Savignac-Lédrier
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Savignac-Lédrier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
Au sud-est, la commune est traversée par la rivière Auvézère qui y forme des gorges. Au nord-est, elle est arrosée par la Haute Loue en aval de l'étang de Rouffiac.
La commune est desservie par les routes départementales 4, 75 et 75E.
Son bourg principal n'est pas celui qui porte le nom de Savignac-Lédrier mais celui de La Chapelle. Ce dernier et deux autres villages (La Garanne et La Croix-Merle) sont étroitement imbriqués avec le bourg de Payzac. Les deux mairies sont de ce fait distantes d'environ 700 mètres.
Communes limitrophes
Savignac-Lédrier est limitrophe de cinq autres communes.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Savignac-Lédrier est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques. La formation la plus ancienne, notée σΠ1, se compose de formations basiques et ultrabasiques, composées de serpentinites de type la Rebière et du massif de Sarrazac : amas de serpentine et d'antigorite, reliques d'olivine, orthopyroxène, clinopyroxène, spinelles dérivées de harzburgites (Cambrien à Silurien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « Modèle:N° - Saint-Yrieix-la-Perche » et « Modèle:N° - Juillac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et leurs notices associées<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des Modèle:Unité dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Auvézère, la Haute Loue, le ruisseau de Porte Étoupe, le ruisseau de Gabourat et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
L'Auvézère, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source en Corrèze dans la commune de Benayes et se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Bassillac et Auberoche et Escoire, face à Antonne-et-Trigonant<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle arrose la commune du nord-est au sud-est sur près de huit kilomètres et demi, dont six kilomètres et demi servent de limite naturelle en deux tronçons, face à Payzac et Saint-Mesmin.
Affluent de rive droite de l'Auvézère, le ruisseau de Gabourat prend sa source au sud du bourg de la Chapelle, dans le nord de la commune dont il traverse le territoire sur cinq kilomètres en direction du sud.
Le ruisseau de Porte Étoupe, affluent de rive gauche de l'Auvézère, arrose brièvement le sud-est de la commune sur Modèle:Nobr.
La Haute Loue, ou Coulon dans sa partie amont, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Payzac et se jette dans la Loue en rive gauche, en limite de Lanouaille et Saint-Médard-d'Excideuil<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse le nord-ouest de la commune du nord au sud sur deux kilomètres et demi dont Modèle:Nobr en limite de Lanouaille.
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L'Auvézère au site de la Forge.
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La Haute Loue, exutoire de l'étang de Rouffiac, en limite de Savignac-Lédrier (à gauche) et Payzac.
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Réseaux hydrographique et routier de Savignac-Lédrier.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Yrieix la Pe », sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Savignac-Lédrier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (57,5 %), forêts (27,1 %), prairies (9,8 %), terres arables (4,7 %), zones urbanisées (1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Savignac-Lédrier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Auvézère et la Haute Loue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2007<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Savignac-Lédrier est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 45,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Le nom de la commune provient du nom d'un personnage d'origine gallo-romane, Sabinius, suivi du suffixe -acum<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, indiquant le « domaine de Sabinius ». Pour Bénédicte Fénié, la seconde partie du nom signifierait « couvert de lierre », d'après l'occitan ledrier<ref name=OC/>. Selon Chantal Tanet et Tristan Hordé, l'origine serait plus obscure. Elle pourrait avoir un rapport avec le ladre, autre nom du lépreux, ou avec le sorbier qui, en ancien occitan, se dit drulho ou drulhé<ref name=lieux/>.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue ou Modèle:Langue<ref name=OC>Le nom occitan des communes du Périgord - Savinhac l'Edrier sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 25 septembre 2021.</ref>.
Histoire
En 1110 ou 1111, Hugues de La Certa fonde un prieuré de l'ordre de Grandmont au lieu-dit La Plaigne, à 5 kilomètres de Lanouaille. C'était un prieuré important de l'ordre. En 1317, il est uni au prieuré de La Faye de Jumilhac. Il en reste un corps de logis du XVIIe siècle<ref>Histoire du prieuré de La Plaigne</ref>. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Savignac<ref>Modèle:Géoportail.</ref>.
Lors de la création des départements français en 1790, la commune a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793, ainsi que neuf autres communes, à la Dordogne<ref name=lieux/>.
À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le village portait le nom de Savignac-les-Drier<ref name=lieux/>.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Savignac-Lédrier a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.
En 1793, elle est rattachée au canton de Paizac qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX (Modèle:Date) portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Lanouaille nouvellement créé et dépendant de l'arrondissement de Nontron<ref name="Cassini"/>.
Intercommunalité
Fin 2000, Savignac-Lédrier intègre dès sa création la communauté de communes Auvézère Loue qui, quelques mois plus tard, prend le nom de communauté de communes du Pays de Lanouaille. Celle-ci, agrandie en 2017, prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 14 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Après l'abolition de la royauté (Modèle:Date-) « sont élus par un conseil d'électeurs les officiers d'état civil » chargés de dresser les actes destinés à constater les naissances, mariages et décès des citoyens. Ces « officiers » sont pris parmi les membres du Conseil Général de la commune. Il semblerait que ces officiers d'état civil aient été appelés « Maires ».
Furent officiers d'état civils :
Avant 1792 les archives de la commune sont à Tulle En 1794 et 1795 : Boisset Élie Entre Modèle:Date- et Modèle:Date- : on trouve les signatures de Boisser Élie et Barutel Léonard. Entre Modèle:Date- et Modèle:Date- : Barutel Léonard et Fournier De Modèle:Date- à Modèle:Date- : Barutel (adjoint)
À partir de 1800 (consulat) ou 1804 (empire), les Maires et Adjoints sont nommés par le préfet.
Lors de ces premières nominations : Barutel fut adjoint ou maire Modèle:Date-, à la suite d'un décret impérial du Modèle:Date-, le préfet nomme aux fonctions de : Maire : Monsieur Boisset Mesmin Élie Adjoint : Monsieur Barutel Léonard Modèle:Date-, le préfet de la Dordogne, en vertu de la loi du 28 Pluviôse an 8 (Modèle:Date-), nomme : Maire : Sieur J. F. Peyramaure Debord en remplacement de Boisset Mesmin - démissionnaire. Modèle:Date- le préfet nomme aux fonctions de : Maire : Sieur Peyramaure Debord Adjoint: Sieur Lafarge Combescot Modèle:Date- le préfet nomme : Maire : sieur Boisset Boucharel Élie fils, en remplacement de sieur Peyramaure Debord décédé. Adjoint : Sieur Bon Bernard (maître de forge) en remplacement de sieur Lafarge Combescot décédé.
Modèle:1re des maires en 1826 ? Mais pour Savignac-Lédrier, il n'a été trouvé aucune nomination de 1822 à 1831
Équipements et services publics
Justice
En 2023, dans le domaine judiciaire, Savignac-Lédrier relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Poûlation et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Savignac-Lédrier (24526) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 30 janvier 2019.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 42,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-six) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,8 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte soixante-deux établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont vingt-sept au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, onze dans la construction, cinq dans l'industrie, et cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale<ref>Dossier complet - Commune de Savignac-Lédrier (24526) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 30 janvier 2019.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
- Château de Bard
- Château de la Forge, Modèle:S mini, Modèle:S mini, Modèle:S mini, {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXIX
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}}, classé monument historique depuis 1979, ainsi que la forge elle-même<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 29 mai 2011.</ref>. Celle-ci fabriquait encore des canons au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour le compte de la marine et a fonctionné jusqu'en 1930<ref>Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet et Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, page 351, Éditions Ouest France, 1987, Modèle:ISBN.</ref>.
-
Le château de la Forge. -
Le château de la Forge. -
Le château et son reflet sur l'Auvezère. -
L'Auvézère au pied de la forge.
Patrimoine religieux
- Chapelle Notre-Dame-de-Pitié<ref>Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref> du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, au bourg de La Chapelle
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption, romane, au village de Savignac-Lédrier. Elle comporte deux dalles funéraires du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle classées monument historique depuis 1951 au titre d'objets<ref>Modèle:Base Palissy, consultée le 29 mai 2011.</ref>
-
La chapelle au bourg de la Chapelle. -
L'église Notre-Dame de l'Assomption. -
Le clocher-mur de l'église. -
Le monument aux morts.
Patrimoine naturel
Deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II à dominante boisée sont constituées sur le territoire communal :
- la vallée de la Haute Loue<ref>Modèle:Lien brisé.</ref> ;
- sur cinq kilomètres et demi, les gorges de l'Auvézère, partagées avec cinq autres communes, où neuf espèces déterminantes de plantes ont été recensées<ref>Modèle:Pdf Gorges de l'Auvézère, INPN, consulté le 17 mars 2019.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 720000937, INPN, consultée le 17 mars 2019.</ref> : l'Anarrhine à feuilles de Pâquerette (Anarrhinum bellidifolium), l'Anogramme à feuilles minces (Anogramma leptophylla, l'Asplénium lancéolé (Asplenium obovatum), le Cheilanthès de Tineo (Cheilanthes tinaei), la Doradille du nord (Asplenium septentrionale), la Joubarbe à toile d'araignée (Sempervivum arachnoideum), le Lis martagon (Lilium martagon), le Millepertuis à feuilles de lin (Hypericum linariifolium) et le Polystic des montagnes (Oreopteris limbosperma).
Personnalités liées à la commune
- Hugues de La Certa (1071-1157), chevalier croisé et moine grandmontain, fondateur de la celle de La Plaigne.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes