Salles-de-Belvès
Modèle:Infobox Commune de France
Salles-de-Belvès est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Communes limitrophes
Salles-de-Belvès est limitrophe de cinq autres communes. Au sud-est, son territoire est distant d'environ Modèle:Unité de celui d'Orliac.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Salles-de-Belvès est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4a(Bs), date du Santonien inférieur, composée de marnes à huîtres, calcaires crayeux en plaquettes gris à bryozoaires, puis grès carbonaté et sables jaunes (formation de Boussitran). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Nauze et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Nauze, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Mazeyrolles et se jette dans la Dordogne en rive gauche à Siorac-en-Périgord, face à Coux et Bigaroque-Mouzens<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse la commune du sud au nord sur près de trois kilomètres.
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Réseaux hydrographique et routier de Salles-de-Belvès.
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Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Salles-de-Belvès.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont », « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est également l'EPIDOR<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La quasi-intégralité du territoire communal dépend du SAGE Dordogne amont. Seule une infime zone au sud-ouest, en limite de Capdrot, est rattachée au SAGE Dropt.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Salles-de-Belvès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (81,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Salles-de-Belvès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Nauze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Salles-de-Belvès est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 88,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Salas de Belvés sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
La paroisse de Salles de Belvès dépendait de l'archiprêtré de Paleyrac. Elle était désignée sous le vocable de Santa Maria de Salis dans une bulle du pape Eugène III, puis Salles de Carves, et, en 1630, Sales. L'église était tenue en fief par l'archevêque de Bordeaux.
Si, en 1153, l'église était sous le vocable de la Vierge, elle a eu saint Sacerdos comme patron après avoir été unie au monastère de Sarlat.
Dans le fouage de 1365, la paroisse de Salles de Carves est comptée pour 41 feux, soit une population de 300 à 400 habitants. Dans le catalogue du consulat de Belvès de 1351, on trouve 57 feux dont 28 payant des redevances et 29 qualifiés de pauvre. En 1872, il y avait 307 habitants, puis 262 habitants en 1896, 240 en 1901.
Dans la liste de 1351, on trouve le nom de métairies ou villages : Causavel, devenu Cavassel, Puech au bas, Bouchi dans le nom ancien de Boycha, etc<ref>Albert Vigié, Histoire de la châtellenie de Belvès, Modèle:P., dans Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie du Périgord, 1901, tome 28 (lire en ligne)</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs
Dès 1790, la commune de Salles-de-Belvès a été rattachée au canton d'Orliac qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX (Modèle:Date) portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Villefranche-de-Belvès (devenu canton de Villefranche-du-Périgord en 1893) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)<ref name=Cassini/>.
Intercommunalité
Fin 2000, Salles-de-Belvès intègre dès sa création la communauté de communes Entre Nauze et Bessède. Celle-ci est dissoute au Modèle:Date- et remplacée au Modèle:Date- par la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède.
Administration municipale
La population de la commune étant inférieure à Modèle:Unité au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Justice
En 2023, dans le domaine judiciaire, Salles-de-Belvès relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal de proximité de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Salles-de-Belvès (24517) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent vingt-huit personnes, soit 38,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatre) a diminué par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,3 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte douze établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont sept au niveau des commerces, transports ou services, deux dans la construction, un dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, un dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif<ref>Dossier complet - Commune de Salles-de-Belvès (24517) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église romane fortifiée Saint-Sacerdos<ref>Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref> avec un chœur en hémicycle du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle surmonté d'un bahut défensif<ref>Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>. Le clocher-mur est plus tardif.
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L'église Saint-Sacerdos.
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Tour au nord du bourg.
Personnalités liées à la commune
- Saint Pierre Thomas (~ 1305-1366), né à Salles-de-Belvès, mort à dans le couvent des Carmes de Famagouste, à Chypre<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>.
- Amédée Léopold Deguilhem, né le Modèle:Date- à Salles-de-Belves, mort le Modèle:Date- au camp de Buchenwald. Alors qu'il est chef cantonnier du Buisson-de-Cadouin. Membre du groupe Bergeret (Maurice Loupias dit Bergeret dirige l'Armée secrète en Dordogne sud) de l'Armée secrète, il est arrêté à Cadouin le Modèle:Date- et meurt en déportation<ref>Journal officiel du 10 mars 1988 : relatif à l'apposition de la mention « Mort en déportation » sur les actes de décès</ref>. Une place du Buisson-de-Cadouin porte son nom.
Pour approfondir
Bibliographie
- Albert Vigié, Histoire de la châtellenie de Belvès - Paroisse de Salles de Belvès, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, tome XXVIII, 1901, Modèle:P. (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes