Jumilhac-le-Grand

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Jumilhac-le-Grand est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de Jumilhac-le-Grand.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin. La commune est notoirement connue pour son château.

Géographie

Généralités

Avec plus de Modèle:Unité, Jumilhac-le-Grand est la septième commune la plus étendue du département de la Dordogne. En Périgord vert, en limite nord-est du département, elle est limitrophe de la Haute-Vienne. Elle est arrosée par l'Isle et son affluent le Périgord.

Le bourg de Jumilhac-le-Grand, à l'intersection des routes départementales 78 et 79, se situe, en distances orthodromiques, onze kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Saint-Yrieix-la-Perche et quatorze kilomètres au nord-est de Thiviers. Il est établi en rive gauche de l'Isle qui le contourne dans des gorges à l'ouest.

Le territoire communal est également desservi au nord par la route départementale 79E et au sud par la route départementale 80.

Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 24218.png
Carte de Jumilhac-le-Grand et des communes avoisinantes.

La commune est limitrophe de huit autres communes, dont quatre dans le département de la Haute-Vienne. Au nord, Bussière-Galant n'est limitrophe que sur une soixantaine de mètres.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Jumilhac-le-Grand est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l'ère primaire, antérieurement au Carbonifère<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose de micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « Modèle:N° - Châlus » et « Modèle:N° - Nexon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et leurs notices associées<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24218-Jumilhac-le-Grand-géologie.svg
Carte géologique de Jumilhac-le-Grand.

Modèle:Boîte déroulante/début

Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Quaternaire
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Holocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Pléistocène  non présent
Néogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Oligocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Éocène  non présent
Paléocène  non présent
Mésozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Crétacé
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Supérieur
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
inférieur non présent.
Jurassique
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Trias
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Permien
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Carbonifère
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Pennsylvanien
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Mississippien
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Dévonien
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Silurien
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Ordovicien
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Cambrien
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
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Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
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Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24

Modèle:Boîte déroulante/fin

Relief et paysages

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> au sud-ouest, là où l'Isle quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Paul-la-Roche et Sarrazac, et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> en limite nord-est du territoire communal, en bordure de Saint-Yrieix-la-Perche, au lieu-dit la Croix de Teulet<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des Modèle:Unité dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Isle, la Rochille, le Périgord, le Roulet, la Fouillarge, le Galet, le Grand Gaulier, le ruisseau de Combeyrol, le ruisseau du Ruchalait et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

L'Isle, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne Modèle:Incise en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse la commune sur plus de vingt kilomètres, marquant sa limite sur sept kilomètres au nord-est, face au Chalard, et sur trois kilomètres et demi au sud-ouest, face à Saint-Paul-la-Roche.

La Rochille, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Priest-les-Fougères et se jette dans la Valouse en rive gauche à Saint-Paul-la-Roche, Modèle:Unité en amont de la confluence Valouse-Isle<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle sert de limite territoriale à l'ouest sur un kilomètre, face à Saint-Paul-la-Roche et à Saint-Priest-les-Fougères.

Le Périgord, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette dans l'Isle en rive gauche sur la commune, à Modèle:Unité au nord du bourg, au lieu-dit la Faye<ref>Modèle:Sandre</ref>. Il arrose la commune depuis le nord-est sur près de trois kilomètres et demi.

Le Roulet, ou Laveau dans sa partie amont, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans l'est de la commune, au lieu-dit Fayemendie, et se jette dans le Boucheron en rive droite à Sarrazac, Modèle:Unité au sud-est du bourg<ref>Modèle:Sandre</ref>. Il sert de limite communale à l'est sur Modèle:Unité face à Saint-Yrieix-la-Perche puis sur trois kilomètres au sud, face à Sarrazac.

Cinq autres affluents de l'Isle arrosent le territoire communal :

  • en rive droite, à l'ouest le Grand Gaulier sur près de deux kilomètres et demi en limite de Saint-Paul-la-Roche, et au nord le Galet qui borde la commune sur trois kilomètres et demi face à Ladignac-le-Long et Le Chalard ;
  • en rive gauche, la Fouillarge sur plus de trois kilomètres et demi, le ruisseau du Ruchalait sur près de cinq kilomètres et demi et le ruisseau de Combeyrol sur plus de trois kilomètres dont Modèle:Nobr en limite de Sarrazac.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 5,3 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Jumilhac-le-Grand est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Yrieix-la-Perche, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,5 %), forêts (33,4 %), prairies (19 %), terres arables (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), cultures permanentes (0,8 %), zones urbanisées (0,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

Le territoire de la commune de Jumilhac-le-Grand est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle, le Périgord, la Rochille et le ruisseau le Laveau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2008 et 2012<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Jumilhac-le-Grand est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24218-Jumilhac-le-Grand-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Jumilhac-le-Grand.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 10,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Jumilhac-le-Grand est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Fichier:Jumilhac-le-Grand panneau.jpg
Panneau d'entrée à Jumilhac-le-Grand, en français et en occitan.

Dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, dans une correspondance entre les évêques de Limoges et de Périgueux, le lieu est identifié sous le nom latin de Diocesis Gemiliacensis, évoluant au siècle suivant vers Gemiliacus puis vers Jumilhacum au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=Lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 183-184, éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN.</ref>. Le nom a pour origine un personnage gallo-roman Gemellius auquel a été accolé le suffixe -acum<ref name=Lieux/>, indiquant par-là le domaine de Gemellius.

Le qualificatif « le Grand » se réfère à la taille du château, très importante, mais aussi pour différencier Jumilhac-le-Grand d'une autre petite localité périgordine : Jumilhac-le-Petit, devenue Jumilhac-de-Cole au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=Lieux/>.

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le lieu est appelé « Le Grand Jumilhac ».

En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Jumilhac lu Grand sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 22 septembre 2021.</ref>.

Sur la planète Mars, fin Modèle:Date-, l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement sédimentaire par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Histoire

Antiquité

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle, les Gaulois Lémovices commencèrent à exploiter plus d'une vingtaine de mines d'or sur le territoire de la commune actuelle, avec un village peuplé de mineurs. Plusieurs nécropoles du Premier âge du fer ont aussi été retrouvées dans la commune<ref>Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, au sein du district minier de Saint-Yrieix-la-Perche. L’exploitation de ces mines a été arrêtée après la conquête romaine<ref>Cauuet, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

La mine des Fouilloux, située à Jumilhac, a été fouillée de façon particulièrement approfondie. On sait ainsi qu’avant la mise en exploitation, les Gaulois ont pratiqué des sondages exploratoires qui leur ont permis de déceler l’orientation et la puissance des gisements<ref>Cauuet, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>. Alors que l’exploitation a commencé par le creusement en fosse (donc à ciel ouvert) elle se poursuit en galeries à partir des périodes de La Tène D1-D2<ref>Cauuet, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>. Cette évolution de l’exploitation a entraîné l’installation d’un boisage de soutènement dense, retrouvé en place lors des fouilles<ref>Cauuet, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>. L’évacuation des eaux a contraint au creusement d'une galerie d’exhaure pour la fosse à ciel ouvert, et l’installation<ref name="Cauuet p67">Cauuet, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>. Il semble que l’exhaure ait ensuite été assurée par une vis d’Archimède lorsque le chantier de la mine s’est approfondi<ref name="Cauuet p67" />. Enfin, il semble que l’importante population minière vivait à l'écart des mines (aucun habitat à proximité immédiate des fosses)<ref>Cauuet, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

La fosse de la mine des Fouilloux, comblée par du bois d’abattage aux {{#switch: -

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: VII|-| – | VII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq:  - |-| – |  -  }}Modèle:S mini- siècles

}}, témoigne du défrichement des zones voisines ainsi remises en culture<ref>Cauuet, Modèle:Opcit, Modèle:P..</ref>.

Moyen Âge

Un prieuré (ou celle) de l'ordre de Grandmont est fondé en 1194 à l'écart du bourg à La Faye. Il abritait sept clercs en 1295<ref>Histoire du prieuré de La Faye</ref>. Au Moyen Âge, la paroisse de Jumilhac était divisée en trois seigneuries dictinctes : celle de la famille de Bruchard (Bruchardie), celle de la famille de La Porte et celle de la famille Teyssières. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ne restaient plus que les seigneuries de Bruchardie, dont le château était à l'emplacement du château actuel de Jumilhac, et de La Porte, dont le château se confrontait au cimetière, au chemin de l'Église au pont du Mur.

La seigneurie de Bruchardie appartint à la famille puis successivement aux familles de Coignac, Salignac, La Roche-Aymon et Vars, alors que celle de La Porte appartint successivement aux familles Robert de Saint-Jal, Salignac et Crevant.

Époque moderne

À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle apparaît alors un riche maître de forges, Antoine Chapelle. En 1579, Antoine Chapelle est veuf de Catherine Baillot. Il a eu de son premier mariage au moins deux filles et un fils. Le Modèle:Date-, il se remarie avec Marguerite de Vars qui lui a apporté la seigneurie de Bruchardie à Jumilhac. François de Crevant lui a vendu, par un acte du Modèle:Date-, la seigneurie de La Porte avec les ruines du château situées à Jumilhac. Il a alors réuni toutes les seigneuries de Jumilhac. Celui-ci avait prêté de fortes sommes d'argent à Henri de Navarre pour financer ses campagnes. Il était probablement protestant. Marguerite de Vars l'était. Henri de Navarre étant devenu roi de France, il l'a anobli en Modèle:Date-, faisant de lui le premier baron de Jumilhac, ce qui a peut-être tenu lieu de remboursement<ref>Ch. Lafon, « L'acquisition de Jumilhac par Antoine Chapelle », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1960, tome 87, Modèle:3e livraison, Modèle:P. (lire en ligne)</ref>. Son fils, Antoine Chapelle, baron de Jumilhac, s'est marié le Modèle:Date- avec Louise de Hautefort (morte en 1645), fille de François de Hautefort (vers 1541-1640), premier marquis de Hautefort.

Son petit-fils François Chapelle, obtient que Jumilhac soit érigé en marquisat, par lettres patentes de 1655, enregistrées en 1657 par le parlement de Bordeaux. Ses descendants gardent le titre et le portent jusqu'en 1980.

Après la Révolution

En l'An II de la Révolution, la commune de Chalusset fusionne avec celle de Jumilhac<ref name=Lieux/>.

Liste des barons puis marquis de Jumilhac

Fichier:Jumilhac église litre armoiries (1).JPG
Les armoiries de Jean-François Chapelle de Jumilhac.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune de Jumilhac-le-Grand (appelée Jumilhac à l'époque) est devenue, dès 1790, le chef-lieu du canton de Jumilhac qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801 le canton est rattaché à l'arrondissement de Nontron<ref name=Cassini/>.

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du Modèle:Date-, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée au canton de Thiviers.

Intercommunalité

Fin 1995, Jumilhac-le-Grand intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand. Celle-ci est renommée le Modèle:Date- en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac<ref>Modèle:Pdf « Arrêté Modèle:N° portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016, Modèle:P..</ref> puis en Modèle:Date- en communauté de communes Périgord-Limousin<ref>Modèle:Pdf « Arrêté Modèle:N° portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, Modèle:P..</ref>.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 4 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.</ref>.

Liste des maires

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L'Hôtel de ville.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique environnementale

Jumilhac-le-Grand a obtenu le diplôme du Prix spécial du jury pour le « Concours départemental du fleurissement année 2010 » et a reçu sa première fleur au « Concours des villes et villages fleuris » d'Aquitaine en 2012. Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune<ref>Site des villes et villages fleuris, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Sur la commune voisine du Chalard, en limite de Jumilhac-le-Grand, se trouve l'ancienne mine aurifère du Bourneix, exploitée jusqu'en 2002 par Areva, aujourd'hui sous surveillance environnementale<ref>Le Bourneix : un site aurifère épuisé sur le site d'Areva, consulté le 10 août 2014.</ref> pour le traitement de eaux. Cette ancienne mine inquiète les associations environnementales locales qui redoutent des pollutions diffuses des eaux de l'Isle par des métaux lourds (résidus de l'exploitation de la mine)<ref>Rumeurs autour de l'ancienne mine d'or de Jumilhac-le-Grand (24) sur Sud Ouest du 3 novembre 2010, consulté le 10 août 2014.</ref>.

Jumelages

Huit des neuf communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand, dont Jumilhac-le-Grand, sont jumelées avec la municipalité allemande de Romrod depuis 2012, La Coquille l'étant depuis 1990<ref>Philippe Pagès, Bientôt les 25 ans du comité de jumelage], sur Sud Ouest du 30 octobre 2014, Modèle:P..</ref>.

Équipements et services publics

Enseignement

Pour l'enseignement primaire, la commune est en regroupement pédagogique intercommunal avec celle de Saint-Paul-la-Roche<ref>Daniel Syriex, « L'école accueille 64 élèves », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date, Modèle:P..</ref>.

Justice

Dans le domaine judiciaire, Jumilhac-le-Grand relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

Pendant plus de deux siècles, la population communale a dépassé les Modèle:Nombre, jusqu'à atteindre un maximum en 1901 avec Modèle:Nombre. Elle a ensuite décru de façon quasi continue depuis cette date pour descendre en dessous des Modèle:Nombre depuis les années 1990.

Modèle:Population de France/section

Économie

Emploi

En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Jumilhac-le-Grand (24218) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 43,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (70) a augmenté par rapport à 2010 (61) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,9 %.

Établissements

Au Modèle:Date-, la commune compte Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont 75 au niveau des commerces, transports ou services, quarante-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, vingt-sept dans la construction, vingt relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et onze dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Jumilhac-le-Grand (24218) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.</ref>.

Prospection

Le territoire communal a, depuis l'époque celte, comme d'autres situés en Haute-Vienne, fait l'objet d'extraction d'or, le dernier site minier ayant fermé en l'an 2000<ref name=prospection>Pierre-Manuel Réault, « À la recherche de mines d'or », Sud Ouest édition Dordogne, 17 janvier 2017, Modèle:P..</ref>. En Modèle:Date-, le secrétaire d'État chargé de l'industrie a accordé à une entreprise minière un permis de recherche d'or et d'autres métaux rares sur un territoire englobant la commune et neuf autres de la Haute-Vienne<ref name=prospection/>,<ref>Modèle:Pdf Extrait de l'arrêté ministériel du 22 décembre 2016 accordant un permis exclusif de recherches de mines d'or, argent, antimoine et substances connexes dit Permis de Bonneval à la SAS Cordier Mines en Haute-Vienne et en Dordogne, Préfecture de la Dordogne.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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}}, visitable<ref>Le château de Jumilhac sur le site Best of Périgord</ref>, est classé au titre des monuments historiques à trois reprises en 1922, 1923 et 1924<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 25 juillet 2012.</ref>.

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}}, de styles roman et gothique, est inscrite au titre des monuments historiques en 1925<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 25 juillet 2012.</ref>.

  • Le pont de la Tour, endroit où l'Isle quitte le Limousin (communes de Saint-Yrieix-la-Perche et Le Chalard) pour entrer en Aquitaine, est classé au titre des monuments historiques en 1984<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 25 juillet 2012.</ref>.
  • La « Galerie de l'Or » présente l'or, depuis son exploitation jusqu'à ses différentes applications et propose des stages d'orpaillage<ref>Galerie de l'Or sur le site de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand, consulté le 25 juillet 2012.</ref>.

Patrimoine naturel

Parc naturel régional Périgord-Limousin

Depuis sa création en 1998, le parc naturel régional Périgord-Limousin intègre la commune de Jumilhac-le-Grand.

La commune propose plusieurs parcours de randonnées (pédestre et à vélo) ainsi qu'un parcours de santé, à proximité des gorges du Ruchalet.

ZNIEFF

La commune présente une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I : depuis la Chatonnière, au nord du bourg de Jumilhac, jusqu'au Moulin de Loule, en limite de la commune de Saint-Paul-la-Roche, l'Isle sinue sur environ quatre kilomètres dans des gorges présentant une flore dont certaines espèces sont de type montagnard<ref>Modèle:Pdf Gorges de l'Isle vers Jumilhac-le-Grand sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 25 juillet 2012.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 26720000 sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 25 juillet 2012.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

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Étape

Modèle:Palette Succession/Route Richard Cœur de Lion

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Modèle:Références

Modèle:Portail