Saint-Jory-de-Chalais
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Jory-de-Chalais est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Géographie
Généralités
La commune de Saint-Jory-de-Chalais est irriguée du nord au sud par trois cours d'eau : au centre la Côle, et de chaque côté, ses affluents la Queue d'âne en limite ouest et le Touroulet à l'est.
Le bourg, établi en bordure du Touroulet, est situé, en distances orthodromiques, dix kilomètres au nord de Thiviers et onze kilomètres à l'est de Saint-Pardoux-la-Rivière, au croisement des routes départementales 77 et 98.
Au sud-est, la commune est bordée par la route nationale 21, axe qui relie Limoges aux Pyrénées centrales.
Communes limitrophes
Saint-Jory-de-Chalais est limitrophe de sept autres communes. Au nord-est, son territoire est distant d'environ Modèle:Unité de celui de La Coquille.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Jory-de-Chalais est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose de micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des Modèle:Unité dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Côle, la Queue d'Ane, le Touroulet, le Mauroussie, le ruisseau de Jalinie, le ruisseau de Pierrefiche et divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Côle, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Firbeix et se jette dans la Dronne en rive gauche, en limite de Brantôme en Périgord et de Condat-sur-Trincou<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse la commune du nord au sud sur plus de quatorze kilomètres, lui servant de limite naturelle sur trois kilomètres et demi en deux tronçons, face à Mialet au nord et à Saint-Romain-et-Saint-Clément au sud.
La Queue d'Âne, ou ruisseau de la Queue d'Âne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Mialet et se jette dans la Côle en rive droite à Saint-Jean-de-Côle au pont de Lavaud<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle borde la commune à l'ouest sur sept kilomètres et demi, face à Saint-Saud-Lacoussière et Saint-Martin-de-Fressengeas.
Le Touroulet, ou ruisseau de la Pouyade dans sa partie amont, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de La Coquille et se jette dans la Côle en rive gauche en limite de Saint-Jory-de-Chalais et de Thiviers, face à Saint-Romain-et-Saint-Clément<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Il arrose l'est de la commune sur plus de dix kilomètres, marquant la limite territoriale sur plus de six kilomètres en deux tronçons, face à Chalais au nord et Thiviers au sud.
Son affluent de rive droite le ruisseau de Jalinie sert de limite communale au nord-est sur deux kilomètres, également face à Chalais.
Deux affluents de rive gauche du Touroulet baignent la commune : à l'est, le Mauroussie sur deux kilomètres et demi, dont un kilomètre en limite de Chalais, et au sud-est, le ruisseau de Pierrefiche qui borde la commune sur plus d'un kilomètre et demi, face à Thiviers.
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La Côle près de Paradol.
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Le Touroulet près de Javanaud.
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L'étang du Grenier.
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Réseaux hydrographique et routier de Saint-Jory-de-Chalais.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Jory-de-Chalais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,9 %), forêts (37,2 %), prairies (7,9 %), zones urbanisées (1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-Jory-de-Chalais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Saint-Jory-de-Chalais est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 35 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Jory-de-Chalais est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Le nom de la commune, sous une forme occitane, fait référence à saint Georges, martyr chrétien au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, et Chalais correspond au village voisin<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref name=OC>Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Jòri de Chalés sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 22 septembre 2021.</ref>.
Histoire
La « Pierre Levée », dolmen près du lieu-dit Jalinie, démontre une présence ancienne sur le territoire communal<ref name=lieux/>.
La première mention écrite connue du lieu remonte à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sous la forme Sanctus Georgius de Chalesio<ref name=lieux/>.
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Jory de Chalaix.
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Chalais-la-Montagne<ref name=Cassini/>.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Jory-de-Chalais a, dès 1790, été rattachée au canton de Jumilhac qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron<ref name=Cassini/>.
Intercommunalité
Fin 1995, Saint-Jory-de-Chalais intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand dont elle est le siège. Celle-ci est renommée le Modèle:Date- en communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac, et son siège social est fixé à Thiviers<ref>Modèle:Pdf « Arrêté Modèle:N° portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016, Modèle:P..</ref> puis en Modèle:Date- en communauté de communes Périgord-Limousin<ref>Modèle:Pdf « Arrêté Modèle:N° portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, Modèle:P..</ref>.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Huit des neuf communes de l'ancienne communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand, dont Saint-Jory-de-Chalais, sont jumelées avec la municipalité allemande de Romrod depuis 2012, La Coquille l'étant depuis 1990<ref>Philippe Pagès, Bientôt les 25 ans du comité de jumelage], sur Sud Ouest du 30 octobre 2014, Modèle:P..</ref>.
Équipements et services publics
Enseignement
L'ancienne école de garçons a été transformée en école maternelle publique<ref>École primaire, Ministère de l'Éducation nationale, consulté le 7 mai 2020.</ref>.
Justice
En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Jory-de-Chalais relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Saint-Jory-de-Chalais (24428) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 janvier 2019.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 38,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (31) a augmenté par rapport à 2010 (23) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,8 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont vingt-six au niveau des commerces, transports ou services, treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf dans la construction, neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Saint-Jory-de-Chalais (24428) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 janvier 2019.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Georges, romane, remaniée aux {{#switch: e
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| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXIX
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}}
}}.
- Le dolmen de la Pierre Levée.
- La croix hosannière de Saint-Jory-de-Chalais.
- Le manoir de la Rhue, aussi appelé château de La Rhue.
-
L'église Saint-Georges. -
Le dolmen de Pierre Levée.
Personnalités liées à la commune
- Léonce Bourliaguet, (1895-1965), écrivain, fut instituteur à Saint-Jory-de-Chalais de 1923 à 1927<ref>Panneau d'information sur la place de l'église à Saint-Jory-de-Chalais</ref>.
- Mathieu Dumontet de Lacroze, Annet Marie Charles Mathieu, né le Modèle:Date- à Saint-Jory-de-Chalais : études à la faculté de théologie ecclésiastique de Paris<ref name="autogenerated">Livre d'Or de l'Institut catholique de Paris</ref>, prêtre de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, ancien directeur du Grand Séminaire de Bourges, directeur au Grand Séminaire de Reims, aumônier du [[332e régiment d'infanterie|Modèle:332e d'infanterie]] et de la Modèle:137e (Modèle:69e), Mort pour la France le Modèle:Date- à Esnes (Meuse)<ref>Plaque dédiée aux MplF qui se situe dans le cloître de la maison Saint Sixte de Reims, maison qui fut celle du grand Séminaire</ref>.
- Jean Tarrade, né à Saint-Jory-de-Chalais le Modèle:Date-, notaire à Paris, a été élu président du Conseil supérieur du notariat en 2012 (mandat 2012-2014).
- L’acteur Jean-François Garreaud (1946-2020) décède à Saint-Jory-de-Chalais, où il résidait<ref>Thomas Mankowski, « L’acteur Jean-François Garreaud est décédé en Dordogne », Sud Ouest, Modèle:Date-, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté de communes Périgord-Limousin
- Sentier de grande randonnée GR 654
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes