La Coquille (Dordogne)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
La Coquille est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Géographie
Généralités
La commune de La Coquille est située en Périgord vert, au nord du département de la Dordogne.
Dans une région très boisée composée de feuillus, des prés en bocage entourent le bourg de La Coquille situé, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au nord-ouest de Jumilhac-le-Grand et quinze kilomètres au nord-nord-est de Thiviers, au carrefour de la route nationale 21 (l'axe Limoges - Agen) et des routes départementales 67 et 79.
La commune est desservie par la ligne de chemin de fer Limoges - Périgueux au bourg, en gare de La Coquille.
Communes limitrophes
La Coquille est limitrophe de six autres communes.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Coquille est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l'ère primaire, antérieurement au Carbonifère<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose de micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « Modèle:N° - Châlus » et « Modèle:N° - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et leurs notices associées<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> à l'extrême sud, là où la Valouse quitte le territoire communal et sert de limite entre Chalais et Saint-Paul-la-Roche, au sud-ouest du lieu-dit Piangaud, et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> au nord-ouest, au nord du lieu-dit le Meygnaud, en bordure de la route nationale 21<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des Modèle:Unité dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Côle, la Valouse, le Touroulet et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Côle, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune voisine de Firbeix et se jette dans la Dronne en rive gauche, en limite de Brantôme en Périgord et de Condat-sur-Trincou<ref>Modèle:Sandre</ref>. Du nord à l'ouest, elle arrose le territoire communal sur plus de quatre kilomètres et demi, alimentant l'étang de la Monnerie et la branche orientale du plan d'eau de Mialet, servant de limite naturelle sur deux kilomètres face à Firbeix et Mialet, en deux tronçons.
La Valouse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune voisine de Saint-Pierre-de-Frugie et se jette en rive droite de l'Isle, à Saint-Paul-la-Roche, face à Sarrazac<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse la commune à l'est sur huit kilomètres, alimentant l'étang de la Barde et servant sur près de cinq kilomètres de limite territoriale face à Saint-Pierre-de-Frugie, Saint-Priest-les-Fougères et Chalais, en deux tronçons.
Le Touroulet, ou ruisseau de la Pouyade dans sa partie amont, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source au nord du bourg de La Coquille et se jette dans la Côle en rive gauche en limite de Saint-Jory-de-Chalais et de Thiviers, face à Saint-Romain-et-Saint-Clément<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Le ruisseau de la Pouyade arrose la commune en direction du sud-ouest sur près de quatre kilomètres.
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À son extrémité orientale, le plan d'eau de Mialet marque la limite entre La Coquille (à gauche) et Mialet.
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L'étang de la Barde alimenté par la Valouse.
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Réseaux hydrographique et routier de la La Coquille.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1982 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat
Urbanisme
Typologie
La Coquille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (30,2 %), forêts (30 %), zones agricoles hétérogènes (28 %), zones urbanisées (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), terres arables (1,6 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de La Coquille est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
La Coquille est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 19,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2007, par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de La Coquille est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - La Coquilha sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 22 septembre 2021.</ref>.
Histoire
Située sur l'un des cinq chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, c'est dans cette paroisse que l'on donnait aux pèlerins une coquille Saint-Jacques, d'où le nom de « La Coquille » et l'emblème qui lui est lié.
L'église, située sur la route Richard Cœur-de-Lion, fut Modèle:Référence nécessaire)
En tant que commune, le nom de La Coquille n'apparaît officiellement qu'en 1856, en remplacement de Sainte-Marie-de-Frugie<ref>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Modèle:P., éditions Fanlac, 2000 Modèle:ISBN.</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de La Coquille (appelée Sainte Marie de Frugie à l'époque) a, dès 1790, été rattachée au canton de Jumilhac qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron<ref name="Cassini"/>.
Intercommunalité
En 1995, La Coquille intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand. Celle-ci est renommée le Modèle:Date- en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac<ref>Modèle:Pdf « Arrêté Modèle:N° portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016, Modèle:P..</ref> puis en Modèle:Date- en communauté de communes Périgord-Limousin<ref>Modèle:Pdf « Arrêté Modèle:N° portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, Modèle:P..</ref>.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
La Coquille est jumelée avec la municipalité allemande de Romrod depuis 1990 ; ce jumelage a été étendu aux huit autres communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand en 2012<ref>Philippe Pagès, Bientôt les 25 ans du comité de jumelage], sur Sud Ouest du 30 octobre 2014, Modèle:P..</ref>.
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, La Coquille relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de la Coquille (24133) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 21 septembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 34,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (87) a fortement augmenté par rapport à 2010 (49) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,0 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont 81 au niveau des commerces, transports ou services, trente-deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, onze dans la construction, et neuf dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de la Coquille (24133) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 21 septembre 2018.</ref>.
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La Vieille Auberge, café-bar-brasserie.
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Tabac.
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Pharmacie (fermée).
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Poste.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'actuelle église Saint-Joseph date de 1873.
- Couvent orthodoxe Sainte Marie<ref>/ visite de mgr Nicolas</ref> (route de Saint-Pierre-de-Frugie).
- Château de la Meynardie, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Monastère bouddhiste zen Kanshoji, implanté en 2003 au lieu-dit la Barde<ref>Daniel Syriex, « Le monastère bouddhiste Kanshoji a célébré son vingtième anniversaire », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
- Ancienne forge de La Barde, puis filature Gay, actuellement établissement administratif du parc naturel régional Périgord-Limousin<ref>Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Haut fourneau, affinerie, martinet dit Forge de la Barde, puis filature Gay, actuellement établissement administratif du Parc naturel régional Périgord-Limousin</ref>.
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La nef de l'église Saint-Joseph. -
L'ancien couvent Sainte-Marie. -
Monument aux morts, place du Souvenir, devant la mairie. -
Maison du parc naturel régional Périgord-Limousin
Patrimoine naturel
En sus du parc naturel régional Périgord-Limousin<ref name="Nat2000ParcPerigordLimousin">« Parc naturel régional Périgord-Limousin » - FR8000035. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.</ref>, La Coquille est entièrement incluse dans la « zone tampon » de la vaste « réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », un espace protégé et géré Natura 2000<ref name ="Nat2000ReservBioDordgnTampon">« Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne, zone tampon » - FR6400011. Fiche et cartographie espace protégé Natura 2000.</ref> (Modèle:Unité).
Pèlerinage de Compostelle
Modèle:Palette Succession/Étape de Compostelle
Personnalités liées à la commune
- Modèle:Lien (1887-1918), né à La Coquille, as de la Première Guerre mondiale.
- Jean-Dolet Blanchou (1906-1944), originaire de La Coquille<ref>Charlie Mazière, Les militaires n'oublient pas la barbarie nazie, Sud Ouest du 23 mai 2011.</ref>, résistant, prisonnier des camps de concentration. Il meurt le Modèle:Date- au camp de Dora<ref>Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.
- Édouard Valéry, (1924-2010), né à La Coquille, est un résistant de la Résistance intérieure française.
- Gustave Saussot (1900-1987) est un homme politique décédé à La Coquille.
Héraldique
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Communauté de communes Périgord-Limousin
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Gare de La Coquille
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes