Rattachements administratifs et électoraux

Commune faisant partie de la deuxième circonscription de la Haute-Garonne.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article détaillé Depuis 1999, un conseil municipal des jeunes a été mis en place.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Source : GeneawikiModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelage

Service public

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Modèle:Tableau rang commune de France

Santé

Centre communal d'action sociale, maison des solidarités du conseil général de Haute-Garonne et de nombreuses associations santé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Enseignement

Saint-Jean fait partie de l'académie de Toulouse.

La commune abrite trois écoles primaires :

  • École Élémentaire Joséphine Baker
    • anciennement École Élémentaire de Preissac
  • École Maternelle Joséphine Baker
    • anciennement École Maternelle de Preissac
  • École Primaire Marie-Louise Dissard
    • anciennement École Élémentaire du Centre
      • École Maternelle du Centre
    • anciennement École Élémentaire Belbèze mixte 1
      • École Élémentaire Belbèze miste 2
      • École Maternelle de Belbèze
    • anciennement École Primaire de la Mairie
  • Marcel Langer
    • anciennement École Primaire de Bordeneuve

Elle possède également un collège nommé Romain Rolland.

Manifestations culturelles et festivités

Spectacle, chant, école de musique et de nombreuses associations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,

Sports

Plusieurs infrastructures permettent la pratique de sport divers (Gymnase Alex Jany (anciennement Gymnase du Collège Romain Rolland), Gymnase René Cassin, Dojo claire Matin, Terrain Roger Pujol (anciennement Terrain d'honneur), Terrain Domus). Clubs de judo, handball, badminton, escalade, gymnastique, football, basket-ball, handisport et de nombreuses associations sportives<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Écologie et recyclage

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la métropole de Toulouse Métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 62 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (55,3 % dans le département).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 79,4 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 8,4 % de chômeurs) et 20,6 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Toulouse<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 3 974 en 2013 et 3 402 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 4 729, soit un indicateur de concentration d'emploi de 82,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,1 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 4 729 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 770 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 81,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,1 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

Modèle:Nombre<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Jean au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 1 105 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
50 4,5 % (5,7 %)
Construction 89 8,1 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
198 17,9 % (25,9 %)
Information et communication 38 3,4 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 55 5 % (3,8 %)
Activités immobilières 52 4,7 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
217 19,6 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
330 29,9 % (16,6 %)
Autres activités de services 76 6,9 % (7,9 %)

Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,9 % du nombre total d'établissements de la commune (330 sur les 1105 entreprises implantées à Saint-Jean), contre 16,6 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • Clinique De L'union, activités hospitalières (Modèle:Unité)
  • Dancel, hypermarchés (Modèle:Unité)
  • Menguy's, commerce de gros (commerce interentreprises) alimentaire spécialisé divers (Modèle:Unité)
  • LVL Medical Sud-Ouest, location et location-bail d'autres biens personnels et domestiques (Modèle:Unité)
  • Sodex, vente par automates et autres commerces de détail hors magasin, éventaires ou marchés n.c.a. (Modèle:Unité)

Agriculture

Modèle:Tableau La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (14 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette

Modèle:Portail