Salins (Seine-et-Marne)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Salins est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Le village est situé à Modèle:Unité au nord-est de Montereau-Fault-Yonne<ref name="googlemaps">Modèle:Lien web. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".</ref>, dans la vallée du ru de l'Étang, affluent de la Seine<ref>Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances à vol d'oiseau et les surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".</ref>.

Fichier:77439-Salins - Localisation.png
Localisation de la commune de Salins dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 77439.png
Carte des communes limitrophes de Salins.

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Salins.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’aqueduc de la Voulzie.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 4 juillet 2018</ref>.

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne Modèle:Unité dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de Modèle:Unité<ref name="SAGE-bassee-voulzie">Modèle:Lien web.</ref>,. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> (source : le fichier Fantoir) dont les Tuileries, le Rôti, le Crayon, Repentailles, le Fresnoy (château).

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Salins est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Voies de communication et transports

Transports

La commune est desservie par la ligne 15 du réseau de bus Pays de Montereau et la ligne Express 7 du réseau de bus Provinois - Brie et Seine.

Toponymie

Salins était autrefois connue sous le nom de Villeneuve la Cornue, du nom de son premier seigneur, [[Simon 1er Le Cornu|Simon Modèle:1er Le Cornu]], décédé en 1218. Son seigneur était aussi celui de Salins dans le Jura.

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa Nova prope Monasteriolum en 1222<ref>Cartulaire de N.-D. de Paris, IV, 174.</ref> ; Villenuefve la Cornue 1330<ref>Archives nationales, S 2306, n° 16.</ref> ; Villa nova Cornuta vers 1350 (Pouillé)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ; Villeneuve la Cornue 1678<ref>Archives nationales, S 2959.</ref> ; « Salins, ci devant appelé Villeneuve la Cornue » en 1686<ref>Archives de la Seine-et-Marne, B 622.</ref>.

La localité prit, vers 1686, le nom de Salins. Le nom de Salins vient du nom de son seigneur, également seigneur de Salins-les-Bains dans le Jura, qui vivait du sel en exploitant des salines royales. Rien de tel pour la commune seine-et-marnaise : son sous-sol est riche en argile et non en sel.

Histoire

Préhistoire

Au lieu-dit Montapot<ref name="1879chouquet277">Modèle:Article.</ref> ou Fosse-aux-Larrons<ref name="1877chouquet247">Modèle:Article.</ref>, sur le bord escarpé d'une petite vallée, un tumulus connu de longue date - et donc libéralement pillé - est entièrement exploré en 1875 par E. de Quelen (peut-être aussi par M. de Bonsteten dans la première partie des années 1870). Quelen cède ses trouvailles et ses notes à E. Chouquet, qui les publie en 1877<ref name="1877chouquet241">Modèle:Harvsp.</ref>. S'y trouvent alors encore huit squelettes humains, dont cinq portent des bijoux divers (bracelets aux bras et/ou aux jambes, épingles) en bronze. Celui de la Modèle:4e tombe, dont les os sont suffisamment bien conservés pour donner la taille totale, mesure Modèle:Unité ; curieusement, ses tibias sont platycnémiques, ses péronés profondément cannelés, ses humérus perforés et son crâne dolichocéphale<ref name="1877chouquet242">Modèle:Harvsp.</ref>.

Sous une grosse pierre de Modèle:Unité de long à Modèle:Nb pas du tumulus, E. Chouquet découvre Modèle:Nb squelettes d'âges divers dans des tombes individuelles. Cette seconde sépulture se distingue de la première par trois éléments principaux : sépulture sous pierre unique et non sous tumulus ; une couche de charbon recouvre certains des squelettes ; et certains bijoux sont en fer - dont des bagues et des fibules, absentes dans les sépultures du tumulus<ref name="1877chouquet243">Modèle:Harvsp.</ref>. Un collier dans la Modèle:3e tombe et une agrafe de ceinturon dans la Modèle:4e tombe, mélangent le bronze et le fer<ref name="1877chouquet244">Modèle:Harvsp.</ref>.

Pour plus de détails sur les bijoux de ces deux sépultures, voir Modèle:Harvsp.

Proche de cette pierre à tombes multiples, un sondage par de Quelen met au jour une urne sépulcrale en terre rouge de Modèle:Unité de diamètre d'ouverture et Modèle:Unité de hauteur, avec une décoration de lignes et de chevrons jaunes sur le col et la panse, et l’extérieur du fond également orné de raies jaunes formant une croix à doubles lignes. Cette urne est remplie pour moitié d'os carbonisés sur lesquels est placé un bracelet en bronze similaire à ceux des autres sépultures. Mortillet la donne pour hallstattienne (précédant la Tène, dite aussi second âge du fer)<ref name="1877chouquet245">Modèle:Harvsp.</ref>, quelque Modèle:Nb ans avant notre ère<ref name="1877chouquet246">Modèle:Harvsp.</ref>.

Les habitations étaient probablement très proches de ces sépultures : les environs immédiats sont riches en vestiges de poteries<ref name="1877chouquet246"/> et incluent une source et d'autres vestiges humains ; ainsi un autre sondage de Quelen a mis au jour plusieurs mètres cubes de pierres reposant directement sur la craie, qui se trouve à Modèle:Unité sous la surface du sol, avec un seul crâne en dessous des pierres ; et, plus loin, une petite écuelle en poterie noire, renversée, écrasée par les pierres<ref name="1877chouquet247"/>.

Sur le même site, on trouve donc une occupation à trois époques successives : celle de l'incinération en urne, du début du Hallstatt ; celle du tumulus, de la fin du Hallstatt ; et celle des sépultures sous la pierre, époque anciennement appelée « marnienne » ou début de la Tène.
À signaler, la grande différence morphologique entre ces occupants et ceux rencontrés dans des sites proches comme par exemple le site néolithique du tertre Guérin à la Grande-Paroisse, seulement Modèle:Unité au sud-ouest : ici, les habitants sont de taille élevée mais les os sont minces voire fluets, les péronés profondément cannelés, et sur trois crânes complets deux sont dolichocéphales et un brachycéphale, et les mâchoires prognates. Au tertre Guérin, les individus sont de taille moyenne, les crânes mésaticéphales et les mâchoires orthognates<ref name="1877chouquet246"/>.

Antiquité

Modèle:...

Moyen-Âge

Anciennement appelée Villeneuve-la-Cornue du nom du premier seigneur Simon Le Cornu, chevalier lige du comte de Champagne. Seigneurie dépendante de l'archevêché de Sens.

Le nom de Salins vient du nom de son seigneur également seigneur de Salins dans le Jura, aujourd'hui Salins-les-Bains.

La présence de gisements d'argile a été à l'origine du développement d'industries de la céramique jusqu'au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique environnementale

Modèle:…

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Salins est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et urbanisme

Démographie

Modèle:Population de France/section

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,6% ), forêts (20,5% ), zones urbanisées (5,7% ), zones agricoles hétérogènes (4,8% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le Modèle:Date-, porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois Modèle:Unité et trois communautés de communes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.

Logement

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nombre, dont 97,2 % de maisons et 2,8 % d'appartements.

Parmi ces logements, 90,3 % étaient des résidences principales, 3,1 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 90,1 % contre 8,2 % de locataires et 1,7 % logés gratuitement<ref name="insee">Statistiques officielles de l'Insee.</ref> -<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

Économie

  • Huit artisans et quatre commerçants.

Agriculture

Salins est dans la petite région agricole dénommée la « Brie humide » (ou Brie de Melun), une partie de la Brie à l'est de Melun<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Salins, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Salins entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné"/>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 9 6 5
Travail (UTA) 18 8 8
Surface agricole utilisée (ha) 1 127 762 801
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 1 109 739 782
Céréales (ha) 780 540 503
dont blé tendre (ha) 470 295 s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 227 s 83
Tournesol (ha) 162 s
Colza et navette (ha) 68 81 105
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 26 41 119

Culture locale et patrimoine

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:…

Lieux et monuments

Galerie

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail