Saint-Martial (Charente)
Modèle:Voir homonyme Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Martial est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Géographie
Localisation et accès
Saint-Martial est une commune du Sud Charente, située à Modèle:Unité au sud-ouest de Montmoreau, dont elle fait partie du canton, et Modèle:Unité au sud d'Angoulême.
Le bourg de Saint-Martial est aussi situé à Modèle:Unité au nord-est de Brossac, Modèle:Unité au nord de Chalais et Modèle:Unité au sud-est de Barbezieux<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.
La commune est desservie par des routes secondaires. Elle est en bordure de la D 674, route d'Angoulême à Libourne qui passe à Peudry, Modèle:Unité à l'est du bourg. Sur la limite nord il faut aussi signaler la D 24, puis D 21 à l'ouest, route de Montmoreau à Barbezieux.
Les autres routes départementales, moins fréquentées, sont la D 70, la D 21 (qui relie le bourg à Peudry) et la D 142<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.
La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
La commune, allongée vers le sud-est, contient aussi le minuscule village de Peudry, ancien bourg avec son église devenue chapelle.
Elle compte par ailleurs de nombreux petits hameaux et fermes : Villeneuve, Chez Pinaud, Chez Sureau, Chez Geoffroy après Peudry, etc.<ref name="ign"/>
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le paysage est vallonné et Saint-Martial est dans les coteaux du Montmorélien, paysage calcaire du Crétacé supérieur datant plus particulièrement du Campanien, calcaire crayeux.
La bordure nord est recouverte de dépôts du Tertiaire (Lutétien) composés de galets, sables et argiles, altérés lors des glaciations du Quaternaire<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe
La commune est un peu boisée, surtout au nord où passe la ligne de partage des eaux entre la Charente et la Gironde. Sur ces hauteurs, où se trouve le point culminant de la commune à Modèle:Unité d'altitude, la géologie différente entretient une végétation calcifuge comme les châtaigniers et les pins maritimes. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé à l'extrémité sud-est. Le bourg est à Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Gaveronne et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La commune contient une tête de vallée tournée vers l'est, celle de la Gaveronne, petit affluent de la Tude, dans le bassin versant de la Gironde, et qui prend sa source Chez Boucherie. Le ruisseau s'appelle la Planche dans sa partie communale<ref name="ign"/>.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe
Milieux naturels et biodiversité
Natura 2000
Arrosé par la Planche, un petit affluent de la Tude, le territoire communal est concerné par le site Vallée de la Tude, identifié dans le réseau Natura 2000 comme important pour la conservation d'espèces animales européennes menacées<ref name="fiche">Modèle:Pdf - FR5400419 - Vallée de la Tude, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref name="carte">Carte du site « Vallée de la Tude », INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>.
Seize espèces animales inscrites à [[Directive habitats#Annexe II|Modèle:Nobr]] de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées<ref name="fiche"/>.
- un amphibien : le Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- six insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), le Cerf-volant (mâle) ou la Grande biche (femelle) (Lucanus cervus), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- cinq mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et trois chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-six autres espèces animales importantes y ont été recensées dont quatorze sont concernées par [[Directive habitats#Annexe IV|Modèle:Nobr]] de la directive habitats.
ZNIEFF
À Saint-Martial, sur un périmètre quasi identique à celui du site Natura 2000 ci-dessus, la vallée de la Planche fait partie de la ZNIEFF de Modèle:Nobr nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »<ref name="Vallées">Modèle:Pdf - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref>.
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées<ref name="Vallées"/> :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptères : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées<ref name="Vallées"/>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Martial est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), forêts (17,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %), prairies (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Martial est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Saint-Martial est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du bois de l'Homme mort et château de la Faye. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016<ref name=Feux>Modèle:Lien web</ref>. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de Modèle:Unité de celles-ci. L’arrêté du Modèle:Date- règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du Modèle:Date- rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit<ref group=Note>Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de Modèle:Unité (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de Modèle:Unité minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.</ref>,<ref name=Feux/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 80,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 75 sont en aléa moyen ou fort, soit 83 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2003. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Les formes anciennes sont Beatus Martialis prope Montem Maurelli, Villareconiata (non datées, du Moyen Âge)<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 3</ref>. La première forme latine signifie « Martial le bienheureux près de Montmoreau ».
Saint Martial était le premier évêque de Limoges, apôtre de l'Aquitaine. Il a donné son nom a une vingtaine de communes du sud de la France, en particulier autour du Limousin<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.
Vila recognada signifie villa reconnue en ancien occitan ou bas latin, la langue du département au Moyen Âge. Jean Talbert évoque pour villareconiata « ville renfoncée? », et que l'altitude du bourg est relativement plus faible que celle de ses environs<ref>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928</ref>,<ref group=Note>Avant les repeuplements du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.</ref>.
Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Villerecougnade, qui était l'ancien nom de la paroisse<ref>Modèle:Ref-Charente-Toponymie-Révolution</ref>.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la paroisse de Peudry est orthographiée Peudrie sur la carte de Cassini<ref name=ign/>.
Saint-Martial est aussi parfois appelée informellement Saint-Martial-de-Montmoreau, entre le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et maintenant<ref>Modèle:Ref-Cartulaire de Baignes</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>.
Histoire
Le lieu-dit La motte de Peudry était un ancien fief<ref>Modèle:Ref-Charente-Debord</ref>.
En 1523, [[François Ier de France|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] échange les terres de Peudry contre d'autres en Sologne avec François Green de Saint-Marsault<ref>Modèle:Ref-Charente-Châteaux</ref>.
Peudry était une ancienne paroisse, dont l'église remonte au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. D'abord annexée à Saint-Laurent-de-Belzagot, elle fut rétablie vers 1680 avant de disparaître en 1761. C'était le siège d'un prieuré dont on ne connaît ni l'origine, ni le patronage<ref name=mb/>. La commune de Peudry fut quand même créée en 1790, et a été réunie à Saint-Martial en 1845<ref name=Cassini/>.
Au tout début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l'industrie dans la commune était encore représentée par quelques tuileries<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.
Administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 23,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 45,3 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 52,34 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Remarques
Saint-Martial a absorbé Peudry en 1845<ref name="Cassini"/>.
Économie
Agriculture
La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »<ref>Modèle:Lien web</ref> et de l'AOP Noix du Périgord<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Montboyer et Saint-Martial, qui accueillent chacune une école élémentaire, avec une classe chacune. Le secteur du collège est Montmoreau<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Nicolas située au lieu-dit Peudry date du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, a été remaniée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et rénovée en 2005. Elle est classée monument historique depuis 1987<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- L'église paroissiale Saint-Martial est située au bourg. Bien restaurée, elle a un joli portail gothique, un clocher carré assez massif, et une statue de saint Martial en surplombe l'entrée.
Patrimoine civil
Le château de Saint-Martial a été construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le logis est flanqué d'une tour ronde ruinée et la tourelle d'escalier hexagonale a disparu<ref>Modèle:Ref-Charente-Patri1993</ref>.
Patrimoine environnemental
Il est important de citer l'environnement extérieur de la commune, marqué par une nature abondante plus particulièrement près de la vallée où coule la Planche sur les rives de laquelle on trouve de nombreuses espèces de fleurs ainsi que des chênes centenaires.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Ganivet Desgraviers, né à Montboyer en 1773, mort en 1838 à Saint-Laurent-de-Belzagot. Soldat de la Révolution en 1792 et colonel d'Empire en 1813, il servit de 1792 à 1815, notamment sous les ordres de Jourdan, Moreau, Bonaparte, Masséna et Reynier. Il est enterré auprès de l'église de Peudry. Une plaque commémorative orne sa tombe depuis le Modèle:Date-.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes