Sainte-Marie-la-Mer

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion

Modèle:Infobox Commune de France

Sainte-Marie-la-Mer <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} (Santa Maria del Mar en catalan) est une commune française située dans le nord-est du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Têt et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (« le Bourdigou ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Sainte-Marie-la-Mer est une commune rurale et littorale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Sainte-Marie et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Saint-Marinois ou Saint-Marinoises.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Maplink La commune de Sainte-Marie-la-Mer se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Perpignan<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Canet-en-Roussillon<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Canet-en-Roussillon (Modèle:Unité), Villelongue-de-la-Salanque (Modèle:Unité), Torreilles (Modèle:Unité), Saint-Laurent-de-la-Salanque (Modèle:Unité), Claira (Modèle:Unité), Bompas (Modèle:Unité), Saint-Nazaire (Modèle:Unité), Le Barcarès (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Sainte-Marie-la-Mer fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Risques naturels et technologiques

La commune est concernée par le périmètre d’un plan de prévention des risques naturels ( PRR N ) concernant les risques d'inondation approuvé le 19/05/2004<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Voies cyclables

La ville est traversée par la Vélittorale qui conduit du Barcarès à Canet-Plage<ref>Vélittorale (EV8)</ref>.

Transports

La ligne 5 du réseau urbain Sankéo relie la commune à la gare de Perpignan.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Un espace protégé est présent sur la commune : « le Bourdigou », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : l'« embouchures de l'Agly, du Bourdigou et de l'Auque » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : le « lido et marais de Toreilles » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Sainte-Marie-la-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Sainte-Marie, une unité urbaine monocommunale<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nb, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (70,5 %), zones urbanisées (20,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %), zones humides côtières (2,1 %), cultures permanentes (1 %), eaux maritimes (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Sainte-Marie-la-Mer est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre 1 - Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant Modèle:Nobr du bassin de vie de l'agglomération perpignanaise, un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés le Modèle:Date- sur le bassin Rhône-Méditerranée. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Du fait de son exposition marine, la commune est soumise également à un risque d'érosion très fort et de submersion marine, due à l'action conjuguée de la montée des eaux par surélévation du plan d’eau lors des tempêtes attaquant la côte et de l’action dynamique de la houle<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit liés au retrait-gonflement des argiles, soit de l'érosion littorale<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques technologiques

Sur le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des Modèle:Unité susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, le barrage de Caramany sur l'Agly ou les barrages des Bouillouses et de Vinça sur la Têt<ref name=DDRM-Barrage>Modèle:Lien web, partie 3 - chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

Au cours de la Révolution française, la commune porte les noms de Redoute-de-l'Agly et de Redoute-Maritime<ref name=Cassini/>.

La commune, nommée simplement Sainte-Marie, prend officiellement le nom de Sainte-Marie-la-Mer à la suite d'un décret du ministère de l'Intérieur du Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Histoire

Fichier:Sainte-Marie - Monument aux morts.jpg
Le monument aux morts.

Jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, deux villages coexistent dans les environs : Sainte-Marie-de-Pabirans, siège au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle d'une famille de Sainte-Marie, et Saint-André-de-Bigaranes. Le territoire passe ensuite entre les mains des seigneurs de Canet. En février 1198, le roi Alphonse II d'Aragon donne l'autorisation à Raymond de Canet de fortifier l'une des deux localités de son choix. Celui-ci décide de doter Pabirans de fortifications, ce qui causa probablement la disparition progressive de Saint-André dont il ne reste plus de traces aujourd'hui. Le toponyme de Pabirans est ensuite progressivement abandonné au profit de Sainte-Marie<ref>Lucien Bayrou, Entre le Languedoc et le Roussillon, 1258-1659, fortifier une frontière ?, Ed. Amis du Vieux Canet, 2004, page 269.</ref>,<ref name=pc2>Modèle:Le pays catalan 2.</ref>.

En 1322, Sainte-Marie rejoint la vicomté de Canet, créée à l'initiative de [[Sanche de Majorque|Sanche {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], roi de Majorque et comte de Roussillon, en faveur de Guillaume IV de Canet<ref name=pc2/>.

En 1790, Sainte-Marie devient une commune indépendante<ref name=Cassini/>.

Politique et administration

Canton

En 1793, la commune de Sainte-Marie fait partie du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque. Elle est rattachée en 1801 à celui de Perpignan-Ouest puis en 1973 au canton de Perpignan-7. Elle revient en 1985 au canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque puis change encore en 1997 pour le canton de Canet-en-Roussillon<ref name=Cassini/>.

À compter des élections départementales de 2015, la commune rejoint le canton de Perpignan-2.

Administration municipale

Fichier:Sainte-Marie-la-Mer - Mairie.jpg
La mairie.

Modèle:...

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie ancienne

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Modèle:Tableau population

Démographie contemporaine

Modèle:Population de France/section

Manifestations culturelles et festivités

Santé

Fichier:Sainte-Marie - Centre médical.jpg
Le centre médical

Un centre médical est présent sur la commune.

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 46 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (42,1 % dans le département).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 70,3 % d'actifs (55,6 % ayant un emploi et 14,7 % de chômeurs) et 29,7 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 620 en 2013 et 557 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 525, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,2 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 1 525 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 351 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro<ref group=I> Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sainte-Marie

L'église Sainte-Marie remonte probablement au haut Moyen Âge. L'édifice actuel ne date cependant, pour ses parties les plus anciennes, que du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ou du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Le chevet fortifié, de forme pentagonale, est en effet le dernier vestige de l'église romane. Extérieurement comme intérieurement, ses parois sont appareillées en pierre de taille, ce qui montre le grand soin apporté à l'édifice<ref name="Mallet 96-97">Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Ed. Les Presses du Languedoc, 2003, Modèle:P..</ref>. L’orientation du chevet vers l'intérieur de l'enceinte fortifiée du village laisse penser que l'église jouait le rôle d'ultime refuge en cas d'attaque<ref>Lucien Bayrou, Entre le Languedoc et le Roussillon, 1258-1659, fortifier une frontière ?, Ed. Amis du Vieux Canet, 2004, Modèle:P..</ref>.

Le reste de l'église romane ne nous est pas parvenu. La nef fut reconstruite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et rallongée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avec la construction de la façade actuelle. La nef est couverte par une charpente sur arcs diaphragmes, et remploie des pierres de taille provenant probablement de l'édifice roman<ref>Marcel Durliat, Roussillon Roman, Ed. Zodiaque, 1986, Modèle:P..</ref>.

L'Abside a été classée au titre des monuments historiques en 1983<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>. La nef a été inscrite au titre des monuments historiques en 1983<ref name=":0" />.

Le mobilier comporte plusieurs retables et statues baroques (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) et néo-gothiques (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle). De plus, l'édifice conservait un fragment sculpté attribué à un linteau et portant des traces d'une inscription aujourd'hui indéchiffrable. La datation souvent avancée pour cette sculpture (époque pré-romane) n'est pas vérifiable<ref name="Mallet 96-97"/>. Cette pièce semble ne plus être entreposée dans l'église<ref>Visite de l'église en juillet 2007</ref>.

  • Ancienne Église Saint-André de Bigaranes.
  • Dans le village, on verra les vestiges de l'ancienne enceinte de forme quadrangulaire qui protégeait le village. Il ne reste que la courtine ouest, flanquée par l'abside de l'église et par une porte en plein cintre, surmontée d'une tour de l'horloge en briques. L'ensemble a été fortement remanié. Il subsiste également la tour d'angle nord-ouest, récemment restaurée.
  • Fresque de portraits de rugbymen célèbres (Modèle:Unité de long) à Sainte-Marie Plage, réalisée par le peintre Leslie Dykes en 1993.

Équipements culturels

La commune possède une bibliothèque municipale, située sur la place de la mairie.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

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Autres sources

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Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail